Laurent Terry

Ce bouquin m'a tenu en haleine du début à la fin. L'auteur à une écriture agréable, qui donne envie de tourner les pages de plus en plus vite. Les personnages sont très vivant et attachant.



On sent que l'auteur s'est documenté mais l'information diffusée n'est pas aussi complète et complexe que dans un thriller de Thilliez.



Je trouve la fin très bien ficelée et regrette juste que le bouquin ne soit pas assez sanglant!

L’auteur m’a proposé de découvrir son ouvrage pensant qu’il pourrait me plaire et autant dire qu’il a tapé dans le mille ! Difficile pour moi de résister face à un tel résumé, car nous sommes pile dans le genre de thriller qui m’attire et qui me donne envie de plonger dans les méandres de son intrigue. L’auteur a donc réussi son pari et je me suis régalée du début à la fin. Alors attachez vos ceintures, nous voilà partis pour un voyage bien mouvementé.



Nous faisons la connaissance de West, un journaliste qui tente de poursuivre sa vie tant bien que mal après de tragiques événements qui ont bouleversé son existence. Mais voilà qu’un autre événement va chambouler son quotidien : la première femme de sa vie reprend contact avec lui après des années sans nouvelle et elle est retrouvée morte. Suicide ? Assassinat ? Très touché par cette mort, West décide d’enquêter afin de comprendre ce qui a pu la conduire à perdre la vie.



Mais il n’a pas idée du chemin dangereux qu’il a décidé d’emprunter et il va se retrouver au cœur d’une histoire qui le dépasse totalement, d’autant plus qu’il sort des reportages qu’il fait habituellement. Le fait qu’il connaissait la victime n’aide pas et va le mettre en fâcheuse position. A partir de là, l’histoire va prendre un tournant des plus inquiétants et nous emmener dans un voyage glaçant.



L’auteur nous offre une histoire originale et nous emporte dans une enquête aux nombreuses ramifications. Aux côtés de West, nous allons plonger dans une histoire très sombre et bien plus glaçante qu’il n’y paraissait au premier abord. Nous suivons différents personnages qui vont tous amener une pierre différente à l’édifice qui nous permettra de découvrir la vérité, une vérité sombre et bien tragique au final.

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Du sang sera versé et pas seulement quelques gouttes. C’est un thriller mouvementé avec un rythme soutenu qui nous tient en haleine du début à la fin. L’auteur fait très fort avec cet ouvrage qui plaira, j’en suis sûre, à tous les fans de thrillers comme moi. C’est vraiment un très bon roman dans le genre, alors ne manquez pas cette découverte !



En bref, n’attendez plus pour suivre West dans sa quête de vérité, car vous serez totalement happés par cette histoire.

♠ « Lorsque le palmier pleure » - Laurent Terry ♠



Ces derniers temps, j'ai lu et chroniqué beaucoup de livres qui m'ont sortie de ma zone de confort. Du coup, au moment de choisir ma prochaine lecture, j'ai opté pour un thriller, mon genre préféré. En lisant les résumés de livres proposés en service presse sur Simplement Pro, j'ai tout de suite été attirée par ce roman. Un grand merci à l'auteur pour cet envoi !

En dehors d'une vie privée morne et sans joie, West travaille pour un cancan local et couvre des affaires sans importance. Lorsqu'il est envoyé sur les lieux d'un suicide, il s'attendait à tout sauf à reconnaître la victime : Carmen, son amour de jeunesse envolé depuis une vingtaine d'années. Fait plus étrange encore ; la jeune femme l'a appelé quelques heures à peine avant sa mort. Troublé par ce qui ressemble de plus en plus à un meurtre rituel, West se lance dans une quête de vérité dont il risque de ne pas sortir vainqueur.

ATTENTION SPOILER : de Miami à Cuba, du rôle d'enquêteur à celui de coupable idéal, le journaliste flaire une piste liée à un cartel cubain et aux manigances politiques des édiles de sa ville. Mais comment Carmen, douce infirmière, pourrait-elle être reliée à ces milieux perfides ?

