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Critiques de Laëtitia Devernay (26)
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Acrobaties

Découvrez vite ce superbe album sans texte, à l'esthétique toute singulière. Laëtitia Devernay nous immerge dans un monde marin enchanteur, onirique et merveilleux. Cet ouvrage contemplatif et chatoyant est empli de poésie et invite à la réflexion philosophique. Un album qui encourage les petit lecteurs à prendre le temps, à observer et à réfléchir. Une pure merveille...
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Acrobaties

Un livre étonant à découvrir.



Un acrobate bleu, un acrobate rouge, une étrange danse s'installe entre les deux personnages. Très eite, ils sont rejoins par d'autres et le ballet s'intensifie. Finalement, c'est un abordage qu'il se déroule sous nos yeux. Un abordage très aérien, léger et poétique. L'attaque n'en est presque pas une. L'illustrateur a su contre balancé la violence par quelque chose de beau et de fascinant.



C'est un livre sans texte, alors je trouve qu'il y a beaucoup de place pour l'imagination. C'est peut-être ça qui fait autant de charme à ce livre.



Les illustrations sont majoritairement de couleur bleu, rouge, jaune et marron. Leur simplicité, les rendent vraiment très jolies. Je les aie regardé un peu comme des tableaux d'art surtout pour les dernières.



En bref: Un album qui vous suggère une histoire, mais qui vous laissera une grande place à l'imagination.
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Acrobaties

Grâce à un astucieux changement de cadrages, ceux que l’on a jusque-là pris pour des acrobates, se révèlent être des pirates à l’abordage. Le ballet se poursuit page après page avec la même élégance, mais la chorégraphique est maintenant organisée autour d’un but précis : accaparer le navire du camp d’en face. Comme si toute cette agitation belliciste n’était finalement qu’un spectacle.



Outre l’absurdité de la guerre, éternel recommencement d’une conquête dérisoire, Laëtitia Devernay nous montre, sans un mot comme à son habitude, que la nature, loin de s’enfermer dans des nationalismes imbéciles, des replis identitaires aux fondements incertains, multiplient les rencontres, les alliances, les échanges, les croisements, les réseaux, les entraides. Les ultimes plans de l’album laissent l’humanité partir vers son horizon improbable, dans la reproduction infinie du même scénario toujours recommencé, entre les Rouges et les Bleus, tandis que la faune et la flore sous-marines, bigarrées au possible, envahissent progressivement l’image, apportant un tout autre art de vivre.

Loin d’imposer un point de vue, qui aurait risqué d’apparaître manichéen, elle laisse son lecteur à ses propres réflexions et conclusions.

Mêlant ici tampons et dessin, elle semble concevoir ses illustrations, toujours avec autant de minutie, comme les tableaux d’un spectacle de danse. Véritable fable écologico-philosophique.



Article à retrouver sur le blog :


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Le Bestiaire mécanique

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Diapason

C'est une histoire sans parole, le format des pages est allongé (33 cm de haut pour 14 de large), le dessin est réalisés à la plume avec un graphisme en traits net et décoratifs, comme les album de coloriage zen pour adultes, une gamme de couleur restreinte, un noir, un brun très foncé et un vert très foncé qu'on ne remarque pas tout de suite, c'est quand le regard s'attarde sur une page qu'il apparait, et il y a aussi un blanc cassé qui vient se confondre au blanc du papier. Un chef d'orchestre monte au sommet d'un arbre et dirige une symphonie aérienne, les feuilles des arbres se transforment en vol d'oiseaux... Un livre à écouter avec ses yeux, tout en douceur et poésie.
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La danse de la mer



À partir de 5 ans



Le format à l’italienne offre un espace panoramique à une sombre métaphore de la surpêche. Les illustrations en papier découpé, sorte d’ombres chinoises en couleur, habitent pleinement l’espace ; les filets et la mer anthropomorphes jouent un beau puissant ballet aquatique devant les yeux subjugués des lecteurs.


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La danse de la mer

Cet album ravira les lecteurs d’images experts et les rêveurs amoureux de la mer.
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La danse de la mer

Aux côtés des petits navires de pêche respectueux, des bâtiments toujours plus colossaux éventrent la mer, l’épuisent et l’assassinent. Une résistance allégorique surgit alors, comme si les forces invisibles de la nature toujours veillaient sur l’équilibre du monde.



