Histoire plaisante à lire. Un bon Blueberry, avec une pointe de mysticisme.
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Un Blueberry très agréable à lire.
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Un Blueberry de bonne facture, même s'il ne s'agit pas nécessairement là du meilleur.
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Un Blueberry de bonne facture.
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Un Blueberry très plaisant à lire. Le trait est agréable.
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Un agréable moment de lecture.
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Très bon ouvrage. Détente et dépaysement assurés avec Blueberry !
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Un agréable moment de lecture, sur fond de guerre de Sécession.
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Après une perte de vitesse, nous retrouvons un lieutenant Blueberry avec quelques appréhensions légitimes. Fort heureusement, pouvons-nous les remiser pour un temps !
La dédicace des auteurs donne le "la" : ce vingtième album de la jeunesse du célèbre lieutenant créé par Jean-Michel Charlier est un hommage rendu au(x) père(s) ! Autrement dit, il y a ici à la fois un retour aux sources et de nombreuses références aux tomes premiers de cette saga parallèle. Il est fortement recommandé d'avoir lu et relu les trois premiers albums pour pleinement apprécier celui-ci.
Enfermé dans un cave au cours d'une bataille, Blueberry échange ses souvenirs avec un sergent. Les souvenirs en question se rapporteront à la plus célèbre bataille de la Guerre de Sécession et mettront l'accent sur sa tendance passée à fréquemment changer d'uniforme...
Le retour aux sources se vit dans le sens où l'histoire privilégie les batailles par un amoncellement de petits moments sanglants. Une petite mission, périphérique est bien présente mais elle ne sert qu'à mettre la bataille en valeur. Le lecteur peut facilement perdre le fil (surtout si sa relecture date un peu). Mais quel plaisir !
La seule ombre au tableau et le style de Michel Blanc-Dumont, pourtant si fluide et si efficace d'ordinaire. Son côté résolument moderne, vraiment réussi, ne parvient pas à convaincre ici. Cela est d'autant plus regrettable que l'auteur s'est appliqué (les batailles, les visages des grands généraux transcris avec une finesse remarquable). Un reproche difficile à formuler, à lire et à accepter car personne ne peut imiter Jean Giraud.
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Rédemption est le titre qui convient à un scénario qui s’achève enfin. François Corteggiani, connu pourtant connu pour de nombreuses réussites, n’apparait pas au mieux de sa forme ici. La seule surprise véritable du scénario concerne un certain général Sheridan. Son évolution est surprenante et peine à convaincre. Pourquoi avoir osé ce choix dans le tome précédent pour le réduire à néant aussi rapidement ? Après quelques explications triviales, le lecteur peut légitimement se sentir dupé.
L’idée est sans doute de faire croire (et de faire continuer à croire) que Blueberry va se retrouver entre deux feux sans pouvoir faire confiance à son nouvel ami (qui évolue tout aussi étrangement). Envers et contre tous… Sauf que ce n’est pas le cas. L’histoire est prévisible, convenue, sans véritable intérêt. L’apparition d’un nouveau personnage, détonne. La surprise reste agréable (merci aux dessins). Mais elle se dissipe bien vite, des sommets sont atteints : la scène sous la lune ou des adieux déchirants se complaisent dans une mièvrerie de pseudo romantisme éculé et totalement superfétatoire. La nouvelle évasion de notre protagoniste est à l’image de ce tome dix-neuf : commode, insipide.
Utiliser la religion, les dangers du sectarisme, la chasse aux sorcières dans l’Ouest, sur fond de Guerre de Sécession était une idée sans doute destinée à apporter un peu de saveur à cette histoire qui aurait pu amplement être traitée en un tome unique. Les dernières planches semblent annoncer une époque nouvelle. S’achemine-t-on vers un retour aux sources ? L’espoir est permis.
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Les dessins de Michel Blanc-Dumont demeurent l'un des deux points d'intérêt de ce dix-huitième tome de l'une des plus prolifiques séries dérivés consacrées au lieutenant myrtilles, heu pardon... au lieutenant Blueberry. Son style spécifique est plaisant à l'envie et donne vie à des personnages, surtout lorsqu'il sont vu de près.
Habituellement charismatique, le protagoniste laisse filer une curieuse image de lui-même à la fois faite de clichés (ah la traditionnelle scène du saloon !) et de trop longues absences. Le grand méchant ne suscite guère d'intérêt. Un prêtre (forcément cinglé) qui semble avoir constitué une secte de hors-la-loi dévoués.
Fort heureusement, une partie du scénario retient l'attention. Mettons de côté la trame principale, toute juste bonne à servir de prétexte à une aventure de plus grande envergure (la demoiselle, fille de... enlevée, quelle originalité !).
Les règlements de comptes politico-militaire et surtout les figures des deux généraux : voilà le second point positif. Quelques surprises bien calculées sont traitées avec habilité. Mais que tout cela est bien maigre...
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