Citations de Madeleine Robitaille (54)
La musique est un baume pour l'âme.
Curieux comme le recul pouvait remettre les choses en perspective.
Torturer, martyriser, humilier, c'est ça qui m'allume. C'est ce qui me donne ce sentiment de toute-puissance inégalé. Inégalable, j'en suis sûr.
Évidemment, ce que je fais est mal aux yeux de la société, pourtant je n'éprouve aucun remords. Je n'ai jamais eu de remords. C'est typique des tueurs en série, nous n'avons pas beaucoup d'émotions.
Ce fou ce qu'on peut trouver sur le Web quand on sait se débrouiller.
A me voir, avec mon air réservé, personne ne peut imaginer que j'ai besoin de tuer pour obtenir une satisfaction sexuelle digne de ce nom. Ce n'est pas de méchanceté. Je ne veux aucun mal à mes victimes ; tout ce que je cherche, c'est à me faire du bien. Je ne choisis aucun type de femme en particulier. Peu importe l'âge, le poids, la couleur, ce qui passe me convient.
Oui, je suis un tueur.
Je tue pour mon plaisir et parce que je ne peux pas m'en empêcher, malgré les risques que j'encours.
Pour ma sécurité, je m'impose des règles strictes depuis longtemps, des règles de survie...
Personne ne sais qui je suis réellement ; personne ne peut me juger.
Depuis longtemps, il avait remarqué que les fous étaient plus fous les soirs de pleine lune. Mais quand on travaille en psychiatrie et qu'on aime ce qu'on fait, on ne prononce jamais le mot fou.
- Que représente la femme pour vous ? Voudriez-vous être en couple ? Avoir des enfants ? Etre amoureux ?
- Amoureux ? Non. Je n'ai pas envie d'avoir une fille à plein temps dans ma vie. Ma solitude est confortable. Le quotidien à deux m'emmerderait très certainement. Je serais partant pour une relation sans attentes, sans obligations. Vous savez, une relation libre.... On se voit pour le sexe.
Je ne me considère pas comme un meurtrier très actif.
Refusant de fermer les yeux malgré un horrible mal de tête, l'adolescente avait besoin de voir le visage de Mia. Mia qui avait eu un pressentiment. Mia qui leur avait dit de ne pas monter dans l'autobus. Mia pour qui elle se découvrait un sentiment nouveau, mêlé d'admiration, de respect, d'amour aussi.
Pour tout être qui respire, la souffrance est un prix à payer, un jour ou l’autre.
Si j’expose froidement ma pensée: nous sommes sept milliards d’individus sur terre, alors, même si j’en fais disparaître un de temps en temps, on restera loin de la dépopulation. Parler ainsi fait de moi un monstre, bien sûr.
Curieux comme le recul pouvait remettre les choses en perspective.
Elle en avait assez de passer d'un traitement à l'autre, de voir ses progrès réduits à néant après quelques semaines d'espoir. Toujours ce retour à la case départ, avec moins d'énergie et de combativité.
Toujours réfléchir avant de faire un choix, car chaque geste, chaque mot, pouvait changer l'avenir, pour le meilleur ou pour le pire.
Au lieu de ça, il devenait l'épaule secourable, la main affectueuse, l'oreille attentive.
Jusqu'ici, il s'était montré fort, mais faire semblant devenait tellement difficile.
Ils étaient malheureux ensemble, maintenant ils vont être malheureux séparément.
J'ai du talent. J'écris avec mes tripes. Je pleure avec mes personnages. Qu'est-ce qu'il faut de plus? [...] J'y consacre ma vie.