un tome drôle mais j’ai été un peu perdue car cela fait un moment que j’ai lu le troisième tome. J’aime toujours autant. Bien que cela fasse un moment que j’ai lu le troisième tome j’aime toujours autant l’histoire. Je trouve que les dessins sont toujours très bien. C’est une série qui a du potentiel.
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Attention ovni et cet alien du manga sera irrésistible pour les grands ados et même les adultes.
"La voie du tablier" sera le sentier de la rédemption.
Imaginer le pire assassin des clans mafieux prendre sa retraite est une chose,
se convaincre qu'il soit devenu homme au foyer en est une autre.
La nouvelle file les rues comme une traîné de poudre enflammée et cela va faire boum.
Les Yakusas vont devoir aller vérifier par eux-même, traquer la nouvelle fée du logis dans son repère de la propreté pour constater la désertion.
La mission ne sera pas simple, la cible se déplace, les courses chez l'épicier, le poissonnier, il n'arrête pas.
L'auteur joue d'humour noir sur deux genres, celui du manga d'action et l'autre plus domestique, par un lien hautement décalé.
Le diable esthétique sera dans le détail des condiments, des intérieurs, une précision d'orfèvre de l'auteur, qui servira la précision exigeante de l'ancien tueur qui traque son nouvel ennemi: la poussière.
Oui, Tatsuo l'ancien "Immortel" a raccroché les gants et n'utilise les couteaux que pour mijoter de bons petits plats à sa petite femme pour ses bentos.
Nous rions de ses attitudes de froid psychopathe qui glisseront à chaque fois dans un zen bienveillant et de charmant voisin qui vous offrirait des tartes ( de vraies tartes,de la pâte et des fruits).
L'auteur joue de cela, laissant planer un doute, laissant supposer à chaque fois que Tatsuo puisse céder à la tentation, à l'impulsion meurtrière poussée à bout et puis non.
Les apparences sont toujours trompeuses et cela offre de vrais sketchs d'humour.
Mais ne le poussez pas de trop tout de même car Tatsuo aime sa nouvelle tranquillité trouvé.
Certains viendront se venger ou le ramener dans leur "droit" chemin tout tordu, parce qu'ils ont un business et une tradition à maintenir et là, l'ambiance n'est pas sans nous rappeler celle du héros de ciné "John Wick" qui pleure son petit chien assassiné.
Son épouse ne perd en tous cas pas espoir de le débarrasser de ses mauvaises habitudes d'avant leur vie à deux, c'est la mission d'une épouse.
Au regard de ce parallèle établi, la lecture sera recommandé à un lectorat de grands ados.
Ils vont adorer cet humour douteux délicieux.
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Dans "La voie du tablier, tome 2" de Kousuke Oono, chaque chapitre présente une histoire différente, offrant une diversité de gags et de situations comiques qui maintiennent l'intérêt du lecteur. Bien que les rires ne soient pas éclatants, l'humour subtil et les jeux de mots réussis, notamment autour de la loterie ou des visites des beaux-parents, parsèment le récit et provoquent souvent des sourires.
En bonus à la fin du volume, on retrouve trois chapitres supplémentaires, dont "La promenade de Gin", où nous rencontrons un autre chat, ajoutant une touche adorable à cette série de tranches de vie humoristiques.
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Malgré une folie débordante avec l'association des femmes au foyer du quartier, j'ai trouvé que ce tome était en-dessous des précédents. C'est rigolo mais j'ai moins éclaté de rire que d'habitude, c'est bien dommage. Je me demande jusqu'où l'auteur est prêt à nous emmener et comment il arrive encore à imaginer des scénarios après 10 tomes au Japon !
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Alors qu'actuellement le marché sentimental vend et glorifie des Bad Boys couillons tous plus cons, immatures et hyper-violents les uns que les autres, ça fait du bien de voir exactement l'inverse ici. Du moins, c'est plaisant de voir un homme, Tatsu dit "L'immortel", qui pourrait bien continuer à être le yakuza sanguinaire et dominant qu'il a été choisir de faire autre chose de sa vie et s'offrir le rôle de l'homme au foyer, encore sous-estimés de nos jours. Qui a dit que porté un tablier rend moins sexy?
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas un manga avec une trame narrative continue, mais bien une suite de scène du quotidien. Peut-être cela va-t-il changer éventuellement, mais pour le moment, c'est ce que nous avons.
