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Critiques de Margaux Gilquin (33)
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Le dernier salaire

Témoignage poignant sur une réalité qu'on ne connaît pas voire qu'on ignore tant qu'on ne la vit pas.

Le monde du travail se montre très dur, exigent, injuste et incompréhensible.

Toutes les petites choses de la vie sont imprévisibles et précieuses. Ce témoignage m'a fait comprendre qu'il est important de profiter de la vie à chaque instant mais il est nécessaire de prévoir, de penser à l'avenir incertain.

Actuellement en formation en travail social, j'ai encore du mal à réaliser que tant de monde vivent avec la peur de tout perdre.

Le dernier salaire est à la fois une belle leçon de vie sur le courage et une leçon sur la facette sombre de la vie.
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Apprendre à danser sous la pluie

livre lu en une soiree prise dans la danse de cette saga familiale. Resilience, amitie, famille, drames, secrets sont pour moi les mots clefs de ce livre. A recommander.

Margaux nous prouve qu'apres le succes "le dernier salaire" son don d'auteure.

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Apprendre à danser sous la pluie

Écrire un deuxième roman est toujours compliqué, le faire lire aux lecteurs est source de stress pour l'auteur. Je rassure directement Margaux, pari réussi. Ton deuxième roman est aussi bon que le premier, dans un style (sur le fond) différent mais avec la même passion. C'est un très gros COUP DE COEUR pour moi !



On suit Laure, entre Paris et la Grande Maison, entre la capitale et la campagne. Margaux et ses descriptions nous font voyager en France de belle manière. J'ai eu envie de tout lâcher et de partir voir les 13 clochers, de sentir le soleil et de voir le mascaret. En lisant les lignes du romans, on a l'impression d'y être et aussi bien dans le Sud qu'à Paris, j'ai adoré les descriptions !



En lisant ce livre, si vous m'aviez regardé, j'ai eu un sourire un peu béat bien souvent, l'histoire des espadrilles surtout. Mais Margaux Gilquin nous fait aussi passer par bien d'autres émotions comme la tristesse, le deuil, l'effroi. J'ai versé ma petite larme à un moment particulier, mon cœur s'est serré à un autre.



Laure est une belle femme avec ses faiblesses et ses forces. Elle apprend "à danser sous la pluie" au fur et à mesure de ce roman, le cheminement est beau et long. Ce n'est pas un livre de développement personnel mais je vous avoue que je le relirais souvent pour continuer d'espérer car il donne envie ce livre d'espérer.



En ce qui concerne le style de Margaux Gilquin, on retrouve celui qui a fait son succès pour Le dernier salaire mais en mieux encore, je dirais. On suit la vie de Laure, ses pensées, ses conversations, elle nous décrit ce qui l'entoure aussi bien en extérieur que dans son for intérieur. Tout est très bien fait, juste et sans fausse note.



Les personnages, Tante Marthe, François, Nade, Martine sont bien sympathiques et nous n'avons pas envie de les quitter. J'espère bien les retrouver dans la suite !



Ce que j'ai adoré également dans le roman de Margaux, c'est qu'il est question de l'Histoire, surtout de la deuxième guerre mondiale d'ailleurs. Et puis, on aborde certains aspects généalogiques que j'adore ! Alors ... J'adore !





En résumé : Coup de cœur ! Un très beau roman à lire et à relire !




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Le dernier salaire

Cet ouvrage est véridique : toutes ces structures à rappeler pour savoir si elles ont bien reçu votre CV, s’il n’y a pas un poste de disponible. Toutes ces personnes qui vous enquiquinent à s’exclamer chaque semaine : « Mais je ne comprends pas qu’avec tes diplômes, tu ne trouves pas ! ». Toutes ces missions qui ne sont pas renouvelées. Toutes les cartes qu’il faut abattre pour trouver un boulot décent. Quand on en trouve un, bien sûr.

