Judith Kelman

Une lecture fluide et bouleversante. Les personnages sont extrêmement attachants et l’intrigue bien ficelée ce qui fait que le lecteur a du mal de décrocher une fois la lecture entamée. Même si nous avons un doute concernant le coupable dès le début de l'histoire, l'auteur nous surprend jusqu'à la fin du dénouement !

Avis plutôt mitigé pour ce polar d'une auteure que je ne connaissais pas du tout. J'ai trouvé ça long et assez répétitif. On est loin ici des "page-turner" que j'affectionne.



J'ai découvert le coupable un peu avant la fin (ce qui est plutôt rare) et j'ai trouvé ça peu crédible.



L'histoire :



Thea Harper sort d'un hôpital psychiatrique dans lequel elle a été enfermée après le meurtre, dont elle ne se souvient pas du tout, de l'homme dont elle était éprise, Simon Gallatin. Elle a été jugée irresponsable et jugée non coupable.



Elle essaye de reprendre une vie normale avec sa fille de 10 ans alors que d'autres meutres sont commis dans la région. La mère de Simon Galltin a juré sa perte.



Bizarrement, la police ne la suspecte pas pour ces meurtres alors que Thea, elle-même, s'interroge sur son état mental. Se pourrait-il qu'elle ait quelque chose à voir avec ces meurtres et qu'elle ne s'en souvienne pas?



Un polar qui, pour moi, ne tient pas trop la route. Je l'oublierai très vite.
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Au vu du résumé, je m'attendais à un récit de suspense plus intense. Il s'agit de manipulations, de maladie qu'on veut cacher et d'hôpital. Emma, l'héroïne, travaille dans le dessin. Son mari, Sam est médecin et doit choisir une spécialisation. Son rêve est de travailler comme en cardiologie.

Le roman traîne en longueur pour une fin attendue.

le petit garçon de Sam et Emma n'a que trois ans. Il fait beaucoup de cauchemar, et refuse d'avoir une petite soeur. L'histoire est un peu dur à croire mais malgré ça j'ai voulu finir car la lecture de ce livre est agréable.

Et voilà que je sors encore de ma pal une de ses reliques, pas un coup de coeur, pas une déception, mais une lecture qui se lit facilement mais qui ne marque pas énormément. J'ai eu l'impression en lisant ce roman de lire un vieux roman de Mary Higgins Clark, on y retrouve tout les marqueurs du "vieux" roman à suspense et c'était ce qu'il me fallait à ce moment là. Des personnages un peu cliché (j'ai d'ailleurs trouvé le mari d'Emma insupportable au possible), du suspense pas très subtil, et une fin que je n'ai pas vu venir. Cependant bien que j'ai été surprise par le dénouement j'ai trouvé que certains éléments de celui ci ont été un peu bâclés et aurait mérité un peu plus d'attention. Ça a été une lecture correcte et sans prise de tête !
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Je découvre avec ce livre l'auteure américaine "Judith Kelman "

Une pelote bien emmêlée avec un dénouement inattendu. Un très bon thriller mais toutefois je ne pense pas que je relirai d'autres livres de cette auteure à moins que de n'avoir rien d'autre a lire.



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Suite à la disparition d'une enfant, une histoire prenante qui met en scène différents protagonistes dont certains sont attachants.

Assez classique sera la rencontre des deux enquêteurs qui se détestent à leur première rencontre, mais dont on devine assez rapidement qu'une relation amoureuse va naître...

Par ailleurs certaines incohérences, des faits étranges inexpliqués (qui n'auront aucune explication d'ailleurs) viennent gâcher le plaisir.

Un livre qui fait passer un bon moment (grâce aux descriptions dont certaines donnent une idée très précise des lieux, voire de l'effroi qu'elles peuvent susciter, grâce aux passages assez humoristiques, au ton et aux remarques de certains des personnages) mais n'attendez pas le polar du siècle.

Je continue à découvrir la "bibliothèque" de la maison avec des livres abandonnés par leurs lecteurs, partis vers d'autres horizons. A l'époque je ne lisais pas de thrillers.

