Kanoko Sakurakouji

Courage, Sôsuke !"

Je suis allée à la librairie chercher le douzième et dernier tome de cette série dès sa sortie le mercredi 4 novembre 2020 parce que j'ai pris un grand plaisir à la suivre. Kanoko Sakurakouji indique à la fin les principales libertés qu'elle a prises avec la grande Histoire comme par exemple les motifs sur les kimonos ou la coiffure de son personnage principal : un shojo se doit de rester kawaii. 😅 Mais si cette série souffre d'un défaut, c'est plus l'attachement manifeste de la mangaka à son héros Sôsuke, bien visible d'ailleurs dans ce dernier tome où on peine un peu à comprendre les raisonnements de l'héroïne Akane, surtout dans la première moitié, alors qu'on compatit une fois de plus pour Sôsuke qui aura porté, de bout en bout, la série sur ses épaules. L'idée de la mise en abîme finale et du rôle important donné à "l'acteur aux mille taels" Kikunojô est excellente, comme si l'histoire devenait livre dans l'histoire au moment où le manga se referme. Une excellente série historique à l'époque d'Edo : je quitte à regret tout ce petit monde et cette époque de l'histoire japonaise que je ne connais guère.


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Une série originale servie par un trait très soignée, qui saura passionner ses lecteurs.


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Ainsi s'achève après 12 tomes La courtisane d'Edo avec un happy end après tant de déboires et de tristesse à son origine. L'amour triomphe et nous fait entrevoir un beau futur. De beaux graphismes avec un grand plus pour les costumes. Des personnages attachants qu ils soient principaux ou secondaires avec souvent de l'humour. Un clap de fin qui ne déçoit pas pour une série qui a su dans l ensemble rester captivante jusqu'à son dénouement.

Tout sonne juste dans cette fin que je trouve magique ! Et par les temps qui courent, je peux vous dire que j’en avais bien besoin. Et que dire de l’épilogue, la conclusion à toute cette histoire ? Haaaan, mon petit cœur a fondu d’amour et c’est là que j’ai versé également quelques petites larmes.



Cette fin est parfaite et les dessins toujours aussi somptueux !
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Une suite qui me laisse un peu sur ma fin...

Un second tome toujours aussi excellent et avec des dessins très beaux. L'intrigue se complexifie et promet une suite captivante.

Un second tome à l'égal du premier, peut-être même meilleur.

Bizarrement, Sosuke n'est plus sur la couverture alors qu'il est sans doute le personnage le plus intéressant, le préféré de la mangaka (ce qu'elle montre avec beaucoup d'humour et de chibis). On en apprend plus sur le passé des personnages, sur leurs intrigues aussi. Un mélange de romance et de suspense dans un cadre historique.

C'est aussi captivant que "Reine d'Egypte" avec moins de violence et d'érotisme, alors que les titres de ces deux mangas feraient penser l'inverse. En revanche, au niveau des intrigues, du suspense, c'est du même niveau.

Cap sur le troisième tome !
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C'était une parution que j'attendais beaucoup de découvrir mais finalement je suis un peu déçue de cette lecture. J'ai vraiment pas autant accroché que ce que j'aurais aimé. Je me suis même retrouvé à avoir envie de dormir ou poser ma lecture tellement j'étais pas dedans.



Le mystère n'est pas assez présent à mon goût. Par exemple la scène où elle fait boire Mitsuhashi pour avoir des informations aurait été intéressante à voir du point de vu de Akane et non pas voir seulement sa réaction après ce moment. De façon générale je trouve la protagoniste trop passive et elle est franchement pas aidé par Riitchi et Sosuke qui se battent pour la sur-protéger.



La romance va BIEN trop rapidement. On est au tome deux Sosuke est déjà à fond sur elle et est super possessif avec elle. Je trouve d'ailleurs Akane pas très intéressante, je comprends pas pourquoi Sosuke est intéressé par elle hormis sa beauté.



Pour le moment je suis mitigée j'attends de voir la suite.

Le dessin est toujours aussi mignon et sensuel. Une combinaison difficile à réaliser à mon sens et pourtant magnifiquement rendue.

