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3.87/5 (sur 240 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Julie Klassen adore tout ce qui parle de Jane Eyre et de Jane Austen. Diplomée de l'université de l'Illinois, elle a travaillé dans l'édition pendant seize ans et écrit maintenant à plein temps. Elle habite avec son mari et ses deux fils en banlieue de St. Paul, dans le Minnesota.

Source : lesromantiques.
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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
Quand une femme épouse un homme, elle épouse aussi sa famille, pour le pire ou le meilleur.
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Avec l'aide de Polly, Abigail s'habilla pour le bal. Elle arracha ses bas de soie, enfila une chemise et des jupons. Après avoir fixé les longues baleines du corset sur sa chemise, la femme de chambre l'aida à enfiler la robe blanche, nouant les rubans et attachant les boutons de nacre du bustier. Puis, elle boucla ses cheveux au fer chaud, les attacha en un chignon haut, laissant quelques petites bouches légères encadrer son visage. Elle agrémenta sa coiffure de petites roses blanches assorties à sa robe de mousseline moirée.
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En ouvrant un livre au hasard, on ne sait jamais quel trésor il peut recéler.
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Certains d’entre nous passent leur vie à déployer d’immenses efforts pour accumuler des possessions ou des richesses, en prévision de jours difficiles ou d’un futur incertain. Et si nos revenus sont modestes, nous dépensons notre énergie à essayer de trouver un moyen d’obtenir notre prochain repas
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Depuis toujours, le leurre du trésor caché est présent dans les contes et les mythes. Qu’il s’agisse des coffres remplis d’or des pirates ou de l’oie qui pondait des œufs d’or. Et nos traditions locales colportent des histoires de trésors à portée de main.
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Dommage. Il est tellement fâcheux de se trouver en présence de femmes courageuses et pragmatiques. Cela nous prive, pauvres hommes que nous sommes, de notre chance de les protéger des tentures gonflées et des silhouettes enveloppées dans des draps.
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Et même s’il trouvait sa cadette jolie, ce qui était indéniable, il n’en était pas épris. En fait, il la considérait comme une jeune fille indocile qu’il fallait ramener dans le droit chemin, non comme une femme à courtiser, à aimer, à épouser.
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- Merci de ne pas me pousser à venir à l'église.
- L'idée ne m'effleurerait même pas.
S'il avait été un peu déçu de ne pas l'y voir, il n'avait nulle intention de chercher à l'influencer. Au lieu de cela, il lui jeta un coup d'oeil et lui dit avec une ironie enjouée:
- Vous viendrez quand vous serez prête. J'ai entendu dire que les sermons étaient très... instructifs.
Elle lui jeta un regard perplexe. Avait-il piqué son intérêt? Il l'espérait vivement.
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Le cottage des Chapman était niché à l'orée d'un bois qui bordait le parc de la propriété, sur la même rive que Pembrooke Park. Cela permettait à Mac de protéger l'endroit des visiteurs qui, s'ils ne connaissaient pas le chemin qui contournait la forêt, ne pouvaient faire autrement que traverser le pont pour se présenter au manoir. Abigail avait aperçu la maison de loin lors de sa promenade en compagnie de William Chapman mais, en cette fin d'après-midi, alors qu'elle s'approchait, elle la trouva plus charmante que jamais. Baignée par la lumière dorée du soleil qui filtrait à travers la voûte des tilleuls, elle évoquait un pastel aux tons or, verts, ivoire. Ses fenêtres encadrées de volets verts étaient enjolivées de jardinières débordant de tulipes et de jonquilles. Dans le jardin, clos d'un muret de pierres, foisonnaient en un joyeux mélange des herbes aromatiques et des fleurs printanières. La seule ombre à cet idyllique tableau champêtre était le chenil fermé d'une haute clôture sur un côté. Lorsqu'elle poussa la barrière le chien se mit à aboyer furieusement.
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« Hésitants, ils s’avancèrent, les traces de leurs pas s’imprimant dans la poussière qui couvrait le sol. La première pièce dans laquelle ils entrèrent se révéla être le petit salon. Il donnait sur la salle à manger où un lustre de cristal, drapé de toiles d’araignées, surplombait une longue table. Au centre de celle-ci, une composition florale – des fleurs, des branches de saule et ce qui semblait être un ananas – s’était desséchée jusqu’à devenir un amas brunâtre de brindilles et de cosses cassantes. Venait ensuite le grand salon. Abigaël survola les lieux du regard avec étonnement. La pièce paraissait avoir été quittée quelques instants à peine avant leur arrivée, sur une table ronde, les fonds des tasses d’un service à thé étaient incrustés de thé séché. Un livre ouvert attendait sur un accoudoir du canapé. Une tapisserie, presque achevée, était coincée sous un fauteuil, retourné. Qu’avait-il bien pu se passer ? Qu’est ce qui avait bien pu pousser les occupants de Pembrook Park à quitter les lieux de façon si soudaine ? »
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