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EAN : SIE255941_562
Stock 2 (30/11/-1)
3.5/5   2 notes
Résumé :
La voie de la non-violence n'est pas seulement l'apanage des saints et des sages, mais aussi bien de tous les autres hommes. «La non-violence est la loi de notre espèce, comme la violence est la loi de la brute. L'esprit somnole chez la brute qui ne connaît pour toute loi que celle de la force physique. La dignité de l'homme exige d'obéir à une loi supérieure : à la force de l'esprit.»Dans l'histoire de l'humanité, Gandhi est le premier à avoir étendu le principe de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
J'ai été surpris du contenu, cela parle effectivement de protestation non violente mais de façon assez précise, par exemple aux anglais habitants l'Inde, aux paysans des province unies, bref je m'attendais à lire un bouquin plus universel, dans le genre bien-être et non histoire.
Le livre m'en a plus apprit sur l'Inde et son passé que pousser à une réflexion et à la sagesse, il est tout ce qu'il y a de plus sérieux. Il est écrit au format lettre ou journal personnel mais l'éditeur a dû ajouter des notes qui font parfois les ¾ d'une page, ce qui le rend parfois lourd à lire. Il n'en est pas moins intéressant, ce n'était pas ce que j'avais envie de lire à ce moment-là, j'en sors mitigé.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Quand je désespère, je me souviens qu’à travers toute l’histoire, les chemins de la vérité et de l’amour ont toujours triomphé. Il y a eu des tyrans et des meurtriers, et parfois ils ont semblé invincibles, mais à la fin, ils sont toujours tombés. Pensez toujours à cela.
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C’est une erreur de croire qu’il n’y ait pas de rapport entre la fin et les moyens, et cette erreur a entraîné des hommes considérés comme croyants à commettre de terribles crimes. C’est comme si vous disiez qu’en plantant des mauvaises herbes on peut récolter des roses.
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Donner de l'amour, les lâches ne peuvent pas. C'est la prérogative des humains courageux.
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A chaque fois que vous êtes dans le doute, faites le test suivant : souvenez-vous de la personne la plus pauvre et la plus faible que vous ayez rencontrée dans votre vie et demandez-vous si ce que vous vous apprêtez à faire lui sera d’une quelconque utilité.
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Un témoignage d'amitié est une aide véritable dans l'adversité.
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Video de Mahatma Gandhi (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mahatma Gandhi
Gandhi ou la quête de la vérité (1973 / Les samedis de France Culture). Diffusion sur France Culture le 30 juin 1973. Par Nadine Lefebure. Réalisation : Georges Peyrou. Photographie : Mohandas Karamchand Gandhi à Londres, en septembre 1931. Avec Olivier Clément, Roger Maria, Lanza del Vasto, Max Olivier-Lacamp et Olivier Lacombe. Extraits lus de “Autobiographie ou mes expériences de vérité” de Gandhi, ainsi que des textes de Tolstoï et Romain Rolland. En 1973, dans le cadre des "Samedis de France Culture", Nadine Lefébure avait consacré une longue émission à Gandhi, 25 ans après son assassinat à New Delhi. Il y est question de son nationalisme, de sa non-violence, ou plutôt "non-nuisance", de la lutte des Indiens contre le nationalisme britannique et le poids de cet Empire britannique, maître des mers. Une puissance spirituelle qui le dépassait lui-même, et pourtant une très grande humilité. Sa pensée : un humanisme ouvert. Son combat : un échec partiel, puisqu'il aboutit à la partition de l'Inde. Une émission consacrée à Gandhi, ce symbole de la non-violence. Dès l'enfance, la quête de vérité. On ne peut comprendre Gandhi et son destin sans connaître les dominantes de son enfance - il insiste d'ailleurs lui-même sur cette période dans son "Autobiographie". Ce qui est surtout frappant dans le récit de cette enfance, c'est de constater que dès son plus jeune âge, c'est la recherche de la vérité qui anime Gandhi. L'Angleterre et l'Afrique du Sud : un militant en devenir. Gandhi décide à 19 ans de partir en Angleterre, contre l'avis du chef de sa caste, qui le condamne alors à être traité en paria jusqu'à la fin de ses jours. Il voulait finir ses études de droit, certes, mais surtout aller au centre de cet Empire prestigieux, découvrir quel était le secret de cette puissance. Il s'y rend compte que le dominateur n'est pas si terrible que ça : l'Anglais est un personnage plutôt sympathique, qui a ses timidités et ses craintes. Gandhi, qui ne s'intéresse pour l'instant pas du tout à la religion, s'imprègne alors du sens anglais de la loi, du rationalisme, et du thème de l'innocent injustement condamné - des figures comme celles de Socrate ou de Jésus étant centrales au sein de la culture occidentale européenne. Après l'Angleterre, Gandhi se rend en Afrique du Sud. C'est là qu'il devient véritablement un militant, lui qui s'engage pour sensibiliser les gens sur la situation des Indiens au Natal. Il s'embarque dans une véritable aventure politique, qui sera son école de préparation à la lutte mondiale qu'il mènera ensuite dans son propre pays. Marqué par le profond respect qu'il a des Anglais et de leur Empire, le nationalisme que développe Gandhi à cette époque n'est pas encore revendicatif de l'indépendance : il réclame seulement le respect de la dignité, des droits et des coutumes d'une population par un maître reconnu comme tel. Lutte pour l'indépendance de l'Inde. Gandhi poursuit sa propagande de militant en faveur des Indiens. Il se rend à Londres, et rencontre des anarchistes indiens notoires, dont la violence et le courage l'émerveillent et l'épouvantent tout à la fois. C'est à cette époque qu'il en vient à l'indépendance, notamment économique. Le grand tournant se situe en juillet 1914. Embarqué pour les Indes via Londres, Gandhi est accueilli dans son pays comme un héros national. Il appelle alors à la grève générale : on compte 125 000 grévistes à Bombay en 1919, et 200 grèves dans toute l'Inde en 1920. Les choses s'accélèrent : en octobre 1920 est adopté le principe de l'indépendance, ou self-government dans le cadre de l'Empire, ainsi que le principe de non-coopération. En janvier 1930, le rapport proclamant l'indépendance de l'Inde est présenté par Jawaharlal Nehru, président de la commission des résolutions. En mars de cette même année a lieu la fameuse marche contre la taxe de sel, qui a entraîné une prise de conscience prodigieuse et massive de la part des Indiens, puisque c'est un sujet qui les touche tous. La désobéissance civile prend fin en mars 1931, avec la signature du "Gandhi-Irwin Pact" à la suite de négociations avec le Parti travailliste anglais au pouvoir depuis 2 ans, et qui sympathisait avec la cause indienne. Pourtant, la partition de l'Inde après la Seconde guerre mondiale laisse à l'œuvre de Gandhi, qui sera assassiné le 30 janvier 1948, un goût d'inachevé. Mais Gandhi n'est pas mort désespéré, et n'a pas désespéré de sa mission. Il demeure un symbole, une réponse exceptionnelle à une structure nouvelle dans l'histoire de la violence.
Source : France Culture
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