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Citations de Loïc Locatelli Kournwsky (16)


IL est fâcheux que l'idée philosophique ne pénètre pas dans les masses . Elles ne deviendront sérieusement révolutionnaires que par l'athéisme . Jusque là il n'y aura que de la crème fouettée .
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Le trident de Neptune est le spectre du monde.
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Le retour de la goule...
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Tout ignorant est un serf ou un instrument de la servitude. L'instrument de la délivrance n'est pas le bras, mais le cerveau ! Le plan de crétinisation universelle s'aacomplit sans relâche !
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Le peuple demande de l'Assemblée nationale qu'elle s'occupe instamment de rétablir les moyens de travail, de donner de l'ouvrage et du pain à ces milliers de citoyens qui en manquent aujourd'hui.
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Est-ce que les hommes blancs agissent toujours ainsi ? A se faire victimes quand ils sont assassins ?
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Qu’ils sont médiocres les petits esprits qui jugent une vie par sa racine et non le chemin qu’elle prend! Et ma vie peut témoigner que toujours mon cœur, s’est battu au sein du prolétariat.
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L’instrument de la délivrance n’est pas le bras mais le cerveau. Auguste Blanqui
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Les organes ministériels répètent avec complaisance qu'il y a des voies ouvertes aux doléances des prolétaires, que les lois leur présentent des moyens réguliers d'obtenir place pour leurs intérêts. C'est une dérision. Le fisc est là, qui les poursuit de sa gueule béante ; il faut travailler, travailler nuit et jour pour jeter incessamment de la pâture à la faim toujours renaissante de ce gouffre ; bien heureux s'il leur reste quelques bribes pour tromper celle de leurs enfants.
Le peuple n'écrit pas dans les journaux ; il n'envoie pas de pétition aux chambres : ce serait temps perdu. Bien plus, toutes les voix qui ont un retentissement ans la sphère politique, les voix des salons, celles des boutiques, des cafés, en un mot de tous les lieux où se forme ce qu'on appelle l'opinion publique, ces voix sont celles des privilégiés ; pas une n'appartient au peuple ; il est muet ; il végète éloigné de ces hautes régions où se règlent ses destinées.
Lorsque, par hasard, la tribune ou la presse laissent échapper quelques paroles de pitié sur sa misère, on se hâte de leur imposer silence au nom de la sûreté publique, qui défend de toucher à ces questions brûlantes, ou bien on crie à l'anarchie.
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p.77.
- Mais comment ils ont pu être aussi stupides pour croire ça ! Ils ne se rendaient pas compte qu'ils allaient massacrer des innocents ? À leur place j'aurais... J'aurais...
- Tu aurais fait quoi ? Ils crevaient la faim, ces gens-là ! Ils voyaient leurs enfants grandir dans la misère, dans ces ruines stériles desquelles nous sommes toujours prisonniers ! Et la faute à qui ? Qui se prélasse tranquillement dans vos beaux quartiers, mange à sa faim et écrit ensuite ces discours pleins d'orgueil qui ont tant de succès chez vous ? Le camp des vainqueurs s'arrange toujours pour se donner le beau rôle, n'est-ce pas ?
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p.70-1.
J'ai été naïve. Je m'insurgeais contre les atrocités des soldats infernaux et je m'aperçois avec effroi et tristesse que les pires sauvageries naissent parfois dans notre camp. Tout n'est que ruine sur notre passage, et des gens qui courent, perdus, démunis, délogés. Il y a des jours où je suis assignée aux soins des blessés, soldats d'Éleusis ou civils des Enfers. Ces jours-là sont les pires. J'imaginais avoir été affectée ici pour venir en aide à ces gens en souffrance... mais pour eux je ne suis qu'une meurtrière de plus amenée dans les bagages d'Éleusis. Et j'ai peur qu'ils n'aient raison. Il faut mettre un terme à cette guerre très vite !
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Si l'esclavage n'existe plus en droit, il subsiste en fait.
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Quand elle me regarde... qu'elle me sourit... elle effacé de son visage rond la douleur de mes plaies...
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- Tout est mort. Les maiaks ont détruit un trop grand espace. Rien ne repoussera ici avant de nombreuses lunes. Les animaux sont partis plus à l'Ouest. Beaucoup d'entre eux ont péri.
- Pourquoi est-ce qu'ils font ça ?
- Agrandir le fort, agrandir les maisons et leur village pour faire venir d'autres maiaks, qui pourront couper plus d'arbres plus vite pour construire d'autres maisons, et ainsi de suite...
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