Dans ce shojo un peu pimenté l'intrigue avance à un rythme correct (le nombre de page est raisonnable par rapport à d'autres que je trouve trop fins) et on a même droit à une scène de baiser volé dès ce deuxième tome. Ce qui est assez inhabituel pour le genre mais cependant appréciable (féministe dans l'âme où pas), ça bouscule un peu les conventions du genre.

Après un premier tome enthousiasmant à tout point de vu, j’avais hâte de lire le tome 2 et de voir comment Akane allait continuer son évolution dans son apprentissage de courtisane et si l’auteur n’allait pas trop rapidement mettre de côté l’enquête pour étirer le scénario et faire, ainsi, perdre un intérêt majeur du manga.



Alors que nous avions laissé Akane en bien fâcheuse posture à la fin du tome 1, elle doit une fière chandelle au fils de la famille Ômiga qui lui évite d’être la risée du quartier. Alors que le lecteur sait qui est la coupable, Akane décide qu’il n’est point la peine de chercher de de passer à autre chose car elle le sait, un tel acte ne peut rester impuni et dans le monde des prostituées, la punition n’est pas petite. Comme je pouvais m’en douter dès le premier tome, Yukari est un loup déguisé en agneau, elle n’hésitera pas à continuer les coups bas pour nuire à Akane, car elle ne vise qu’une seule place et c’est la première. Alors, oui, je trouve que c’est une méthode basse, vile et pleine de mesquineries mais je garde aussi à l’esprit que le monde des courtisanes est un monde sombre où seules les plus fortes arrivent à s’en sortir. Je trouve que cette situation est parfaitement résumée dans la scène avec la prostituée atteinte de la petite vérole, et Akane s’en rend compte elle aussi, rares sont les élues à pouvoir choisir leurs clients et à passer au travers de la maladie. Derrière les beaux kimonos, les jolies coiffures et les différents artifices, le monde des courtisanes est violent. J’apprécie cette plongée dans cet univers où l’apparat est primordial, les petites notes sont toujours les bienvenues pour mieux appréhender les us et les coutumes pour l’occidentale que je suis.



Pour mon plus grand plaisir, l’enquête n’est pas mise au rebut, elle avance doucement mais sûrement. Les raisons du meurtres des parents d’Akane sont toujours des plus opaques, les interrogations sont nombreuses mais les réponses se font quelque peu attendre. Cela ne me dérange pas tant que ça avance un peu. Après, il ne faut pas se leurrer, La Courtisane d’Edo est un shôjo et, l’enquête n’est évident qu’un prétexte à la mise en place d’une histoire d’amour qui devrait faire chavirer le cœur des plus fleurs bleues d’entre nous. Akane essaye de déchiffrer les sentiments qu’elle commence à ressentir, de l’amour ou de la haine ? La frontière entre ses deux émotions est parfois tellement ténue que je comprends les incertitudes et les hésitations d’Akane concernant Sôsuke. Il se dessine aussi les prémices d’un triangle amoureux, pas vraiment de surprises, ça reste un grand classique des shôjos. D’un côté, se trouve Sôsuke, le riche héritier qui ne veut pas laisser Akane s’échapper, il dit qu’il la déteste, cherche-t’il à se convaincre ? Ou cache-t’il ses vrais sentiments ? Et de l’autre côté, se trouve Riitchirô, un ancien serviteur de la famille d’Akane, qui choisi de veiller sur elle malgré qu’il soit en désaccord avec ses choix. Ayant chacun la volonté de protéger Akane, Sôsuke et Riitchirô, vont effectuer un rapprochement tactique.



La Courtisane d’Edo continue à me séduire dans ce deuxième tome. J’apprécie toujours le trait de Kanoko Sakurakouji, c’est fin et détaillé, les kimonos et les coiffures sont magnifiques. Le quartier des plaisirs a encore de nombreux secrets à dévoiler et je ne doute pas que je vais tomber sous le charme du tome 3.
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Est-ce que la haine de Sôsuke envers la classe des samurais ne serait-elle pas révélatrice d’un sombre passé ?...



