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3.58/5 (sur 140 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Lindsey Kelk est auteur de chick lit, blogueuse et éditrice de livres pour enfants.

Elle a déjà écrit trois best-sellers : I Heart New York (2009), I Heart Hollywood (2010) et I Heart Paris (2010).

Elle vit actuellement à Park Slope, Brooklyn.

site:
http://lindseykelk.wordpress.com/

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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
C'était la deuxième fois en deux jours que j'étais persuadée qu'on allait me tuer. Quand j'avais un copain, il pouvait se passer des semaines voire des mois sans que je redoute un homicide. J'espérais qu'il s'agissait de cafouillages liés à cette période transitoire et que ça ne faisait pas partie intégrante de la vie de célibataire.
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Il traça les contours e l'encre sur mon poignet. Encore un frisson. Oh, putain, non. Pas question de ressentir des trucs de fille pour Dan, même après trois verres de champagne et quelques légères caresses.
J'avais la voix qui tremblait sans le vouloir. Satanés ovaires qui ne me demandaient pas mon avis.
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Certains journalistes cherchent juste à obtenir le scoop le plus scandaleux qu’ils puissent trouver. J’ai peur que vous ne soyez un peu déçue. Si seulement ma vie était aussi excitante qu’elle en a l’air dans la presse…
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Ouvrir la porte me prit une éternité. Lorsque je réussis enfin à entrer et que j’appuyai sur l’interrupteur, j’illuminai cinq années de bons souvenirs sur les murs du couloir. Des photos de vacances, des tickets de concert, des serviettes de restaurants, des cartes postales, les objets que nous avions collectionnés durant notre relation, encadrés et suspendus. Il y avait même l’addition du bar de notre premier rendez-vous. Il l’avait conservée et me l’avait donnée le jour où nous avions emménagé ensemble. Comment avait-on pu en arriver là ?
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Juste au moment où j’allais retirer de l’argent, le lien « comptes rattachés » attira mon regard. Notre compte commun. J’appuyai sur le bouton, juste pour voir. Il était très, très bien approvisionné. Selon un arrangement de longue date entre Mark et moi, il était entendu que je mettais chaque mois une certaine somme dessus pour couvrir la moitié du remboursement de notre emprunt immobilier et des factures, et que lui les payait toutes. À en juger par ce que je voyais, Mark réglait bien plus que la moitié de nos factures depuis un moment déjà, et ne m’en avait jamais parlé. Un bref instant, mon coeur se serra de tendresse : peut-être n’était-il pas entièrement mauvais ; il veillait sur moi, finalement.

Et puis un diable apparut sur mon épaule, pour me rappeler son pitoyable visage en sueur. Avant de prendre conscience de ce que je faisais, je transférai la moitié de l’argent sur mon compte personnel. Cette somme n’allait pas vraiment lui manquer, il gagnait une fortune ; et, en toute justice, cette moitié m’appartenait. Et, surtout, ça couvrait mes folles dépenses de la matinée. Problème, solution.
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« Cher Simon,

Il y a deux ou trois choses que je voulais te dire et que je n’ai pas réussi à formuler la dernière fois qu’on s’est vus. Comme j’ai eu plus d’une heure pour y réfléchir, ça ne sera pas un ramassis d’incohérences et tu auras la réponse réfléchie et éloquente que ton comportement de ces derniers temps mérite. Tu es un lâche. Un lâche faible et pathétique qui ne mérite pas d’être heureux. Tu ne mérites même pas d’être malheureux. Tu mérites d’être seul, pitoyable, comme ces petits vieux qui meurent dans une maison pleine de merde parce que personne n’a pris la peine de venir vérifier qu’ils jetaient leurs déchets. Et quand on défoncera ta porte, alarmé par la puanteur de ton corps en putréfaction, on découvrira des poubelles remplies de plats à emporter datant de 1997. Et des tonnes de chats. Tu mérites de mourir entouré de chats enragés.

