Kouji Seo

A part ça, entre la première partie du tome plutôt riche et intéressante et ces fameuses dernières pages, il faut bien avouer que l'auteur meuble quand même pas mal […]
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Tentez par la nouvelle série de Kouji Seo ?



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On retrouve l'auteur de Fûka, Suzuka ou plus récemment Hitman, dans une comédie romantique dont il a le secret, à savoir un harem où l'on va avoir un jeune homme (ici un étudiant de Tôdai), qui va se retrouver par hasard entouré de filles plus belles les unes que les autres et hasard comme par hasard numéro 2, elles vont toutes craquer pour lui.

Si c'est ça que vous cherchez, vous êtes au bon endroit. Hayato va revenir dans sa ville natale après avoir appris le décès de sa grand-mère qu'il n'avait pas vu depuis 3 ans. Pensant hériter d'un vieux café à l'abandon, il va se retrouver avec une bande de 5 petites nanas qui squatte les lieux. Rapidement, il va apprendre que sa mamie les avait pris sous son aile et malgré des débuts difficiles, il ne va pas réussir à se résoudre à les mettre à la porte.

Lui qui voulait raser les lieux pour en faire un parking va se retrouver propulsé patron de café avec une équipe de serveuses très jolies mais pas forcément très dégourdies.



Ce début de série a un petit goût de déjà vu sans apporter trop de nouveauté par rapport aux séries habituelles de l'auteur. On retrouve tous les gags du genre (petites culottes et scènes de bain sont de la partie) mais il manque pour le moment le petit plus qui fait qu'on est ému par l'histoire des personnages. Je pense que ça vient du fait qu'on ne connaît pas encore la vie des filles mais j'avoue que ça m'a quand même manqué. La série compte déjà 11 tomes au Japon et comme on a des gros indices sur le couple final je me demande comment ça va pouvoir durer autant (soit l'auteur a fait exprès de nous mettre sur une mauvaise piste, soit ça va beaucoup trop jouer pour moi sur le fan service).

Je pense lire la suite pour me faire un meilleur avis, j'espère que je serais agréablement surprise parce que Fûka a su me toucher en plein cœur par son pitch fracassant, j'espère que ça sera pareil ici.

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Ajoutons à ça l'habituelle avalanche d'angles de vue flattant l'oeil sans grande finesse autour des jolies héroïnes, et on reste sur quelque chose de généralement très basique dans ce tome, mais qui devrait globalement plaire aux aficionados de l'auteur.
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Dans l'ensemble je dirais que c'est un bon manga qui avait très bien démarré et qui s'est peut-être un peu trop étiré sur la longueur, mais que j'aurai globalement apprécié quand même. Je regrette quand même les grosses facilités scénaristiques avec le groupe qui rencontre toujours la bonne personne au bon moment, les épreuves auxquelles ils font face qui sont parfois trop aisément résolues, toutes les filles qui tombent amoureuses de Haruna (au bout d'un moment ça devenait vraiment gonflant) et l'ecchi qui finit par devenir insupportable à force (je ne compte même plus le nombre de fois où l'une des filles se retrouve à poil sans raison, où Haruna touche par mégarde un sein ou que sais-je encore, le peu d'habits que porte la gérante de leur maison de disques et j'en passe). Dommage aussi que l'évolution des membres du groupe soit finalement assez moindre et peu marquante (grosse déception pour Makoto qu'on découvre bi comme ça d'un seul coup, ça ne m'aurait pas dérangé en temps normal mais là ça sort vraiment de nulle part et il y avait vraiment moyen de mieux travailler le personnage mais bon...).



Mais je note aussi de nombreux points positifs : les personnages sont vraiment attachants (gros coup de coeur pour les membres des Hedgehogs), il y a aussi eu des passages vraiment très touchants (je pense notamment à ceux où notre Fûka apparaît suite à un certain évènement), la place importante accordée à la musique et à l'amour de celle-ci, la fin ouverte mais pas frustrante.



Une lecture agréable et sans prise de tête que je recommande à tous ceux qui aiment la musique et les récits tranche de vie.

