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Critiques de Lucien Nouis (14)
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Jusqu'au dernier chapitre

C est une loi d 'airain ,maintenant ( et c et une tendance qui perdure ) dans un rompol le lecteur doit obligatoirement se taper les états d'âmes , du "héros "ce qu' il écoute ( souvent sur des vinyles ) ce qu'il mange ( dans cet opus c est très détaillé ) ce qu' il boit ( même et surtout trop ) et nec plus ultra les superettes où ce vaillant représentant de l 'ordre se fournit . Les écrivains épicuriens pullulent dans la littérature policière. Pour entrer dans un roman il faut soit une empathie ou une antipathie pour le personnage principal , et là c est raté je n aime pas sa zique , ni ce qu' il baffre ni même son vin il a une tendance Corbière , Bordeaux et moi Côte du Rhône au vrai ce pauvre commissaire m ' indiffère profondément avouez que cela augure mal de nos relations .Ses adjoints maintenant une russe Sibérienne ex ( enfin pas tout à fait ) membre de la DGSE et un ex gardien musclé de temple Bouddhiste que du banal dans nos régions , d ailleurs mes voisins sont Dora l 'exploratrice et E.T qui loue un Airbnb pour ses vacances .Justement on rajoute un peu de polar "local " en nous promenant dans Nîmes , bon je connais un peu la ville pour parfois m ' y rendre ,habitant Arles , mais sinon ça n apporte pas grand chose au récit L'enquête donc, le début me semblait prometteur , mais au tiers malgré les sinuosités redondantes destinées à la pagination l énigme n en est plus vraiment une Le style de l auteur n est pas désagréable mais là encore qu'il se lance dans l humour ( on va dire ça) le gore pour donner un peu de raisiné au pensum .ou le lyrisme larmoyant ( surtout dans les derniers chapitres ) je n ai pas accroché mais j ai la subtile sensation que vous l aviez remarqué chers et trop indulgents lecteurs de mes gribouillis
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Nous ne négligerons aucune piste

Un grand merci à Babélio et aux Editions du Masque pour ce polar gagné lors de la dernière Masse critique, il m’a beaucoup plu, étant à la fois très classique dans son intrigue et original par ses personnages.



Un chasseur découvre le corps à demi calciné d’une jeune femme dans la garrigue voisine de Nîmes. Le commissaire Bordarier et ses deux adjoints se voient confier cette enquête qui démarre très lentement. Un couple de marginal qui élève des chevaux dans le coin a surpris un utilitaire la nuit d’avant et relevé le numéro d’immatriculation dans la crainte d’avoir affaire à des voleurs de bétail. Le véhicule en question vient d’être déclaré volé par son propriétaire, ce qui conduit les policiers à se rendre dans son village des Cévennes. Ils rencontrent toute une brochette d’habitants plus ou moins loufoques, un couple homosexuel au-dessus de tout soupçon, des villageois à la langue bien pendue, mais surtout des notables et des zaddistes qui s’opposent farouchement sur le développement du village, autour d’un éventuel futur zoo et d’une yourte. Le commissaire apprend rapidement qu’une jeune femme marginale, Léa, qui vit dans un vieux bus dans la forêt a disparu, s’agit-il de son corps à moitié carbonisé qui a tout déclenché ?



J’ai beaucoup aimé ce polar régional plein d’humour, mettant en scène des personnages plutôt déjantés, comme ce maire persuadé de la nécessité pour son petit village de posséder un zoo et finalement prêt à tout pour réaliser ce projet, sans que l’on ne sache jamais le but de cette idée farfelue. Comme dans tout bon polar, les policiers sont aussi des originaux : Bordarier est divorcé, gourmet et alcoolique, mais surtout très inquiet pour sa fille qui ne veut plus lui parler, ses adjoints sont un colosse tibétain et une ancienne agent secret russe, sans oublier un breton collectionneur maniaque. J’espère que ce roman n’est que le premier tome de leurs aventures et qu’on aura le loisir de mieux les connaître au fil des livres, ils méritent largement d’avoir leur propre série.



J’ai beaucoup aimé l’aspect peu violent de ce livre et l’humanité de tous ces personnages peu ordinaires. C’est une enquête à l’ancienne où les policiers remontent peu à peu la piste de ce fait divers. La part de la promotion touristique de la région donne tout son charme à ce polar campagnard vraiment top. C’est un pur bonheur de lecture que je recommande chaleureusement.


Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Nous ne négligerons aucune piste Lucien Nouis publié chez J.C Lattès le Masque.

Premier roman. Je suis partante pour les suivants.