J'ai vraiment beaucoup aimé ce thriller, et ce pour plusieurs raisons. Déjà, sa structure narrative colle parfaitement aux évolutions de l'histoire. De plus, j'ai adoré découvrir des endroits inconnus en parallèle d'une double enquête riche en rebondissements et révélations. Le personnage principal, West, m'a beaucoup plu par sa gentillesse et son côté atypique. J'ai aussi apprécié les remords et le caractère combatif de Noah. Enfin, mes yeux se sont arrondis à plusieurs reprises lors de la mise en place du dénouement. La toile tissée tout au long du récit fonctionne à merveille et laisse le lecteur sans voix. En revanche, j'ai trouvé la fin un peu trop idéalisée car la fille du journaliste l'ignore totalement et, du jour au lendemain, redevient sa plus grande fan. Cela m'a paru un peu gros.

Sinon, j'ai réellement passé un très bon moment de lecture. Je conseille ce roman à tous les amateurs de thrillers ou de policiers bien construits.



Pour plus d'informations et de chroniques :


Lien : https://www.shanaslibrary.co..

Lorsque BOB a proposé ce partenariat, j’ai tout de suite été attirée par tout ce rouge. Pas d’indice visuel mais juste un mot, posé là comme un avertissement : “Usurpé”. Il n’en fallait pas plus pour aiguiser ma curiosité.

Je lis le résumé pour m’orienter un peu dans cette histoire et ces quelques mots mettent la touche finale à mon envi de suivre le cauchemar du personnage principal.Je n’hésite pas une seconde et entre dans l’enfer que vit Thomas Eckelton, je me réveille avec lui dans le ghetto de Bogotà. Et je ne le quitte plus !



Dès les premières pages le lecteur est happé dans cette étrange histoire. On ne peut stopper la lecture qu’à contre coeur.

Laurent Terry nous offre ici une intrigue originale, sans avoir recours à la violence, au sang et à l’horreur. Pas de cadavres cachés dans le placard, juste un homme qui lutte pour reprendre sa vie.

Tout est dans le suspens. On est suspendu au destin de Thomas Eckelton, un homme qui avait tout pour être heureux, avant que sa vie ne lui soit volée.

Jusqu’au bout on se pose les questions suivantes : Qui,Comment, Pourquoi, ?

Les indices sont bien entendu distillés au compte gouttes afin de nous tenir en haleine. Rien n’est laissé au hasard.



De plus l’ écriture est simple, fluide et dynamique. Il n’y a aucune description à rallonge, pas de “personnage satellite”( j’explique pour ce qui ne comprendrait pas ma pensée : le “personnage satellite” est celui ou celle que l’on voit quelquefois graviter autour du personnage principal mais qui n’a apparemment aucune utilité. Jusqu’au bout il reste un mystère pour le lecteur.), aucune ramification parasite ne vient alourdir l’histoire et compliquer sa compréhension… Juste un pur bonheur !



Je conclurai comme Laurent Terry a commencé, avec juste un mot : EXCELLENT.



Je remercie chaleureusement BOB et les éditions PLON ( collection Nuit Blanche ), pour ce partenariat qui m’a permis de découvrir un auteur de talent.




Lien : http://ecritureetpoesie.cana..

Dans ce roman d'anticipation vraiment très bien pensé, complet et conçu avec beaucoup d'intelligence, l'auteur révise les codes de la dystopie. Il nous place effectivement dans un monde post-apocalyptique dans lequel les personnages

appartiennent à des castes. Seule une partie de la population a réussi à survivre à un méchant virus... Des dizaines d'années plus tard, soumis à un contrôle permanent, bridés dans leurs entreprises et ne disposant d'aucune liberté, ils vivent sous un dôme, contraints de s'injecter quotidiennement une dose de "normalité". Cet antidote au virus les prive en plus de toute émotion...

On va alors suivre Adam dans cette tranche de vie, on découvre un jeune homme attachant, partagé entre la soumission qu'il a toujours connue et cette envie qui dort au fond de lui de... libérer le monde.

Il va alors recevoir un mystérieux cadeau, des seringues annihilant l'effet de "normalité", lui rendant son humanité primaire. Il va alors pouvoir ressentir la peur, l'amour et bien plus encore.