Deuxième roman de cette auteur pour moi. Si le premier était sanglant et assez terrifiant celui-ci est plus soft malgré que ce soit encore une histoire d'enlèvement d'enfant. Dans le Vermont un homme vient d'être installé dans une maison isolé. Il est en conditionnel, très dangereux, relié à des appareils pour éviter toute tentative d'évasion et aveugle. C'est une sorte de "monstre" extrêmement dangereux. Non loin de là vit une fillette qui va disparaître peu après son arrivée.

En cours chapitres qui s'alternent on découvre cet homme et ceux qui tournent autour de lui. Quinn l'agent féminin du Bureau de la conditionnelle, un agent du FBI qui doit étudier cet Eldon Weir pour comprendre sa psychologie et les habitants de l'auberge voisine. C'est là que vivait Abigail , la petite qui a disparu ou fugué ?

J'ai trouvé ce livre ( 430 pages) un peu long. Heureusement que certains chapitres ramènent un peu d'intérêt. L'histoire est malgré tout bien menée même si au bout d'un moment on comprend ce qui arrive à Abigail, tellement tout paraissait improbable. Les personnages sont bien campés et la famille de l'auberge plutôt sympathique .

Un roman étonnant par son inventivité.

C’est en continuant mon vidage de pal que je suis tombée sur #letedesorages de Judith Kelman, un thriller qui traite d’un cold case et en plus à New York, une ville que j’affectionne particulièrement.



J’ai dévoré, voire englouti ce bouquin dans la journée tant la plume est addictive et l’histoire prenante. Je m’en voulais presque de l’avoir laissé dans ma pal depuis si longtemps. Et lorsque l’heure du dénouement a sonné…. j’ai pris une douche froide !



Comment réussir avec talent à captiver un lecteur pendant plus de 400 pages et lui balancer un dénouement qui sort d’on ne sait où ?

Ah c’est sûr, je ne risquais pas de deviner, et pourtant je vous assure qu’il y avait la matière, il aurait juste suffit de glisser quelques indices en cours de route, parce que là ?!!!

Bref un bon thriller qui ne méritait pas une fin aussi décevante.

En ce moment j'ai envie de lire des nouvelles et j'enchaîne donc les recueils et les anthologies. J'ai choisi celui-ci à cause de la présence d'une nouvelle inédite de Mary Higgins Clark mais je regrette mon choix. Certes ce recueil est plus potable que "Meurtres en famille" et il démarre assez bien. Mais que de nouvelles ratées, ennuyeuses ou médiocres. Je n'ai même pas réussi à achever la dernière après m'etre profondément ennuyée sur celle de Straub. La nouvelle de Judith Kellman est vulgaire et sans intérêt et "Eunice et Wally" est extrêmement glauque. le fil rouge du recueil est très mince et sous exploité. Quelques mots sur les nouvelles intéressantes. "Le choix de Keller" de Lawrence Block a une bonne idée de départ et reste accrochante jusqu'au bout La nouvelle de Mary Higgins Clark ne fait pas partie de ses meilleures mais elle est sympathique et se lit bien. La nouvelle de Stanley Cohen est peut-être la meilleure du recueil. Drôle, cynique et cruelle, elle constitue une bonne histoire à suspense. La nouvelle de Warren Murphy est ma préférée. Une histoire qui nous tient en haleine et dont l'héroïne est attachante. Pas très original certes mais bon. Enfin "Un cri" exploité une idée intéressante. le reste est à oublier. Bref rien d'indispensable donc je vous conseille de passer votre chemin

Je me suis ennuyé tout au long du roman. Seules les 20 dernières pages étaient captivantes. L'histoire est bonne, le "méchant" insoupçonnable jusqu'au dernier roman. Le seul "hic", mais de taille, c'est qu'il ne se passe pas grand chose durant 360 pages. C'est long, long...

Mon premier roman de Judith Kelman. Peut-être pas le dernier, je referai une tentative. Un jour. Mais pas tout de suite...

Weis est un dangereux criminel, assassin de petites filles ; il est emprisonné mais à la suite d'un vice de procédure , il est relâché avec un bracelet électronique . Il est à demeure dans une maison isolée du Vermont , non loin d'une auberge où vivent Nora et sa fille Abigael . Lorsque la fillette disparaît , on pense d'abord à une fugue car elle rêve de rejoindre son père mais bien vite , l'enquête s'oriente sur un enlèvement . Weis semble hors de cause car il ne peut sortir de la maison sans déclencher une alarme . Cependant Quinn son agent de probation a de sérieux doutes et , aidée par Levitsky un agent du FBI , elle va tout faire pour prouver que Weis est un grand manipulateur .

