Koshun Takami

Dans Battle Royale, on suit l'histoire d'une classe de 3ème de 42 élèves qui vont devoir s'entretuer.



Tous les participants au Battle Royale ont pour obligation de se battre loyalement. Aucun d'entre eux ne doit refuser le jeu ou tenter de l'entraver.



Les participants au Battle Royale sont exempts de toute punition judiciaire.



Le Battle Royale se conclut par la victoire d'un seul et unique gagnant : le dernier et unique survivant. Aucune dérogation à cette règle n'est possible.



Ce manga développe une histoire qui aura marqué toute une époque et un genre. Une référence en la matière. À ne pas manquer, surtout si on a vu et aimé le film avant.

Prenant.



Dans un pays fictif dictatorial à la culture et avancement technologique contemporains, qui ferait rougir de honte la Corée du Nord, un programme militaire oblige une classe entière de jeune adolescents à se battre à mort sur sur une île. Tous les coups sont permis. Il ne peut en rester qu’un.



Si le pays est fictif, l’œuvre étant japonaise, vous n’aurez peut être pas tous les codes de lecture, mais cela passe très bien.

L’œuvre est arrivée dans ma PAL au moment de la sortie des premiers Hunger Games, une dizaine d’année après. Avec polémique à la clé et faux procès en intention de plagiat. Cela a redonné de la visibilité à ce roman bien plus mature, adulte, édifiant et puissant que sa pale copie pour ado.



Loin d’être un roman gore ou d’action, loin d’un destination finale avec ses images et ses sanguinolentes et spectaculaires morts en cascade, Battle royale nous emmène dans les profondeurs de la psyché humaine en parcourant les 42 individualités, leurs réactions et leur passé.

Si ce n’est pas non plus une mièvrerie dégoulinante de bons sentiments pour future adaptation de blockbuster américain, les personnages principaux restent extrêmement attachants et le fil rouge de leur devenir nous pousse à dévorer ce livre.

On pourra s’agacer de quelques longueurs destinées à donner plus de profondeur à quelques futurs morts et de consistance à l’univers crée par l’auteur qui a l’intelligence de ne pas en faire une resucée de 1984 avec son cortège de « vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir », car son roman aurait été alors trop glauque pour attirer les foules.



Il y a de l’espoir, souvent déçu, de la passion, des bons sentiments car aucun de ces jeunes n’étaient destinés à devenir des monstres. Un voyage au bout de l’enfer mais en croisière cinq étoiles.

A lire.

Battle Royal est une œuvre littéraire qui a suscité en moi une palette d'émotions saisissantes, entre l'anxiété palpable, l'empathie profonde et les éclats de rire irrésistibles. L'auteur y déploie avec habileté l'art de la description, brossant en quelques traits la vie d'un protagoniste, afin de nous immerger dans sa psyché complexe face aux situations mortelles qui se présentent. Ce livre, sans conteste, trône en haut de ma liste des préférences littéraires, une expérience inoubliable qui m'a marqué.

Ce livre m’a toujours fait de l’œil, surtout après avoir lu Hunger Games. Celui-ci étant son prédécesseur, j’étais curieuse de découvrir ce qui avait pu l’inspirer. Au début, j’ai eu un peu peur de ne pas retenir les noms des élèves qui me paraissaient compliqués mais au fil de ma lecture, tout est devenu évident. Dès le début, on rentre dans l’action. Pas de temps mort, on ne s’éternise pas sur de longues descriptions. Les élèves sont immergés dans l’horreur des jeux pour le « bien » du pays. Un roman qui tient en haleine du début à la fin.

N’ayant pas encore lu le roman à l’origine du manga (je sais j’ai une PAL trop énorme pour une seule vie 🤣), je ne connais que le film et ce manga qui est une relecture. Alors attention car je n’avais jamais lu la fin du manga.



Dans ce premier volume, une classe de 3e se retrouve sur une île déserte et l’objectif est de tuer ses autres camarades de classe pour qu’à la fin il n’en reste qu’un.

