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3.56/5 (sur 167 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Texas , le 18 mars 1959
Biographie :

Dinah Dinwiddie alias Julia London est une écrivain américaine de nouvelles romantiques. Née au Texas,
D'après le New York Times et USA Today Julia London est l'auteur de livres romantiques la plus populaire.
Julia London est pour la quatrième fois nommée pour les RITA Award.

Elle est (pour l'instnat) l'auteure de dix séries et 7 livres.

Source : http://www.goodreads.com/author/show/49377.Julia_London
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Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
- Un tronc d'arbre, répéta-t-elle, regardant Cailean. Peut-être pourriez-vous lui apprendre à lancer quelque chose de plus facile, vous ne croyez pas?
- Un Highlander ne lance pas de choses faciles. Nous laissons cela aux fillettes et aux Sassenach. Lord Chatwick et moi en avons discuté et nous avons décidé que nous lancerions un tronc. Ou que nous essaierions, tout du moins. N'est-ce pas?
- Tout à fait, répondit aussitôt Ellis, d'un ton extrêmement déterminé.
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- Très bien, dit-il en acquiescant lentement. Prouvez-moi que vous voulez être ma femme, Margot. Pas la femme d'un dandy anglais, soyons clairs, mais ma femme. Une femme qui n'a peur ni de la fête, ni de la famine, ni du travail, ni des épreuves. La femme d'un Highlander. Une Écossaise. Pouvez-vous être cette épouse-là pour moi?
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Dans la réalité, elle était seule. Seule face à son destin. Et elle sentait qu'en elle un immense vide s'était creusé.
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Robin entendit le choc du combiné contre la table du téléphone.
-Robbie c'est toi ?
Son grand-père pris la relève.
-Oui oui c'est moi ! Grand-mère va bien ?
-Es-tu vraiment en prison ?
-Oui je ........Mais quel crime as-tu donc commis ?
-Je n'ai pas réellement commis......
-La drogues ?
-Grand-père ! Bien sur que non !
-Quoi alors !un meurtre ?
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L’oncle Ivor avait un jour déclaré à Arran qu’il n’y avait rien au monde de plus dangereux pour l’homme que la femme. « Ni bête, ni fléau, ni maladie », avait-il dit gaiement, perché sur un rocher alors qu’ils pistaient des chevreuils. « Les hommes vivent et meurent pour elles, mon garçon. Tu verras ce que je veux dire quand tu seras plus grand, aye ? La solution, c’est d’en trouver une fidèle et de la garder près de soi. »
Arran regrettait de ne pas avoir suivi le conseil de son oncle. Il était encore sous le choc, fou de rage et de déception. Certes, il avait su dès le début qu’il ne pouvait pas faire confiance à Margot. Mais cela n’atténuait en rien sa douleur.
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Les hommes portaient tous le même costume que le sien, redingote à queue-de-pie, gilets blancs et cravates assorties, si serrées que leurs têtes semblaient prêtes à sauter comme des bouchons de champagne.
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C'étaient sûrement l'alcool et la faim qui lui brouillaient l'esprit.
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Il se pencha pour l'embrasser, mais elle détourna la tête et plaça sa main entre eux.

- Je suis trop...en colère.

- Peut-être préféreriez-vous que John soit là à ma place, maugréa-t-il, prenant un de ses seins dans sa main.

-Peut-être préféreriez-vous que ce soient deux femmes qui se tiennent là au lieu d'une ! rétorqua-t-elle, furibonde. J'ai entendu parler de vos secrets, aussi !

Les narines de Jeffrey frémirent à ces mots.

- Je ne nierai pas que j'ai eu plus d'une femme dans mon lit, en même temps, dit-il. Mais ne commettez pas l'erreur de prendre cela pour de l'affection ou de l'amour. Deux femmes, c'est du sexe. Une seule -vous- c'est bien autre chose.

Il tira sur ses cheveux comme sur une corde, la forçant à ramener son attention sur lui.

- Vous me suffisez, ne le voyez-vous pas ? Vous êtes la seule que je désire combler.

Un frisson parcourut Grace, et elle ne résista pas quand il l'embrassa, cette fois, ni quand ses mains se mirant à courir fiévreusement sur son corps. Il avait raison -elle avait souhaité qu'il vienne à elle et la transporte de ses caresses.
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Les yeux au ciel, elle avait observé les étoiles, si brillantes et pourtant si loin. C’était là qu’elle avait croisé le commandant qui n’avait pas caché sa surprise de la trouver là.

-Vous devez avoir froid, avait-il dit avant de retirer son manteau pour l’enrouler autour des épaules d’Avaline.

Il lui avait montré les constellations – Orion, Sirius et l’étoile polaire. Il avait commencé à naviguer alors qu’il n’était encore qu’un gamin, avait-il raconté. Depuis ce jour, il n’avait plus jamais quitté la mer.

-Aye, je l’adore comme un gosse avec son jouet, avait-il expliqué. Elle change tous les jours.

Que n’aurait donné Avaline pour vivre dans un endroit qui évoluait constamment ? Elle voulait parler des astres, des nuages et de la houle. Aimer quelque chose avec une telle passion qu’elle ne pourrait plus s’en passer. Plonger son regard dans les yeux bleu clair du capitaine, admirer son beau visage et ne plus jamais repenser à son horrible frère.
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Son plan à l’épreuve des balles, ce plan si bien conçu, prenait l’eau de toutes parts. Quelle gourde aussi d’avoir servi une histoire aussi abracadabrante à Daphnee ! Si les filles découvraient ce qu’elle avait mijoté, elle redoubleraient d’efforts ou, pire, y verraient une sorte de traumatisme psychologique, qu’elle-même n’excluait pas totalement, soit dit en passant, et continueraient à penser que le seul remède était de lui trouver un homme, un vrai.

Ne lui restait plus qu’une solution : dénicher son Jamie Fraser et programmer une rupture au moment de leur arrivée. Mais oui ! Un coup de foudre, une séparation tout aussi brutale, et hop, elles n’auraient plus qu’à se sauver d’ici pour aller soigner ses plaies sous des cieux plus cléments. Par exemple au centre de balnéothérapie qu’elle avait découvert et leur avait signalé par mail. Par chance, il était juste de l’autre côté des collines.

Bien.

Se concentrer sur l’urgence du moment : trouver l’homme.
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