Margaux Delcourt, je me suis reconnue dans certaines de vos paroles, pourtant je n’ai ni votre expérience, ni votre âge. Mais, je suis aussi passée par la case « chômage », même si elle n’a pas duré aussi longtemps que la vôtre. J’espère ne pas y remettre les pieds. J’ai apprécié ces moments dans « Le dernier salaire » où vous vous faîtes plaisir, où vous savourez certains instants, comme ce petit rituel que vous avez chez Starbucks. J’espère franchement que votre livre sera une réussite. Vous le méritez amplement !
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Apprendre à danser sous la pluie

Difficile de qualifier ce roman. A la fois fiction et autobiographie. Je n’ai pas encore lu le premier ouvrage de Margaux Gilquin (Le Dernier Salaire), qui a jeté un pavé dans la mare, mais ce que vis l’héroïne transpire de sincérité, de vérité, de vécu. Après je ne sais pas quelle est la part de fiction et celle de vécu.



Ce roman vient comme un témoignage. La vie de Laure a été chamboulée, elle ne s’est jamais remise du drame qui a fait éclater son enfance. Il y a quelques années, elle s’est réfugiée chez tante Marthe, elle avait besoin de se retrouver. Laure l’auteure est une battante, une femme forte et piquante. Laure la femme est d’une extrême fragilité. Tout comme François, d’ailleurs, qui vit aussi chez tante Marthe, et qui sous ses airs bourrus, est un écharpé qui peine à se remettre du drame de sa vie. Ces deux-là étaient fait pour se rencontrer, non?



C’est un beau roman, un fil de réflexions sur lequel j’ai aimé me laisser aller.



L’amitié et l’amour y sont prépondérant. Le deuil aussi. Il y a beaucoup de douceur, de poésie, d’indulgence, d’empathie. Il y a des cicatrices qui jamais ne disparaitront, mais qui avec le temps s’atténuent. On apprend à vivre avec. Marthe aide Laure à apprécier tous ces petits moments de bonheur simple que nous offre la vie, et à tourner une page.



Voilà, un beau roman, une belle plume, une très belle découverte.



Un grand merci aux Editions Lazare et Capucine et à Margaux Gilquin.


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Apprendre a Danser Sous la Pluie

j'ai été happée dans ce roman dès la première phrase. J'ai donc reçu "une leçon de bonheur de tante Marthe" et j'en avais bien besoin. Pas parce que je ne suis pas heureuse mais tout simplement parce que je n'en ai pas assez conscience. Qu'il faut que je cesser d'espérer le moment parfait car il n'arrivera pas. 

"Apprendre à danser sous la pluie" m'a permis de comprendre qu'il ne faut pas "attendre que l'orage passe" (Sénèque). Qu'il faut avancer dans la boue, relever la tête et la garder haute. 

Qu'il faut aussi profiter de l'instant et ne pas le laisser filer car il ne passera pas une deuxième fois.
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Apprendre à danser sous la pluie

Margaux Gilquin nous offre un beau roman sur la résilience. Le personnage principal, Laure, est une femme approchant la soixantaine et débordant de vie, « adulescente », qui pourtant s’interdit de vivre. Enfermée dans le souvenir d’une petite fille, c’est en revenant sur les terres de son enfance qu’elle apprend à vivre.



Grâce à tante Marthe, ce puits infini de sagesse, chez qui elle vient s’installer comme « dame de compagnie ». Tante Marthe appartient à ces vieilles dames qui ont connu leur lot de souffrances et distillent sans les imposer des leçons de vie, une philosophie simple et cependant essentielle.



Dans le paysage apaisant du Lot-et-Garonne, Laure se retrouve, écrit un premier livre, est débordée par un succès qu’elle n’avait pas envisagé, multiplie les allers-retours à Paris. Mais sa vie est intimement liée à ses terres natales, où se passe l’essentiel de l’intrigue. C’est un personnage aimant et curieux que Laure, Margaux Gilquin y a mis beaucoup d’elle-même, semble-t-il, dans un effet miroir très intéressant.



