Citations de Karen Marie Moning (887)
_Quoi qu'il en soit, si vous faites de nouveau l'une de vos pénibles allusions à ma bouche et à une fellation sur votre personne, ne comptez plus sur mon aide.
Je le vis croiser les bras, tandis que son regard se posait sur mes lèvres rouge vif.
_Dois-je en déduire qu'il existe d'agréables allusions à votre bouche et à une fellation sur ma personne? Si c'est le cas, je serai heureux de les entendre
_Et faites quelque chose de vous cheveux, comme la nuit où je suis venu vous voir dans votre pension, par exemple.
_Vous voulez que j'ai l'air de sortir de mon lit?
_Ou du mien, de préférence.
_Je ne sais pas ce qui me retient de vous flanquer mon poing dans la figure!
_La crainte de vous casser un ongle? suggéra-t-il d'un ton si suave et si hautain qu'une nouvelle bouffée de rage monta en moi.
_ Je voudrais que ce soit toujours comme ça, lui dis-je.
Ses narines frémissent tandis qu'une lueur amusée passe dans son regard d'obsidienne.
_ Essaie de t'en souvenir.
_ Je n'ai pas besoin d'essayer. Je ne changerai jamais d'avis.
_ Ah, Mac! s'écrie-t-il avec un rire aussi froid et sombre que l'endroit dont je rêve. Un jour, tu te demanderas s'il est possible de me détester plus.
_ Je vous donne quarante-huit heures. Contrôler la gamine et tenez-la hors de mon chemin. Il y a de nouvelles règles. Un : Vous restez à l'écart de Chez Chester. Cela veut dire une dizaine de rues à la ronde. Deux : Vous partagez avec moi toutes vos informations pertinentes sans que j'aie à le demander. Trois : Vous empêcher la petite de s'approcher de mon garage. Quatre : Si vous vous invitez sous mon crâne, je m'invite entre vos jambes.
_ Oh ! Épargnez-moi ce genre de réflexions !
_ Et vous, épargnez-moi ce genre de provocations, répliqua-t-il en posant les yeux sur ma poitrine.
_ Ne me quitte pas.
Je m'agite entre les draps.
_ Je ne m'en vais pas, Mac.
Puis je sais que je rêve, car les songes sont le royaume de l'absurde, et ce qu'il me dit est plus qu'absurde.
_ C'est toi qui me quittes, ma poupée arc-en-ciel.
Mac est un personnage auquel on ne s'attache pas tout de suite, mais plutôt après avoir suivi ses doutes, son évolution, ses peurs et angoisses. Nous savons alors qu'elle n'est pas la fille superficielle qu'elle laisse paraïtre...
Tous les personnages secondaires de ce roman, eux, sont mystérieux, et nous ne savons toujours pas, en lisant la dernière page, à qui nous fier, à qui faire confiance... (ce qui nous réserve, je pense, de grosses surprises pour les tomes suivants.)
J'ai donc été très agréablement surprise par ce roman., et brûle (fièvre oblige^^) de lire la suite qui, je l'espère, sera à la hauteur.
Trois tomes sont d'ores et déjà sortis en France aux éditions J'ai Lu : Fièvre Noire (DarkFever, dont vous avez la couverture ci-dessus), Fièvre Rouge (BloodFever), et Fièvre Faë (FaëFever), le quatrième tome, non paru en France pour l'instant (pour le 20 octobre 2010 en france !!), se nomme DreamFever et le suivant, ShadowFever sortira en Janvier 2011 aux Etats-Unis...
Vous pouvez retrouver toute l'actualité des Aventures de MacKayla Lane et de Karen Marie Moning sur le site officiel : http://www.karenmoning.com/ .
Et, de mon côté, je vais me replonger dans la bruine et le froid Irlandais, et accompagner Mac dans ses nouvelles aventures...
Pour l'instant, un étalon italien m'attendait, fringant, impatient de s'élancer. Il s'appelait Ferrari et il était pour moi. Il y avait deux heures de route entre moi et l'endroit ou je me rendais, et cette période liminale la, je comptais bien en savourer chaque seconde.
_ Vous jouez à Monsieur Question, ce soir? Et si vous me jugiez plutôt sur mes actions? suggerai-je. A ce propos, j'ai décidé que votre avis était plein de sagesse.
_ Tiens, les poules ont des dents? répliqua t-il séchement.
Il m'avait fallu dépasser les cadres de réflexion habituels, mais c'était une pratique dans laquelle je m'améliorais de jour en jour, bien que je n'aie aucune raison de m'en vanter. Il n'y a rien de glorieux à sortir de ses vieux schémas de pensée quand le monde s'effondre autour de vous.
Ne vous croyez pas en sûreté au fond de votre fauteuil. Ce n'est pas seulement mon monde qui est en danger. C'est aussi le vôtre. C'est en train de se passer, maintenant, pendant que vous êtes assis là, à grignoter des friandises, prêt à vous plonger dans un moment d'évasion et d'imagination. Vou svoulez savoir? Il n'y a rien d'imaginaire dans tout ceci et on ne s'évade pas.
He shakes me."Say my name."
" No."
"Damn it,would you just cooperate?"
"I do not know that word,'cooperate."
"Obviously,"he growls.
" I think you make up words."
"I do not make up words."
"Do,too."
"Do not."
"Too."
" Not."
I laugh
"Woman you make me crazed,"he mutters.
We do this often. Get into childish arguments.He is stubborn,my beast..
" Open your eyes and say my name" [..]
" Jericho Barrons" I say sweetly
He makes a pained sound
" Bloody hell, woman, I think a part of me wants to keep you this way "
" Dont leave me ". I trash in the sheets
" I'm not, Mac "
I know I am dreaming then, because dreams are home to the absurd and what he says next is beyond absurd.
" You're leaving me, Rainbow Girl "
Inutile de me regarder dans un miroir pour savoir à quel point je devais avoir l'air stupide ! Je considérais longuement Barrons d'un regard furieux, puis je me dirigeai vers le sounddock pour aller l'éteindre. En entendant un son étouffé derrière moi, je pivotai sur mes talons pour lui décocher un coup d'œil assassin. Il arborait son éternelle expression d'ennui arrogant. Je me remis en chemin, et le son s'éleva de nouveau. Cette fois en me retournant je vis que les coins de sa bouche s'étiraient. Je le fixai jusqu'à ce qu'il se morde les lèvres.
Je parvins au sounddock, coupai le son...et entendis un éclat de rire sonore.
Je fis prestement volte-face.
- Je n'avais tout de même pas l'air aussi ridicule, grinçai-je entre mes dents.
Ses épaules se soulevèrent compulsivement.
- Oh ça va, grommelai-je. Arrêtez un peu!