« C'est un livre sur l'histoire des numéros deux et notamment un numéro deux : celui qui était en finale face à Daniel Radcliffe pendant le casting d'Harry Potter. »
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Découvrez l'entretien de David Foenkinos, qui répond à nos questions sur son nouveau roman : Numéro deux
« Au-delà des destins brisés, c'est vrai que mes romans reviennent beaucoup sur cette dynamique de la seconde vie, de la seconde chance. C'est quelque chose de très personnel. J'ai été opéré du coeur à l'âge de seize ans et j'ai eu le sentiment d'être propulsé dans une deuxième vie à ce moment-là. Une vie marquée par le goût des livres et de la beauté d'une manière générale. »
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« Avec ce roman, à la fois drôle et mélancolique, cruel et souvent grave, David Foenkinos mêle habilement le vrai et le faux. Une idée formidable que l'histoire de cet enfant qui aurait pu être une star planétaire et qui ne le sera jamais. »
Laurence Caracalla, Le Figaro Littéraire
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« David Foenkinos transforme une idée géniale en un roman captivant. »
Corinne Renou-Nativel, La Croix
Découvrez le livre https://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Blanche/Numero-deux
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Dans un restaurant, le Premier Ministre Britannique David Lloyd George cherche les toilettes. Churchill lui désigne une porte: "Là-bas, au fond: vous verrez écrit "Gentelmen". Vous entrerez quand même."
Mirabeau à l'abbé Maury:
"Vous êtes le dernier des hommes!
- Vicomte, vous vous oubliez..."
Pour moi, arsouille, même s'il est qualifié de familier dans nos dictionnaires, a des avantages que ses synonymes comme voyou, vaurien, crapules... n'ont pas.
Le premier est qu'il est à la fois masculin et féminin [...]
Le second c'est qu'il rime avec andouille
Le troisième, et pas des moindres, est que son sens étant finalement assez vague, il peu s'appliquer dans de nombreux cas...
L'hyperbole
L'hyperbole est par excellence, la figure de style de l'exagération, elle consiste à exprimer une idée au moyen de terme porteur d'exagération. Elle est très fréquente dans la langue quotidienne :
"j'ai déjà vu ce film mille fois".
Dompter les difficultés dans lla bonne humeur.
On se souvient du crix de Belise : "Veux tu offenser la grammaire?" et la réponse de la brave Martiine : "Qui parle d'offenser grand'mère ni grand-père?"
Dans cette guerre asymétrique qui nous est livrée, pour une fois on a vu au grand jour la machine diabolique tisser sa toile d'araignée pour atteindre sa proie, un des nôtres le professeur Samuel Paty qui a commis le zèle de faire un cours sur le blasphème à ses élèves. Il s'en est fallu de peu pour que l'Education Nationale accède aux désirs de l'ennemi et couvre ses ignominies assassines dans un pas de vagues retentissant. Que n'a-t-elle pas fait jusqu'à présent pour souffler sur les braises donnant le sentiment plus du cloaque que du sanctuaire ?
Personnellement, je vomis ce machiavélisme de L'Education Nationale qui retourne sa veste et se donne subitement bonne conscience eu égard la célébration de la date anniversaire de la mort abominable d'un des siens qu'elle a envoyé au casse-pipe !
"Trop de manuscrit se contente de raconter une expérience personnelle."
Il n'y a pas d'écriture sans prise de risque. Quand on écrit, on s'expose à l'humiliation, à la honte, à la critique. Il faut le dire : écrire n'est pas seulement une aptitude, une activité exaltante, mais aussi une expérience quotidienne de la défaite et, ponctuellement, du rejet. Karine Tuil
De nombreux auteurs qui souhaitent à tout prix être publiés passent par ces "éditeurs", qui sont le plus souvent des escrocs. Nous avons fait un test : on leur a envoyé "Madame Bovary", ils n'y ont vu que du feu, et nous ont proposé de payer pour le publier. Edifiant.
André Gide aimait s’encanailler avec de jeunes garçons. En voyage en Afrique du Nord, il renvoie l’un d’eux à son village, non sans lui avoir donné un peu d’argent :
« Et surtout , mon brave petit, n’oublie jamais combien Monsieur Mauriac a été généreux avec toi... »