Laure n’est pas la seule à chercher son chemin de résilience. Apprendre à danser sous la pluie rassemble de nombreux personnages, qu’il serait trop long de détailler ici. Laissons au lecteur le plaisir de les découvrir par lui-même, car chacun apporte au récit. Impossible toutefois de faire l’impasse sur François, lui aussi en proie à des fantômes, cherchant dans la demeure de tante Marthe le moyen de vivre malgré tout.



Car « La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe. C’est d’apprendre à danser sous la pluie ». Cette phrase de Sénèque tient lieu de philosophie générale au roman de Margaux Gilquin, un récit vivant, tendre, aimant, qui laisse quand on le referme l’impression d’un bonheur à portée de main, même au milieu des tempêtes.



Beau, tout simplement.
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Le dernier salaire

j'ai tout de suite été attirée par le résumé. J'avais envie de découvrir la vie de Margaux Gilquin, une femme de ma génération, connaissant à peu près le même problème que le mien, quoique je m'en sois sortie plus vite qu'elle, je me suis littéralement plongée dans son histoire. Et tout d'abord, je la remercie, oui..je la remercie d'avoir osé prendre la plume et poser sur papier tout ce qu'elle a traversé, ce qu'elle a vécu, comment elle a été reçue, comment on lui a parlé.. Vous me direz que ce genre d'histoires est connue et que l'on a tous entendu parler d'un cas comme celui de Margaux dans notre entourage, oui mais, en parler, là est toute la difficulté ! Ne pas se taire, raconter et dire ce qu'on a sur le cœur, pour appuyer encore plus tous les problèmes de chacun !

Le roman commence avec le déménagement de Margaux de son appartement, cela fait sept ans qu'elle est au chômage, et elle ne peut plus payer son loyer, son « dernier salaire » est tombé, malgré tous les efforts qu'elle aura fait...On remonte donc ensuite quelques années plus tôt, là où tout commence, à 48 ans, après toutes ces années de bons et loyaux services au sein d'une société, la voilà remerciée et au chômage. Il faut encaisser le coup, recommencer, se dire qu'on est capable. Elle calcule le temps qu'elle a devant elle par rapport à ses allocations chômage, elle veut retrouver du travail, elle se bat, fait les petites annonces de toute sorte !! Elle va affronter des personnes tellement désagréables, alors qu'elle se plie à toutes leurs exigences pour pouvoir travailler ! Les rendez-vous avec Pôle Emploi sont parfois un vrai parcours du combattant, elle va même distribuer ses CV dans la rue, dans un aéroport. Elle va avoir des opportunités de poste qui vont l'aider à sortir de l'eau, mais pas pour longtemps, car ce n'est bien souvent que des CDD. Elle fait parfois énormément de kilomètres pour trouver quelque chose..

On suit Margaux sur deux plans, les années entre 2008 et 2015, avant le départ de son appartement, et pendant 2015, elle est partie chez une Tante, vers Bergerac (elle est de Montmorency à la base), où elle est la dame de compagnie de cette personne. Seulement celle-ci est âgée, elle va peut-être partir en maison de retraite, Margaux a appris après toutes ces années de recherches infructueuses à vivre plus au présent, et elle profite des moments précieux qu'elle passe avec cette tante. Malgré tout ce qu'elle vit au quotidien, Margaux ne manque pas d'humour, le rire est souvent présent au détour des pages, dans la façon parfois ironique dont elle raconte les faits. Il faut dire qu'il y a de quoi !! avec les assistantes qui la reçoivent et ne la prennent pas parce que son signe astrologique ne correspond pas, ou lorsqu'on lui propose de refaire une formation pour se remettre une nouvelle fois à niveau !! Elle a de bonnes amies qui l'épaulent, heureusement, mais parfois la maladie est plus forte que tout, et Margaux enchaîne entre la peine et ses propres soucis de santé !

