Maud Begon

Un récit complexe et hypnotique, qui suit une lignée de femmes capables de communiquer avec les esprits.
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À la manière de Médée chez le même éditeur, Bouche d'Ombre est une série bourrée de qualités tant en terme d'écriture que de graphisme.
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Comme ses prédécesseurs, Lucienne 1853 demande à son lecteur un petit effort pour être abordé, mais après quelques pages on se laisse progressivement mais sûrement emporter par sa poésie et ses personnages attachants.
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Dans cette histoire, on retrouve Lou, en proie à son histoire familiale. Elle a des visions et voit une femme mystérieuse qui la hante. Le dessin est toujours aussi beau et original. On retrouve les paroles d'une chanson en toile de fond sur plusieurs cases de bd, sorte de ritournelle entêtante.

La Lou actuelle doit se plonger dans le passé de sa famille pour arriver à comprendre ce qui est arriver à son arrière grand mère et a déjoué la malédiction...

Les dessins m'ont plu, l'intrigue n'est pas hyper originale mais ça tient la route. Je vais poursuivre la série puisque le T. 02 est déjà sorti. (août 2016)

Le second tome de Bouche d’ombre, scénarisé par la romancière Carole Martinez et mis en images par Maud Begon, vient de paraître aux éditions Casterman et surpasse le premier : les qualités des illustrations et du scénario y sont – pour notre plus grand plaisir – meilleures et plus abouties.



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Une bande dessinée qui ne m'a que moyennement convaincu. Je n'ai pas spécialement accroché avec le scénario alors que la thématique m'intriguait de prime abord. Pour moi, ça manque d'originalité et de relief. Par contre, j'ai bien aimé les dessins de Maud Begon.

Je ne pense pas que le lirais les tomes suivants.

Une belle incursion joliment imagée dans un "entre deux mondes" où une jeune fille, Lou, voit et communique avec les morts et où les protagonistes de différentes époques (elle-même ?) semblent pouvoir s'entrecroiser... 1er tome d'une trilogie.
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Paris, printemps 1985. Lou, en classe de première, ne s'intéresse qu'à son petit monde adolescent, ses amis, les fêtes, le lycée. Jusqu'au jour où sa bande de copains décide, par jeu, de s'essayer au spiritisme. Le verre bouge, l'univers de Lou vacille et ce jeu aura des conséquences dramatiques.

Le fantastique s’immisce par petites touches, sans gros clichés, le dessin au crayon est très sensible. Ce tome 1 esquisse les premières pistes…c’est avec impatience que l’on attend la suite, encore 3 tomes à paraître.

J'ai bien aimé ce livre car il y a de l'action, de l'aventure.

Je trouve que les images sont détaillées et elle développent encore plus l'action.

J'ai aussi aimé car on ne sait pas à l'avance ce qui vas se passer.

Au début, je trouve qu'on a du mal à comprendre ce qui se passe et qui sont les personnages mais on s'y habitue assez vite...

P.J

Une BD trop difficile à suivre pour moi… L'histoire est plutôt bien pensée, mais trop de parenthèses dans le passé, ce qui rend le tout un peu trop complexe à comprendre.

http://sabariscon.wordpress.com/2014/08/09/bouche-dombre-de-maud-begon-et-carole-martinez-casterman-2014/

Un excellent album, immergeant littéralement ses lecteurs dans le passé, le présent et les pensées des personnages.
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La romancière Carole Martinez (Le Coeur cousu, Du domaine des murmures) signe ici une première bande dessinée plutôt plaisante et bien bâtie, à défaut d’être vraiment originale.
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Maud Begon a réalisé tous les dessins de cet album au crayon, utilisant parfois le relief de son support papier pour créer hachures, zones d'ombre avec une délicatesse qui correspond bien au rythme de progression de l'histoire. Elle parvient à en retranscrire la sensibilité et les nuances tout en campant des personnages attachants. Mention spéciale à la toute ronde tante de Lou.
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Nourri de flash back et de séquences oniriques, Je n’ai jamais connu la guerre examine avec beaucoup d’acuité la très riche question de la mémoire et de ses scories.
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Un mélo réussi, c’est rare, et un mélo moderne, novateur et réussi, ça n’arrive presque jamais. Alors, bravo.
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Voilà un album qui ne laisse pas indifférent. Le concept est intelligent et même si nous l'avons déjà croisé dans certaines oeuvres de science-fiction, il est développé d'une façon très profonde, intense et sensible.
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