Magali Collet

Une petite fille de 9 ans, prénommée Lalie à qui on donnerait le bon Dieu sans confession c'est l'étrange récit imaginé par Magali Collet. Jusqu'à la séparation de ses parents, tout allait bien dans la vie de Lalie. Mais depuis que son père est parti vivre avec une autre femme rien ne va plus. Insidieusement Lalie va mettre en place une stratégie qui lui assurera d'être aimer. On apprend à connaître ce personnage déroutant, sa façon de fonctionner, sa façon de parler. Tout doit se passer comme elle le veut que ce soit à l’école ou à la maison, elle est dans une maîtrise constante. Lalie se sent différente des autres, elles se sent supérieure et fait partie des enfant à haut potentiel. Pourtant rapidement on s’aperçoit qu'il y a des choses qui cloche mais croyez moi vous ne pouvez pas imaginer à quel point. Un sujet comme on n'en voit peu et qui maintient notre attention du début à la fin. Je suis restée choquée par les pensées de Lalie, sa froideur, son calcul et sa capacité à manipuler ont finit par me faire froid dans le dos. Avoir comme héroïne une enfant n'ai pas chose aisée mais en plus lui faire jouer un rôle en total contradiction avec ce que l'on imagine c'était déstabilisant et intriguant à la fois. Jusqu'où ira-t-elle ? Lalie vous réserve bien des surprises. Un roman psychologique qui donne toute sa mesure dans le cheminement de cette fillette. Peu à peu elle va se révéler à nos yeux comme une enfant détraquée, sans émotion sauf celle de la colère qui telle une vague la dépasse. Et les adultes dans tout cela ? Ils font ce qu'ils peuvent et passent régulièrement à côté que ce soit les maîtresses, le directeur de l’école, les parents, aucuns ne voient les signes avant coureurs. Il semble que personne ne soit en mesure de détecter le problème. Je me suis laissée totalement embarquer dans cette fiction lue d'une traite. Un excellent moment passer avec Lalie et ses parents, qui te font prendre conscience de la chance que tes propres enfants soient au final si «  normaux ». Bonne lecture.
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J'ai hésité avant de lire ce roman car je n'aime pas trop tout ce qui tourne autour de l'horreur. Cependant, je qualifierais ce récit de thriller psychologique plutôt. S'il fallait le résumer en un mot je dirais "dérangeant ". Effectivement on associe l'enfance généralement à l'innocence. Mais on se rend compte que ce n'est pas toujours le cas. Quelle imagination a eu l'auteure !!

Il y a un bon équilibre entre les passages racontés du point de vue interne de cette Lalie et les autres. On comprend alors son fonctionnement ainsi que le pourquoi les proches se laissent berner. C'est magnifiquement tenu, au même titre que la tension du récit.

Le vocabulaire ainsi que la tournure des phrases sont réfléchis. Malgré les critiques que j'ai pu lire sur ce point, c'est tout à fait justifié.

Ce n'est pas le genre de livres que je lis habituellement néanmoins j'en garderai un souvenir certain. Je recommande cette lecture. Bravo à l'auteure !

HP ou taré ? Lalie n'en a pas choisi qu'un 😳😬



Qui ne pourrai pas aimer Lalie ? Une fillette attentionnée, intelligente, jolie et ... COMPLÈTEMENT FOLLE 🤯! Sans déconner, c'est plus un psychologue à ce niveau, c'est un psychiatre !



Déjà, les enfants parfaits, ça pue. Tout le monde le sait, ou du moins, les gens à instinct de survie qui bouffe de l'horreur ( ne me regarde pas comme ça, c'est pas mon procès aujourd'hui 🤫)



Ensuite, personnes n'aime les mecs trompeurs. Et ouais les mecs, leçon de vie 🤣. En vrai pareil pour les meufs hein. Donc deso Juju, mais je t'aime pas.



Bon, je connais pas ton éducation sur le bout des doigts, mais il me semble que avoir des bouffées de meurtres n'en fait pas partie, Lalie.



Et excuse moi, mais pour être un enfant parfait, il faut pas harceler les gens. Ah oui mais c'est pas comme ça que ça marche miss tarée.