Ce roman est un magnifique cri, témoignage d'une femme qui pourrait être vous, moi, n'importe qui ! Le chômage touche tout le monde, il n'est facile pour personne, les jeunes doivent avoir de l'expérience, les plus âgés en ont trop ! Allez comprendre cette société ! Margaux Gilquin pointe aussi du doigt toutes les réflexions qu'un chômeur peut avoir, du genre, il est payé à rien faire, il n'a pas à se plaindre, il touche des allocations...Margaux vit avec un peu plus de 400 euros par mois, ceux qui disent ce genre de phrase veulent se mettre à sa place ? Je pense qu'elle leur laisserait avec plaisir !! pour avoir vécu la situation, j'ai vraiment apprécié qu'elle ne pratique aucune langue de bois et parle de tout, sans tabous.

J'espère qu'aujourd'hui, elle va bien, qu'elle a pu trouver un peu de sérénité dans sa vie, qu'elle ait trouvé ou non un CDI, qu'elle soit heureuse tout simplement ! Un roman que je vous conseille vivement, Margaux a une vie intéressante et palpitante, et elle vous fera si bien comprendre ce que vivent les personnes dans son cas...

Je la remercie une nouvelle fois d'avoir osé parler et écrire cette tranche de vie, j'ai vraiment été très touchée par cette dame, elle m'a beaucoup émue, et j'espère la relire une nouvelle fois, car j'aime beaucoup son style, et qu'elle nous raconte ce qu'il s'est passé après la publication de cet ouvrage par exemple !
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Apprendre à danser sous la pluie

D’abord, il faut le dire… j’ai adoré la couverture et le titre, c’est ce qui m’a attiré vers ce roman. Maintenant, après l’avoir lu, je suis un peu déroutée… J’ai beaucoup aimé l’histoire, malgré le fait qu’il y a beaucoup d’histoires dans l’histoire, peut-être un peu trop... Mais bon, qu’à cela ne tienne. J’ai été particulièrement sensible au fait que Laure ait perdu sa sœur jumelle, et les conséquences sur sa propre vie. Un sujet que je connais bien. J’ai aimé aussi que les protagonistes aient la soixantaine, ça change !

Il y a cependant une chose qui m’a perturbée tout au long de ma lecture : c’est le fait de repasser tout le temps dans le passé, mais de laisser la conjugaison au présent. Ça m’a gênée et j’ai souvent dû repartir quelques pages en arrière pour mieux comprendre où j’en étais.

Cela dit, j’ai passé un agréable moment.
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Apprendre à danser sous la pluie

le ton me plaît, l'écriture aussi !!!
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Apprendre à danser sous la pluie

Le roman que m'a fait découvrir Olivier de Lagausie (merci encore pour cette découverte) est un texte qui transpire la féminité, à la limite du féminisme. C'est un texte tout en délicatesse à la limite de la mélancolie. C'est un texte qui instille des conseils que nous avons oubliés dans cette vie de fou que nous menons, pour nous dire de ralentir et de prendre soin de nous.



On peut sentir une certaine musicalité dans cette œuvre qui balance comme un métronome. Le personnage de Laure fait des aller/retours entre Paris et le Bordelais, et on se balance. On se laisse bercer par les changements de saisons, les couleurs qui éclatent devant nos yeux, on prend le temps d'écouter le bruit du tracteur lors des moissons, le crépitement du feu lorsqu'il fait froid, on entendrait même le sifflement de la théière qui nous appelle.



Malgré un sujet pesant que nous propose Margaux Gilquin, la perte de son jumeau, je sors de ma lecture avec un certain sentiment de feel-good que procure que certains ouvrages.



Je le dois sûrement au personnage de Marthe qui incarne la bonté, la bienveillance et la générosité. Cette femme qui observe les autres et souffle ses conseils pour que les gens qu'elle aime, se sentent mieux. Tante Marthe, moi aussi je veux danser sous la pluie. Moi aussi, je ne veux pas voir le temps me glisser entre les doigts. Je veux tout simplement vivre. Merci tante Marthe.