J'ai adoré être entraînée dans cette histoire tellement crédible, si réaliste, qui peut même parfois faire froid dans le dos vu ce que l'on vit actuellement en pleine pandémie.

J'ai été conquise par la portée philosophique du roman, tantôt subtile, tantôt très forte, sur le concept de liberté notamment mais aussi sur la normalité bien évidemment. D'ailleurs qu'est-ce que la normalité ? Celle qu'on a toujours connue ? Celle qu'on nous impose ? Être normal ne signifie pas déjà intrinsèquement être soumis, contraint de brider notre liberté ?

Le style de l'auteur est très agréable, on vole de mot en mot, l'écriture se montre fluide au possible. Les images et descriptions se veulent très visuelles, cinématographiques à souhait et feraient de ce livre un très bon film à succès.

J'ai suivi l'action avec beaucoup d'intérêt, touchée par le dessein unique d'Adam (notre premier homme). Il existe une belle tension dramatique, constante tout au long du livre mêlée à un suspense délectable.

S'il reste quelques coquilles dans le texte on passe outre aisément tant on est pris dans le tourbillon de l'intrigue. J'ai dailleurs très hâte de lire la suite, si l'auteur en écrit une, la fin restant ouverte et pleine d'espoir.

C'est un auteur que j'ai vraiment pris plaisir à découvrir et je ne manquerai pas de lire ses autres romans avec autant d'intérêt. J'aime beaucoup cette façon de présenter un récit pertinent afin de nous faire réfléchir sur nous-mêmes, la société et ses débordements et notre avenir proche. Je vous le conseille donc sans hésiter pour un moment de lecture et d'évasion qui fait du bien, empli d'émotions.

Cela fait plaisir de replonger dans les thématiques du bon vieux thriller avec une intrigue solide mêlant luttes politiques, agissements de la pègre nord-américaine cubaine et flics corrompus. Sans compter, un scénario qui est facile à suivre malgré la multiplicité des pistes et des ramifications policières. Par contre, j'ai trouvé la fin de ce polar un peu « cul-cul » car à mon sens elle n'est pas assez noire. Emerton West est un journaliste qui travaille au Gateway Chronicles, une feuille de chou, oscillant entre faits divers et potins crasseux. Il est descendu aux enfers après la mort accidentelle de son fils Irvin à l'âge de douze ans. Suite à ce drame, sa femme Pipa est partie. Mais voilà qu'un nom sorti du passé va transformer le cours de sa vie. Carmen Estevez, le premier amour de sa vie, celle qui l'avait subitement quitté sans explication deux ans après leur rencontre, lui laisse après vingt ans de silence un message téléphonique. Malheureusement, elle ne le rappellera jamais. Elle est retrouvée moins de quarante-huit heures après son appel, son corps sanguinolent ligotée le long du tronc d'un palmier. Bouleversée par ce crime, Emerton décide de mener sa propre enquête. Paradoxalement, ses recherches le conduisent à devenir le principal suspect de ce crime odieux. Pour échapper à l'arrestation, il prend la fuite avec l'aide de son amie et complice la photographe Rebecca. Le journaliste découvre alors une piste liée aux édiles de la Mairie de Miami et à une mafia cubaine. Cette dernière punissait ceux qui bravaient sa puissance en les tailladant à l'arme blanche attachés au tronc d'un palmier. Mais en quoi Rebecca, cette infirmière pétrie de tant de qualités, pourrait-elle être reliée à ces milieux perfides et aux manigances politiques des édiles de sa ville ?

Un bandeau rouge : "le premier prix des blogauteurs" m'avait attiré. Un auteur fort sympathique aussi, en dédicace.



Un roman sans surprises qui se lit facilement, une écriture appliquée.



Un gentil vraiment gentil mais très intelligent, et des méchants vraiment méchants qui lui courent après.



Mais une intrigue au goût de "déjà-vue" et un roman dont il ne me restera pas grand-chose au final.



L'image que je retiendrai :



Celle de la comparaison qui me venait à l'esprit avec le film "The Truman Show"....
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John Helling , dont les nuits ne sont que cauchemar .Est un soir attiré par l'émission « QI, le grand test » et découvre qu'il a un QI de 150. Après avoir consulté un spécialiste sa vie bascule, disparitions et meurtres se multiplient. John part à la recherche de son passé, de l’origine de ces peurs, de ces souffrances.

