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Critiques de Lorenzo Palloni (35)
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Burn Baby Burn

Club N°50 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique

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Bon polar qui évoque les émeutes ayant eues lieu à Los Angeles en 1965 et 1992.



On se perd un peu tant il y a de personnages qui sont traités.



Malgré tout, on reste suspendu au récit grâce à une histoire jamais manichéenne et des anti-héros attachants.



David

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Intrigue complexe, personnages très nombreux : pas évident à suivre (le dessin n'aide pas) mais cela reste quand même un très bon polar ayant pour fond les émeutes raciales de 1965 et 1992.



Clément

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Bonne histoire scindée entre deux époques et ou l'on retrouve les personnages vieillis parfois même difficiles à reconnaitre...



Donc s'il faut s'y coller c'est sûr mais je trouve quand même que ça vaut le coup...



Jérôme

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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Gravity level, tome 1 : Désertion

J’ai tout de suite été attiré par le graphisme superbe et original, le trait est assez brut, pas toujours au noir, la colorisation est lumineuse et vivante, il y a beaucoup d’imagination dans les décors, l’alternance des mises en pages, entre pages classiques et pages destructurées ou pleines pages, donne une rythme soutenu et intense au récit, graphiquement, c’est très intéressant.

L'histoire, c’est du post-apocalyptique. La gravité à disparu brusquement sur terre, la vie a dû se reconstruire. On se retrouve 500 ans après la catastrophe avec un groupe d’ados rebelles. Pour le récit, je suis beaucoup moins enthousiaste que pour le graphisme. C’est tout le contraire de l’originalité, les personnages sont caricaturaux et stéréotypés, une bande d’ados agaçants, les mêmes rebelles qu’on rencontre dans presque toutes les séries post-apocalyptiques pour ados, j’ai l’impression que c’est toujours les mêmes, et les dialogues confortent cette impression. Ce premier tome n’est qu’une mise en place des personnages et des évènements, alors qu’il n’est prévu que deux tomes. J’ai l’impression que le scénariste n’a pas su se mettre au niveau du graphisme, on est dans l’originalité et l’inventivité d’un côté, et dans le stéréotype classique de l’autre. En fait, graphisme et scénario ne s’accordent pas vraiment, parfois le graphisme nous perd dans des envolées lyriques alors que le scénario reste terre à terre, il y a un décrochage. Je lirai quand même la suite, en espérant une bonne surprise.

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Gravity level, tome 2 : Désolation

J’ai beaucoup aimé le graphisme de cette bande dessinée, coloré, vivant, plein d’imagination et d’inventions, avec un trait moderne s’ordonnant à partir de tâches, une colorisation riche et intense, ne négligeant pas les subtilités. L’utilisation de la technologie numérique de la palette graphique est intelligemment utilisée, ne tentant pas de concurrencer les techniques traditionnelles, proposant un style très actuel. Le fond de l’histoire est aussi très intéressant, c’est un récit post apocalyptique, la terre est détruite, la gravité n’opère plus qu’en de rares endroits. Notre groupe d’ados, échappé de leur cité est parti dans une expédition très périlleuse, Le récit est bien mené, bien rythmé, l’aventure est prenante. Mais il y a un petit bémol, les interactions entre les personnages, le ton des dialogues, la structure même du groupe, tout cela manque totalement d’originalité, on sent beaucoup trop les stéréotypes à la mode : les ados rebelles en autonomie qui se disputent, qui meurent, qui découvrent les vraies valeurs… J’en ai déjà trop lu dans ce genre et je commence à saturer, les personnages m'ont souvent agacés. Dommage que la belle originalité dans de nombreux aspects soit dévalorisée par le formatage stéréotypé et pas très approfondi des personnages.
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The Corner

J’ai eu du mal à entrer dans cette lecture.