Un deuxième tome que j’ai trouvé encore mieux que le premier ! En effet, maintenant qu’on connait les personnages, l’histoires peut se développer plus rapidement. On en apprend beaucoup plus sur Sôsuke et sur son passé. J’ai trouvé les personnages encore plus intéressant dans ce tome, car on commence à les connaitre et on découvre également de nouveaux visages pour certains. J’aime beaucoup comment petit à petit l’auteur nous en apprend plus sur les courtisanes de l’époque d’Edo, et on voit qu’il a vraiment en des recherches, et franchement c’est un très bon point, car comme ça on apprend beaucoup de choses !



Ma note : 18/20Une série très intéressante avec des personnages tous très attachants ! Je vous conseille ce Shojo atypique !

#Frimousse
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Dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara, Akane, depuis la maison de geisha où elle a été vendue cherche toujours à élucider le meurtre de ses parents tout en prenant en compte les dures réalités (rivalités, mesquineries en tout genre, etc) de la vie des filles en maison de geisha.



Si j'ai eu la curiosité de poursuivre cette lecture c'est bien plus pour le côté historique que pour la petite amourette improbable entre les personnages un peu caricaturés. Si sur le premier point je ne suis pas déçue, et que l'aspect recherche de la vérité est sympathique, en revanche les passages à l'eau de rose m'ont un peu agacée...



Je pense quand même que je pousserai la curiosité vers le tome suivant.

Ce manga est une lecture parfois agréable, mais qui manque de finesse sur certains thèmes. J'aurais préféré plus d'approfondissement dans les relations et la constructions des personnages. Akane ne peut pas évoluer en vue de la possessivité des deux hommes qui l'accompagnent et qui l'étouffent. Pourtant, j'aime beaucoup ce personnage qui pourrait vraiment être approfondi et complexifié. Au contraire, on met beaucoup trop en lumière les personnages masculins. Du point de vue de l'intrigue, La courtisane d'Edo est un manga assez immersif. On a vraiment envie de connaître la suite et les révélations concernant le meurtre des parents d'Akane.



Hélas, un passage dans ma lecture m'a vraiment posé problème. Le baiser forcé est littéralement une agression. Je comprends qu'on parle du quartier des plaisirs et des violences faites aux femmes. Mais le sujet ne revient même pas dans la suite du tome. Cela n'a rien de romantique de forcer une jeune fille de seize ans à être embrassé de force.

Comme dit dans la chronique précédente, je fait des chroniques tome par tome pour cette série car il se passe énormément de choses à chaque nouveau tome et qu’il est donc plus simple pour moi de procéder ainsi. Il y aura donc des risques de spoiler à partir de cette chronique. Ce second tome est dans la lignée du précédent, tout aussi immersif et intriguant.



L’intrigue se passe juste après la fin du premier tome, il semble qu’Akane soit victime du harcèlement de certaines courtisanes qui ne voient pas d’un bon oeil qu’elle soit mise sous la protection d’Asakeno, l’une des courtisanes les plus prestigieuses, alors qu’elle vient à peine d’arriver à l’Akenoborô.



Riitchirô lui fait aussi part d’un marché qu’il a conclut avec avec Sôsuke pour la protéger, malgré le fait qu’il semble la détester. Mais les choses semblent être bien plus complexes car Sôsuke se montre d’une extrême gentillesse envers elle quand ils se retrouvent tous les deux. Ils passent leurs temps à se taquiner mais on peut déjà entrevoir leur relation évoluer un petit peu : Sôsuke vient toujours en aide à Akane dans les moments difficiles.



Akane semble aussi avoir quelques problèmes à venir avec Yukari, l’autre jeune courtisane qui a participé à la parade d’Asakeno avec elle, qui à l’air d’enfin la prendre au sérieux en tant que rivale. A voir comment les choses vont évoluer de ce côté-là.



Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur le fonctionnement des maisons closes et la manière dont les courtisanes divertissent leurs clients. D’un autre côté, on apprend à mieux connaître Sôsuke et les raisons qui le mènent à aller de maison close en maison close : le jeune homme est bien moins volage qu’il n’y paraît en réalité.



Ce second tome de La Courtisane d’Edo est dans la lignée du premier : on prend plaisir à suivre les intrigues au sein de la maison close de l’Akenoborô et voir évoluer les relations entre les personnages. C’est une série shôjo historique qui fait partie des valeurs sures à mon sens.
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Un tome 3 toujours aussi captivant et instructif. Ainsi que très beau avec son graphisme. La trame de base avance doucement, tout comme les sentiments de notre héroïne.