Ce qui fait l'humour de ce manga tient autant du changement de vocation du personnage principal que sa déformation professionnelle. On ne change pas ses vieilles habitudes du jour au lendemain, ce qui crée toujours une ambiguïté quand aux actions que Tatsu pose. On aura droit à des "transactions" qui ont l'air douteuses, mais qui se révèlent concerner des plants d'herbes fines, ou des hyperboles spontanées, quand Tatsu propose de s'infliger des blessures et des châtiments aux proportions grandement exagérée pour de banals maladresses, tel le yakuza à l'honneur bafoué. Non, mais quelle diva, ce Tatsu...
Un autre élément humoristique revient au décalage physique de Tatsu, qui a des expressions sanguinaires et une aura dangereuse alors qu'il socialise ou tente de se donner une expression décontractée - ce qu'il fait assez moyennement vu sa gueule de motard au sourire de requin. Su ce plan, ce sont davantage les illustrations et les jeux de lumière qui font le travail. En outre, il a les attributs physiques et allure générale qui n'aident en rien: sa carrure imposante, sa démarche intimidante, ses tatouages un peu ostentatoires, son costume noir et ses lunettes de soleil.
Tatsu a une personnalité pourtant charmante, quoiqu'un peu intense par moment. Ultra-maniaque-perfectionniste qui n'en rate pas une pour se donner des défis, Tatsu semble mettre autant de rigueur et de passion dans son nouveau rôle que dans l'ancien. Et il s'en sort admirablement, je trouve. Il est en autre empathie, très serviable, stratégique et toujours volontaire pour aider ses voisins, ce qu'il fait avec une élégance qui peut dégénérer en effrayante efficacité. Surtout, on ne sent à aucun moment que sa nouvelle vie le fait sentir moins "mâle". Un détail qui a son importance, parce que cela fait coexister "virilité" avec "domesticité" et ça, c'est nouveau!
Le filon conducteur des scènes table donc sur son adaptation à sa nouvelle vie, ponctué parfois de gaffes complètement inattendues ou étonnamment puériles. Parfois, on sent les mauvaises habitudes reprennent le dessus, mais heureusement, il peut compter sur son épouse.
Celle-ci est d'ailleurs assez simple, quand on la regarde - je dis cela dans le bon sens et je me maudis d'avoir encore oublié son prénom - je ne suis pas douée avec les prénoms. Bref. C'est une femme de bureau qui a ses manies et ses habitudes, citoyenne en apparence sans histoires et d'un tempérament égal. Je l'apprécie ce personnage, elle a quelque chose de très classe moyenne et donc de près de nous. C'est pour l'avoir épousée que Tatsu a choisi de ranger ses histoires de gang. Elle semble en outre parfaitement saisir les singularités de son époux et ne lui laisse pas le temps de se faire du mal ( dans ses excès de zèle d'honneur, par exemple). Bref, ils font un couple qui semble solide, complice et dont les petits conflits sont de ceux qu'ont les vrais couples. Parfois, la simplicité à plus d'intérêt que les couples torturés et éternellement instables que je croise beaucoup trop souvent dans la culture ces temps-ci. Et je signale que leur relation est saine, basée sur le respect, l'égalité, la complicité et la tendresse. Comme quoi tous les Bad Boys ne sont pas condamnés à être des trou-de-cul, pour un peu qu'ils s'en véritablement donnent la peine. Merci Tatsu!
Aussi, je note que les personnages secondaires aussi sont appelés à bousculer les conventions. Des anciens membre de gang qui se convertissent aussi en divers rôles plus tempérés et conventionnels, des femmes au foyer beaucoup plus débrouillardes et actives qu'elles en ont l'air, et quelques autres cas atypiques qui croisent la route de l'ancien yakuza. Ces interactions donnent souvent de drôles de situations.
En même temps, le manga me donne l'impression de valoriser la vie domestique et sociale du citoyen moyen, ce qui, en soit, n'est pas une mauvaise chose. Ça a un côté léger et apaisant. On parlera de fitness, de cuisine, de ces saletés de bidules que les écrans nous vendent, des soldes où les gens deviennent de vrais furies, de voisinage, de jardinage et de vie de couple. Tranquille, drôle et léger, pourtant atypique. Ça me rappelle mon premier gelato au concombre- fameux en passant!
