Magali Collet

Bonsoir les babeliophiles retour sur ma lecture "COMME UNE IMAGE" de M.Collet.

Ne dit on pas sage comme une image mais est bien le cas de Lalie ?? Au fil de la lecture nous entrons dans la manipulation, la folie, l'esprit diabolique de Lalie. Je ne vous cache pas que des fois j'ai eu des hauts le cœur de comment pouvait on faire cela. Je le deamndais comment cela allait s'arrêter Et c'est la ou je suis un peu déçu.L'auteure touche un sujet difficile mais tellement réel La Schizophrénie. J'ai vraiment aimé ma lecture mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel

Glaçant. Malaisant.

Voilà les deux mots qui me viennent a l'esprit a la fermeture de ce bouquin qui ne m'a pris qu'une seule après midi...

Adepte des thrillers psychologiques, j'avoue que celui ci m'a retourné tellement je me suis retrouvée impuissante... spectatrice des pensées de cette enfant complètement en dehors de tout, en l'air, à côté,...

Ce récit, bien que totalement fictif me fait penser a la célèbre série : ado et criminel, car des enfants ainsi, existent malheureusement pour leur famille et pour tous ceux qui ont le malheur de se retrouver sur leur chemin.

Je ne dirais pas que cette lecture a été une partie de plaisir , mais je voulais connaître la fin et je ne sais pas , j'ai trouvé ça très vite fini, très vite classé bien que Lalie arrive a ses fins. Au suivant.

Donc oui, glaçant, malaisant et non marquant pour ma part (du moins pour le dénouement....)

Coucou les Lieblings 🖤



👓 96/2022

📖 Comme une image.

🖋 Magali Collet



👄 Encore une fois, un très bon thriller. Magali nous a concocté une histoire révoltante. Je ne compte pas les fois où j'ai senti s'accélérer mon pouls tant l'énervement généré était fort.

Quel esprit retors, manipulateur sous ses dehors angéliques. Calculatrice, rien n'est laissé au hasard et même si son jeune âge lui fait commettre des erreurs, Lalie apprend vite. Elle sait ce qu'elle veut et s'emploie à l'obtenir par tous les moyens.

La différence entre son maintien en public et son véritable comportement, jusque dans son langage, renforce l'impression de malaise.

Un livre dérangeant qui m'a bien bousculée, une fin perturbante, sans concession comme la jeune demoiselle.

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️/5

Encore une belle réussite chez les éditions Taurnada signée Magali Collet.

Comment vous dire que ce roman fait froid dans le dos et qu’il pourrait presque vous empêcher de dormir (surtout si vous avez des enfants à la maison).

La quatrième de couverture et la couverture en elle-même donnent tout de suite le ton et vous avez rapidement compris que vous allez faire la rencontre d’une gamine pas comme les autres. Lalie est une petite fille extrêmement intelligente au regard de son jeune âge mais totalement hermétique aux sentiments, elle ne ressent ni amour, ni tristesse, ni peur, ni regret, et ne parlons pas de la compassion.

La tension est présente durant tout le roman et on peine à imaginer que cela puisse être possible tellement c’est hallucinant de machiavélisme. Cette gamine de 9 ans va manipuler tout son petit monde car comment imaginer qu’elle puisse être capable de tels actes.

La plume de l’autrice est toujours aussi accrocheuse et glaçante. Ce petit roman se dévore d’une traite et en apnée. Vous allez adorer détester Lalie parce oui clairement elle est détestable cette gamine et elle pourrait hanter vos pires cauchemars.

Lalie (Eulalie) est une petite fille de bientôt 10 ans qui vit avec son petit frère et sa maman. Ses parents ont divorcé et son père vit maintenant avec une autre femme dont il a un fils. Très intelligente, bonne élève, polie, aimant lire, Lalie est, en apparence, une petite fille tout ce qu’il y a de plus ordinaire donc. Mais sous cet aspect extérieur angélique se cache un démon. Une gamine manipulatrice, méchante et cruelle, qui aime humilier, avoir l’ascendant sur tout le monde. Elle apprécie plus que tout d’être le centre de l’attention. Et qui sait jusqu’où elle est capable d’aller pour obtenir ce qu’elle veut ?