Il y a un vrai plaisir à en apprendre un peu plus sur Akane puis sur Riho, ce qui participe forcément à rendre plus attachants les personnages animant le récit.
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"Goddesses Cafe Terrace" vous fera goûter aux vibrantes saveurs du vent marin, du café fraîchement moulu et du premier amour.
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En voilà un nouveau titre que j’avais envie de découvrir. J’étais très curieuse de découvrir cette nouvelle histoire et je dois dire que le résumé m’a donné tant envie de me plonger dedans. A première vue, j’ai eu l’impression que l’histoire serait extrêmement drôle et je ne me suis pas trompée pour le coup. Qu’est ce que c’était drôle! Je me suis régalée avec ce premier tome, qu’est ce que j’ai pu rire pendant ma lecture! J’ai passé un excellent moment et je n’ai qu’une hâte : lire la suite!



Dans ce premier tome, lorsqu’il apprend la mort de sa grand-mère, le jeune Hayato s’apprêtait à intégrer la prestigieuse université de Tokyo. Celle-ci lui laisse comme seul héritage un café délabré en bord de mer. Bien que décidé à le faire raser pour laisser le passé derrière lui, il découvre que cinq jeunes filles y résident et affirment faire partie de sa famille ! Hayato comprend rapidement qu’il va devoir composer avec l’énergique Ami, la malicieuse Riho, la timide Shiraguki, l’impassible Akane et la susceptible Ôka. Cette cohabitation inattendue et houleuse risque de bouleverser la vie du jeune homme !alors qu’il s’apprêtait à intégrer la prestigieuse université de Tokyo. Celle-ci lui laisse comme seul héritage un café délabré en bord de mer. Bien que décidé à le faire raser pour laisser le passé derrière lui, il découvre que cinq jeunes filles y résident et affirment faire partie de sa famille ! Hayato comprend rapidement qu’il va devoir composer avec l’énergique Ami, la malicieuse Riho, la timide Shiraguki, l’impassible Akane et la susceptible Ôka. Cette cohabitation inattendue et houleuse risque de bouleverser la vie du jeune homme !



J’ai vraiment adoré ce premier tome, j’ai trouvé l’histoire hyper rafraichissante. C’est le genre de lecture sans prise de tête qui vous fera passer un très très bon moment. Sincèrement, je ne m’attendais pas à autant aimer ma lecture pour le coup. Maintenant je n’ai qu’une seule hâte: me plonger dans la suite. J’ai tellement aimé découvrir les personnages, celle qui m’a le plus fait rire c’est Ami. Mon dieu qu’est ce qu’elle a pu me faire rire. En vérité c’est son côté « bête » qui m’a vraiment fait rire. Parfois elle sort des dingueries ça me tue mais vraiment. Le pire c’est qu’elle ne s’en rend même pas compte c’est ça qui me fait le plus rire. Les autres filles aussi me font rire, elles ont toutes un trait de caractère différent et elles font toutes rires à leurs manières. J’ai adoré Hayato également. Le pauvre il s’est retrouvé dans un bourbier pas possible en revenant dans le café de sa grand-mère. Au début il voulait tout détruire et puis finalement il s’est ravisé et relance le café. Ce qui implique énormément de difficultés, d’autant plus avec les filles à gérer et la cohabitation. Mais l’histoire était tout simplement excellente, c’était vraiment chouette et j’ai beaucoup aimé. Sauf que maintenant je n’ai qu’une envie c’est lire la suite!



Un premier tome très prometteur qui m’a énormément plu. Il me tarde de me plonger dans la lecture du second tome parce que je sais que je vais passer un excellent moment. C’est ultra drôle, c’est une histoire légère, c’est frais, c’est divertissant. En bref c’est un vrai régal pour le coup. Je sens que le second tome ne va pas faire long feu dans ma pal, je vais vite le dévorer ça c’est certain!