Les meurtres vont commencer, une alliance va se forger mais plus le jeu avance, plus les zones interdites se resserrent pour obliger à la confrontation.



Le personnage principal Shûya Nanahara est très intéressant car au delà de son côté optimiste, c’est un personnage sensible et qui veut à tout prix sauver tout le monde. Mais belle utopie dans ce monde où seule la violence règne.



Les méchants de l’histoire sont de vrais méchants et ne font pas les choses à moitié. Le manga est très gore. Cela est accentué par un dessin aux traits fins, où l’action est lisible et bien sûr les moments sanglants font mouche. Il faut avoir le cœur accroché des fois.



J’adore vraiment ce manga. Et c’est avec plaisir que je vais lire la suite de cette version « ultimate » en 8 volumes.

Battle Royale, c'était dans ma tête un grand classique dont je me devais de le lire ! Je me suis lancée car en plus, l'histoire de survival, même si j'en lis beaucoup et que j'ai l'impression d'avoir tout vu, sait-on jamais !



Bon déjà; niveau graphisme, oui c'est particulier. Les énormes yeux sur les têtes d'enfants, les visages aplatis, parfois je ne reconnais même pas les personnages..Bon admettons, c'est le premier tome après tout. Cela dit, il est important de noter que la technique est tout de même là : les paysages, objets, vêtements, cheveux, yeux...sont très bien faits ! Surtout les scènes de morts, vraiment impressionnant dans les détails.



Pour ce qui est de l'histoire...Ca promet. Une classe, des armes diverses et variées, une ile à explorer, des massacres...Chacun a son caractère, mais bordel le héro et son besoin de justice omniprésente quitte à être complètement c** c'est vite énervant. Et bordel (oui encore) les collégiens d'1m80, 200kg de muscles, les collégiennes qui font du 90E..C'est malsain. Car oui, on voit très bien les détails des corps féminins (et sans spoiler, le tome 2 y'a carrément de la pédophilie entre une gamine de 4e/3e gaulée comme une bombe et un boxeur adulte, on voit les poils, le p*****, les se***...Je suis loin d'être prude mais c'est compliqué en vu de l'âge des protagonistes)

J'avais entendu parlé de Battle Royal mais avant tout comme un film, que je n'ai pas vu. J'ai récemment acheté les 8 tomes du manga (que j'ai adoré) et, découvrant que celui-ci était adapté d'un roman, je me suis procuré celui-ci. Outre le fait que j'ai découvert la signification du titre, j'ai découvert un roman très conforme au manga, ou plutôt l'inverse. Ce que j'ai aimé dans ce livre, qui n'est pas forcément super bien écrit, c'est son aspect visuel. C'est-à-dire que chaque scène est parfaitement imaginable, comme pour une BD. J'ai également beaucoup apprécié la dimension "sociologique" du roman, qui permet sans doute de mieux comprendre la pensée asiatique. Pas de vraie surprise, sinon que le manga a vraiment insisté sur la dimension érotique d'un des personnages. Mais je ne me suis jamais ennuyé. Et la fin, bien meilleure que celle du manga, est assez réjouissante... ou pas.

C’est en 2022 que je me suis plongée pour la première fois dans ce roman, désormais classique de SF avant hunger game et les autres sagas qui ont suivi.

Je n’ai rien pu m’empêcher d’être étonnée quant au caractère actuel du livre! Si je ne savais pas qu’il avait été écrit en 1999 j’aurais très bien pu l’imaginer écrit ces cinq dernières années !

L’histoire est noire, bien ficelée, manie avec subtilité trahisons et espoirs, entraide et pétage de plomb.

Je dois quand même mettre un bémol, peut-être justement du fait de son écriture il y a 20 ans : les personnages féminins sont de deux types : soit la pauvre petite créature sans défense à protéger, soit la mante perverse sans scrupule sexualisée… Quel dommage!