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Attendez-vous à une plongée plus qu’immersive dans la tête de cette enfant. On suit tous les détails de ses pensées et c’est glaçant. L’atmosphère est tout de suite pesante. Et plus on avance dans la lecture, plus on sent une chappe de plomb peser sur nos épaules. Lourde, oppressante, cette ambiance met mal à l’aise. Dès le début, j’ai ressenti pour Lalie une certaine aversion (pour ne pas dire une aversion certaine). A-t-elle des limites ? Et pourtant, je suis restée scotchée à cette histoire, comme hypnotisée par cette gosse machiavélique.

Alors oui, les pages se dévorent. Cette gamine est fascinante dans le sens où on a envie de voir jusqu’où elle est capable d’aller, ce qu’elle peut inventer pour être » le centre du monde ». Elle prévoit tout, pèse ses actions mais aussi les mots qu’elle prononce. Elle s’adapte en fonction de la situation et du caractère des personnes. Diabolique.

Magali Collet a finement étudié son personnage, elle l’a disséqué. Et nous, pauvres lecteurs, nous plongeons à pieds joints dans cette histoire plus que noire. Rencontrer une telle perversité, une absence totale d’empathie, un machiavélisme pensé, construit, élaboré par un petite de 10 ans, ça fait froid dans le dos.

L’auteure a une écriture sans complaisance mais sans « voyeurisme »., avec des mots simples qui font mouche. Elle nous immerge dans la tête de son personnage, avec en plus une narration à la 1ère personne. Une tension, une sensation de mal-être qui augmentent au fil des pages, lorsqu’on découvre plus avant la personnalité de Lalie. Et pourtant un récit dont on ne peut pas se détacher.

Un excellent roman noir psychologique, court et terriblement efficace dont vous ne sortirez pas indemne.

Une mention spéciale pour l’image de couverture qui reflète tout à fait l’ambiance du livre.

Paroles de Flingueuses

Jean Paul et Dany ont lu et aimé le dernier titre de Magali Collet.

Voici quelques-unes de leur réflexions :

JP : “Comme une image” est une bombe !

Dany : Un ton original nous berne au long de ce court roman.

Mais alors que nous raconte ce polar psychologique intense :

A 9 ans, Lalie est une enfant vive et intelligente qui grandit entre ses deux maisons, avec sa belle-mère, ses deux frères et ses chatons. Grande soeur attentionnée et amie fidèle, elle a tout de la petite fille parfaite. Cependant, son comportement commence à changer.

Dany : Lalie a de bonnes dispositions intellectuelles pour mener à bien ses plans les plus diaboliques et un don certain pour la manipulation. Le lecteur se trouve embarqué dans une machination ambiguë.

JP : Magali s’attaque à un sujet tabou qui forcément risque de choquer, mais elle le fait tellement bien…

Dany : La sensibilité de notre auteure à la cause des femmes, celles qui souffrent de ne pouvoir échapper à leur condition, apparaît en filigrane dans tous ses textes et dans celui-ci en particulier.

JP : j’étais en apnée ou téléguidé, c’est terrifiant !

Dany : belle découverte en effet, l'auteure m’avait déjà bien baladée dans les yeux de son Iris …

JP : Je n’avais jamais rien lu de tel.



On peut dire que chez Collectif Polar on a été emballé par cet excellent polar psychologique.

Et vous, vous allez vous laisser tenter ?