La fin... J'ai pas les mots. Une dinguerie 🤩. Euh...ouais, je sais pas si c'est l'emoji le plus approprié. Breeeef... Pas grave 😅



Si t'as suivi, t'a compris que j'ai kiffé et que je réfléchirai à deux fois avant de sous estimer les gosses de 9 ans 😢😂

Ce résumé est glaçant, cette couverture est perturbante. Cela résume assez bien ce roman. J’ai eu le sentiment, en lisant ce résumé, que j’aurais ici droit à une nouvelle histoire de psychopathie, mais cette fois tournée vers l’enfant. Alors, pardon, j’ai appris en lisant ce roman que l’on ne parle pas de psychopathie et de sociopathie avant dix-huit ans. Sûrement car la personnalité n’est pas encore complètement formée, j’imagine.



Dans tous les cas, on retrouve tous les marqueurs et les signes de cette pathologie : les animaux (je crois que c’est ce que je redoute le plus à chaque fois… Les humains tués ? pas grave. Mais les animaux… pas touche !), les victimes, les ennemis, les cibles. Tout était parfaitement orchestré. C’est terrible, vraiment démoniaque. Tellement succulent !



J’ai eu l’impression de retrouver un petit peu Mon ombre assassine, qui m’avait subjuguée. Ici, j’ai eu la même peur vicérale à l’idée de voir tel ou tel personnage (ou animal) devenir la victime de notre petite Lalie. Cette fillette, j’ai adoré la détester. Elle est intelligente et tellement insupportable en même temps. Elle me glaçait et a réussi à me rendre très mal à l’aise. C’est ça : j’ai été mal à l’aise lors de ma lecture. Certaines scènes m’ont vraiment perturbée, et je ne savais pas trop comment prendre les choses. C’était dur, mais dans le bon sens du terme.



J’ai bien aimé être percutée par ce roman, cela l’a rendu différent des autres. Il n’est pas banal et, si vous devez lire un seul roman de cet éditeur, commencez par celui-ci. Oui, j’ai dit « commencez », car vous ne saurez plus vous arrêter ensuite tellement les Éditions Taurnada nous proposent des petits bijoux !
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Oh là là mais quel roman !! Je vous avoue que j'ai eu un peu peur à la lecture. Je vous explique pourquoi.

Lalie a 9 ans, a un petit frère, un demi-frère, une belle-mère et donc, des parents divorcés. Mais Lalie est belle et intelligente, pas besoin de lui dire, elle le sait. Tout le monde doit aimer Lalie. C'est tellement évident.

Dès les premières pages, on pense être sur une belle histoire mais le style du roman change radicalement au bout de quelques pages. Et je le dis, j'ai eu envie de mettre quelques claques à Lalie ! A cause de son arrogance, de sa méchanceté et de sa fausseté. Elle arrive à mettre tout le monde dans sa poche. Même la psychologue doute de la sincérité de la jeune fille.

Ce qui a pu changer cette situation ? Le divorce de ses parents, avoir deux maisons et du coup, deux petits frères. Mais Lalie est beaucoup plus intelligente que les enfants de son âge, et elle en joue de cette situation. Elle mettra certaines choses à son avantage, au détriment de la vie de certaines personnes.

Ce thriller psychologique tient toutes ses promesses et la fin est un peu inattendue. Il aura fallu quelques recherches, au niveau pédopsychologie, pour créer le personnage de Lalie.

Ce roman est assez court mais c'est un vrai page-turner. Une fois le premier drame arrivé (car oui, il y en a...) j'ai eu envie de connaître la fin de cette situation tragique. On se rend compte, tout à la fin, de la chance que nous avons de vivre avec nos enfants ou nos beaux-enfants, dans la normalité.
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Petit thriller glaçant, trop mignonne cette petite Lalie !un bon moment de lecture qui ne permet pas trop de faire de bonnes nuits derrière, il faut aimer ce genre de livre...

Bémol pour la fin que je n'ai pas trouvé bien terrible,je m'attendais à mieux...

Je pense continuer à lire cette autrice que j'ai découvert avec ce livre.

