Judith Kelman

Il faisait partie d'un grand lot de livres arrivés à la maison par hasard et ne payait pas de mine, et bien ... très bonne surprise.



Les personnages sont intéressants, l'intrigue pas mal trouvée du tout. Il manque juste un tout petit peu de profondeurs en ce qui concerne le(s) meurtrier(s) et la chute est peut-être un rien trop rapidement expédiée mais vraiment pour le reste ... agréable.

Je viens de terminer le roman de Judith Kelman, celui-ci écrit en 2003 parle de l'usurpation d'identité une réalité courante maintenant en 2015. Pas que l'idée est mauvaise, le personnage de Claire Barrow écrivaine (surprise) doit travaillé sur un nouveau synopsis pour son éditeur qui a été remplacé récemment. Puis, elle se retrouve avec des factures en son nom et un gros compte de dépenses qu'elle n'avait pas fait. Le reste de l'histoire au voit comment elle essaye de sortir du bourbier que le méchant hackers à voulu la mettre. L'intrigue n'est pas mauvaise en tant que telle c'est plutôt la fin tirer par les cheveux qui faite descendre d'une étoile.

Sarah Spooner apprend que son fils Nick s’est suicidé sur le campus où il étudiait et découvre qu’il ne s’agissait pas du premier suicide cette année mais le onzième. Malgré sa douleur, elle décide de se rendre sur place pour comprendre ce qui s’est passé. Avec l’aide d’Ali Diamond, un graphologue (il étudie l’écriture des personnes ce qui permet de déduire leurs caractéristiques psychologiques) mandaté par l’université pour élucider ce phénomène, elle va mener l’enquête.

Un livre bien émouvant où j’ai ressenti tout au long de cette lecture toute la souffrance de cette mère, de cette famille aussi d’avoir perdu ce fils, un jeune homme de 20 ans plein d’avenir. Et l’histoire personnelle d’Ali Diamond n’est pas en reste elle non plus !

Cependant, l’enquête menée par Sarah ne progresse pas bien vite, c’est trop lent et le tout manque d’action mais le suspense, lui, est bien là car on se demande bien ce qui se passe entre les murs de ce campus.

Par contre les cinquante dernières pages m’ont bluffée, je les ai trouvées bien angoissantes. Je ne m’attendais pas à un tel dénouement, à une telle tournure des événements en fait ! Bref, plaisant.

J'avais bien aimé ce thriller, à l'intrigue assez tordue si je me souviens bien ! La mère ne lâchant pas prise malgré les pressions diverses est attachante. Je me suis identifiée à elle, car j'en ferais autant s'il arrivait quelque chose à l'un de mes enfants...

Un roman policier digne de ce nom. J'ai adoré la prise d'initiative de la mère, de mener l'enquête elle - même. La chute est déconcertante, géniale. A lire pour les amoureux de roman policier.

Comme un voile d'ombre de Judith Kelman est un roman bien ennuyant.....Pourtant le sujet de départ est plutôt original et intéressant : une mère Sarah, suite au suicide de son fils sur le campus de son université, va sur les lieux pour comprendre. Quand elle apprend que c'est le onzième elle mène son enquête car elle n'accepte pas que son fils ait pu en arriver là.

C'est très long, des pages et des pages sans que ça avance, il faut attendre les vingt dernières pages pour qu'enfin ça bouge un peu.

Le désarroi de cette mère est compréhensible mais j'ai eu peu d'empathie pour elle. La lenteur de l'histoire en est la cause, j'avais qu'une hâte le terminer pour voir si la fin rattrapait le reste (mais non ).

Fait partie de cette cohorte de livres ni fait ni à faire.

SUPER

Je continue à découvrir la "bibliothèque" de la maison avec des livres abandonnés par leurs lecteurs, partis vers d'autres horizons. A l'époque je ne lisais pas de thrillers.

Deuxième roman de cette auteur pour moi. Si le premier était sanglant et assez terrifiant celui-ci est plus soft malgré que ce soit encore une histoire d'enlèvement d'enfant. Dans le Vermont un homme vient d'être installé dans une maison isolé. Il est en conditionnel, très dangereux, relié à des appareils pour éviter toute tentative d'évasion et aveugle. C'est une sorte de "monstre" extrêmement dangereux. Non loin de là vit une fillette qui va disparaître peu après son arrivée.

En cours chapitres qui s'alternent on découvre cet homme et ceux qui tournent autour de lui. Quinn l'agent féminin du Bureau de la conditionnelle, un agent du FBI qui doit étudier cet Eldon Weir pour comprendre sa psychologie et les habitants de l'auberge voisine. C'est là que vivait Abigail , la petite qui a disparu ou fugué ?

J'ai trouvé ce livre ( 430 pages) un peu long. Heureusement que certains chapitres ramènent un peu d'intérêt. L'histoire est malgré tout bien menée même si au bout d'un moment on comprend ce qui arrive à Abigail, tellement tout paraissait improbable. Les personnages sont bien campés et la famille de l'auberge plutôt sympathique .

Un roman étonnant par son inventivité.

Suite à la disparition d'une enfant, une histoire prenante qui met en scène différents protagonistes dont certains sont attachants.