Je suis très mitigée sur ce livre. Au vu des commentaires élogieux, j'ai dû mettre la barre trop haut et finalement quand j'ai fini ce roman je me suis dis: "tout ça pour ça !"



Je pensais que j'aurais affaire à la mise en place d'un moyen de survie intelligent avec plan et débrouillardise de la part de certains élèves afin de s'en sortir et surtout de réussir à contrer les organisateurs.

À la place j'ai eu une classe de 42 élèves qui sont très clichés dans leur comportement (nous avons le sociopathe, la fille qui joue sur son physique...) sans réel approfondissement de leur psychologie et à une suite incessante de scènes de meurtre. Si bien sûr, je m'attendais à cela, je ne pensais pas que l'histoire ne tournerait qu'autour de cela. À force, je me suis lassée.



Une autre chose m'a dérangée: on a quasiment le point de vue de tous les élèves au cours de l'histoire, chaque chapitre alternant les points de vue. 42 élèves, cela fait beaucoup à mémoriser et d'autant plus avec les noms japonais (et je précise que je suis familière des noms, lisant beaucoup en mangas). Si certains ont une place prépondérante et reviennent très souvent, donc facilement reconnaissables, ce n'est pas le cas de la majorité et j'ai eu beaucoup de mal à chaque nouveau chapitre à voir qui était qui et à me remémorer les personnages.



Après, il n'y a pas que de mauvaises choses: l'auteur à une qualité indéniable d'écriture. Les scènes d'action sont vraiment haletantes et extrêmement immersives.

En fait, il faut juste s'attendre à un jeu de cache cache mortel où chacun y va avec son arme. Il n'y a pas vraiment d'intrigue. J'ai même trouvé certaines révélations complètement évidentes tellement on voit venir à l'avance certaines choses.

Dommage, il y avait sûrement le potentiel pour en faire un bon roman avec une bonne intrigue, sauf que l'auteur s'est contenté de mettre en scène "comment tuer son camarade en 39 façons différentes".

Roman d'anticipation. 42 collégiens. 3 jours. 1 seul survivant.



Débarqués sur une île, un collier autour du cou, une classe entière apprend qu'il ont été tirés au sort pour un programme annuel organisé par l'Etat. Equipés d'un sac à dos refermant toute sorte d'arme, il doivent s'entretuer pour qu'il n'en reste qu'un...tout en étant vigilant car des zones de l'île deviennent au fur et à mesure interdites.



Je n'ai plus en mémoire le prénom des personnages...cependant je garde de cette lecture que chaque personnage à un rôle important et que chaque relation homme/femme, homme/homme ou femme/femme, amicale ou amoureuse est passée au crible. Tout est basé sur le ressenti, les sentiments, la peur, les perceptions de chaque participant. Un véritable panel social est déployé dans ce roman.

L'univers d'un futur comparable à notre présent mais avec cette sélection est crédible.

Les personnages "gentils" sont ultra attachants et les "méchants" très...sombres.



La fin est ouverte ce qui permet donc d'imaginer une suite...

Gratuitement violent...j'aime les dystopies mais c'est trop là tout de même...je suis allée au bout pour connaître l'issue mais c'est franchement inintéressant de mon point de vue, on ne comprend pas vraiment pourquoi le "jeu" existe, ou plutôt, une explication est vite faite donnée en fin d'histoire mais c'est sommaire et peu explicite...c'est dur à lire, c'est choquant mais peu mémorable au final.

Bon, clairement, j'ai largement préféré le livre au film, mais c'est pas non plus un exploit...



Le roman est sympa. Le principe, l'action, les perso etc.. C'est vraiment développé, mais... Peut-être un peu trop, justement ! Non, parce que le chapitre 1 qui nous présente tous les élèves un par un pour savoir ce qu'ils préfèrent manger le midi, c'est un peu long !



