My next sentence comes out ragged. "What are you doing?"
"Helping my wife."
My throat bobs. "You're growing a bit too comfortable with that nickname for my liking."
"I use it to remind you of your place."
"And what's that?"
"Mine."
He avoids my gaze as he assesses his menu. "That's our thing."
The way he says it makes my body buzz. "If you had it your way, everything would be our thingso that you never had to share me with anyone else, you territorial caveman."
"I'm glad you finally understand. I took you long enough."
He's the Devil, Zahra.
Well, that explains why Eve fell for his tricks. If the Devil looked half as good as Rowan, I'd eat the damn apple, too. Screw the consequences.
‘You want to risk everything? For real?'
'I’m risking nothing for everything. It’s different.'
Screw platonic, I want catastrophic.
You love me ?
I'd be insane not to.
He’s my dark storm cloud in the middle of a drought—an underappreciated beauty that makes me feel equally alive as the sun or the stars.
The air escapes my lungs like a deflating balloon. Seriously, was this man not held enough as a baby? There's no other explanation for his coldness.
'I was always bad at expressing my feelings, way before my mom ever got sick.'
[…]
'She taught me how some people need a hundred words to express a single thought, while some people only need one word to share a hundred thoughts.'
'I’m enjoying the view.'
She glances out the window. 'Says the man who hasn’t even looked outside once.'
'That’s not the view I’m talking about.'
[…]
Our marriage might be fake, but these feelings burning inside me are anything but. It’s only a matter of time before I make her mine. She just doesn’t know it yet.
To anyone fighting an invisible battle.
I see you.
She feels perfect in my arms, and I’m tempted to keep her tucked beside me where I can protect her from all the darkness in the world, including myself.
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« — En fait, Zahra et toi, vous avez beaucoup de points communs.
Peu probable. Sa sœur est mon opposé. Je ne peux pas me comparer à une femme capable d’illuminer une pièce uniquement grâce à son sourire. Elle est comme le soleil : tout le monde orbite autour d’elle pour se réchauffer. Contrairement à moi, qui garde les autres à distance rien qu’en fronçant les sourcils.
— Tu trouves toujours un moyen de parler d’elle.
— C’est parce que vous vous plaisez, répond Ani en passant une boucle brune derrière son oreille.
— Et comment tu le sais ?
— Elle te regarde comme si elle avait envie d’avoir tes enfants.
À cette déclaration, je m’étrangle. Je me cogne la poitrine du poing tout en prenant une profonde inspiration.
— Non, je ne pense vraiment pas qu’elle me regarde comme ça.
— Tu as raison, réplique Ani nonchalamment. Je voulais juste voir ta réaction.
Incroyable…
— Tu es cruelle.
En représailles, je lui vole un morceau de son bretzel.
— Mais ma sœur te sourit beaucoup, dit-elle d’un air candide.
— Elle sourit à tout le monde, bougonné-je.
— Comment tu le sais ?
Bon sang. Les questions d’Ani paraissent innocentes, mais elles mettent en lumière à quel point je suis attentif à Zahra. Le sourire qui s’affiche alors sur son visage m’apprend qu’elle l’a, elle aussi, remarqué. »
« 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐞𝐮𝐭-𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝𝐞́𝐫𝐞́ 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐟𝐫𝐨𝐢𝐝 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐢𝐥 𝐦𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐮𝐦𝐞. »
L'amour rend les gens impuissants, mais seulement parce qu'ils l'acceptent volontairement. Quand on est amoureux, il faut faire suffisamment confiance à l'autre pour qu'ils n'abuse pas du pouvoir qu'il a sur nous.
"Puisque vous vous permettez ces menaces de mâle de base, je suppose que vous en avez une grosse. Dans le cas contraire, vos conquêtes doivent souvent être déçues.
_ Vous voulez sortir une règle pour tester votre théorie ?
_ J'ai laissé ma loupe à la maison. Peut-être demain."
- C’est rassurant de savoir que tu peux venir payer ma caution si je suis arrêtée.
- Qu’est-ce qui te dit que je ne serais pas en prison avec toi ?
Je suis devenue accro, et il se trouve que c’est à mon faux mari.
« Alors à toi, Rowan, le rêveur qui a cessé de rêver, voici ce que je te demande : deviens le directeur de Dreamland et fais revenir la magie dans le parc. »
Certains hommes ressemblent à un rêve, d'autres à un cauchemar. Declan est une combinaison mortelle des deux.