Sans un seul mot, Laëtitia Devernay parvient à démontrer les dégâts criminels de la perpétuelle recherche du profit, de cette pêche intensive qui vide les océans. Cette violence est explicite et suscite l’effroi du lecteur que seul le retour à la sérénité apaisera. Mêlant papiers minutieusement découpés et trames à l’encre, elle impose par la précision définitive de ses illustrations une puissance narrative, le souffle des mythes primitifs. Si les mastodontes, ogres dévastateurs, sont le symbole d’un progrès déraisonné et ravageur, les gardiennes de l’ordre de la Nature aux courbes enveloppantes tiennent autant des sirènes que des Valkyries nordiques. Laëtitia Devernay chorégraphie ce combat des titans à la manière d’un ballet, comme au son d’une symphonie héroïque.



Cet album est un véritable manifeste écologique, à la beauté parfaitement bouleversante.

Absolument pour tout public.
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La danse de la mer

Qui peut freiner la disparition des poissons due au développement de la pêche industrielle ? La mer elle-même !



Un album sans parole qui remue et fait des vagues pour permettre au lecteur de ressentir l’impact d’une activité humaine qui pour des profits immédiats condamne les ressources naturelles. A moins que la Terre et en l’occurrence la mer ne trouvent un moyen de rétablir l’équilibre naturel…



Deux flottes bien distinctes dansent sur l’eau. D’une part les gros chalutiers et de l’autre les bateaux de pêcheurs. Mais à mesure que les premiers se font plus nombreux efficaces, les seconds disparaissent du panorama.



Tous les poissons sont progressivement ramassés par les filets qui vont damer de plus en plus profondément les fonds marins. La soif de ces armadas semble sans faim si ce n’est celle de la disparition des derniers rescapés.



Mais c’est alors que la mer retrouve la force de riposter…



Un conte écologique fort et émouvant qui interpelle le silence des politiques, des décideurs et de nous tous face à un drame programmé.



Dans un très beau écrin, le livre évoque, à l’aide de traits droits, ceux des chalutiers, et courbes, ceux des bateaux de pêches et de la mer le combat s’engage à partir d’une danse...implacable.



Un livre réalisé à partir de découpes de papier et d’encre de chine.



A lire !
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La danse de la mer

Un album sans texte extrêmement fort par la qualité, la rythmique et la subtilité du graphisme qui en fait un ode poétique à la mer.

Le lecteur voyagera de pages en pages et sera sensibilisé par les conséquences de la surexploitation de l'homme par la pêche de l'élément vital que représente la mer.
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Diapason

Dans "Diapason", il n'y a pas de texte. Pourtant, c'est une bien jolie histoire qui s'écrit sous nos yeux. L'album n'est pas sonore, aucun CD ne l'accompagne. Alors comment se fait-il qu'à sa lecture, une musique silencieuse semble nous envelopper et nous porter de page en page ? Comment les illustrations, figées sur le papier, parviennent-elles à s'animer et virevolter dans les airs ? Laëtitia Devernay possède là un talent peu commun...



La lecture de "Diapason" m'a vraiment émerveillée. Si les illustrations impressionnent par leur finesse, la conception même de l'histoire, la composition des pages, forcent le respect. Les arbres au feuillage vivant, le chef d'orchestre dont le seul au public est le lecteur, la danse des oiseaux virevoltant dans le ciel tels des notes de musique portées par le vent... Autant d'idées dont l'originalité n'a d'égale que l'élégance.



A lire et écouter du bout des yeux...
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Diapason

Pas un seul mot mais tellement d'émotions. C'est exactement ce qui résumerait cette histoire sans parole. L'objet est unique, plaisant au toucher, dépaysant et enchanteur au regard. Et bien que ce ne soit pas un livre-CD, on y entend de belles mélodies glissando, scherzo, allegro, parmi tant d'autres, et on y voit un petit chef d'orchestre - petit en taille pas en talent - s'y dépasser, sublimer la nature et lui faire confiance aussi. Il m'est vraiment difficile de décrire et qualifier l'enthousiasme que ce livre- accordéon ( nous offrant une histoire de musicien !) a soulevé dans mon coeur et dans ma tête. C'est aussi un chef d'oeuvre visuel et plastique ; je ne me lasse pas de tourner et retourner les pages qui finissent ainsi par s'envoler symboliquement comme les feuilles et les oiseaux de cette histoire. L'auteure-illustratrice, en noir et blanc, juste avec des formes et des lignes accordées avec une symphonie imaginaire (mais qu'on entend, j'insiste !) nous livre un message d'espoir tout en poésie créatrice. La touche finale (presque une chute) m'a rappelé un proverbe, dont j'ai oublié la provenance : "On parle toujours des forêts qu'on abat mais jamais de l'arbre qui pousse". Venez prendre une vivifiante bouffée d'air en entrant dans la forêt la plus enchantée de la littérature ! Mieux que de la soi-disant "feelgood literature" et tout dans la rencontre de l'auteure, de vous avec ce majestueux chef-d'orchestre.
Lien : http://lewebpedagogique.com/..
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Le Bestiaire mécanique

