Citations de Livia Meinzolt (24)
Il refuse le dogme et l'idéologie sectaire qui limite au lieu d'élever, d'étendre et il considère l'orientation politique comme un piège. Une autre case, une autre étiquette, mais toujours le même besoin de cataloguer, d'enfermer les idées dans des boîtes et des noms qui les vident de leur substance
Je préfère vivre pauvre mais riche de ma liberté et de mes choix. Ni la misère ni la précarité ne m’effraient s’il est à mes côtés.
Je le regarde, et il me semble comprendre chaque fibre de son être comme mon propre être. Il est le matin, il est le soir. Il est ce visage faussement gai, douloureusement moqueur, il est cette voix grave qui m’appelle la nuit, il est ces yeux qui n’appartiennent qu’à lui.
De son premier amour avait germé sa passion pour la Russie, mais aussi pour le ballet, la musique classique et le violoncelle.
Je ne veux rien de ce que je ne veux pas, je ne veux dépendre de personne et vivre à ma façon!. Je veux être libre, et ne rien devoir à personne.
Être entourée de livres, je crois que c’est la vision que je me suis toujours faite du paradis.
L’humanité est une atrocité que nous refusons de voir, mais qui est présente partout autour de nous. Nous la créons, nous y participons! Nous nous cachons derrière des mots, des idées, des conventions: nous sommes tous des monstres. La race humaine est viciée, gangrenée par sa propre maladie.
Je découvrais l’océan de ses yeux et ses paupières humides. Elle était beauté, grâce et force incarnées. Elle était la promesse de l’aube, le chant du crépuscule, une étoile naissante au ciel de ma vie, un rayon chatoyant dans la nuit. Mais son nom a figé mon avenir dans une prison de glace.
Il est ce visage faussement gai, douloureusement moqueur, il est cette voix grave qui m’appelle la nuit, il est ces yeux qui n’appartiennent qu’à lui…
J'aime ton côté grunge en mode grand-mère de quatre-vingts ans avec des pulls tricotés.
Je ne suis pas le genre de fille qu'on peut prendre par les sentiments. Par l'estomac, par contre, la réussite est quasiment assurée.
Nier notre complicité et notre compatibilité, à ce stade, reviendrait à nier le concept même de gravité, ou à affirmer que la terre est plate.
Rougir, ou comment être un livre ouvert sans avoir le choix.
Là est le pouvoir de la musique. Elle crée le bonheur.
J’ai été la fille de Personne pendant tellement d’années. Aujourd’hui, je suis la fille de mon père.
Amour, n'aie ni peur ni doute car notre envol est indomptable. Aucune chaîne, aucune mort ne le soumettra à son joug insatiable. Un jour nous verra réunis, où demain est éternel et où hier n'a de fin, car ils sont aujourd'hui pour toujours. Ce jour sera l'aube, le premier battement de notre éternité.
Depuis ce premier rayon caressant ton visage, je t'appartiens. Non pas comme un corps ou même un cœur appartient à l'autre, mais comme une âme se retrouve soudain dans la profondeur intime d'une autre. Je t'aime, plus que le ciel qui chaque aurore se pare des couleurs de ma passion. Mille fois j'aurais étreint tes larmes, j'aurais apaisé tes soupirs sous la coupe de mon sourire, et l'or du soir enivrant tes nuits aurait été mon offrande.
Voilà l’humilité : savoir et reconnaître que l’on ignore des choses. Là réside l’unique moyen d’évoluer. Toute personne qui oublie cela, qui se vante et estime n’avoir rien de plus à apprendre, se leurre et devient d’autant plus sotte. C’est sa prétention de savoir qui rend l’homme ignorant !
Il est un monde nouveau que je ne peux et ne veux découvrir sans lui. Et je me reproche cette pensée. Ce n’est pas lui qui détient la liberté et mon bonheur, c’est moi! Moi, et personne d’autre! Mais, je l’aime. Ni mon indépendance ni mon intégrité ne sont en danger à ses côtés.
{...}C’est justement là où réside la force de l’artiste. Utiliser la réalité pour mieux s’en émanciper. Et à ce stade, qu’importe d’être vu ou compris par seulement une poignée de personnes...