Je ne t’en veux pas parce que tu m’as quittée ; je t’en veux pour la façon dont tu l’as fait. Tu m’as dit qu’on faisait juste une pause, qu’on ne se séparait pas. Ce sont tes propres mots. D’habitude, quand on dit quelque chose à quelqu’un, surtout si on l’aime, qu’on vit avec, qu’on a acheté une maison avec, on le pense. Bien sûr, tu risques de ne pas comprendre parce que tu as un pénis et que ça rend les choses moins évidentes pour toi. Surtout quand il s’agit de faire la différence entre le bien et le mal, la vérité et les mensonges. Les choses auraient pu être simples. Mais non, tu n’as pas eu assez de couilles pour m’annoncer que tu voulais rompre avec moi, alors, en bon petit hypocrite, tu t’es terré dans la chambre d’amis, en attendant que je me fatigue de toi et que je te quitte.

C’est pathétique. Tu es pathétique. Je t’en veux parce que tu es pathétique. Je pensais sincèrement qu’on avait un avenir ensemble. Je pensais que tu voulais des enfants et fonder une famille, mais non, tu préfères coucher à droite à gauche dans Londres. J’espère que ça marchera et que tu n’attraperas pas quelque chose qui fera pourrir et tomber ta queue. Tu n’as pas le droit de traiter une personne que tu prétends aimer de la façon dont tu m’as traitée. Tu n’as pas le droit de dire quelque chose et de changer d’avis deux secondes plus tard. Tu n’as pas le droit de croire qu’on puisse lire dans tes pensées. Tu n’as pas le droit de demander à quelqu’un de venir à Sydney ou à Toronto et de croire qu’il comprendra tes intentions.

Bref. Je voulais simplement qu’on soit heureux. Désolée si ce n’était pas suffisant pour toi. Navrée que tu sois faible et handicapé des sentiments, tu as fait la plus belle bourde de ta vie, mais, soyons honnêtes, tu m’as sûrement rendu un grand service. Je suis quelqu’un de bien. Trop bien pour toi. Au fait, la prochaine fois que je te croiserai dans la rue, je traverserai sans même te faire un signe. Nous ne sommes pas amis. Tu es une poule mouillée. Tu voudrais être ami avec une poule mouillée, toi ? Non, c’est bien ce que je pensais.
Bonne continuation,
Rachel. »
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Écrire mon blog, c’était facile. Il y avait toujours quelque chose d’intéressant à raconter, et n’importe qui pouvait faire la critique de quelques bouquins et même de CD. Il suffisait de balancer deux cents ou trois cents mots. Mais là, pas moyen de bluffer. C’était une occasion en or pour moi en tant que journaliste, je ne pouvais pas le nier. Mais c’était également une occasion inouïe de me retrouver le cul par terre. Après tout, je n’étais qu’une « amatrice ». En allant chez Alex, je me voyais en boucle en train de sauter depuis le « H » de Hollywood, une photo dédicacée de James Jacobs à la main.
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J’avais besoin de nouvelles chaussures pour aller avec ma nouvelle coupe. Et d’un nouveau petit ami pour aller avec mes nouvelles chaussures. On tomberait follement amoureux, on se fiancerait, on aurait un bébé, puis on tomberait sur Simon au barbecue d’un ami commun. Réalisant à quel point j’étais merveilleuse, il se rendrait compte de son erreur et irait se jeter d’un pont. Bon, qui allait pouvoir organiser ce barbecue ?
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Quelle importance si les personnes qui m’entouraient n’étaient pas celles avec qui j’avais grandi ni celles qui m’avaient appris à faire du vélo ? C’étaient les gens qui m’avaient appris à prendre le métro new-yorkais et à rester debout dans la tourmente. Ou, en tout cas, à me relever lorsque je tombais sur les fesses après avoir trop bu.
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Pour satisfaire mes ambitions journalistiques, ma rédactrice me confiait de temps à autre la critique d’un bouquin ou d’un disque lorsque la revue avait besoin d’une petite main supplémentaire. Mais, à mes yeux, le plus excitant, c’était la chronique que je tenais dans l’édition anglaise du magazine, au grand désespoir de ma mère.
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