Manipulé depuis l’enfance et maintenant traqué, qui est à l'origine...
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Le commentaire de Carole :

Les élections à la mairie sont lancées. Noah, maire du moment, a de la compétition. Suarez lance sa candidature et veut absolument prendre la place de Noah. Pour cela, il va utiliser les services de personne sans pudeur pour salir la réputation du maire existant. Parallèle à cet événement, le journaliste West reçoit un appel de Carmen, la femme qui a quitté sa vie il y a 20 ans sans aucune raison. Elle lui laisse un message d’appel à l’aide. Malheureusement, elle est retrouvée sans vie le lendemain. Les responsables de l’enquête étouffent l’histoire en mentionnant que c’est un suicide. West n’a pas dit son dernier mot, il va aller au fond des choses pour découvrir que ce suicide est en fait un meurtre. À partir de ce moment, activez votre mémoire, car plusieurs personnages entrent en action. Le journaliste va être accusé du meurtre de son ex, il séjournera en prison, on va tenter de le tuer, bref, il aura des gros défis à relever. Son avocat Oscar Wellington est reconnu pour avoir du succès avec des causes compliquées comme celle dont West est accusé. Il travaillera fort pour le sortir du pétrin. La trajectoire de West va être des plus compliqués, il aura l’aide de son amie photographe Rebecca, qui parfois va lui faire la leçon contre l’imprudence dans laquelle il se met les pieds. Un thriller captivant qui fait travailler nos méninges jusqu’à la dernière page. Lieutenant douteux, gang de Cubains dangereux, tout est en place pour des heures de lecture passionnante. L’auteur m’a surprise quelques fois par la tournure des événements, ce qui m’a fort plu. Je vous encourage à suivre cette histoire qui n’aura qu’un but, c'est de vous étonner jusqu’à la fin.
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Une histoire agréable à suivre, dans un univers dystopique qui sans bouleverser les codes du genre reste intéressant à découvrir.

Le style d'écriture sans fioritures se laisse lire avec fluidité et on se demande si une suite est éventuellement prévue, car la fin ouverte pourrait le laisser entrevoir.

Nous suivons dans ce livre Adam, un jeune homme de 25 ans qui travaille au sein de l'Archipel, ce vaste dôme englobant 15 millions de personnes, et qui, d'après le gouvernement en place depuis presque 40 ans, protégerait la population d'un virus dangereux, Circonvenum Nivitae, sous couvert d'une injection quotidienne du vaccin qui les "sauvera tous", NORMALITÉ. C'est dans ce contexte dystopique que l'auteur nous dresse le portrait apathique de cet homme qui découvre, au fur et à mesure de son avancée, l'envers de ce décor protecteur, au péril de sa vie et de celle des autres.L'auteur retranscrit parfaitement son personnage sans émotions dans ses écrits : nous faisons face à une personne stoïque, qui n'a pas la moindre réaction devant des situations plus que détestables... jusqu'à ce que ce dernier commence à en éprouver. Nous assistons alors à la remise en question de cet homme qui se questionne sans cesse et qui découvrent de nouvelles choses : l'amour, la peur, la colère... Tout ceci en nous imposant la réflexion sur ce que notre liberté nous autorise et ce qu'on peut/doit faire pour la garder, car l'auteur ne tente pas de rendre la tâche facile à ses personnages, et n'a de cesse de leur mettre des bâtons dans les roues.

L'environnement du livre s'installe doucement, nous englobant peu à peu dans l'univers de l'auteur, me faisant tout d'abord penser à Divergente et ses systèmes de caste (ici, il s'agit de secteurs) ; mais également à Métro 2033, où l'extérieur est synonyme de mort. De plus, l'auteur s'amuse d'une satyre des "élites", en décrivant un tableau fonctionnel en apparence mais qui cache derrière la détresse humaine et dénonce les castes sociales, où la richesse encore contrôle le monde. Il met de ce fait en exergue la lourde propagande gouvernementale que l'on retrouve tout le long du livre, et qui fait froid dans le dos.