Le trait est but, rapide et vif, presque rageux, les décors anguleux, les nuances jouent de hachures et du rapport des deux couleurs de la bichromie, un noir et un ocre assez neutre. L’agressivité du trait rend parfois la lecture un peu hachée, il faut un certain temps pour que la lecture se fluidifie, mais cette dureté correspond au ton du récit, jouant sur les ambiguïtés et les non-dits.

Le personnage de Serpio reste longtemps énigmatique, mais les autres aussi, de quelque bord qu’ils soient, mais une fois qu’on se rend compte que cette confusion était nécessaire, cette lecture devient passionnante. À peu près tous les personnages jouent un jeu trouble, et tout l’intérêt de cette histoire se porte sur les zones d’ombres de chacun, ces caractères aux contours flous s’avèrent d’une grande richesse et ils donnent leur force et leur intensité au récit. Les différents milieux s’imbriquent les un les autres, les frontières sont floues, le flic est ripoux, le mafieux est un anarchiste infiltré, et des affaires d’états viennent s’imbriquer avec celles de la mafia. On est en1920 aux Etats-Unis, Serpio est d’ailleurs un ami de Mario Buda, acteur important dans ce récit. Ce Mario Buda est un personnage réel de l’Histoire, il est en rapport avec l’affaire Sacco et Vanzetti, et ouvertement reconnu comme impliqué dans l’attentat de Wall Street (9 septembre 1920), considéré comme l’inventeur de l’attentat à la voiture piégée. Dans cet imbroglio, on découvre les différents milieux italiens d’Amérique. Le ton oscille entre le road movie, western moderne avec fuite dans l’Amérique profonde et les récits mafieux de l’époque de la prohibition. Boston, New-york sont les cadres de l’aventure, avec une expédition jusqu’au Mexique, il est question de vengeance, d’histoire de famille, d’idéaux politiques, tous ces éléments ne font pas forcément bon ménage, fusillades et passages à tabac s'enchaînent, et la fin est à la hauteur de la tension du récit.

Après avoir eu du mal à entrer dans cette histoire, je ferme ce livre totalement enthousiasmé, c’est vraiment une bonne surprise.
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Emma Wrong

Voici un titre qui ne laisse pas de marbre ! Véritable expérience de lecture, Emma W[r]ong est une oeuvre hybride. Sous couvert de roman d'espionnage à la Les dix petits nègres sauce guerre froide, ne s'agirait-il pas plutôt d'une histoire d'amour, ou d'une quête de soi cachée derrière la traque de l'autre ? C'est un peu tout ça, Emma Wrong. Et d'autres choses que j'oublie certainement.

S'efforçant d'être originale dans son scénario comme dans sa forme, cette bande-dessinée essaie peut-être trop, quitte à perdre son lecteur. Fondamentalement esthétique, ce one-shot prend des risques pour aller au bout de sa démarche et en assume les conséquences. J'ai apprécié cette démarche, mais n'ai pas vraiment adhéré à l'intrigue. En revanche, j'ai beaucoup aimé me faire balader entre l'ordre des cases souvent peu lisible, des explosions de couleurs et des accumulations épileptiques d'informations visuelles.
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Emma Wrong

Il y a malheureusement des bds que je lis où je n'y arrive vraiment pas avec toute la meilleure volonté du monde. Cela passe ou cela casse. Parfois, il y a une voie médiane où cela reste tout de même acceptable à la lecture sans que j'aime forcément. Tout dépend de la façon dont le scénariste arrive à nous happer dans le récit. Là, j'avoue avoir très vite décroché. Après, c'est très difficile de raccrocher aux wagons. Il y a parfois un savoir-faire que manifestement certains auteurs ne possèdent pas sans vouloir les offenser ou viser quelqu'un en particulier.



Je comprends que le récit est lié au premier essai nucléaire sur le sol américain dans le désert du Nevada. Le cadavre d'une femme flottant dans une piscine va donner lieu à tout une obscure histoire dont on va vite perdre le fil. Il s'agit en gros d'une femme fatale sur fond de huis clos dans le milieu de l’espionnage.



Même le graphisme m'a paru assez bizarre dans un style très épuré mais aux couleurs assez kitch.