Assez classique sera la rencontre des deux enquêteurs qui se détestent à leur première rencontre, mais dont on devine assez rapidement qu'une relation amoureuse va naître...

Par ailleurs certaines incohérences, des faits étranges inexpliqués (qui n'auront aucune explication d'ailleurs) viennent gâcher le plaisir.

Un livre qui fait passer un bon moment (grâce aux descriptions dont certaines donnent une idée très précise des lieux, voire de l'effroi qu'elles peuvent susciter, grâce aux passages assez humoristiques, au ton et aux remarques de certains des personnages) mais n'attendez pas le polar du siècle.

Weis est un dangereux criminel, assassin de petites filles ; il est emprisonné mais à la suite d'un vice de procédure , il est relâché avec un bracelet électronique . Il est à demeure dans une maison isolée du Vermont , non loin d'une auberge où vivent Nora et sa fille Abigael . Lorsque la fillette disparaît , on pense d'abord à une fugue car elle rêve de rejoindre son père mais bien vite , l'enquête s'oriente sur un enlèvement . Weis semble hors de cause car il ne peut sortir de la maison sans déclencher une alarme . Cependant Quinn son agent de probation a de sérieux doutes et , aidée par Levitsky un agent du FBI , elle va tout faire pour prouver que Weis est un grand manipulateur .

très bien

Je découvre avec ce livre l'auteure américaine "Judith Kelman "

Une pelote bien emmêlée avec un dénouement inattendu. Un très bon thriller mais toutefois je ne pense pas que je relirai d'autres livres de cette auteure à moins que de n'avoir rien d'autre a lire.



Instagram: visionbykri

J'ai adoré ce livre, je l'ai lu en peu de temps tellement je ne pouvais plus m'en défaire.

Le suspense et les palpitations qui vont avec sont au rendez-vous, et en plus, il y a même des touches d'humour (des vraies, où on rit vraiment) !

J'ai trouvé ce livre "par hasard", et c'aurait été une erreur de ne pas le lire !

Une fois n'est pas coutume je recommande un livre où j'ai mis deux étoiles. La qualité du récit et la teneur de l'histoire en font un bon policier mais les 20 dernières pages ont gâchées mon enthousiasme..Quelle fin négligée et sortie de derrière les fagots alors qu'elle est crédible, un peu plus d'indice nous aurais permis de pas tomber des nues face à la révélation de l'assassin.

C’est en continuant mon vidage de pal que je suis tombée sur #letedesorages de Judith Kelman, un thriller qui traite d’un cold case et en plus à New York, une ville que j’affectionne particulièrement.



J’ai dévoré, voire englouti ce bouquin dans la journée tant la plume est addictive et l’histoire prenante. Je m’en voulais presque de l’avoir laissé dans ma pal depuis si longtemps. Et lorsque l’heure du dénouement a sonné…. j’ai pris une douche froide !



Comment réussir avec talent à captiver un lecteur pendant plus de 400 pages et lui balancer un dénouement qui sort d’on ne sait où ?

Ah c’est sûr, je ne risquais pas de deviner, et pourtant je vous assure qu’il y avait la matière, il aurait juste suffit de glisser quelques indices en cours de route, parce que là ?!!!

Bref un bon thriller qui ne méritait pas une fin aussi décevante.

Pas emballée du tout !

Plusieurs fils sont évoqués sans vraiment être développé... un médecin en spécialisation de chirurgie, une grossesse, un enfants qui n'accepte pas l'arrivée d'un bébé, un couple en recherche d'équilibre, une suspicion de tromperie, des copines se retrouvent... rien ne démarre vraiment ! Risque de passer rapidement dans l'oubli...

Un récit qui traine et une fin expédiée... Bof !

Et voilà que je sors encore de ma pal une de ses reliques, pas un coup de coeur, pas une déception, mais une lecture qui se lit facilement mais qui ne marque pas énormément. J'ai eu l'impression en lisant ce roman de lire un vieux roman de Mary Higgins Clark, on y retrouve tout les marqueurs du "vieux" roman à suspense et c'était ce qu'il me fallait à ce moment là. Des personnages un peu cliché (j'ai d'ailleurs trouvé le mari d'Emma insupportable au possible), du suspense pas très subtil, et une fin que je n'ai pas vu venir. Cependant bien que j'ai été surprise par le dénouement j'ai trouvé que certains éléments de celui ci ont été un peu bâclés et aurait mérité un peu plus d'attention. Ça a été une lecture correcte et sans prise de tête !
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Retour sur ma lecture « la petite fille en haut de l’escalier » de Judith Kelman aux éditions @franceloisirsofficiel

Malheureusement je n’ai pas du tout accroché à ce thriller qui a été pour moi très plat. Je me suis ennuyée tout au long du livre, pas de surprise, de rebondissements et une fin qui m’a laissé amère, sans saveur et surtout sans surprise.

Le sujet de départ était déjà vu avec des voisins qui emménagent et une petite fille qui pose question. On tourne en rond, l’auteur a essayé de combler 400 pages et j’ai vraiment cherche mieux en continuant à le lire, mais rien ne m’a emballé trop mou pour moi.

Cette lecture ne me laissera aucun souvenir.