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Je continue sur ma lancée et pour l'instant j'aime toujours autant ce titre. Yuu Haruna, le personnage principal, commence peu à peu à prendre de l'épaisseur suite au drame auquel il a dû faire face et les liens avec ses amis ne font que se resserrer. Je suis toujours fan de l'ensemble du groupe qu'ils forment avec une petite préférence pour Makoto Mikasa que je trouve très attachant (oui, j'ai un faible pour les beaux gosses au passé un peu torturé XD). J'aime beaucoup aussi Sara Iwami qui peut être assez brut de décoffrage parfois (elle sait bien remettre les idées de quelqu'un en place), mais qui a le cœur tendre en vérité. L'apparition de cette nouvelle Fûka est aussi assez intrigante et je me demande comment les choses vont se développer pour notre groupe de musique en herbe qui rêve de monter sur les planches du Budokan. En résumé, ça reste une bonne série tranche de vie musicale pour qui aime le genre. Quelques scènes ecchi encore à déplorer, mais à part ça c'est du tout bon.

Pour l'instant, je dois dire que j'apprécie beaucoup ma lecture. Les personnages sont tous attachants dans l'ensemble, mention spéciale pour Fûka que je trouve vraiment géniale avec son fort tempérament et son incroyable énergie. J'aime beaucoup aussi Mikasa, le bon pote cool et beau gosse qu'on a souvent tendance à apprécier et qui est toujours de bon conseil. Le trait du mangaka est vraiment beau je trouve et il nous délivre quelques planches vraiment percutantes, notamment la première fois où notre héros rencontre Fûka ou lorsqu'il représente cette dernière dotée d'ailes. Par contre, on pourrait vraiment faire sans le côté ecchi (les petites culottes à outrance qu'on voit sous des prétextes ridicules ça commence sérieusement à m'exaspérer n_n). Une bonne lecture pour l'instant même si à mon avis on ne va pas échapper au sempiternel triangle amoureux, mais j'attends de voir.

J'ai bien aimée, même le côté pervers de Lucia, je la trouve vraiment rigolote.

Par contre j'aime bien les histoires romantique, mais la certaines scène sont un peu abuser !

Après j'ai quand même terminée les 4 tomes je vais essayer de trouver le numéros 5 et j'aurais fini l'histoire complète

Ce deuxième tome est plutôt dans la lignée du premier: la lecture a quelque chose d'à la fois un peu insipide et plutôt sympathique, et a, dans tous les cas, sans doute suffisamment d'arguments pour que les fans du genre […] se laissent tenter.
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Une histoire courte, mais bien développé. 🥰

C'est un titre que j'ai lu depuis un moment et que je n'avais pas eu encore la chance de vous présenter 🥳



Half & Half c'est un mélange mature de romance et de questionnement sur la valeur de la vie 😉



La lecture nous amène à réfléchir et à se poser de grosses questions autour de la mort, de la vie d'autrui, de l'impact de notre disparition sur notre entourage, sur ce que l'on a fait aussi... 🙏



Mais ce qui m'a le plus touché 💗, c'est aussi que j'ai été amené à peser aussi le pour et le contre pour les personnages et à me demander :

Est-ce qu'un moment d'égarement définit définitivement de la valeur qu'on accorde à notre propre vie ? 😢

Comment peut-on estimer que l'on mérite plus de vivre que quelqu'un d'autre ? 😱

Quels sont les comportements et les choses que l'on ferait si l'on savait que notre vie ne tenait qu'à un fil ? 😢



Et finalement, quel est la place de l'amour dans tout cela ? 💜

Parce que ne l'oublions pas, nos 2 protagonistes Yuki et Shinchi vont tout partager. 🤐



Tout cela en abordant bien sûr les questions de suicide et… bien d'autres choses ! 🧐



Je vous laisse découvrir le reste, en tout cas, j'ai trouvé que cette lecture était tout de même très rafraîchissante grâce à quelque notes d'humour 😆 glissé par ci par là et qui permettent de respirer parce qu'avec ces thématiques, on pourrait vite rentrer dans un récit lourd de sens 😱 (surtout connaissant l'auteur de " A town where you live", "Suzuka", et "Fuka")

Cette nouvelle histoire nous plonge auprès de Hayato Kasukabe, jeune garçon qui, alors qu'il vient de réussir le concours d'entrée à la prestigieuse université Tôdai, apprend que sa grand-mère est décédée quelque temps auparavant, en lui laissant pour unique héritage sa maison et son café délabré en bord de mer.
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Un nouveau manga de Kouji Seo, ça m’emplit toujours d’une certaine curiosité même si au fond, toutes ses histoires possèdent à chaque fois des thématiques assez récurrentes. Pour Goddesses Cafe Terrace, l’éditeur a ajouté un avertissement « -16 ans » sur la jaquette du manga. Effectivement, j’ai vite compris pourquoi en commençant ma lecture. Nos différentes héroïnes sont toutes montrées bien peu vêtue voire pas du tout. On a là un bon ecchi comme il se doit avec des corps féminins bien souvent mis en avant.