Il est bleu, à plusieurs wagons, c'est un ver ou un métro ?

Mais les deux enfin. Elle comporte des épines hérissées qui maintiennent ses voiles tendues, c'est un e rascasse ou une jonque ?

Les deux, vraiment.

Cela n'a pas de sens ou plusieurs, celui de l'imaginaire et du voyage, c'est certain.

Des poissons dans les airs, ds crabes sur les chantiers ?

Et pourquoi pas ?





Cet imagier singulier de Laëtitia Devernay est hybride à plusieurs niveaux. Le titre, Bestiaire Mécanique, annonce déjà le genre du bestiaire qui se confond avec le catalogue d'engins mécaniques. C'est en lisant que l'on prend la pleine mesure de la finesse de l'idée ludique et du pouvoir d'imaginaire proposé. Les textes sérieux jouent pourtant également sur les mélanges des genres, une subtile didactique poétique qui vient soutenir des illustrations d'animaux dont la technique rappelle le pochoir. Le traitement tout en couleurs égaye les double-pages, apporte une fantaisie légère, sobre, plus exotique que le documentaire classique.

Atypique. A faire découvrir à un lectorat qui approche un peu la dizaine d'années et qui ne passera pas à côté de son originalité. De quoi rendre moins austère la compulsation des dictionnaires et encyclopédies.
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Diapason

"Un livre qui se déploie comme les ailes d'un oiseau, au rythme d'un petit chef d'orchestre perché sur de grands arbres." – quatrième de couverture, éditions La joie de lire, 2010.



Le ton est lancé. On a entre les mains un album sans texte au format allongé qui se déroule comme un accordéon. Les portées musicales courent le long de la couverture et laissent entendre un silence, un souffle où l'on attend, l'oreille tendue, la musique qui nous sera jouée. Mais elles se renversent et déploient une forêt où arrive un petit chef d'orchestre. Il entame alors l'ascension du plus grand arbre, puis, perché là-haut, lance l'histoire à grandes envolées.



L'arbre se mue d'un oiseau, composé de ses feuilles, puis d'un autre, et encore un ! - jusqu'à dépecer l'arbre de tout son feuillage. Et les arbres alentours de suivre la cadence, et la vie de s'envoler note après note, un oiseau après l'autre. Guidés par la petite baguette tenue bien haut à bout de bras par notre chef d'orchestre, les volatiles s'emmêlent dans une danse improbable, créant une mélodie faite de pianissimo (une petite poignée d'oiseaux en ligne), de silences, de fortissimos (la même ligne démultipliée) et d'harmonies (toutes formes d'oiseaux dans un joyeux méli-mélo). Tandis que le petit chef a le visage tantôt serein, tantôt déterminé, pour donner la note finale, et descendre sa baguette (magique, pour sûr !). La musique est terminée, salutations messieurs-mesdames. Mais son histoire n'est pas finie, loin de là ! Il redescend, les feuilles retournent sur leurs branches, et le petit héros creuse un trou dans la terre… Il vaut mieux ne rien dévoiler, ne pas trop en dire, garder un peu du secret. C'est une histoire qui, espérons-le, ne terminera jamais. Une histoire émouvante qui nous rappelle la vie qui traverse la nature qui nous entoure. Comme un vol d'étourneaux, la sève au creux des arbres danse sans jamais s'essouffler. Une ode à la vie.


