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Citations de Julie Perry (83)


Chacun vit ses propres malheurs et déceptions. Chacun a le droit d'éprouver de la tristesse ou du chagrin sans se demander si d'autres vivent pire qu'eux. Bien sûr qu'il faut le garder en tête, mais cela ne rend pas moins réelle ta souffrance. Elle est là, tu la ressens, personne n'a à te juger.
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Certes, je me comportais comme un enfoiré, mais un enfoiré honnête. Je baisais tout un tas de filles, mais elles savaient où elles mettaient les pieds. Un coup, peut-être deux, et c’était fini. Qu’y avait-il de compliqué à comprendre ?
Pourtant, chaque fois, c’était le même refrain. La nana s’imaginait qu’elle était exceptionnelle, spéciale, celle qui allait me changer et obtenir un vrai rencard, avec resto, ciné ou n’importe quel autre truc débile à faire en couple.
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Je me sentais comme après une dure journée à l'hôpital , quand j'essayais de sauver des vies. Ou d'y contribuer tout du moins. Essorée, mais heureuse d'avoir donner de ma personne.
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Le temps recouvre les souvenirs d'un voile opaque, sûrement pour mieux nous protéger parfois.
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Matt et moi, c'est la seule constance que je veux dans ma vie.
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"- Tu n'as pas envie que je parte et tu le sais très bien.

- Tu te donnes trop d'importance. La porte est juste là, dis-je en l'indiquant du doigt.

Il m'observa un moment.

- Pas croyable, murmura-t-il.

Je fronçai les sourcils.

- Quoi encore ?

- Tu as peur, Starlight. Tu as peur de ce qui peut arriver dans cette chambre, là, tout de suite. Pourtant, tu sais que c'est écrit depuis le début. Je t'ai fait une promesse, non ?"
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Le philosophie stoïcienne que j'avais toujours appliquée me semblait providentielle: pas d'attachement à quoi ou à qui que ce soit, mon bonheur ne dépendait que de moi.
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L’espoir est un phénix qui renaît de ses cendres en nous consumant chaque fois un peu plus.
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Il y a beaucoup de choses que j'aurais faites pour nous Vicky. Mais il n'y a rien que je n'aurais pas fait pour toi.
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La vie , elle ne te demandait pas ton avis, elle te donnait des cartes, et si elles étaient merdiques c’était tant pis pour toi
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Les enfants sentent immédiatement si l’un de leurs camarades est plus faible ou manque d’assurance. Quand j’étais petite, c’était ma façon de m’habiller qui attirait l’attention, mes vêtements élimés, et aussi le fait que, souvent, j’étais la dernière devant le portail à la sortie de l’école.
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Je me rappelai les sensations provoquées par ses baisers dans le cagibi et, malgré moi, un gémissement étranglé m’échappa.

Sa bouche s’écrasa brutalement sur la mienne. J’eus l’impression de pouvoir enfin respirer. Il était mon oxygène, ma source d’énergie, et j’allai y puiser tout ce dont j’avais besoin. Notre baiser fut sauvage, éperdu, désespéré, à l’image de nos âmes qui s’accueillaient l’une l’autre. Car, au-delà des sensations physiques et de la chaleur dévorante qui se propagea au creux de mon ventre, c’est bien de cela qu’il s’agissait : l’union de deux êtres qui se reconnaissaient en l’autre, de deux êtres qui souffraient et ne trouvaient pas leur place dans le monde tel qu’il fonctionnait.
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Je savais que je n’aurais pas dû. Je savais qu’il était nuisible pour moi. Mais c’était plus fort que moi, j’étais irrésistiblement attirée, comme par un aimant.

J’avais essayé de m’éloigner, on ne pouvait pas me le reprocher, n’est-ce pas ? Sans ce foutu professeur Murray, j’aurais réussi. Enfin, peut-être.

Même si mon cœur qui tambourinait chaque fois que je le croisais me disait le contraire.

Bref, je n’avais pas eu le choix. Et je m’étais laissé prendre au jeu. Comme la crétine que j’étais. Et maintenant il me jetait comme une vieille chaussette.

Ce midi, j’avais attendu trois quarts d’heure devant la cafèt’. Rien. Pas un SMS. Pas un appel, pas un message.

J’avais bien aperçu Mike et Raf, mais plutôt mourir que de leur demander quoi que ce soit, je n’étais pas descendue si bas.

Ma respiration déjà difficile ne s’améliora pas avec la vapeur d’eau qui s’accumulait et m’obstruait la vue, j’avais l’impression de me trouver en pleine campagne anglaise un mois de novembre.

Bien que je n’en aie pas envie, il était temps de sortir si je ne voulais croisais me disait le contraire.
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Chaque spectateur tenta de suivre la trajectoire de la balle qu’il venait de frapper. Elle monta si haut que je crus l’avoir perdue.
À la vue de cette fly ball, le public s’électrisa, hurlant, s’agitant dans tous les sens, transporté. Le suspense était à son comble, et nous étions tous tendus comme des arcs.
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Qui eût cru que je vibrerais un jour avec une rencontre de base-ball ? Jusque-là, cela n’avait jamais été ma tasse de thé. Ni aucun autre sport d’ailleurs. J’aimais bien me dépenser, mais regarder des gens s’agiter sur un terrain…

En réalité, aujourd’hui, c’était différent. Je partageais ces moments avec des amies. Euphorie, fous rires, high five… des moments de complicité simples et authentiques.
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Après toutes ces années, nous étions toujours fous l’un de l’autre, et rien ne pourrait jamais changer cela. Jace et moi étions des âmes sœurs, au sens mythique du terme.
Tandis que, les yeux brillants, je le regardais se débarrasser de ses vêtements coûteux comme s’il s’agissait d’une tenue de plage, je repensai à ce jour qui avait bouleversé nos vies.
Ce moment intense à l’aéroport, où nous avions baissé notre garde pour ne plus jamais la remonter.
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Un sourire étira le coin de ses lèvres, et il m’embrassa le bout du nez avant de se retirer doucement et de se lever. Il actionna l’interrupteur, et la lumière inonda le bureau, me faisant plisser les yeux le temps de m’y réhabituer. J’en profitai pour me repaître de son corps et admirai sans vergogne ses muscles qui roulaient sous sa peau tandis qu’il enfilait son jean.
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Elle approuva et proposa d’aller nous prendre un Subway. Hum, j’adorais ces cochonneries. Thon, guacamole, oignons, fromage et sauce à l’oignon. Tout un programme.
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Trop tard, ma belle ! Il te regarde comme s’il allait manger son dessert favori et qu’il ne savait pas par quel bout l’entamer. Seigneur, j’en ai des vapeurs, fit-elle en s’éventant théâtralement.
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L’éclat de ses yeux dans la pénombre était encore plus impressionnant. Deux lames effilées qui vous percutaient et s’insinuaient en vous en ravageant tout sur son passage.
Mon pouls s’emballa, mes jambes flageolaient et ma respiration devint hachée. Pas de doute, j’étais dans une situation critique. Confuse, je battis des cils et tentai de me ressaisir quand il repoussa une mèche de cheveux sur mon visage et caressa celui-ci de l’index. Une décharge électrique parcourut mon corps, et je frissonnai jusqu’à la pointe des pieds.
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