Ma foi, je n'ai pas adhéré. C'est ainsi.
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Burn Baby Burn

Un beau format à l’italienne pour cet album paru chez Sarbacane de Lorenzo Palloni (The corner, Effroyable Sherman, entre autres).



Un beau livre qui cache un récit noir, violent, rageur placé entre 2 époques connues pour leurs émeutes à Los Angeles : août 1965 et avril 1992. Le lien entre les deux : un serial killer profite des émeutes pour tuer et carboniser, en 65 des macs et des prostituées, en 92 des flics ayant sévi pendant les premières émeutes.



Les pages sont noires, le dessin est en bichromie orange/noir ou bleu/noir selon que l’on suive les émeutes de 65 ou celles de 92. Le découpage est vif, rapide comme le dessin. Certaines cases sont petites et j’ai parfois eu du mal à suivre et à saisir ce qu’il se passait. Mais je dois reconnaître que le rendu est puissant et que j’ai ressenti fortement cette violence, la tension de l’enquête, la rage de la population noire. J’ai finalement constaté que ce livre avait exercé sur moi un certain pouvoir, entre attraction et répulsion.



Car ce n’est pas une lecture aisée comme si Lorenzo Palloni avait fait en sorte que celui qui tourne les pages souffre lui aussi, comme les protagonistes de l’histoire. Une réussite narrative qui ne doit pas t’effrayer, au contraire. Encore une découverte forte chez Saracane !

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La Louve

C’était le temps où le paquet de Camélia coûtait deux euros cinquante, juste avant que ça n’augmente !

Une lecture attentive est indispensable …

Un album carré … copieux, plus de 180 pages fournies …

Vingt chapitres … séparés par une page noire pour se vider la tête …

Le cadrage classique, neuf cases par page de taille identique … racontant l’histoire …

Cases à suivre …

Parfois linéairement …

D’autres fois deux cases par deux cases en verticale pour montrer l’action …

Ou encore pleine page, neuf cases représentant la scène pour nous montrer l’ambiance …

Ou juste une petit case perdue au milieu d’une page … pour les moments de calme, où on reprend son souffle …

Plus perturbant, trois colonnes de trois cases à lire verticalement … pour raconter trois moments de l’histoire qui s’emballe …

C’est la grande originalité de ce roman graphique hors norme.

Le scénario en lui même est plus classique, une histoire de femme, qui prise dans la spirale de la violence … on ressent le poids des bandes, des règlements de compte … en fait toujours plus … et la prise de conscience que les autres ont une famille, tout comme elle … et qu’il va peut être falloir choisir … si on le peut encore!
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Burn Baby Burn

📚1965 - Los Angeles

Alors qu'une émeute éclate après une altercation entre un policier blanc et une famille afro-américaine, la jeune recrue, Syd Bonnano, enquête sur une série de meurtres liés par un même mode opératoire.



1992 . La ville s'embrase à nouveau.

Deux policiers sont assassinés puis carbonisés en pleine rue.

Ce crime odieux n'est pas sans rappeler les meurtres perpétrés en 1965.

Et l'inspecteur Foreman connait la seule personne capable d'éclairer les zones d'ombres de cette affaire : Syd Bonnano.

Malheureusement, ce dernier a disparu de la circulation.

Seule sa fille, Éve Delarue, officier de police, peut l'aider à retrouver un père à qui elle n'a plus adressé la parole depuis des mois.



🖊Burn Baby Burn de Lorenzo Palloni est un pur chef d'oeuvre.

Si le terme est souvent galvaudé et exprime un avis somme toute personnel, c'est aussi une manière pour moi de rattraper un oubli de lecture inadmissible.



Le récit, sous la forme d'un polar implacable, dévoile un aspect de la nature humaine terriblement d'actualité : sa violence intrinsèque et la haine qu'elle engendre.

Avec un propos sociétal sombre et fataliste, l'auteur tente de chercher la lumière dans ce magma de cruauté, de préjugé et d'injustice.

