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Algernon Woodcock, tome 1 : L'Oeil fé, première partie de Mathieu Gallié
- Aucune maladie ne dépasse en horreur la passion de la chasse à la bécasse. Hormis, peut-être, celle du jeune médecin fraîchement sorti de la faculté et qui se prépare à faire ses premiers pas dans la vie active. - Ah ! Nous y voici donc, monsieur le sarcastique ! Je me disais bien que tout ceci devait bien mener quelque part ! Eh bien, gausse-toi si tu veux, mais sache que tes railleries sont sans effet sur moi. Car tant que Vernon errera dans les bois en quête de ses insaisissables volatiles, je serai le seul maître du précieux cheptel de patients qu'il a bien voulu me confier. (Algernon et son ami William). |