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Une histoire simple. On pense que l’on va s’ennuyer. Comment trouver du suspens dans l’histoire d’une enfant de divorcés ? Sur un thème classique d’une famille qui se sépare et se recompose, nous découvrons des personnages attachants dans une ambiance de suspens croissant. Lalie bien sûr, mais aussi ses parents, des personnages magnifiques dépeints par l’auteur avec humanité. Leurs failles individuelles vont permettre la mise en lumière du « mal », en la personne d’une enfant, Lalie. Le thème du trouble psychiatrique de l’enfant est extrêmement bien illustré. Le contexte classique sert d’écrin à l’intrigue, qui va nous entrainer dans une spirale démente et criminelle. Dans un récit fin, habile, bien construit, l’auteur trouve les mots justes pour attirer le lecteur dans une histoire sordide, presque addictive malgré l’horreur. Le rythme suit l’évolution des personnages et s’adapte parfaitement pour créer une ambiance angoissante, délétère et malsaine. Le lecteur est captivé. Une fin surprenante et inventive à laquelle on ne s’attend pas. Un excellent moment de lecture. J’ai adoré cette découverte, une pépite qui pour moi relève d’une plume rare. Ne manquez pas cette rencontre
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À dix ans, Lalie n'est pas une enfant comme les autres. À haut potentiel intellectuel, ses références et ses attitudes peuvent déstabiliser. Mais quand ses parents se séparent, la petite fille qui a du mal à supporter la situation, incapable de faire face aux changements, pourrait révéler une nature, pour la moins préoccupante et insoupçonnable...



Préparez -vous à un récit dérangeant. Lalie est observatrice et réfléchie, elle analyse tout autour d'elle pour donner une image d'elle-même qui la valorise.



Très vite, on se rend compte que ses remarques méprisantes auprès de certains camarades relèvent moins de la simple moquerie innocente, que du réel désir de maîtrise et de domination. On est souvent mal à l'aise et dans le déni quant à ses intentions et sa responsabilité.



L'écriture est habile et percutante appuyant là où cela fait mal. Jamais une perversité ne nous avait volontairement atteintes aussi profondément. La duplicité, le vice jaillissent et éclaboussent à chaque page, et on ne sait à quoi se raccrocher. Comment admettre l'inimaginable ?



Lalie use de tous les artifices pour confondre, arriver à ses fins. Froide et impassible, elle ne distingue pas le bien du mal et ne déroge jamais à la règle qu'elle s'est fixée. On assiste à des scènes choquantes, des dialogues crissants auxquels on a bien du mal à croire.



Et pourtant, Magali collet réussit le pari insensé de nous mettre en face-à-face avec l'inconcevable piège que peut vous tendre un enfant bien trop sage...
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Ce roman assez court m’a fait froid dans le dos. Impossible pour moi de prendre du recul, ça parle d’enfants, de bébé et la maman en moi ne le supporte pas.



Soyons honnête, dès le départ, on se doute de ce qu’il va se passer et tout ça, monte crescendo. C’est tout bonnement abominable: Lalie est abominable et Magali Collet fait monter le stress en nous distillant les infos au compte goutte.



Tout est là, tous les signes sont là et personne ne voit rien! Mon dieu quelle angoisse!



J’ai apprécié le personnage de Ségolène, mal traitée par Lalie, si pleine de clairvoyance malgré tout. J’ai un gros bémol sur le personnage de Laure que j’ai trouvé assez cruche et la fin le confirme bien.



Quant à l’issue du roman justement, j’ai envie de dire: comment peut on en arriver là?


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L'histoire de base est bien, mais le manque d'approfondissement rend celle-ci fadasse. J'aurais bien aimé avoir le double de pages, au minimum. Quant à la fin, elle est prévisible, donc je n'ai pas été surprise. Ce n'est pas un livre que je recommande. Dommage.

A chacun de ses romans, Magali Collet se renouvelle tout en restant dans le roman noir. Avec Comme une image, elle aborde l’histoire d’une enfant, en apparence angélique que tous (professeurs, parents, voisins) louent en permanence, la citant en exemple et enfant modèle. Mais que cache cette perfection en façade ? Croyez-moi, on n’est pas préparé à découvrir l’histoire de Lalie.



Lorsque sa famille éclate, avec le départ du père avec sa maîtresse enceinte, le véritable visage de Lalie se révèle. Derrière la petite sage, se cache un être démoniaque (une sorte de Chucky bien flippant) dénué d’émotion, manipulatrice.



Malgré un récit à la troisième personne du singulier, l’autrice nous plonge au cœur des pensées, des intentions de la jeune enfant de dix ans. Le lecteur est aux premières loges, dans la tête de cette nouvelle Carrie.