Burn Baby Burn fait forcément écho à une époque qui a troqué la justice pour la vengeance, entrainant un enchainement de haine que rien ne semble arrêter.



Le constat est terrible, même si les dernières cases apportent, à leur façon, un semblant d'éclaircies.



🧔Chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/burn-ba..
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Emma Wrong

Voici une belle bande-dessinée qui mélange espionnage et histoire d'amour tragique sur fond d'essais atomiques.

Le dessin et les quelques couleurs travaillées donnent une ambiance de fin du monde à l'ensemble, ce qui rend bien la trame de l'histoire.

Une jolie découverte pour ma part.
Lien : http://boumabib.fr
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La Louve

On va plonger dans un univers bien glauque à travers le métier d'une femme dénommée Ginger, mère de famille à ses heures perdues et qui s'adonne à une double vie. Elle fait des tournées pour récupérer de l'argent qu'un usurier a prêté à de pauvres gens qui seront malmenés. On éprouve aucune sympathie pour cette héroïne qui ne regrette pas du tout ce qu'elle fait de mal. Il est vrai que le sujet ne m'a guère inspiré.



Objectivement, la mission est remplie mais subjectivement, j'ai du mal à capter mon attention. Le format sera à l'italienne avec une véritable audace dans certaines cases malgré les 9 vignettes de rigueur dans chacune des 185 pages. Comme dit, il faut aimer le sujet. On va regretter amèrement les huissiers de justice.
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L'île

J’ai beaucoup apprécié cette lecture alors que je ne connaissais pas l’auteur. Je suis tout de suite entré dans cette histoire qui fait mal. J’ai en effet eu beaucoup de peine pour cette famille tranquille qui voit débarquer un soldat du continent toujours en guerre.



Une île est toujours un endroit un peu spécial où l’on peut créer une nouvelle communauté pour prendre un nouveau départ. Cela peut être un havre de paix. Cependant, il faut toujours payer un prix pour conserver cette sérénité. On se rend compte que cela dépasse la logique des hommes pour se concentrer sur celle des Etats nations. Le passé finit toujours par nous rattraper.



On suivra ce récit dynamique et palpitant jusqu’au final. Conclusion : nous avons un auteur complet talentueux qu’il convient de suivre.
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The Corner

Efficace et élégant, The Corner a toutes les caractéristiques du thriller réussi, avec en plus une classe incroyable, une finesse dans le dessin et dans le façonnage des différents acteurs qui lui donnent un charme fou.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Burn Baby Burn

En moins de 3 décennies la ville de L.A s’est embrasée violemment par deux reprises avec à chaque fois une bavure de policiers blancs à l’encontre d’afro-américains.







Sanglantes émeutes aux bilans humains comme matériels particulièrement élevé, ces drames ont un autre point commun macabre: un tueur en série immole par le feu des victimes triées sur le volet: des prostituées et leur souteneur en 65 et des policiers ayant joué un rôle dans les premières émeutes en 92.









Deux générations d’une famille d’enquêteurs, loin d’être blanc comme neige pour certains, vont tenter d’élucider ces crimes tout en essayant de survivre au chaos des affrontements.







A la manière d’une série américaine sous haute tension, Lorenzo Palloni - qui aime décidément changer de thèmes même si les travers des rapports humains restent son fond de commerce- invente ici une enquête touffue, avec en background deux périodes historiques brulantes qu’il exploite fort bien, et livre un polar historique aussi plein de suspense que d’action. On regrettera éventuellement un casting un peu trop fourni qui demandera au lecteur une attention soutenue pour bien comprendre qui fait quoi et quand (et aussi une poignée de cases un peu petites pour bien discerner ce qui s’y passe).









Son trait très inspiré du comics U.S (j’ai parfois pensé au regretté Darwyn Cooke par exemple) est un support parfait pour ce généreux one shot, avec une colo différente par époque, le tout fort bien présenté en format à l’italienne par Sarbacane, éditeur français de Paloni.
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Gravity level, tome 1 : Désertion

Un jour, la gravité a disparut. Un jour, le monde a disparu.