Vu la fin, je ne dirais qu'une chose, "vivement la suite" !!!

Je suis véritablement passionnée par cette série. J'adore le trait de l'auteure et l'histoire en elle même. Alors évidemment, pour notre époque, c'est un peu limite : une histoire de prostitution avec une jeune apprentie de 15 ans et un gars de 24 (si je me souviens bien) qui lui court derrière (pour grossir le trait). Mais c' est présenté avec tellement de douceur, de subtilité, d'émotions et surtout dans un contexte historique bien expliqué et développé que ça fonctionne !

Ensuite il y a le mélange entre une intrigue amoureuse et une intrigue presque politique, c'est très bien rendu.

Enfin, j'apprécie que l'histoire se déroule sans perdre trop de temps. Je ne suis qu'au troisième tome et pourtant ça avance bien.

On n'est pas ici dans un shojo plus classique où on attend le tome 7 pour qu'ils se tiennent la main (même si j'ai un faible pour ces histoires là aussi).

Me voici enfin avec le tome 3 de La Courtisane d’Edo entre les mains, j’ai adoré les 2 premiers, sans mettre de côté de l’enquête, les premiers sentiments d’Akane commençait à éclore et ne sachant pas déchiffrer son petit cœur, elle était quelque peu perdue. Je me doute que le tome 3 va faire vibrer mon côté fleur bleue, que l’enquête va passer au second plan pour mettre en avant les sentiments d’Akane et de Sôsuke.



« A quoi bon reconnaître mes sentiments ? J'ai une mission à accomplir... Ces sentiments ne sont que des obstacles... »



A la fin du tome 2, Akane prenait la défense de Sôsuke et dévoilait par la même occasion des compétences insoupçonnées, elle est issue de la noblesse militaire et de ce fait, elle maîtrise le naginatajutsu, la surprise fut grande chez ceux qui ont assisté à la scène. En cas, après ce fait d’armes d’Akane, elle devient la coqueluche du quartier et les tabloïds prennent grand plaisir à revenir sur cet épisode au grand dam de cette dernière. Cet épisode met surtout en avant que Sôsuke est loin de laisser insensible Akane, et si elle s’attache à lui même si elle fait tout pour ne pas le reconnaître. Allant même jusqu’à soutenir que ce qu’elle ressent pour Sôsuke n’a rien à voir avec ce qu’elle ressentait pour son fiancée… Et là, j’ai envie d’écrire, « Tu m’étonnes » ou encore « Sans blague »… Akane découvre ce que c’est qu’est l’amour avec un A majuscule, le vrai… Mais Akane a un but et elle s’est très bien que cet amour est un obstacle, si elle se laisse emporter par le tourbillon de l’amour, elle n’arrivera jamais à découvrir la vérité concernant la mort de ses parents. J’aime beaucoup Akane, c’est un personnage très intéressant, elle est partagée entre la raison et son cœur, lequel des deux l’emportera à la fin ?



« Qu'allez-vous choisir ? Votre bonheur ? Ou celui de Mademoiselle ? »



Mais Sôsuke commence à comprendre qu’il y a peut-être anguille sous roche. Quelle fille normalement constituée refuserait qu’on lui achète sa liberté. J’aurais pu le penser complètement aveugle, mais finalement il réfléchit. La suite est logique, il veut savoir pourquoi Akane souhaite tant rester dans sa cage dorée avec les conséquences que cela peut avoir. Et comme Akane, il se retrouve partager entre la raison et l’aider, et quelque soit son choix, il est loin d’être sans conséquence puisqu'ils ne font pas partis de la même classe sociale. Ce tome permet également l’introduction d’un nouveau personnage nommé Aoi qui va devenir, à priori, une allié sérieuse pour Akane dans sa quête de la vérité, surtout qu’elles ont toutes les deux plus proches qu’on pourrait le croire. J’ai trouvé Aoi vraiment sympathique, elle est souriante, enjouée et elle permet au lecteur de découvrir une autre facette des courtisanes.