Véritable page-turner, il est difficile de lâcher Comme une image une fois sa lecture commencée. Personnellement, j’en ai été incapable et ce court roman a été dévoré en quelques heures. Court mais efficace, Comme une image vous glacera le sang jusqu’à la toute dernière ligne.
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Le moins que je puisse dire c’est que je n’ai vraiment pas envie de rencontrer Lalie ni aujourd’hui et encore moins dans 10 ans. À la base Lalie est une gamine souriante, coquette, précoce et présentant une douance. Tout le monde l’apprécie et elle fait tout pour qu’on l’aime. Bref la petite fille modèle mais au fil de votre lecture vous découvrirez qu’elle est tout autre, une sorte de « Docteur jekyll et mister Hyde ». C’est une manipulatrice, machiavélique, perverse et pernicieuse. L’auteure a choisi de la faire parler, une sorte de carnet intime qui se déroule sur un temps très court, 6 mois. C’est assez court mais le récit est soutenu et ça se lit très vite. Ce roman est glaçant et sombre comme le regard de cette petite en couverture et même si l’auteure prévient que c’est une fiction on ne peut s’empêcher de penser : et si !!! Quand au final il laisse la porte ouverte à votre imagination et ça c’est bien joué.
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Un livre lu en quelques heures tellement l'histoire est captivante, tellement le récit est bien tourné et efficace.

Aborder les troubles psychiatriques chez l'enfant n'est pas chose aisée, c'en est presque dérangeant, mais Magali Collet dans ce thriller nous met face à la réalité, à ce que des fois, nous ne voulons ou ne souhaitons pas voir.

Effectivement, devient-on psychopathe ou devient-on sociopathe? Peu importe le nom donné, le "mal", "les maux" sont plus peut-être plus profonds, ils sont peut-être innés ou acquis durant les premières années d'existence.

Un ouvrage exceptionnellement d'actualité qui se termine avec le premier confinement de 2020... Et après,

Quid de ces pathologies et de tant d'autres , quid des ruptures de traitement, quid de l'effet des vaccinations sur ces hommes et femmes, quid de la prise en charge des plus jeunes chez qui cette pathologie est détectée ?

Un bouquin vraiment percutant à retrouver chez Taurnada Editions !

Bonjour amis lecteurs,

Je remercie chaleureusement Joël Maïssa pour l’envoi en service presse numérique du nouveau livre de Magali Collet « Comme une image ». Coup de cœur pour ce troisième roman de l’auteure, un redoutable thriller mettant en scène Lalie, une enfant de 9 ans, surdouée, jolie, que tout le monde semble adorer et qui se révèle manipulatrice, monstrueuse et machiavélique. La psychologie du personnage est parfaitement disséquée. Le lecteur ressent ses émotions, ses colères et ses frustrations ainsi que l’atmosphère glaçante qui s’installe au fil des pages. L’intrigue est captivante, menée de main de maître par l’auteure qui donne la parole à cette enfant. Les mots sont parfaitement maîtrisés afin de nous immerger dans le sombre, l’oppressant et l’angoissant. La plume est subtile, percutante, dynamique. Des thèmes douloureux tels que le harcèlement scolaire, le divorce, la souffrance des enfants sont abordés. Un excellent thriller comme je les aime !

Comme une image m'a laissée de Glace... jamais je n'aurais pu penser que ce roman aurait un tel effet sur moi.



j'ai détesté Lalie, j'en ai tellement voulu à son entourage de ne pas se rendre compte à quel point elle était un monstre !!



j'ai lu en une demie-journée ce roman.. ce fût le premier de Madame Collet et j'en ai redemandé :)

Agréablement surprise par ce thriller déroutant et intéressant à la fois. Utiliser le point de vue d'une enfant en fait tout son originalité.



Lalie, 9 ans, très intelligente et vif d'esprit, mais aussi manipulatrice et égoïste. Prête à tout et rien à perdre. La psychologie de la petite fille est finement détaillée par l'autrice. L'écriture, sombre et percutante, donne du rythme au récit. Le suspense est à son comble… De quoi est-elle vraiment et encore capable ?



Une ambiance noire, une histoire haletante, qui nous fait frémir jusqu'à la fin.

Je remercie les Editions Taurnada pour l’envoi de ce roman avant sa sortie en librairie.