Un commissaire atypique, divorcé, fin gourmet et bon consommateur se fait du souci, sa fille, Marion, ne lui a pas donné signe de vie depuis plusieurs semaines, il craint le pire . Alors lorsqu'une jeune femme est retrouvée à moitié calcinée dans une décharge près de Nimes il fonce tête baissée dans cette affaire qui le mènera lui et son équipe dans un village cévenol où le maire, les notables , des yourtistes , se prennent de bec. ...je vous laisse le plaisir de découvrir la suite des évènements.

Une intrigue menée de main de maitre dans une région splendide. Ajoutez y la qualité de l'écriture, le rythme sans faille du récit et une équipe de la PJ qui sort des sentiers battus et vous aurez un excellent roman de facture classique sans hectolitres de sang ni violences gratuites.

Merci aux éditions J.C Lattès pour ce partage

#Nousnenégligeronsaucunepiste #NetGalleyFrance
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Nous ne négligerons aucune piste

J’ai entendu une chronique sur France Inter de ce roman, un matin très tôt dans l’émission « Le polar sonne toujours deux fois ». Le chroniqueur, Michel ABESCAT, journaliste à Télérama, blog « Cercle Polar » m’a vraiment donné envie de lire ce livre.



C’est le premier polar écrit par Lucien Nouis. Polar classique. Le commissaire, Emile Bordarier, amateur de bonne chère, de littérature, de chanson populaire, est aussi alcoolique. De plus, il est divorcé, a une fille qui part en vrille et dont il est sans nouvelle.



Alors qu’il s’était décidé à partir à la recherche de sa fille, il est appelé à enquêter sur le décès d’une jeune femme retrouvée à demi-carbonisé, dans l’arrière-pays de Nîmes.



En cela il sera aidé de Chögyam Namgyel, moine bouddhiste et de Vera Cordelle nouvelle venue dans l’équipe, assez mystérieuse, qui ne laisse personne indifférent. Elle ne supporte pas que l’on maltraite les animaux, d’ailleurs elle a un certain nombre de chiens.



Une équipe de choc donc, pour trouver qui des notables ou des yourteurs sont coupables. D’autant plus, que deux autres femmes disparaissent au cours de l’enquête.



Bref, un bon polar, bien écrit et dont l’intrique est bien amenée. Un auteur à suivre.

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Dans la chaleur du mois d'août, le commissaire Bordarier, va enquêter dans les Cévennes où l'on a découvert le cadavre à moitié carbonisé d'une femme.

Le maire du village, en prise avec des "yourteurs" qui occupe illégalement un terrain municipal, est obnubilé par son projet de création de zoo. Mais le village n'est calme qu'en apparence... Une autre jeune femme Léa, a disparue, tandis qu’Éloïse une jeune photographe est à la recherche de son amie. Trois jeunes femmes disparues pour un seul cadavre, le commissaire peut compter sur ses collègues : Cordelle et Namgyel pour suivre toutes les pistes. Peuplé de personnages farfelus et de notables corrompus, le commissaire va s'y installer afin de découvrir les mystères de ce village en apparence si tranquille... Comble , Bordarier s'inquiète pour sa fille qui fréquente des petits voyous et dont il n'a pas de nouvelles...

Excellent roman, bien franchouillard, ironique et drôle ! Les travers des hommes sont particulièrement bien analysés !
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Voici un polar à la fois bien écrit et bien construit qui a pour cadre Nîmes et son arrière-pays cévenol, accessoirement Palavas, Rome et la Bretagne où ses investigations entraînent brièvement le commissaire Émile Bordarier. Au titre emprunté sans équivoque à la phraséologie judiciaro-policière, on aurait pu préférer quelque chose du genre "Jeunes femmes disparues" car ce sont ces disparitions, momentanées ou définitives, qui constituent la trame du roman. Il y a d'abord la découverte fortuite dans la garrigue nîmoise d'un corps féminin calciné, qui conduit les enquêteurs dans un village des Cévennes où, justement, une marginale n'a plus donné signe de vie depuis plusieurs jours. Puis, dans ce même village où se collettent le maire et des "yourteurs" pour ou contre un projet de zoo, qui redynamiserait la vallée selon le premier magistrat, c'est une jeune touriste ou photographe qui s'évapore. De plus, qu'est devenue la belle-sœur du directeur de la clinique de luxe établie sur les hauteurs du village ? Enfin, à titre personnel, le commissaire Bordarier mène une enquête parallèle sur sa propre fille dont il est sans nouvelles alors qu'indéniablement elle file un mauvais coton.