Cependant, j'ai tout de même quelques réserves sur ce roman. En particulier, la vie de Laure que je ne souhaite à personne. Laure a 60 ans, n'a pas d'enfants, pas d'amour, une vie vide de sens qui ne repose que sur une façade audio-visuelle. Sa souffrance du à la perte de son jumeau a anéanti sa vie, qu'elle tristesse ? Trop de tristesse, aurait-il fallu modérer cette succession ? Sans doute à mon gout. Je pense très sincèrement que ce livre ne s'adresse pas à une population jeune mais aux personnes ayant déjà vécu de nombreuses expériences.




Lien : https://exulire.blogspot.fr/..
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Apprendre à danser sous la pluie

Je remercie l'auteure, Margaux Gilquin qui est venue sur ma page Facebook me proposer son nouveau roman en service presse. Ne connaissant pas sa plume mais aimant découvrir de nouveaux auteurs, j'ai accepté avec plaisir.



Qu'en dire? Je vais commencer par les petits moins (pour me faire taper sur les doigts tout de suite!). J'ai été un peu décontenancée au début et j'ai eu un peu de mal a rentrer dans l'histoire. Je n'arrivais pas trop à évaluer l'âge de Laure et surtout le temps écoulé depuis le drame qui l'a touchée. C'est assez vague au début, tout comme l'accident lui-même: quand ? Comment?

De plus, j'ai eu du mal aussi à me repérer dans le présent car le temps passe assez rapidement de petites scènes en petites scènes.



{Fin du tapage sur les doigts!} Car à part ça j'ai beaucoup aimé ma lecture et je pense que cette construction est voulue et utile à l'histoire! En effet, Laure est assez déboussolée et en pleine reconstruction de soi. Le texte est un peu à son image: elle zappe de petit bonheur en petit bonheur.



Laure a tout quitté pour refaire sa vie à La Grande Maison où elle devient la dame de compagnie de Tante Marthe. Elle a écrit un roman qui rencontre un grand succès et la met sur le devant de la scène. Cette soudaine popularité, non-souhaitée, l'amène a rencontrer beaucoup de gens et à faire de nouveaux projets. À côté de ça, elle est aider par ses amis et Arnaud, son psychologue, pour revenir sur son passé et le laisser une bonne fois pour toute derrière elle.

Ainsi, peu à peu, elle va évoquer des souvenirs d'enfance et révéler le drame qui lui a enlever sa soeur jumelle. Le chemin va être difficile mais essentiel pour aller de l'avant.



Dans son entourage, elle se rend compte que d'autres ont aussi perdu des êtres chers et que chacun se bat à sa manière contre cette absence. La personne la plus forte de toutes étant Tante Marthe. Avec beaucoup de tendresse, elle lui rapporte son passé, nous narrant des faits historiques. Ce personnage est vraiment très attachant! Une femme qui a su affronter les épreuves que le destin a mis sur son passage et qui a eu une vie bien remplie! Elle sera toujours de bon conseil, de par son expérience.



Ce roman est très fort en émotions! Les personnages nous touchent énormément et nous suivons pas à pas la reconstruction de Laure. Pour moi, Tante Marthe est le point central, celle qui apportera à chacun le courage de combattre ses fantômes, son point de vue et son expérience sur la vie.



Avec son livre, Margaux Gilquin nous prouve que malgré les épreuves et la tristesse, chacun peut se reconstruire pour trouver le bonheur.
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Apprendre à danser sous la pluie

J’ai ouvert le nouveau livre de Margaux GILQUIN avec beaucoup de curiosité, d’autant que j’avais beaucoup aimé « Le dernier salaire » et que chacun sait qu’un second livre, annoncé de surcroit comme étant un roman, est une gageure ! … et je n’ai pas été déçue, loin de là.

Grâce au talent de Margaux, je me suis complètement glissée dans les personnages ; j’ai admiré la beauté des couleurs de la Gironde, goûté la douceur des après-midis dans la belle demeure de Tante Marthe et surtout vibré avec Laure.

J’ai refermé ce livre avec les larmes aux yeux.

C’est vraiment une réussite. On en redemande !







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