L'intrigue est bien menée, commençant tranquillement puis crescendo, rendant la lecture assez addictive. Il nous emmène avec lui dans ses théories du complot, nous offrant alors sur un plateau la fameuse expérience du Trolley problem, "en perdre quelques uns pour les sauver tous" et nous enjoint à nous questionner sur notre propre morale : et si j'avais été dans cette situation, aurais-je réagi de la même manière ? Ainsi, le livre garde un attrait certain, accentué par l'écriture fluide et maîtrisée que nous propose Laurent Terry. Les scénarios secondaires ajoutent un petit plus à la lecture sans pour autant dépasser sur le sujet principal, atterrissant en une fin logique et assez poétique.

J'ai été très satisfaite de ma lecture, alliant intrigue, complot, tout ce qu'il faut pour un roman d'anticipation.
Lien : http://thereadingsession.fr/..

Vraiment bon.

La première chose que je me suis dite en ouvrant ce bouquin, c’est que Laurent Terry s’était bien compliqué les choses. Partir d’un héros que l’on défigure, dont on change les empreintes digitales et que l’on place en Colombie, quel défi ! Et c’est un défi fort bien relevé.



Car j’ai trouvé toutes les qualités d’un très bon thriller : Des chapitres courts avec un style fluide, un héros (en fait il y en a plusieurs) et des personnages réalistes, une intrigue bien menée et avec logique, un suspense bien entretenu avec des dénouements et des nouveautés savamment parsemées. Clairement, ce livre comporte toutes les qualités d’un très bon page-turner comme ils disent de l’autre coté de l’Atlantique.



Je peux même ajouter que, arrivé vers la page 200, j’ai préféré lire ce livre que de dormir. Ce qui fait que les nuits sont courtes, car le réveil, lui, est impitoyable. Car si le rythme est plutôt lent au début, tout d’un coup, dès que Thomas rentre aux Etats-Unis, le rythme s’accélère et c’est réellement difficile de le lâcher. Et tout le talent de Laurent Terry tient dans sa façon de mener et diriger son intrigue que dans sa construction qui elle est assez classique, passant un chapitre pour chaque protagoniste principal.



Je me rappelle avoir lu dans un blog sur une critique de thriller français que le blogueur en question préférait définitivement les romans américains et que l’on ne savait pas faire ce genre de roman en France. Eh bien, détrompez vous ! Usurpé démontre que, en France, on est capable de faire de très bon thrillers et celui est un excellent divertissement pour l’été qui s’annonce.
Lien : http://black-novel.over-blog..

Thomas Eckelton, devenu très riche grâce à son moteur de recherche Purple, se réveille en costume au coeur d'El Paraíso, bidonville très dangereux de Bogotá. Sans papier, il pense trouver de l'aide à l'ambassade américaine. Mais il découvre qu'il n'est plus lui, qu'on le croit mort et le visage inconnu qu'il observe dans le mirroir lui prouve que quelq'un veut sa perte. Pendant ce temps, à San Francisco, une équipe du FBI est à sa recherche.



Premier partenariat avec BoB et bonne surprise.



Même si je n'ai pas trouvé l'intrigue exceptionnelle, elle fait son petit effet. J'ai lu ce roman en 3 jours (ou plutôt nuits) et j'avais vraiment envie de savoir ce qui allait se passer. J'ai immédiatement pensé que l'enlèvement avait un lien avec sa compagnie et le prologue m'avait déjà titillée...mais je n'avais pas imaginé les tenants et les aboutissants.



Je trouve donc que le talent de l'auteur réside surtout dans sa façon de raconter, d'ammener les personnages et les rebondissements et la façon dont il a choisi d'organiser sa narration. Les chapitres sont assez courts et alternent, quasiment tous et presque jusqu'à la fin, entre le point de vue de Thomas et ses périgrinations pour découvrir ce qui lui est arrivé, et l'enquête des agents du FBI avec quelques incursions dans leur vie privée.

A la fin de nombreux chapitres, l'action reste en suspens. Je me suis donc précipitée pour lire le suivant pour pouvoir lire celui d'après mais oh! zut à nouveau une question, vite, lire le suivant pour lire celui d'après et ainsi de suite...très malin Monsieur Terry pour nous scotcher au livre!