Alors, c’est bien beau tout ça, mais vous allez certainement me demander et l’histoire alors ? Eh bien, elle est là, bien présente, qu’on se rassure ! Notre héros, à la mort de sa grand-mère, hérite de son café qui n’a jamais vraiment marché. Du coup, il se rend sur les lieux pour le vendre et le faire raser pour en faire un parking, bien plus rentable. Sauf qu’il va avoir la surprise de sa vie en découvrant que la maison attenante au café est habitée par cinq jeunes femmes au caractère bien trempé !



C’est le début des ennuis pour Hayato (ou pas).



Ces dernières, bien décidées à garder le café, vont tout mettre en œuvre pour le séduire. Mais, ça ne fonctionne pas comme elles l’auraient souhaité.



Certes, la trame scénaristique est d’un classique à pleurer. Franchement, j’ai dû lire ce genre une dizaine de fois si ce n’est plus. Mais voilà, nous avons la patte de Kouji Seo qui a réussi à me happer dans ce premier tome, dans cette mise en place, en quelque sorte. Hayato (notre héros sans faille ou presque) n’est pas un jeune puceau qui ne sait pas comment gérer plein de jolies filles. Il est assez pragmatique et j’ai aimé ce côté plus adulte et mature. Pour ce qui est des filles, je les trouve, pour l’instant, assez clichés. Il y a la timide, la fonceuse, la boxeuse, la mystérieuse… bref…



Dans l’ensemble, si j’avais peur de tomber sur une histoire trop clichée qui s’appuie sur des facilités scénaristiques déjà bien éculées, c’est loin d’être le cas ici. Après, je ne m’inquiétais pas trop parce que Kouji Seo a toujours plus d’une corde à son arc. Cette fois, il nous offre un récit plus terre à terre avec ce café sur le déclin prêt à être rasé, mais qui finalement aura une seconde chance. Le héros réussira-t-il avec ses serveuses providentielles à le redresser et à en faire un lieu de passage ? Seule la suite nous le dira, mais je serai au rendez-vous !



Une aventure humaine et pleine de charme avec un style graphique toujours au top et qui ne change pas trop.
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Cette histoire "d'amour" ne m'a absolument pas touchée, et la fin est à mon sens très dépassée. Je ne vais pas en parler pour ne pas gâcher l'intrigue au curieux -simplement que la raison du choix final m'a mise très mal à l'aise. Après, ça reste probablement une oeuvre qui s'adresse à un public masculin, et donc certaines questions quant au "rôle" de la femme dans la société sont rapidement traitées. En 2023, ça me parait un peu limité, mais c'était sans doute très bien lors de la sortie originale.



Les dessins sont très jolis par ailleurs, et voir les dessins de l'ancienne version du manga est une bonne surprise. J'ai adoré voir le "look vintage" de la première version de Half&Half. Bref, ce ne sont pas 30 minutes de perdues, simplement que je ne suis pas la cible de l'oeuvre.

Yuki tombe d'un immeuble et paf ! Shinichi... Elle se tue, et elle tue le jeune homme sur lequel elle s'écrase. La faute à pas de chance, comme on dit en pareil cas. Les faits divers (rubrique Chiens écrasés) relatent parfois ce genre de coup du sort...



Sauf que Yuki et Shinichi se retrouvent dans un espace éthéré nickel chrome avec une voix off qui leur dit qu'ils vont avoir une seconde chance... mais que cette période ne va durer que 7 jours et qu'au terme de cette période un seul des deux malchanceux aura la vie sauve...