Disons que sur 860 pages, il y en a peut-être 600 de trop. Encore une fois, je renie pas le fait que l'auteur ait fait un travail colossale, mais c'est un peu redondant. On te présente un perso, sa vie avant la battle royale, tu le suis un peu, et puis PAF ! il meurt ! Alors on passe à un autre perso, on t'apprend sa couleur préférée, la température à laquelle il préfère boire son thé et PAF ! il meurt ! Bon, t'as compris l'idée.



Franchement, on aurait pu s'arrêter à trois ou quatre meurtres, parce qu'on a vite compris le concept. C'est pas un mauvais roman, c'est juste un roman où l'envie de sauter des chapitres entiers peut te démanger.



Ah, et je me souvenais plus du tout du film (je l'avais vu il y a 13ans environ, je l'ai revu APRES ma lecture), bah pourtant j'ai réussi à deviner la fin dès les premiers chapitres. 800 pages lues (ou endurées, ça dépend de ta façon de voir les choses) pour se rendre compte que depuis le début on savait comment ça allait finir, ça fait mal

J'imagine que tout le monde connaît l'argument de cette histoire qui a notamment fait l'objet d'une adaptation cinématographique qui m'a semblé tout à fait honnête. Mais parlons du livre.



Dans un Japon contemporain mais dystopique, une classe d'élèves de troisième est lâchée sur une île déserte pour s'entretuer. Le seul objectif est d'être le ou la seul(e) survivant(e), et un dispositif mortel décourage la coopération. Au-delà de l'aspect compte-à-rebours, concrétisé par un décompte du nombre de survivants à la fin de chaque chapitre, on est en droit de se demander comment remplir plus de huit cent pages en racontant les mille et une façons de mourir de la main des autres, ou de la sienne propre. Pourtant, la mayonnaise prend, on tourne les pages en s'attachant aux principaux protagonistes, et les histoires personnelles des uns et des autres dressent un portrait du Japon contemporain et du désarroi d'une partie de sa population qui sonne assez juste -- sans bien sûr prétendre à l'étude de moeurs ou à l'essai de sociologie. Au final un ouvrage qui se lit presque comme un thriller mais va plus loin que le simple divertissement, et a probablement mérité son succès.

Le livre a créé un concept original que je lui salue et je regrette amèrement les maints plagiats de Hunger Games - jusqu'à copier la fin avec le héros et l'héroïne, amoureux et seuls survivants .

Toutefois, le livre est trop long - je n'aurais pas été contre le réduire de 200 pages -, je n'ai retenu que deux ou trois noms de personnages - pourquoi 42 élèves et pas une trentaine ? - et je n'ai pas été touchée par les événements. J'ignore si c'est à cause de la plume de l'auteur ou du manque de descriptions, mais on est peu touché par ce récit pourtant difficile.

C'est à regret que je ferme ce dernier volet, j'aurais tellement voulu ne pas quitter cet univers...



Cet album se découpe en deux parties : la première relatant la fin de l'histoire (qui est en fait le volume 15 de l'édition originale), la seconde faisant office de spin-off mettant en avant deux duos de personnages secondaires.



Concernant la première partie, dans laquelle nous retrouvons notre trio Shûya/Noriko/Shôgo, nous apprenons le plan de Shôgo pour fuire l'île. Le dénouement diffère grandement du roman, ce qui n'en rend que plus humains nos héros et amène un peu de sensibilité à toute la violence dont on était davantage habitué. Mais comme dans l'œuvre originale, le fabuleux retournement de situation, au retour dans le bateau, est bel et bien là, même si je l'ai trouvé trop précipité, peut-être même bâclé...



Quant au spin-off, j'ai moyennement accroché. N'étant pas les mêmes illustrateurs, les différences au niveau graphique sont flagrantes, dans l'épisode 1 surtout. Il y a beaucoup moins de détails, c'est beaucoup plus "espacé", moins précis, plus linéaire, plus lumineux. Les traits des personnages changent énormément, j'ai même eu du mal à en reconnaître certains.

Ces deux épisodes reprennent les événements autour du phare, avec le groupe des filles. Dans le premier, est mise à l'honneur la relation entre Yukié et Haruka ; dans le second, celle entre Chisato et Shinji. Habituée à beaucoup plus violent et spontané, j'ai trouvé ces deux épisodes trop "fleur bleue".