Le rythme accélère et l'écriture étant agréable et fluide, c'est un plaisir d'avancer dans la lecture.



Seul petit bémol pour moi : je n'ai pas vraiment accroché aux personnages principaux.

Ce qui arrive à Thomas, c'est bien fait pour lui, le "vieil" agent du FBI ne m'a pas émue, le "jeune" m'a exaspérée...Mais j'ai bien apprécié les seconds rôles : Maria à Bogotá, Lewis Durp, le bras droit de Thomas ou le seul agent féminin du FBI, par exemple.



Merci BoB et merci aux Editions Plon également pour m'avoir fait découvrir un auteur que je n'aurais sans doute pas découvert toute seule. Quoique le titre de la collection "Nuit blanche" m'avait déjà interpellée. Une bonne surprise au final, un bon moment de lecture délassante.


Lien : http://canarylit.canalblog.c..

Manipulé, ce titre illustre bien le propos de ce livre que vous aurez je le souhaite entre les mains. Manipulé, ce héros sans nul doute l'est. L'intrigue particulièrement bien construite, s'enchaîne avec une lenteur qui vous donne l'envie de laisser tomber ce livre. Mais je vous conseille de persévérer. Ou vous aussi vous êtes manipulé par l'auteur jusqu'au moment ou proche de la résolution de ce scandale retentissant vous êtes aspiré par l'accélération de cet histoire et vous n'avez de cesse que de tourner les pages de ce livre jusqu'à la dernière ligne, qui vous aura réservé des surprises digne des meilleurs Thriller. Un livre à lire et que je ne peux que vous conseiller, pour ceux qui apprécie cette catégorie Thriller.

Ce bouquin m'a tenu en haleine du début à la fin. L'auteur à une écriture agréable, qui donne envie de tourner les pages de plus en plus vite. Les personnages sont très vivant et attachant.



On sent que l'auteur s'est documenté mais l'information diffusée n'est pas aussi complète et complexe que dans un thriller de Thilliez.



Je trouve la fin très bien ficelée et regrette juste que le bouquin ne soit pas assez sanglant!

Vraiment bon.

Voilà un thriller qui joue bien son rôle, celui qu'on lui demande: des nuits blanches!

Non pas parce qu'il est gore, qu'il fait frissonner d'horreur, non pas du tout. Mais seulement parce qu'il est passionnant, que l'auteur maîtrise à merveille l'effet page-turner et qu'on ne peut s'empêcher malgré l'heure avancée de se dire: "Allez, encore un petit chapitre"...



la suite sur le blog
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Happée dès le début par le rythme du roman, j'ai eu du mal à m'en détacher... mais pas de nuit blanche, ce n'est pas raisonnable... Donc, en 2 jours.

Tout s'enchaîne, pas de temps mort, on fonce on VEUT savoir qui est derrière tout ça et si ce "petit" self made man va s'en sortir indemne physiquement et psychologiquement...

Excellent merci Laurent !

Je dois avouer que j'ai eu quelques lacunes à accrocher dans la première partie de ce roman. Un personnage enlevé à sa vie de riche businessman, envoyé dans un pays complétement différent, sans rien, c'est assez... commun. Et malgré son changement de visage, rien ne me faisait penser que la suite allait être bien meilleure. D'ailleurs, j'avais deviné dés le début comment s'était déroulé son changement de visage, mais heureusement mon don de devin s'arrête là.



Dés la deuxième partie du roman, l'histoire est menée tambour battant et il est difficile de s'arrêter pour ne pas en savoir plus. Malgré la déception de la première partie, le roman prend de l'ampleur et on a même tendance à accélérer le rythme de la lecture pour connaître le pourquoi du comment.



Je regrette que les personnage secondaires ne soient pas plus attachants parce que j'aurais bien aimé m'imprégner encore plus de l'intimité de certains agents du FBI. Les scènes et les décors sont bien décrits et sans fioritures, l'accent étant constamment mis sur le personnage principal.



En somme, j'ai trouvé ce roman assez bon, mais dommage que la première partie et certains détails comme les personnages m'aient déçu.


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