Nous suivons Lalie, une petite fille de 9 ans, belle, intelligente (plus que la moyenne), et très sage. Nous la suivons dans son quotidien avec sa mère fraîchement séparé de son papa qui est partie avec une autre femme. Elle a un petit frère, Charles et un demi frère, Malo.

Comme toutes familles recomposées, elle part un week-end sur deux chez son papa et sa nouvelle compagne. Elle a beaucoup d’amies et est la meilleure de sa classe.



Tout ça paraît plutôt normal mais derrière le visage d’ange de Lalie se cache un démon. Un véritable démon que personne ne voudrait avoir. Et elle est prête à tout pour qu’on l’aime, elle et personne d’autre, mais jusqu’où peut-elle aller ?



Alors j’ai dévoré ce livre, littéralement. Quelle masterclasse. Cette gamine est horrible, dès le début j’ai eu des envies de meurtres sur elle, franchement moi je ne sais pas comment je réagirai en face d’une gosse pareil. Elle m’a tellement énervée et aussi choquée quelques fois !



Les chapitres sont courts, l’écriture est simple ce qui donne une facilité de lecture et aide à poser son cerveau pour engloutir ce roman. Il n’y a pas vraiment de plots twists, ni de suspens, on sait en général ce que Lalie pense et se qu’elle veux faire mais ça ne m’a pas dérangé du tout, je me suis laissé guider par le récit et je n’ai même pas vu la fin arrivé.



L’auteure a voulu mettre en évidence l’enfance d’un psychopathe, parce que oui, légalement, un psychopathe n’est qu’un psychopathe qu’à l’âge de 18 ans. Mais comme elle le dit à la fin de son roman : qu’en est-il d’avant ? On ne devient pas taré la dernière nuit de ses 17 ans. Et je trouve qu’elle a vraiment bien réussi son écrit.



Par contre la fin m’a laissé un peu sur ma fin… j’avoue que j’aurais aimé qu’on aille un peu plus loin et que ça ne se finisse pas juste la, comme ça. Mais franchement chapeau 👏

Nous sommes ici avec Lalie, une petite fille de 9 ans qui a tout pour être heureuse. Jusqu'au jour où ses parents se séparent. Elle se retrouve alors avec deux maisons, une belle maman et deux frères du même âge, l'un chez sa mère et l'autre chez son père.

D'apparence, Lalie est la petite fille que tout le monde aimerait avoir, mais c'était sans savoir de quoi est capable cette enfant.



Clairement ce roman m'a fait me coucher tard. Je l'ai commencé en me disant quelques pages avant de dormir et je n'ai pas pi le poser avant de l'avoir terminé.



On est dans un roman court, moins de 250 pages, avec une intrigue qui nous tient en haleine des le début.



C'est Lalie qui nous raconte son histoire et avec cette façon on est encore plus impliqué.



Cette petite fille est très intelligente et sait comment faire pour obtenir ce qu'elle veut. On se demande d'ailleurs jusque où ira t'elle.



La psychologie joue tout son rôle dans ce roman et quand c'est bien travaillé comme ici c'est un plaisir à lire.



Un thriller noir qui nous entraîne au cœur de cette famille qui va vivre l'enfer. Une ambiance glaçante qui rend ce roman addictif.



Je découvre l'autrice avec ce roman et ça donne envie de découvrir ses autres titres !



"C'est la petite fille que chacun aimerait avoir.

D'ailleurs, tout le monde aime Lalie.

Tout le monde doit aimer Lalie.

C'est une évidence.

Il le faut."

5 heures pour lire cette histoire fascinante. Écrit à la 3ème personne et à la 1ére. Intelligent. L'auteure nous dévoile ainsi un point de vue homogène entrecoupé de celui de l'Eulalie.