Yuki et Shinichi reviennent donc sur terre et ils ne peuvent s'éloigner l'un de l'autre, sinon ils meurent tous les deux. Ils découvrent également assez vite qu'ils partagent les émotions qu'ils éprouvent avec l'autre. Et s'ils envisagent de tuer l'autre pour se simplifier la vie... ils meurent aussi...



A partir du moment où on peut admettre ce début comme ressort d'aventure, on est prêt à avaler tout ce qui suit, à mon avis.



Ce manga est la redite d'un manga du même mangaka, publié avec succès 25 ans auparavant. L'intérêt (tout relatif) est de voir de temps en temps comment le manga a évolué en 25 ans: les personnages sont différents, les rouages aussi, certaines scènes ont changé...



Toute cette proximité (promiscuité) physique et émotionnelle est le prétexte à quelques scènes très coquines, hot, érotiques avec le 100D de Yuki qui s'expose assez largement, tout comme sa petite culotte (un peu étroite, la culotte). Ce n'est pas spécialement mon kiff, ma libido va très bien, merci... à moins que ce ne soit bien amené et que cela serve l'intrigue. Et ce n'est pas évident à chaque fois. Certaines scènes érotiques sont clairement hors sujet, voire inutiles. D'autres s'insèrent coorectement dans le récit.



Par exemple, Shinichi doit décliner de voir sa copine, mais il doit sortir avec Yuki, et donc il croise sa copine avec son meilleur ami... Scèe de ménage assez logique... puis on retrouve la copine de Shinichi dans le lit de son meilleur ami "pour la réconforter"... Etc.



Sur le plan psychologique, il y a beaucoup à faire, à dire et à discourir. Kouji Seo n'a pas l'air de trop prêter d'attention à ces aspects-là (du moins dans le tome 1) et préfère les scènes lestes et les quiproquos "ados". J'attendais mieux (surtout au vu des commentaires très positifs que j'ai lus). Cela dit, cela se lit (et pas que d'une seule main) agréablement et rapidement. Le trait est sûr, précis, la mise en page bien étudiée et l'auteur a le souci du détail et du décor. Je ne regrette pas et je lirai sans doute le second tome. Mais je ne pense pas que j'aurais lu la série s'il y avait eu davantage de tomes...

THE END

C'est terminé pour cette série de Kouji Seo et j'avoue avoir été déçue par la fin, j'ai presque eu l'impression que c'était un peu précipité !

J'attendais le grand final avec impatience pour savoir quel auteur allait surpasser les autres et comment notre héros allait réussir à concilier son travail et son couple.

Ces questions sont abordées mais je sais pas, je trouve que tout va méga vite, les rivalités se font et se défont d'un claquement de doigts et puis le petit projet secret de Ryûnosuke est vraiment pas foufou je trouve (surtout pas très sympa pour sa chérie).

Heureusement qu'il y a tout le côté édition et côte de popularité qui permet d'avoir un petit aperçu de ce que peut vivre un mangaka parce que sinon tout irait trop trop vite.

Après je peux pas trop en dire plus pour pas spoiler ceux qui n'ont pas encore lu la fin....

L'auteur a déjà commencé une nouvelle série de romance harem comme il a le secret, j'espère que cette fois comme dans Yûka il réussira à me tirer quelques larmes !
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Seo Kouji brosse un portrait (presque) sans fard d’un univers (presque) impitoyable où le désir de tous est de publier le meilleur manga ! Une vraie bataille de tous les instants pour faire de leurs jeunes auteurs le futur mangaka numéro 1 de demain !
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Ainsi s’achève Hitman qui nous aura proposé de suivre la vie des magazines de prépublication et de leurs fameux éditeurs, les "tantôs", dont nous avons pu découvrir l’étendue des tâches : du lancement des séries aux épreuves à surpasser pour rester dans le top du classement du magazine, en passant par les différents types de buzz, les sollicitations de partenariat, mais aussi l’annulation d’un titre.
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Kouji Seo nous propose un volume sympathique dans l'ensemble, toujours un peu trop lisse sur l'aspect "coulisses du manga", mais globalement bien rythmé et assez fort dans ses enjeux principaux.
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