Globalement, j'ai adoré toute la série. C'est certes pour public averti, très violent et sanglant, mais tellement addictif. Très noir tout au long de l'histoire, une pointe de lumière et d'humanité en ressort de temps en temps. Je n'oublierai pas l'affrontement entre Kiriyama et Sugimura, que j'ai trouvé grandiose. Je n'oublierai pas non plus Mimura, qui aurait mérité un autre sort.

Je quitte cet univers avec regret, bon nombre de protagonistes vont me manquer...

Avant-dernier tome de la série et dans la lignée des précédents tomes, on retrouve toute cette violence extrême, avec ici en plus un léger côté sentimentaliste et nostalgique, voire même philosophique à certains moments. Il y a un sacré contraste entre les massacres et les belles paroles de notre trio...



Deux événements marquent ce volet : d'abord, la confrontation entre Kiriyama et Mitsuko ; puis la course-poursuite entre Kiriyama et notre trio. La fin nous laisse en plan, il ne reste plus qu'à ouvrir le dernier tome... Il me tarde ! (Même si je connais la suite pour avoir lu le roman il y a quelques mois.)

Voilà enfin la conclusion de cette série. Un moment attendu mais aussi détesté et craint.

Attendu car on veut connaître le dénouement d’une histoire qui nous a fait saliver pendant plusieurs tome.

Détesté car on va définitivement quitter des personnages auxquels on s’était attaché et un univers qui nous avait enchanté (enfin là peut-être que « enchanté » n’est pas le bon mot).

Craint aussi car on ne voudrait pas être déçu par le dénouement d’un récit passionnant. C’est vrai que la fin d’une série vaut bien pour la moitié voire plus de la réussite d’une série.

Pour ce qui concerne « Battle Royale », la fin tient ses promesses que ce soit en terme de suspense, de surprise, d’action et d’une morale en conclusion d’un récit prenant de bout en bout.

Le terrible combat contre Kiriyama commence et, tel un Terminator, on a droit à un duel dantesque où on a affaire à un être surnaturel et invincible. Mais on apprends enfin d’où vient toute la force de Kiriyama mais aussi d’où il tient tout son détachement face au massacre qu’il opère.

Un tome qui va à cent à l’heure et qui est extrêmement plaisant à suivre ; même si c’est un tantinet exagéré ce mode survival de Kiriyama.

Un treizième tome qui s'ouvre sur un affrontement entre Sôma Mitsuko et Kiriyama Kazuo qui se termina sous une forme de clin d'oeil pour l'un des deux personnages.

Puis nous avons droit à un flashback sur le passé de Kawada Shôgo, notamment sur le précédent « programme » auquel il a participé.

Un tome plutôt intéressant qui permet de comprendre encore un peu plus profondément les agissements de deux des personnages principaux. On arrive sur la conclusion de la série où on imagine bien qu'un album sera consacré au dernier affrontement entre élèves et l'autre à la fin du « programme ».

Ce douzième tome de Battle Royale s’ouvre sur le combat entre Sigimura et Kiriyama qui passe d’un style « Ken le Survivant » a un combat aux relents de la série « Saint Seiya ». Un combat presque mystique qui voit Kiriyama tel un être surnaturel sans aucune once d’âme et d’humanité.

Bref, on rentre carrément dans le mystique avec un être bien différent des autres mais je pense que l’on en saura plus sur Kiriyama dans le tome suivant.

On ne s’ennuie pas avec Battle Royale et chaque album apporte son lot d’interrogations, de massacres et de perfidie. Le contraste entre les différentes psychologies des personnages est saisissant et c’est la force de ce manga de jouer avec ces différents caractères, ces différentes réactions face à cette tuerie et ces différentiations associations de personnages aux passés parfois troubles. Un melting-pot de situations trash et sanglantes où il faut avoir le cœur bien accroché !