Elle, de surnom Lalie, gamine de 9 ans, perturbée par la séparation de ses parents se perd dans ses réflexions qui la conduisent à l'inadmissible. Mais en est-elle vraiment consciente ? Probablement. Ce qui est certain : Lalie ne ressent rien. Et quand bébé dérange ou maman devient trop ennuyeuse et ne sert à rien. Pour elle, il n'y a qu'une seule solution afin de régler le problème... Une ambiance glaciale, une écriture fluide, simple et efficace. Un suspense insoutenable. Tout y est sans aucune surcharge et un réalisme troublant !
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Lalie a 9 ans (bientôt 10), c’est une petite fille sage (comme une image), polie, bonne élève… La parfaite petite fille quoi… En public en tout cas, parce que Lalie le sait, elle n’est pas comme les autres, mais ça, c’est son secret…



Quel bouquin ! Lu en moins de 24 heures, il est impossible à lâcher avec un thème très peu vu et une intrigue diabolique. Au fil des pages, on suit cette petite fille qui à plusieurs reprises m’a donné des frissons. J’ai été embarqué dans l’histoire dès les premières pages pour n’en sortir qu’à la dernière ligne avec une seule question, est-ce possible ? Si jeune ? Je ne suis pas sûre de vouloir le savoir.



L’autrice commence fort et réussit pourtant à monter crescendo tout au long du roman. L’empathie est présente pour presque tous les personnages. Je me suis parfois demandé comment les parents pouvaient être aussi aveugles, puis après réflexion, je me rends compte à quel point, il doit être difficile d’imaginer et d’accepter ce genre de chose, surtout lorsque cela touche son propre enfant.



Magali Collet en mettant un décor d’actualité en fin de roman rend son intrigue davantage réaliste même si j’y croyais déjà sans problème.



Au risque d’être déçue, j’attendais beaucoup de ce livre et il a été au-delà de mes espérances.



En bref, c’est un immense coup de cœur que je vous recommande chaudement.




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Quelle claque ce roman !

Pourtant je savais où je mettais les pieds tant on l’a vu passer les réseaux mais ce roman m’a vraiment bluffée.



J’ai été happé par l’histoire de cette petite fille pas comme les autres. En apparence, elle est parfaite, mignonne, souriante, bonne élève ; elle est aux yeux de tous sage « comme une image ». Sa différence est invisible : elle ne ressent que très peu voire pas d’émotions. Elle est très intelligente et a appris à se composer une belle image mais au fond d’elle de noires pulsions bouillonnent.



Magali Collet nous offre un thriller psychologique glaçant. On est tout à la fois horrifié et fasciné par ce qui se passe. La tension monte au fur et à mesure que la jolie façade de la jolie Lalie se fissure…



Attention, on ne ressort pas indemne d’une lecture pareille ! Vous êtes prévenus !!



Une lecture inoubliable pour moi, je vais me pencher sur les autres titres de l’auteure.



Merci à Babelio et aux éditions Taurnada pour l’envoi de ce livre dans le cadre de la masse critique « mauvais genre ».

Magali Collet vous présente Lalie, 9 ans. Elle vit avec sa maman et son petit frère. Elle voit son papa les week-ends et pendant les vacances scolaires. Lalie, c’est une petite fille très intelligente, que tout le monde devrait aimer. Pour elle, c’est une évidence.



Vous la sentez déjà cette atmosphère troublante, rien qu’en regardant la couverture, n’est-ce pas ?! Vous n’êtes pas au bout de vos peines!



Ce roman noir est ultra psychologique !

Il y a tout un enchaînement d’événements qui vont faire évoluer Lalie. Cette enfant est perfectionniste avec elle-même mais également avec son entourage. C’est à en faire froid dans le dos. D’ailleurs, je l’ai vécu comme un véritable retournement de situation !



J’ai été littéralement déconcertée par ce qu’il se passe à l’intérieur de ce livre.

Sachez seulement que c’est le début de l’élévation du Mal. Et qu’est ce que c’est addictif !



Le final vous laisse pantois, car mille scénarios vous poursuivront un moment.



Je pense que la question qui met en valeur cet écrit c’est : à partir de quand commence la sociopathie ?



Je ne vous en dis pas plus. Par contre, si vous aimez tout ce qui se rapporte à la psychologie et ses troubles, je vous invite à le découvrir !