COUP DE COEUR !



Voilà, en quelques mots, tout est dit, mais je vais développer un peu quand même pour vous donner encore plus envie de le lire.



J’ai découvert Magali Collet avec “La cave aux poupées” et dès ce premier roman, j’ai accroché avec son style, sa façon de relater une histoire. Le suivant, “Les yeux d’iris” m’avait également plu et avec “Comme une image”, elle se place dans les auteurs dont j’attendrai le prochain roman avec plaisir et impatience. Elle s’est tout simplement surpassée avec ce titre.



Ce livre, si j’en avais eu la possibilité, je l’aurais dévoré en une seule journée tant il est addictif.



Avec le titre, le visuel et la 4ème de couverture, vous devez vous douter que Lalie n’est pas le petit ange que l’on pourrait supposer mais je suis certaine que vous êtes loin d’imaginer ce dont elle est capable.



Lalie n’est pas une petite fille démoniaque, non, elle est machiavélique. C’est une enfant très intelligente qui a vite compris comment manipuler les gens et comment procéder pour arriver à ses fins.



Ce roman (enfin surtout cette petite fille à l’aspect angélique) fait froid dans le dos. On n’imagine pas une telle noirceur dans l’esprit d’une enfant de cet âge. Dans la vie d’Eulalie, tout se déroulait à merveille jusqu’à la séparation de ses parents qui a été le grain de sable qui a mis à mal une structure bien établie, qui a fait tomber les barrières érigées dans son esprit. Un point de rupture qui réveille le côté psychopathe en devenir de Lalie.



Voilà, le mot est lâché ! Mais je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher votre plaisir si vous le lisez (et il faut que vous le lisiez).



Je le redis, ce roman est un vrai coup de cœur . J’ai adoré la façon dont Magali Collet l’a écrit, son décalage, la maitrise et l’intensité de l’écriture, les questions que je me pose sur ce qui se serait passé si les choses avaient été différentes (quelle aurait été la suite avec la nouvelle élève de l’école, par exemple ?) ou sur ce que la toute fin laisse envisager.



Lalie va m’accompagner un petit moment (jusqu’à ce qu’un autre personnage la remplace mais surtout ne le lui dites pas) et il est fort à parier qu’il en sera de même pour vous…
Lien : http://www.unevietoutesimple..

Lalie a 9 ans. Aux yeux de ceux qui la croisent c'est une petite fille qui a tout pour être heureuse. Très jolie elle attire les regards et on a forcément envie d'aller vers elle et de devenir son amie. Elle ne manque de rien, a des parents aimants, une belle-mère,deux frères, un chien et deux maisons car ses parents sont divorcés. Rien d'original aux yeux des autres, pourtant la séparation de ses parents va être l'évènement qui va révéler sa véritable personnalité. D'ange elle va devenir démon. On sera alors immergé dans la tête de cette petite fille et nous suivrons ses pensées, ses raisonnements et le cheminement qui va l'amener à commettre des actes odieux. Dans sa tête tout est pensé, réfléchit et on ose même pas imaginer ce qu'elle va être capable de faire. Concentrée sur cette histoire que j'ai eu du mal à lâcher, je n'osais envisager les conséquences que ces actes entraineraient surtout pour son entourage. C'est tellement impensable, tellement difficile d'oser penser qu'une enfant de 9 ans puisse avoir de tels raisonnements et puisse souffrir autant car ce thriller psychologique décrit avant tout la souffrance d'un enfant.
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Ça débute comme une conte de fée : une petite fille bien sous tout rapport!

J’ai adoré la montée en crescendo faite pas l’autrice qui m’a happée petit à petit.

Une histoire lambda qui pourrait arriver autour de vous … et puis tout bascule. La faute aux circonstances? Une pathologie? Un mal-être?

Un récit où les émotions s’entrechoquent : émerveillement, tristesse, fureur, consternation, choking-face, chamboulement, frustration… bref ça ne s’arrête jamais.

Tellement d’intelligence dans ce jeune corps avec une maîtrise parfait.

Le mode « autruche » activé par le père par peur de se confronter à ce qui le dépasse ou juste par amour?