Parmi tous les personnages, campés avec maîtrise, deux tranchent par leur originalité : les adjoints de Bordarier (lui-même est un patron à l'ancienne, plutôt banal, bon vivant à la Maigret). L'une est une rousse incendiaire et assez mystérieuse née, semble-t-il, en Sibérie mais française depuis l'adolescence ; l'autre est un colosse d'origine tibétaine qui fut garde du corps de dignitaires bouddhistes avant de faire le même voyage que les hippies européens, mais en sens inverse...
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Un premier roman qui donne envie de lire de nouveau Lucien NOUIS, d’ailleurs je pense que ses personnages, le commissaire Bordarier, ses adjoints Cordelle, Namgyel, (tous deux atypiques de par leurs origines), sa compagne Benédetta, sa fille Marion ne resteront pas figé dans un seul roman, d’autres aventures doivent dès maintenant être en préparation. En tout cas, c’est ce que j’aimerai.

La région de Nîmes est comme chacun sait très chaude en été, c’est la saison qu’a choisie Lucien NOUIS pour nous présenter son commissaire Bordarier, qui est chargé de découvrir avec ses deux adjoints qui est cette jeune femme découverte à moitié calcinée près d’un village cévenol où l’enquête va déboucher sur des individus divers qui ne sont pas du tout d’accord entre eux sur la préservation ou le développement de leur territoire. Maire, directeur de clinique, zaddistes, bref ces personnages vont retenir notre attention, tout au long de ce roman.

Une écriture où chaque mot est bien réfléchi, très compréhensible, avec des expressions du sud, très provençale, (oui, je sais le Gard est en Occitanie, et pourtant…)

De belles descriptions, afin de rendre compréhensible la lecture et l’imaginaire du lecteur qui m’ont beaucoup plu. Comme celle-ci : « Bientôt ce furent des routes, des ronds-points, une quatre-voies, il passa sur un pont, au-dessus de l’Élorn, apprécia sur l’eau et dans le ciel une nuance de bleu étrangère à la Méditerranée, puis, guidé par le GPS, il emprunta d’étroites départementales encaissées entre des talus plantés d’arbres et de ronces. Les champs étaient verts et humides, l’air frais. »

Bientôt ce furent des routes, des ronds-points, une quatre-voies, il passa sur un pont, au-dessus de l’Élorn, apprécia sur l’eau et dans le ciel une nuance de bleu étrangère à la Méditerranée, puis, guidé par le GPS, il emprunta d’étroites départementales encaissées entre des talus plantés d’arbres et de ronces. Les champs étaient verts et humides, l’air frais.

Voila donc, une belle découverte qui m’a été offerte par Babélio, lors de « Masse critique » et des Éditions du Masque que je remercie chaleureusement tous les deux.
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Nous ne négligerons aucune piste

Policier très classique, bien écrit, avec un commissaire classique, divorcé, aimant boire et manger et aux prises avec maintes difficulté. Classique, je vous dis. Dans le résumé, il est évoqué un coéquipier Chogyan Namgyel, moine bouddhiste reconverti. Je pensais que cela aurait un impact sur l'enquête ou tout au moins dans les rapports avec l'équipe, tout comme d'ailleurs, l'élément féminin Cordelle Véra, russe au sang froid. Mais on les voit peu en fait et ils n'ajoutent pas grand chose de "pimenté" à l'action ou dans les propos. Pourtant, il y a a souvent de l'ironie caustique portée sur cette petite ville de l'arrière pays Nimois, où l'on va découvrir un corps carbonisé. Lutte conventionnelle entre le maire qui veut construire un zoo et les militants écolos. Un début de roman qui laissait présager un livre plus dérangeant. Au final une enquête tranquille sans suspens qui se lit bien et s'oublie vite.
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Jusqu'au dernier chapitre

Le commissaire Bordarier et son équipe enquête sur le meurtre d'une professeure et autrice de roman érotique. Cette enquête l'emmènera dans le milieu de la prostitution mais également de l'armée, et des viticulteurs. Une enquête menée sur plusieurs fronts pour mieux nous impliquer dans cette recherche de la vérité et faire travailler nos méninges. Un bon roman policier français avec un groupe d'enquêteurs agréables à suivre.
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Nous ne négligerons aucune piste

Un polar bien agréable à lire dont l'intrigue, bien soutenue, n'évince pas pour autant la poésie des paysages de ce Gard cévenol où s'agitent des personnages bien différents si ce n'est carrément incompatibles, entre gens du cru, vieux huguenots taiseux et secs comme leurs murs de pierre, nouveaux venus, capitaines d'industrie couvrant la pierre sèche de béton et rêveurs, authentiques ou songe-creux, en mal d'une innocence perdue, menant un vain combat dans leurs yourtes. Ajoutez à cela un commissaire poivre et sel, plutôt débonnaire et appréciant une table bien garnie, un cadavre calciné... touillez, laissez reposer et vous pouvez consommer sans modération.
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Nous ne négligerons aucune piste

Un policier sympathique, agréable à lire, avec pas mal de références sur la culture cévenole.