« Tu me demandes de t'aider à retourner dans ton monde, alors qu'il m'est interdit ! »



Ce tome 3 est plus axé sur les tourments amoureux que subissent Akane et Sôsuke, mais ce n’est pas pour me déplaire… Un amour interdit, ça fait toujours palpiter mon petit cœur de shôjo addict. J’adore les personnages d’Akane et de Sosuke. L’enquête avance mais j’ai trouvé qu’elle passait au second plan et pourtant j’ai adoré, que dis-je, j’ai vibré à la lecture de ce tome… Kanoko Sakurakouji, pour le moment, maîtrise son histoire et les caractères de ses personnages et cela me semble bien parti pour durer. J’espère juste qu’elle ne va pas trop étirer son histoire.
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Me voici de retour avec une chronique de ce troisième tome de La Courtisane d’Edo. C’est un réel plaisir que de retrouver ces personnages auxquels je commence à m’attacher.



Ce tome se passe peu de temps après les événements du précédent. Akane se rend compte qu’elle éprouve des sentiments de plus en plus intenses envers Sôsuke, mais se refuse à penser que ce soit un sentiment amoureux. Les deux personnages jouent au chat et à la souris, ne sachant pas vraiment ce que souhaite l’autre, provoquant quelques petits quiproquos.



Sôsuke découvre aussi qu’Akane n’est pas venue à l’Akebonorô pour que sa liberté soit rachetée, bien qu’il n’en sache pas (encore) la raison. Le jeune homme insiste tout de même, jusqu’à ce que Riitchi lui dévoile ses véritables intentions. Il lui annonce dans la foulée que s’il l’aide à arriver à ses fins, il ne pourra jamais se marier avec Akane car le fossé entre leurs deux castes est trop grand. Akane est de la noblesse militaire et Sôsuke est fils de marchand, une relation qui semble vouée à l’échec.



Mais la vie à l’Akebonorô est aussi l’occasion pour Akane de se faire une nouvelle amie et alliée : Aoï-san, une autre courtisane de la maison close, dont les parents semblent avoir été victime de la même supercherie que ceux d’Akane. La jeune fille fait aussi la rencontre de Sakitchi, l’amant d’Aoï, qui lui sera d’une aide précieuse par la suite.



Ce tome permet de voir de voir de quelle manière évolue la relation entre Akane et Sôsuke. Il permet aussi de rencontre des personnages qui vont avoir une certaine importance par la suite. L’intrigue continue à évoluer et à placer des éléments qui auront, je pense, de l’importance au fil des tomes. Affaire à suivre !
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Une excellente série. "À l'époque d'Edo, les parents d'Akane Nagakura, des nobles de la caste des guerriers, ont été assassinés."

Pour retrouver le(s) coupable(s), elle commence sa formation de courtisane dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara, mais c'est compter sans l'aide imprévue de Sosuke Omiya, un jeune homme qui déteste la caste des guerriers, pour des raisons qu'on apprend progressivement, et qui veut tout simplement l'empêcher de devenir courtisane... Or Sosuke aussi a un passé intéressant et plusieurs quêtes à mener à bien, mais différentes de celles d'Akane.

L'ensemble est assez difficile à résumer, mais chaque personnage est travaillé, Sosuke est très charismatique et ce shojo historique sur fond d'intrigues et de complots s'avère passionnant à suivre.


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L’enquête d’Akane piétine depuis un moment et le temps passe, comment va-t-elle pouvoir faire pour en apprendre plus sur le meurtrier de ses parents ?...



Un troisième tome génial ! Akane commence à se rendre compte des sentiments qu’elle a pour Sôsuke, et j’aime beaucoup voir ses doutes sur ses sentiments, ainsi que le fait que si elle parvient à retrouver son titre de noblesse, elle ne pourra plus rester avec lui. Donc un tome avec beaucoup de doute pour Akane, mais Sôsuke est toujours présent pour elle, et je le trouve de plus en plus mignon, car il est vraiment très gentil et attentionné ! Encore quelques découvertes sur l’époque Edo, dont comment fonctionnais la monnaie. En bref, un tome très intéressant, qui nous révèle une changement dans les sentiments d’Akane, qui promet encore de jolis rebondissement.



Ma note : 18,5/20 Une série qui me plaît de plus ne plus au cours des tomes.

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