Lien : https://horspistes.wordpress..
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Le Bestiaire mécanique

Texte et images jouent fusion, identification et ambiguïté pour mettre en relation les animaux et les moyens de transport que sont la moto-bison ou le scooter-escargot. Les paires sont bien choisies et la girafe-grue ou le crabe violoniste-tractopelle séduisent par le rapprochement incongru et cependant vraisemblable.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Le Bestiaire mécanique

Un bestiaire original propose aux enfants de découvrir les animaux de manière décalée : dans son "Bestiaire mécanique" (La Joie de Lire), l'illustratrice Laëtitia Devernay débusque les ressemblances des animaux avec nos moyens de transports modernes. Un album plein de poésie et de couleurs.
Lien : http://culturebox.francetvin..
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Le Bestiaire mécanique

On roule, on vole, on glisse, on nage. Mention spéciale pour le graphisme de ce bel album. De nombreuses récompenses en attestent dont le prix de la première œuvre reçu à la foire de Bologne. On attend le prochain avec impatience.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Le Bestiaire mécanique

Bonne pioche pour ce premier cadeau de « Masse critique ». Cet album de Laëtitia Devernay montre de très beaux dessins d’animaux, assez stylisés, se rapprochant d’une machine ou un d'objet. Du crocodile-pirogue au poulpe-fusée, en passant par la girafe-grue ou la chauve-souris-deltaplane, ces images font travailler l’imagination des enfants, et celle de leurs parents. Un glossaire à la fin du livre donne le nom véritable des animaux ainsi qu’une brève définition sur leur mode de vie.

Cet album ne convient pas aux tout-petits. Je mets juste un bémol sur les caractères du texte, trop petits et par moment peu lisibles.

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Le Bestiaire mécanique

Merci aux éditions La Joie de lire et à Babelio pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique.



Le Bestiaire mécanique est un album jeunesse à destination des 6 ans et plus.

L'auteure et illustratrice, Leätitia Devernay, prend plaisir à créer des analogies entre des animaux et des moyens de transport. Ainsi, à travers les doubles-pages imagées et colorées, elle met en avant un moyen de transport, l'image de l'animal auquel elle veut le faire correspondre et - le plus important à mes yeux - un texte descriptif mélangeant des éléments propres au moyen de transport ainsi qu'à l'animal. L'objectif étant bien sûr de deviner l'animal correspondant (les réponses sont à la fin du livre).



Ce livre doit bien sûr être abordé par l'enfant avec l'aide d'un médiateur (parents, enseignants...), qui fera de la lecture un jeu d'énigmes et de devinettes. Il pourra par exemple lire d'abord le texte à l'enfant pour lui faire deviner l'animal, puis lui montrer l'illustration s'il n'y parvient pas.



Je trouve ce livre très original et ludique, peut-être un poil compliqué toutefois pour un enfant de 6 ans (même avec un médiateur). Mais bon, du coup ça favorise l'apprentissage, donc c'est un plus. Après il faut espérer que l'enfant n'associera pas pour toujours une girafe à une grue ou une libellule à un hélicoptère...
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Diapason



Une couverture, étui de carton recouvert de portées, s’ouvre, comme un prélude, sur autant de verticales. Des verticales qui se révèlent bien vite être des troncs d’arbres. Presque camouflée derrière ces troncs noueux, une jambe s’avance : un petit bonhomme en habit, qui aussitôt se hisse au sommet des ramures. Apparaît alors l’élément le plus discret mais vrai déclencheur de l’histoire : sa baguette de chef d’orchestre. Des boules de végétation vont jaillir des créatures merveilleuses, mi- feuilles, mi-oiseaux, mi-graines, mi-notes, pour dessiner d’extraordinaires motifs sur la page blanche.

Peut-on, sans mots, sans sons, presque sans couleur, représenter la musique ? La faire vibrer, la faire ressentir ?

Cet accordéon d’une soixantaine de doubles pages, rythmées par des portées verticales, emportées par des arabesques mouvantes, prouve que tout cela est possible quant on a le talent de Laetitia Devernay. Sa plume dessine des andante, crescendo, allegro de feuilles et d’ailes, des bulles de musique dans un silence immaculé, une musique si belle, si riche, qu’elle porte en elle une nouvelle force créatrice.

Alors, oui ce livre paraîtra déconcertant à plus d’un titre, mais est-ce si difficile ? Il suffit de se laisser emporter par l’émotion, de se laisser bercer par cette musique graphique, guidé par la plume de Laetitia Devenay.

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