Parfois, on a besoin d'un truc léger juste commodément étonnant, comme durant une pause dîner ou un après-midi à bouquiner tranquille. C'est le genre de manga qui s'y prête très bien, tout en promouvant des modèles masculins non-toxiques, la vie à la maison - qui n'est pas de tout repos! - et combinant deux univers qui, en principe, ne se rencontrent pratiquement jamais.
Côté dessin, c'est propre et bien fait. Les personnages ont une belle apparence et des proportions relativement calibrées. Visuellement, c'est plaisant et les scènes d'actions sont dynamiques. Il pourrait y avoir une meilleure fluidité dans les transitions, mais globalement, je trouve ce manga agréable visuellement.
Pour un lectorat seinen adulte - Pas tant que ce soit violent, du moins dans le premier tome - mais ce sont les sujets qui sont davantage adulte. Mais si cela intéresse les jeunes adultes et les ados, ça peut convenir.
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Un manga décalé qui séduit par son personnage principal, un yakuza en pleine "reconversion professionnelle", pourrait-on dire. En effet, ce dernier décide de quitter la mafia pour devenir homme au foyer ! Certaines scènes cocasses ne manquent pas de faire rire. J'ai notamment apprécier le langage employé par le personnage, langage hérité de son passé de yakuza et qui est complètement en décalage avec les scènes banales du quotidien auxquelles il est désormais confronté. Un bon début, mais j'attends de voir comment le mangaka va développer son intrigue et son personnage.
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Un ancien yakuza reconverti en homme au foyer, cela ne le fait pas. Bien sûr, la situation est plutôt comique, mais elle n'est pas du tout crédible. Les scènes sont assez exagérées dans l'ensemble pour souligner ce côté un peu décalé. Bref, c'est très forcé.
A noter que les récits sont construits par chapitre et il n'y a pas forcément de lien. Cela crée des petites historiettes avec souvent la même chute. J'avoue que cela passe au début mais à la longue, cela devient assez lassant et pas drôle.
Je n'ai pas pris de plaisir à cette lecture. Maintenant, je peux comprendre qu'il s'agit sans doute d'un fantasme de femmes revenant du travail. Chacun son truc. Moi, je ne suivrai sans doute pas cette voie du tablier.
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Oui bon pourquoi pas, j'aimais bien l'idée du yakusa reconvertit en homme au foyer, mais au final elle n'est pas assez aboutie à mon avis. J'aurais aimé avoir une histoire plus construite et non pas une succession de chapitres sans vraiment de fil conducteur. Mais ce n'est que le tome 1, à voir si ça s'améliore par la suite ;)
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Tout simplement hilarant.
Tatsu l'Immortel, légende dans le monde de la pègre a raccroché pour devenir un homme au foyer accompli. Mais son apparence et son passé ne passent pas inaperçu et donnent lieu à des situations pour le moins cocasses.
Honnêtement je n'ai vraiment rien de négatif à dire sur ce tome. C'était très drôle, le dessin est très bon, les personnages sont prometteurs et l'histoire est divertissante. J'ai vraiment hâte de lire la suite!
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Un premier volume juste énorme, ou ont suit le quotidien d'un ancien yakusa, dans les choses les plus banales de la vie d'un humain lambda. Ce qui donne des scènes juste magique et hilarante.
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Dans "La voie du tablier, tome 8" de Kousuke Oono, le quotidien de Tatsu, l'ancien yakuza devenu homme au foyer, est rempli de situations hilarantes et explosives. Dans ce huitième tome, malgré les aventures de Tatsu qui promettent toujours une bonne dose d'humour et d'action, l'histoire semble perdre de sa vitalité.
Le sentiment d'essoufflement se fait ressentir : les nombreux caméos, les situations excentriques et les histoires variées alourdissent la lecture par une accumulation d'éléments superflus.
Bien que le concept de la série soit toujours aussi attrayant, ce huitième volume laisse transparaître un manque de renouvellement dans les histoires.
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Tatoueur est un yakuza connu et reconnu. Sa seule présence engendre de la crainte de ceux qu il croise. Mais après des années de violence il décide de se mettre au vert en endossant le rôle d'homme au foyer.
L idée est originale et on se plaît à découvrir un personnage un peu patibulaire dans un tablier de femme à préparer des biscuits et des bentos. Le schéma de ce manga réside en des petits sketchs un peu cocasses par la situation.
Après la bonne surprise de ce manga assez vite, nous sommes assez vite déçu par le manque de fond et de lignes directives.
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