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Citations de Katharine Ashe (120)


- Ah ! dit-il une voix sourde. Tu veux échanger de menu propos. Ou peut-être espères-tu des excuses ? J'ai le regret de te dire que cela ne figure pas dans mon lexique.
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- Me jugeriez vous excentrique ?
- La fille d'un duc, célibataire à vingt-quatre ans et qui prend des cours d'escrime ? Allons donc, railla-t-il.
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Il n'était qu'une canaille. Lui qui se vantait de ne jamais prendre ce qui ne lui appartenait pas, il lui avait volé son cœur. Comme un pirate. Il ne valait pas la peine qu'elle se souvienne de lui
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- Vous tenez à moi, affirma-t-il.
- Je tenais à vous quand vous je vous croyais mort, rectifia-t-elle d'une voix frémissante. Vous étiez plus intéressant alors.
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-Quand tu m'appelles par mon nom de baptême, Leam, c'est que tu as l'intention de me faire la leçon. Je vais t'éviter cette peine en résumant ton propros : blabla.
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Ce n'était ni une aventure ni un jeu. C'était la vie.
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Lorsqu'elle lui coulait un regard en coin, elle avait l'impression de tomber dans le vide.
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— Vous allez me dévêtir ici, alors que n’importe qui peut me voir ?
— Tout le monde dort.
Il se pencha pour goûter son cou satiné, et elle laissa échapper un soupir.
— Je serai le seul à vous voir.
— Je ne suis pas belle, l’avertit-elle. Ni ronde ni voluptueuse. Vous serez déçu.
— Vous n’êtes pas belle, mentit-il, car il savait que tenter de la convaincre du contraire serait inutile
Il fit glisser les manches de sa robe le long de ses bras, la débarrassa de son corsage.
— Vous êtes trop mince. Une femme doit être plus pulpeuse.
Il plaqua les mains sur son ventre pour la ramener à lui. Ses fesses douces et rondes accueillirent son érection.
— Beaucoup plus.
— Vous ne faites aucun cas de ma vanité.
Elle arqua le cou et il laissa ses doigts descendre plus bas. Elle retint son souffle.
— Depuis le début, ajouta-t-elle.
— La vanité n’est pas le pire de vos défauts, duchesse.
Il inclina la tête pour inhaler son parfum.
— C’est l’orgueil.

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Il était noble, elle orpheline, et elle avait plus en commun avec une côtelette de mouton qu'avec lui.
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Leurs regards se croisèrent.En dépit de l'indolence de celui de Blackwood, on aurait dit que lui seul, entre tous, devinait qu'elle portait sa morgue comme une armure.
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Tout en elle n'était que contrastes : une allure énergique et une voix douce capable d'apaiser un blessé ivre de douleur, une tendance à la provocation et un sens affirmé de l'engagement, un sourire facile et une méfiance naturelle des plus frustrantes...
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Il lui avait suffi de quelques minutes pour comprendre que ces parangons de vertu étaient bien plus contrariés d'apprendre qu'une femme avait réussi des études de médecine que de savoir qu'une jeune fille de bonne famille vivait avec un homme. Quelle hypocrisie !
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Il rit de nouveau et elle adora son rire. C'était un rire chaleureux, confiant, qui se lova tout au fond d'elle.
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- Votre expression fâchée ne va pas avec votre toilette, commenta-t- il. Vous devriez peut-être vous changer de nouveau ?
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— Quel gage vas-tu réclamer ?
Il ne reconnut pas sa propre voix. Vaincue, étrangère, esclave.
— N’était-ce pas cela, le gage ?
Il inhala son odeur, emmagasina son parfum de chèvrefeuille et de passion comme un voleur. Puis, quand il fut prêt :
— À moi de te lancer un défi.
— Cela me paraît juste.
Elle lui caressait la poitrine. Le désir de la soulever contre le mur et de la faire sienne le consumait. Mais même cela ne suffirait pas. Cela ne suffirait jamais.
— Quel sera-t-il ? voulut-elle savoir.
Au prix d’un effort surhumain, il la repoussa et s’écarta d’un pas.
— Je te mets au défi de partir.
Il prit une profonde inspiration.
— Maintenant.
Il s’obligea à prononcer les mots :
— Et de ne jamais plus revenir.
Son rire mourut. La perplexité emplit son regard.
Puis la trahison.
Et, enfin, la douleur.


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— Qu’est-ce qui ne va pas ? chuchota-t-elle.
— Un instant, dit-il d’une voix tendue.
Elle essaya de déglutir, mais en fut incapable. Sa gorge contractée était complètement déshydratée. Il avait été moine. Lui avait-elle fait rompre un vœu ? À moins que… Non !
— Vous l’avez déjà fait. N’est-ce pas ? demanda-t-elle.
— Pas avec vous.
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- Le moment venu, laissez-moi apporter mon aide à l'enquête.
- En toute bonne conscience, je ne puis l'autoriser.
- Alors, autorisez le en toute mauvaise conscience.
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- Et si votre père est duc, je suis l'empereur de Chine.
- Enchantée...de faire votre connaissance... votre impériale Majesté, dit-elle dans un souffle.
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La nuit sentait la neige, le propre, le froid mordant.
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- Vous n'étiez donc pas un rêve, déclara-t-il, absurdement et merveilleusement.
- Je ne suis pas un rêve, confirma-t-elle, le sourire aux lèvres.
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