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Citations de Khaled Hosseini (765)


Nul ne pourrait compter les lunes qui luisent sur ses toits
Ni les mille soleils splendides qui se cachent derrière ses murs.
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Mais plus les jours défilaient et plus elle songeait que, de toutes les épreuves possibles et imaginables, l'attente était la plus cruelle.
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Une femme qui, telle une pierre au fond d'une rivière, endurera tout sans se plaindre, et dont la grâce ne sera pas souillée mais façonnée par les remous du courant.
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- C'est la guerre. Il n'y a pas d'honneur qui tienne en temps de guerre.
- La guerre ne dispense pas de se comporter décemment. Elle l'exige même, encore plus qu'en temps de paix.
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“J’ouvris la bouche. Il s’en fallut de peu que j’intervienne. De peu. Ma vie eût été peut-être différente si je l’avais fait. Mais je restais silencieux. Je me contentai de regarder. Paralysé.”
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“Tu faisais preuve de trop de sévérité à ton égard à l’époque, et tu continues aujourd’hui- je m’en suis rendu compte à Peshawar. Sache cependant une chose : un homme dépourvu de la moindre conscience et de la moindre bonté ne connaît pas la souffrance. Puisse la tienne cesser avec ce voyage.”
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“Pour moi les Etats-Unis représentaient un pays où enterrer mes souvenirs. Pour Baba, un endroit où pleurer les siens.”
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Les enfants ne sont pas des livres de coloriage. Tu ne peux pas les peindre avec tes couleurs préférées.
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De même que l'aiguille d'une boussole indique le nord, un homme qui cherche un coupable montrera toujours une femme.
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Les yeux baissés, Mariam le sentit avant même de le voir. Une odeur de tabac et d'eau de Cologne lui assaillit les narines. Risquant un regard en coin à travers le voile, elle aperçut un homme grand, ventru à la forte carrure, qui se courbait pour entrer dans la pièce. Elle étouffa un cri d'effroi et, défaillant, baissa de nouveau la tête.(...) Leur regard se croisèrent brièvement et se détournèrent aussitôt. "Cest mon mari", pensa Mariam.
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« Si Dieu existe, alors j'espère qu'il a mieux à faire que de s'occuper de savoir si je mange du porc ou si je bois. »
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« Dites Afghanistan et je vois immédiatement se dresser un cerf-volant dans le ciel bleu de mes souvenirs »
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Je suis devenu ce que je suis aujourd'hui à l'âge de douze ans par un jour glacial et nuageux de l'hiver 1975. Je revois encore cet instant précis où, tapis derrière le mur de terre à demi éboulé, j'ai jeté un regard furtif dans l'impasse située près du ruisseau gelé. La scène date d'il y a longtemps mais, je le sais maintenant, c'est une erreur d'affirmer que l'on peut enterrer le passé : il s'accroche tant et si bien qu'il remonte toujours à la surface. Quand je regarde en arrière, je me rends compte que je n'ai cessé de fixer cette ruelle déserte depuis vingt-six ans.
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Dans quelques années cette petite fille sera une femme qui n'exigera presque rien de la vie, qui ne sera un fardeau pour personne et qui ne montrera jamais qu'elle aussi, a connu des épreuves, éprouvé des déceptions, eu des rêves bafoués. Une femmme qui telle une pierre au fond d'une rivière, endurera tout sans se plaindre, et dont la grâce ne sera pas souillée mais façonnée par les remous du courant.
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-Les afghanes ont toujours beaucoup souffert, Laila, mais elles ont probablement plus de libertés et de droits aujourd'hui, sous le nouveau régime, qu'elles n'en ont jamais eu. Vraiment, c'est une bonne époque pour elles en ce moment. Même si cette liberté qui leur est accordée est aussi une des raisons pour lesquelles les gens à l'extérieur ont pris les armes
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- Parfois je regrette qu'il n'ai pas eu le cran d'aiguiser un de ces couteaux pour faire ce que l'honneur lui commandait déclara Nana un matin. (...) Ouvre tes oreilles en grand et retiens bien la leçon : de même que l'aiguille d'une boussole indique le nord, un homme qui cherche un coupable montrera toujours une femme du doigt. Toujours. Ne l'oublie jamais, Mariam.
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- Pour toi un milliers de fois, m'entendis-je déclarer.
Et je courus.
Ce n'était qu'un sourire, rien de plus. (...) Un détail. Une feuille dans les bois agitée par le brusque envol d'un oiseau effrayé. Mais qu'à ce la ne tienne je m'en accomodais. (...)
Je courus moi, un adulte, au milieu d'un essaim d'enfants criards. Je m'en moquais. Je courus avec le vent dans la figure et sur mes lèvres un sourire aussi large que la valllée du Pandjshir. Je courus.
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Quand elle est petite, Jalil parle à Mariam d'un lieu où est enterré le grand poète Jami. Il s'agit :

D'une Vallée
Du Pied d'un Arbre
D'un Cimetière Persan
D'un Minaret d'Herat

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