Citations de Liz H. Richardson (19)
« Et si je me laissais porter… Une petite voix dans ma tête me dit : et pourquoi pas ? »
Elle me contemplait toujours avec ce petit air, celui que les mamans ont en regardant leur enfant, vérifiant qu’ils sont en bonne santé.
« Nous sommes les descendantes des Euménides ou des Érinyes si tu préfères. Elles-mêmes étaient les filles de Gaïa, nées du sang d'Ouranos. »
« Je changeais de peau. Je n'étais plus Maelys Gorgona, mais Maedusa. »
« Ne fais pas ça… chuchoté-je.
Je ne fais rien… répond-elle de la même façon. C’est toi… toujours toi. »
En quoi ta douleur devrait être comparée à la sienne ? Il y a un compteur pour ça ? Je me suis fait torturer et violer, vingt points ; j’ai perdu l’homme que j’aimais, cinq points ? Tu crois que c’est comme ça que ça marche ? Chacun encaisse de manière différente et il n’y a pas de jugement à avoir sur la façon dont on le fait.
Le bonheur, il n’arrive pas tout seul. Il faut le chercher pour qu’il te soit révélé. Arrête de regarder ce qu’ont les autres et de les jalouser, demande-toi ce que tu souhaites réellement, et bats-toi pour l’obtenir.
En tant que femme, tu te dois de faire ce qui te fait envie, pas ce que te demande un homme, quel qu’il soit.
Leur vie est loin d’être aussi rose que tu te complais à le penser, mais pour t’en rendre compte, il faudrait que tu sortes de ta zone de confort. Et ça, tu t’y refuses. C’est tellement plus facile de détester les autres quand on ne les connaît pas vraiment.
« C’est Noël ! Qui sait ce que le père Noël a prévu pour toi cette année ? »
Le pardon est quelque chose de formidable, il rend heureux celui qui l’obtient et libère celui qui le donne.
Arrête de ressasser des décisions sur lesquelles tu n’as pas de prise, c’est une perte de temps !
Tu sais, la première coquille protectrice pour testicules a été inventée en 1874 pour le hockey sur glace. Le premier casque pour le gardien a été mis en place en 1974. 100 ans pour se rendre compte que leur cerveau était aussi important que leurs couilles, cela te donne une idée sur leurs perspectives d’évolution…
— J’adore, je la ressortirai ! applaudit Béné.
« Je vous ai transformée, vous êtes une vampire, Isabella. Vous êtes devenue ce que vous chassiez! »
« Tu es bien un monstre, ma chérie. Bienvenue parmi les tiens. Aucun de nous n'est normal, comme les autres l'entendent. Nous sommes des bâtards, des sang-mêlé, des impurs... c’est ainsi qu'on nous appelle. Mais tu as une famille maintenant, et nous allons faire de notre mieux pour que tu te découvres et que tu te maîtrises. D'accord ? »
« Je m'approchai de la télévision et contemplai un moment le roi Marius, avec sa famille. Je me mis à transpirer, prise d'une fébrilité intense. Mon cœur s'accéléra. Quoi que ce soit, cette famille avait un rapport avec mon passé, j'en étais certaine. Mais étaient-ils des amis ou des ennemis ? »
« Quel caractère ! Ma fille était forte, comme ses sœurs. Oui, elle allait remonter la pente et je savais qu'à toutes les trois, elles ne craignaient rien ni personne. »
Son regard ne me quittait pas, il alternait entre mes yeux et ma bouche, comme s'il avait très envie de m'embrasser. Noël était en avance cette année, j'avais déjà mon cadeau !
« Tu sais que ton pouvoir est là, il faut que tu le ressentes et que tu le diriges. Tu en es tout à fait capable ! »