Lennie est sapeur pompier professionnelle ; un jour , elle est appelée avec ses collègues par une mère affolée car sa fille s'est réfugiée sur le toit de leur maison . La petite Kittie est complètement prostrée et elle avoue à Lennie qu'elle vient d'être violée . A ces paroles , Lennie revit le drame qu'elle s'efforce d'oublier , le même drame que cette petite fille . Pour cette raison , elle décide d'aider les enquêteurs dans la recherche du violeur , ce qui lui permettra peut-être de faire son deuil . les pistes sont multiples et de nouveaux viols sont perpétrés . Plusieurs suspects sont dans le collimateur de la police . Lennie en vient même à douter de son compagnon .

J'ai bien aimé ce livre, non pas pour le suspense ou l'action, mais pour la description assez réaliste de la vie de d'un jeune couple à New York, lui interne en chirurgie, elle en attente de leur deuxième enfant. Les obstacles s'accumulent sur leur route, et le mystère n'est dévoilé qu'à la fin. Pas un grand suspense, c'est vrai, mais une lecture agréable.

Comme un voile d'ombre de Judith Kelman est un roman bien ennuyant.....Pourtant le sujet de départ est plutôt original et intéressant : une mère Sarah, suite au suicide de son fils sur le campus de son université, va sur les lieux pour comprendre. Quand elle apprend que c'est le onzième elle mène son enquête car elle n'accepte pas que son fils ait pu en arriver là.

C'est très long, des pages et des pages sans que ça avance, il faut attendre les vingt dernières pages pour qu'enfin ça bouge un peu.

Le désarroi de cette mère est compréhensible mais j'ai eu peu d'empathie pour elle. La lenteur de l'histoire en est la cause, j'avais qu'une hâte le terminer pour voir si la fin rattrapait le reste (mais non ).

Retour sur ma lecture « la petite fille en haut de l’escalier » de Judith Kelman aux éditions @franceloisirsofficiel

Malheureusement je n’ai pas du tout accroché à ce thriller qui a été pour moi très plat. Je me suis ennuyée tout au long du livre, pas de surprise, de rebondissements et une fin qui m’a laissé amère, sans saveur et surtout sans surprise.

Le sujet de départ était déjà vu avec des voisins qui emménagent et une petite fille qui pose question. On tourne en rond, l’auteur a essayé de combler 400 pages et j’ai vraiment cherche mieux en continuant à le lire, mais rien ne m’a emballé trop mou pour moi.

Cette lecture ne me laissera aucun souvenir.

P.J. Lafferty est psychologue au quartier des femmes de la prison de Rikers Island. Mais une prisonnière est tuée, poignardée dans un couloir, et une autre détenue lui annonce que le coupable n’est autre que le mari de la victime. En menant l’enquête, P.J. découvre aussi que la victime a un petit garçon qui subit les violences de son père (et donc le tueur). Il n’en faut donc pas plus pour que notre personnage principal décide de mener une quête effrénée, et même dangereuse pour protéger ce petit garçon.



Ce thriller ne m’a pas convaincu, l’intrigue était bonne et attrayante, mais le contenu était décevant. Il y avait bien trop de longueurs pour être dans le rythme de l’histoire, des passages souvent longs et sans intérêt pour l’histoire et ce fut hélas une déception pour moi. De plus beaucoup d’incohérences dans le récit ont rendu ma lecture pénible… Un roman que je ne conseille donc pas forcément…


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SUPER

très bien

BIEN

Dans l'ensemble, plutôt décevant :

- l'intrigue se traîne, les descriptions inutiles pullulent (toujours cette manie bien américaine de nous détailler la couleur du tissus des canapés !) ;

- l'épilogue est raté : la criminelle n'a pas de liens familiaux avec les autres protagonistes ; les événements s'enchaînent tout d'un coup avec rapidité et l'incendie final est digne des plus mauvais téléfilms.

On peut en éviter la lecture !