Citations de Lee Bermejo (33)
- Je croyais qu’utiliser des parents ou des enfants comme appâts, ça ne se faisait pas, à la chasse…
- La justice a un prix.
[commissaire Gordon, à propos de Batman] Ne vous y trompez pas. Il n'est pas mauvais...Mais je dirais qu'il est sur le fil. Et parfois, il fait un pas de côté, un pas que vous et moi hésiterions à accomplir. Rester trop longtemps de l'autre côté, c'est courir le risque de le perdre de vue, le fil. Et sa vision se brouille, parfois. Alors j'aime à penser que je suis les lunettes dont il a parfois besoin pour y voir clair.
On mesure les choix d'un homme à ce à quoi il a dû renoncer pour eux.
[Superman] Ça ressemble à une pneumonie...Ou même à quelque chose de plus sérieux.
[Batman] Ha ! Koff ! Koff ! J'adore la façon dont tu en parles, comme si tu savais ce que ça fait...Les kryptoniens ne sont pas souvent malades, je crois ? Laisse les avis médicaux aux professionnels...Tu n'as personne à sauver en ce bas-monde, ce soir ?
[Superman] Si. Toi.
[Superman] Si le père est impliqué, il pourrait finir en prison. Ou pire...Il pourrait...
[Batman] Alors, ça diminuera la population criminelle encore en liberté...
[Superman] Et que feras-tu, à propos du garçon ?
[Batman] Je lui ferai peur. Tellement peur qu'il n'osera pas suivre le même chemin que son père.
[Superman] Je ne crois pas que ce soit comme ça qu'il faille agir, Bruce.
[Alfred] Puis-je me permettre de hasarder que vous avez attraper froid en cavalant dehors par des nuits glaciales ? Ou cette supposition est-elle par trop absurde ?
[Batman] Je ne suis pas malade, Alfred. Ce sont juste les changements de température et l'humidité de la cave.
[Alfred] Oui, très certainement. Après tout, il serait inconcevable que le chevalier noir ait le nez qui coule.
[Luthor à Superman] Tu es mon cauchemar. Mais même en te contemplant, toi l'abîme, je n'ai pas peur. Crois-moi. Parce que quoi que tu puisses être...j'ai quelque chose de plus. J'ai l'espoir.
[Luthor à Superman] Tous les hommes sont égaux. Les hommes. Et tu n'en es pas un. Mais ils ont fait de toi leur héros...et ils te vénèrent. Alors, dis-moi...quelle rédemption leur offres-tu ?
Je crois qu'un homme peut changer. Mais le changement est une chose tellement puissante...une idée tellement énorme que je veux croire que ce n'est pas juste une question de choix. Des forces extérieures doivent entrer en jeu...Des forces élémentaires.
Journal de Rorschach :
Fait indéniable, nié par tous : le cœur du monde est froid. ça ne compte pas, où vous vivez, où vous mourez, comment vous vivez, comment vous mourez. Pour le monde, vous ne comptez pas.
[Catwoman] Je t'ai entendu respirer de loin...Tu te fais vieux, ou c'est juste l'air glacial des longues nuits d'hiver ?
[Batman] Selina, je ne suis pas d'humeur.
[Catwoman] Mais, mon chou, je suis née pour te mettre d'humeur...
Ce n'est pas moi qui suis enfermé avec vous, mais vous qui êtes enfermés avec moi !
Tu as déjà fait ce rêve dans lequel tu tombes... Et tu as vraiment l'impression de tomber pour de bon?
Et quand tu te réveilles, tu as encore cette sensation que la gravité t'entraîne vers le bas?
Maximus : À mon signal, déchaîne les enfers.
Ne t'excuse jamais pour ce dont tu as l'air.
Dans leurs derniers moments la plupart des gens révèlent qui ils sont réellement.
Toi, tu refuses de me tuer par principe. Et moi, je refuse de te tuer parce que tu es tellement amusant.
Journal de Rorschach. 11 juillet 1977 : [...] Il sent très sûr de lui. Il n'y a que ça pour expliquer une autre victime aussi tôt. Se croit insaisissable. La ville est sur les nerfs.
Sûrement son intention.
Le rasoir n'est plus sa seule arme. Joue des craintes du public comme sur un piano...
Fait monter l'angoisse à un niveau insoutenable.
Il s’était résigné au fait que la vie était une bataille sans fin.
Poussé à vivre dans les ombres…
Le seul moyen de combattre les monstres était d’en devenir un lui-même.
Tu sais, les choses ne sont pas toujours en noir et blanc comme ça...
Parfois, même les gens biens font des choses mal.