500 ans plus tard, cinq jeunes en rébellion vivent sous haute surveillance comme le reste de la population. Cependant, quand leur ultime provocation les force à s'enfuir, il se retrouvent à l'extérieur, là où on leur a toujours interdit d'aller et qu'ils rêvaient d'explorer.



Premier volume d'un diptyque, le récit a été rapide à lire avec un rythme plutôt constant. Les couleurs sont pétantes, c'est d'ailleurs ce qui m'a attiré de prime abord.

L'histoire en elle même est plutôt intrigante et les personnages ont quelque chose d'attachants : des ados têtes à claques mais soudés et surtout, victimes de la société. Des personnages et des thématiques très d'actualité.

J'émettrai cependant quelques points négatifs. Le dessin peu détaillés qui ne m'a pas gêné (voir sympa) dans les premiers temps est devenu un peu handicapant à certains moments. Certaines cases étaient peu lisibles, floues. J'ai même un peu confondu certains personnages et pas compris l'action.

Dommage ...

Cela dit, la fin de ce premier volume m'a quand même donné envie de lire la suite.
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L'île

J’ai beaucoup apprécié les dessins, le trait, pas trop de détails en général dans les cases, des couleurs douces. Et puis parfois des couleurs « militaires » vert bleuté, beige lorsque le sujet est relatif aux combats, à la guerre.

Quel prix peut-on payer pour assurer ce qui nous semble le bien commun ? Certains actes réprouver par la morale se justifie-t-il parfois ?

Le monde est déchiré par la guerre, ceux qui refusent de combattre sont déportés sur une île. Un accident de camion va permettre aux réfractaires de se révolter et de conquérir leur liberté sur l’île. Ils devront pour cela se décider à exterminer leurs geôliers. Les années passent, l’île a maintenant une population pacifique qui vit dans l’entraide. Les plus anciens sont garants de l’histoire passée et veillent à maintenir l’île à l’abri des conflits extérieurs. Mais un soldats naufragé va compromettre ce fragile équilibre.
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Gravity level, tome 1 : Désertion

Le sujet est en vogue en ce moment en bande dessinée. Traitée de façon voyante et tapageuse par l'utilisation des couleurs. Certains passages sont un peu brouillons, on se repère mal dans les lieux, la chronologie. Mais c'est frais.
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La Louve

Ginger a deux vies. La journée, son métier est de récupérer l’argent pour un usurier et peu importe si cela doit se faire dans la violence ! Le soir, elle est une épouse presque modèle et une mère tendre et affectueuse. Pas si simple de faire la part des choses ! et c’est même de plus en plus difficile !



C’est un beau portrait de femme. On voit apparaitre petit à petit les fissures dans la carapace de Ginger, un personnage pas si inhumain qu’on peut le croire au départ. Le récit est noir et rendu encore plus sombre par les illustrations bien adaptées. J’ai beaucoup aimé !

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L'île

Une très belle surprise avec cette bande-dessinée dont l’histoire aux multiples thèmes abordés se révèle être un thriller psychologique entêtant et envoûtant dont la fin est surprenante.
Lien : http://blogleslecturesduchat..
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L'île

Lorenzo Palloni nous embarque au cœur d’une communauté vivant retranchée du monde et de ses horreurs. Avec cette bande-dessinée, il aborde de manière originale les thèmes de l’étranger et de la peur de l’autre dans une aventure prenante et bien ficelée. Les personnages et leurs différents liens sont finement analysés sans pour autant délaisser l’intrigue et son suspens. Entre utopie, survivalisme et post-apocalypse, "L’île" est un mélange détonnant qui vous happe pour aborder un sujet subtilement mené : faut-il devenir comme ses tyrans pour pouvoir se protéger ou faut-il accepter la rédemption ?
Lien : https://plumeetpellicule.wor..
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