Entrainée dès les premières pages, j'ai eu du mal à lâcher ce thriller. J'ai été à la fois effarée, écœurée mais captivée : j'étais curieuse de savoir ce qui allait se passer. L'atmosphère est glaçante, glauque. Rythmé, le récit est raconté principalement à la troisième personne, mais j'ai aussi eu le point de vue d'Eulalie à plusieurs reprises. Le lecteur connait quasiment toutes les intentions de la fillette. Le suspense réside dans le quasiment. En effet, même en ayant l'évidence sous les yeux, j'avais toujours un petit doute sur ce que j'imaginais. Malheureusement, mes soupçons se sont presque tous révélés exacts. L'histoire m'a un peu fait penser au film Esther, mais aussi à la série La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre ou encore à l'épisode Poupée russe de Profilage. Leur point commun ? Un personnage sadique, profondément mauvais... et jeune ! Ce roman est dans la lignée des autres de Magali Collet : sombre, perturbant mais prenant. Le style est toujours aussi palpitant et incisif.



(avis complet sur le blog)
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Lalie est une jeune fille de 10 ans qui, sous ses aspects angéliques, manipule son entourage.



Là encore, beaucoup de retours positifs…Pourquoi ? Le sujet est démodé, l’histoire banale et pleine de clichés.

il se lit bien, mais n’apporte pas grand chose.



L’objet livre est à l’image de son contenu ! Ne vous laissez pas influencer par la jolie frimousse en couverture.

Eulalie, dite Lalie, est une enfant qui semble au premier abord parfaite, lisse et sans aucun défaut, sage comme une image. Mais, sous cette image idyllique d'apparât, se cache la vraie Lalie à la noirceur inquiétante, contrastant avec ses tenues hautes en couleurs.



L'illustration de la couverture représente à la perfection la face cachée de cette enfant qui m'a provoqué quelques sueurs froides, ponctuées régulièrement de "mais nooonn !? C'est pas possible, elle ne va pas oser faire ça !?". Une chose est certaine, je ne souhaiterais pas avoir une enfant comme Lalie, cela relèverait du cauchemar tant son comportement psychopathe n'a aucune limite.



On s'intéresse ici à la thématique de la sociopathie/psychopathie. Même si ces termes ne peuvent pas être utilisés avant les 18 ans, l'autrice s'interroge sur l'enfance de ces personnes et réussi avec brio à nous glacer le sang tout en montrant les difficultés de l'entourage.



Je me suis laissée facilement embarquer dans ce thriller et cela m'a permis de découvrir avec plaisir la plume de l'autrice, une des louves du polar.

J’ai adoré ce thriller. Il est angoissant, haletant, sombre … je l’ai lu d’une traite j’ai pas pu décrocher. Certains passages ont réussi à me mettre les frissons.

Petit bémol sur le fait que vu que l’histoire est racontée par Lalie, elle se reprend souvent dans ses phrases pour mieux les formuler, ce qui rend parfois un peu la lecture lourde. Et aussi je reste carrément sur ma faim avec cette fin 🤯

J'ai commencé ce livre à 7h30 je l'ai fini à 12h. Il est très prenant, je n'ai pas voulu m'arrêter.



Eulalie, une petite fille de 10 ans, extrêmement intelligente, se montre exemplaire devant les adultes, ses parents, ses professeurs...

Se cache derrière cette image, de terribles sentiments, de terribles drames...

Ce livre est vraiment bien écrit, se lit d'une traite, j'ai adoré, malgré certains passages qui m'ont bouleversée en tant que maman.

A lire absolument !

Wow. Ce roman est fort en suspense, étonnement. Le roman est fluide et c’est écrit assez gros donc vous avez un bon rythme de lecture.



Ce personnage principal est si bien construit. Tout est bien pensé. On arrive à l’imaginer et on essaye de comprendre à quoi il pense.



Le sujet autour de ce roman est particulier, et j’ai aimé cette originalité.



En résumé, c’est un roman que j’ai dévoré en deux jours. Je le conseille fortement. Je vous conseille également de faire attention aux enfants sages, car dans le fond il ne sont peut-être pas si sage que ça…
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Véritable coup de coeur, impossible de le lâcher avant la fin !!

Juste le regard de Lalie sur cette couverture vous montre que cette petite fille de 9 ans, HPI, mignonne, aimée de tout le monde, n'est peut-être pas cette gentiile grande soeur, camarade de classe, petite fille adorée de ses parents.

