Citations de Mahatma Gandhi (503)
J'ai exploré en profondeur les voies de l'introspection, je me suis scruté de fond en comble et j'ai passé au crible chaque situation psychologique.
La non violence est la loi de notre espece.
La fin est dans les moyens, comme l'arbre est dans la graine.
Mon souhait, ainsi que celui de certains de mes compagnons, a été de présenter d’une manière accessible la pratique de l’enseignement de la Gîtâ telle que je l’avais comprise (…) Cette traduction est destinée aux femmes, à la classe des travailleurs, aux soit-disant shudra [la plus basse des quatre castes], et autres, qui sont peu lettrés ou même sans bagage intellectuel, qui n’ont ni le temps ou le désir de lire la Gîtâ dans le texte original et qui, malgré cela, ont besoin de son support.
Peu importe si ce que vous devez faire est insignifiant. Faites-le aussi bien que possible. Mettez-y-autant de soin et accordez-y autant d’attention qu’à ce qui vous paraît le plus important. Car on vous jugera sur ces petites choses.
Quand je refuse de faire une chose qui répugne à ma conscience, je fais appel à la force de l’âme ce qui suppose le sacrifice de soi.
On n’est pas forcément silencieux parce qu’on reste bouche cousue.
L’homme silencieux est celui, qui, ayant la possibilité de parler, ne dit jamais un mot de trop.
La non-violence est la plus grande force que l’humanité ait à sa disposition. Elle est plus puissante que l’arme la plus destructrice inventée par l’homme.
La non-violence n’est pas une vertu monacale destinée à procurer la paix intérieure et à garantir le salut individuel. Mais c’est une règle de conduite nécessaire pour vivre en société.
Je ne pense pas qu’un jour, il n’y aura plus qu’une seule religion sur terre. Cela m’incite d’autant à tout faire pour découvrir un dénominateur commun aux différentes religions et à favoriser ainsi un climat de tolérance entre toutes.
Si j’étais sûr de trouver Dieu dans une caverne de l’Himalaya, je m’y rendrais sur le champ. Mais je sais qu’Il n’est nulle part ailleurs qu’au cœur de l’humanité.
La première exigence de la non-violence est de respecter la justice tout autour de soi et dans tous les domaines.
Les instruments nécessaires à la recherche de la vérité sont aussi simples que complexes. L’arrogant pourra les trouver parfaitement impraticables ; comme l’enfant innocent, parfaitement praticables.
Il est des domaines où la raison ne peut guère nous éclairer et où il faut nous en remettre à la foi pour continuer notre route. Dans ce cas, alors, la foi ne contredit pas la raison, mais la dépasse.
Je ne fais aucune distinction entre les différentes races, pour moi un homme est toujours un homme.
La non-violence ne consiste pas « à s’abstenir de tout combat réel, face à la méchanceté ». Au contraire, je vois dans la non-violence une forme de lutte plus énergique et plus authentique.
La clémence est l’apanage des forts.
Je ne suis jamais arrivé à comprendre comment les gens pouvaient se sentir honorés de voir un frère humain s’humilier devant eux.
Je suis lent à voir les défauts de mes semblables, sans doute parce que moi-même, je n’en ai que trop, et qu’à ce titre, j’ai besoin de la charité des autres. J’ai appris à ne juger personne avec sévérité et à faire la part des choses pour les défauts qu’il m’arrive de remarquer.
Le bien et le mal sont des termes relatifs. Ce qui est bien dans certaines conditions peut devenir un mal ou un péché dans d’autres circonstances.