Les connaisseurs reconnaitront dans St Sauveur du Merlet, un reflet de la ville de St Jean du Gard. La ville de Nimes est également bien présente et sans fard. C'est avec plaisir que j'espère lire la suite des aventures du commissaire Bordarier.
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Nous ne négligerons aucune piste

Un commissaire désabusé, divorcé, porté sur la gastronomie et encore plus la dive bouteille, perturbé par la rupture des relations avec sa fille marginale et droguée dirige une équipe d’assistants originale et improbable : un breton collectionneur compulsif et maniaque, un colosse himalayen anciennement chargé de la sécurité des monastères tibétains et, la dernière mais non la moindre, une très jolie et mystérieuse jeune femme venue de Sibérie. Voilà les policiers chargés de l’enquête suivant la découverte d’un cadavre de femme calciné dans la région nîmoise. L’enquête, dont je ne dirai rien, les mènera des Cévennes en Bretagne en passant par Rome en côtoyant les édiles municipaux aussi bien que les antifas et zadistes cévenols.

Ce roman policier à l’ancienne, ce polar, se lit facilement mais sans surprise, reprenant les codes de ce genre que j’avais un peu délaissé à cause de la prolifération de romans policiers hyperviolents et glauques que j’apprécie peu.

Lucien Nouis évite dans ce premier roman, de tomber dans la facilité du pastiche des gens du Sud.

Je remercie les Éditions du Masque et Masse Critique de m’avoir permis de découvrir cet auteur et son livre.
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Jusqu'au dernier chapitre

Après une matinée de bénévolat messine, il me tenait à coeur de terminer ce premier roman de Lucien NOUIS.

Le commissaire BORDARIER c'est un peu BRUNETTI mais en version nîmoise...

Il nous promène dans sa ville, partage ses goût culinaires, sa musique, il est même amoureux d'une italienne .. tout en évoquant ses réflexions sur l'homicide qui le tracasse avec des personnages asses cocasses.

Mais la comparaison s'arrête là, compliqué de le trouver aussi sympathique que son homologue vénitien (une appétence italienne ?) qui est plus dans le bon goût sans tomber dans l'excès..

Heureusement, le style reste agréable, le déroulé est crédible, des personnages du quotidien, limite votre voisin. Nul besoin d'effet psy ou surnaturel pour expliquer cette enquête.

Je viens de me surprendre à réserver le roman précédent "Un peu plus à l'Est"
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Nous ne négligerons aucune piste

Joli plaisir de lecture que celui de découvrir un auteur bien de chez nous au rayon polar.

Un auteur du "terroir" comme on dit, d'Occitanie, un auteur cévenol pour être précis.

Pour autant, Lucien Nouis n'a rien d'un écolo gnangnan des campagnes : le bonhomme est quand même prof de littérature et de philo aux US !

Avec Nous ne négligerons aucune piste, alors oui, grand plaisir que celui de découvrir une très belle plume bien taillée et parfois acérée quand elle s'attaque au microcosme d'un petit village cévenol.



[...] Ça sentait la droite ultraconservatrice. Bordarier se demanda comment un couple gay avait réussi à y trouver sa place.

Alors oui, grand plaisir que celui de découvrir un nouveau flic récurrent (le second épisode est déjà paru), un flic qui nous change un peu des olibrius disjonctés et hallucinés habituels.

Le commissaire Bordarier, père presque tranquille façon Maigret, est un flic à l'ancienne, bon vivant et philosophe : si l'on veut tenter un cousinage contemporain, Bordarier serait plutôt un lointain parent du sud de la famille du norvégien William Wisting plus que de celle de Harry Hole pour rester en Norvège.

Ou encore, pour continuer les rapprochements géographiques hasardeux, un cousin lumineux du sombre islandais Erlendur avec qui il partage les soucis que peut causer une fille difficile.

Même les collègues flics de Bordarier sont plutôt atypiques : l'un est un ancien moine tibétain, l'autre une éleveuse de chiens ! C'est dire si on est là pour s'amuser !

Une sympathique enquête de province (ou dans les territoires, comme l'on dit désormais).

Pour celles et ceux qui aiment l'Occitanie.
Lien : https://bmr-mam.blogspot.com..
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