Ce thriller psychologique est terriblement addictif,
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Je ne connaissais pas encore la plume de Magali Collet, mais le synopsis de Comme une image m’a à la fois glacée et intriguée. Il y a tout ce qu’il faut là-dedans pour nous mettre en appétit et donner le ton.



Ce roman met en scène une famille ; celle de Lalie, une fillette de neuf ans. Une fillette adorable, jolie, intelligente, sage ; une fillette exemplaire qui se montre attentionnée avec son petit frère, gentille avec sa belle mère, et douce avec sa mère. C’est l’enfant qu’on aimerait avoir. Elle attire la sympathie de chacun. Elle y tient. Vraiment.



Ce roman happe vite le lecteur dans un tourbillon d’émotions. Lalie en est responsable en grande partie. Nous découvrons tout d’abord une enfant, sage comme une image, douce et fragile, qui souffre en silence de la séparation de ses parents. Elle épaule sa mère autant qu’elle le peut et essaie de lui causer le moins de chagrin possible. Mais très vite, cette image sur papier glacé se flétrit. les fêlures apparaissent. Lalie n’est peut être pas si douce que cela, peut être pas si gentille et peut être pas si innocente. Avec une acuité rare, elle ressent l’abandon, elle se révolte et veut imposer ses choix. Déterminée comme elle est, elle met tout en œuvre pour obtenir ce qu’elle veut et gare à ce qui sera sur son chemin ! Pour autant, c’est aussi une enfant, immature, qui ne réalise pas toujours la pérennité des choses, qui n’anticipe pas les conséquences durables de ses actes si bien qu’elle peut être amenée à regretter, mais trop tard.



Ne nous leurrons pas non plus, Lalie n’est pas un personnage qui éveille la compassion. Je l’ai très vite trouvée dérangeante, inquiétante. C’est à dessein, je pense, que Magali Collet dresse ce portrait antithétique. La fillette a deux facettes : l’une lumineuse et l’autre si obscure qu’elle en est glaçante. Les actions et les rebondissements se centrent très vite sur elle. Elle est la clef de voûte des transformations, des changements, de drames aussi.



Magali Collet dépeint à la perfection cette héroïne dérangeante. Par ses actes, par ses paroles, elle parvient à faire cristalliser une atmosphère poisseuse et angoissante. Les mots saisissent le lecteur à la gorge, lui nouent les tripes, et, impuissants, nous regardons le cinquième acte d’une tragédie s’écrire. Impuissants, certes, mais pas aveugles, contrairement à d’autres personnages.



J’ai beaucoup aimé l’humanité de Ségolène et du papa de Lalie. Nous avons là des personnages tissés de contradictions, aveuglés par l’amour et le déni, qui prennent conscience à leur rythme que quelque chose cloche. Et c’est malheureusement crédible car personne ne voudrait croire à certains rebondissements de ce livre si cela devait toucher sa propre famille. L’amour irrigue donc ces pages ; un amour parfois maladroit, un amour qui se dévoile et qui devient sclérosant par certains aspects, un amour malsain aussi, possessif et violent. Comme une image parle d’excès, de violence des sentiments, de dissimulation et de drames, entre autres. Je n’en dirai pas plus pour ne pas révéler d’éléments clefs.



La rythmique du récit est diablement efficace. Même lors des temps un peu plus creux où chacun s’observe et où chacun prend ses marques, le lecteur ne s’ennuie pas. Il y a toujours mille et un petits détails qui sont en réalité les prémisses d’autre chose. Cela demande donc au lecteur une véritable attention car un certain nombre d’événements sont prévisibles, et la montée en puissance de l’héroïne est amené avec brio.



Ainsi, Comme un image est un thriller très efficace, il a des accents absolument terrifiants, surtout lorsque, comme moi, on est maman / parent. La plume de l’autrice nous emporte, prépare un enchaînement d’actions absolument stupéfiants. Tout concourt au drame final et le malaise nous étreint un peu plus à chaque page sans pour autant que nous ne puissions fermer le livre. Une réussite qui se lit avec une facilité déconcertante malgré un thème très dur, voire dérangeant.
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