Michel Hébert

« Cherbourg », la mémoire en images…

Une belle idée que cette collection; au même titre que Caen, Saint Lô, Granville, Coutances pour la Normandie, Cherbourg se voit doté d’une couverture dans la collection « La mémoire en images » ; deux tomes…

En fait, deux recueils de cartes postales anciennes datant pour la plupart du début du XXème siècle. Plus que les textes qui se contentent d’une description sommaire, voire d’une annotation concernant la personnalité dont la rue ou la place porte le nom, l’intérêt est porté par l’image. Il est bon de se promener dans sa ville au gré de ces clichés témoins de la vie et de l’évolution de la cité. Des thèmes : les rues, l’arsenal, la vie sociale, le patrimoine architectural, l’agriculture, la pêche, les transports…

On se prend à rêver au détour d’une rue, d’un quartier que l’on reconnaît plus ou moins selon que les années et les soubresauts de l’histoire ont décidé ou non de les modifier…

Un recueil délicieusement désuet.

« Cherbourg », la mémoire en images… Tome II

Comme je l'ai déjà mentionné pour le tome I, voilà une bien belle idée que cette collection qui met en lumière au même titre que Caen, Saint Lô, Granville, Coutances pour la Normandie, le port de Cherbourg. Il y a matière : deux tomes…

En fait, deux recueils de cartes postales anciennes datant pour la plupart du début du XXème siècle. Plus que les textes qui se contentent d'une description sommaire, voire d'une annotation concernant la personnalité dont la rue ou la place porte le nom, l'intérêt est porté par l'image. Il est bon de se promener dans sa ville au gré de ces clichés témoins de la vie et de l'évolution de la cité. Des thèmes revisités : les rues, le port, militaire et de commerce, la vie sociale, les églises, les grands événements, le commerce…

On se prend à rêver au détour d'une rue, d'un quartier que l'on reconnaît plus ou moins selon que les années et les soubresauts de l'histoire ont décidé ou non de les modifier…

Comme le précédent, un recueil délicieusement désuet.

Le premier recueil se terminait par un thème sur le Val de Saire, celui-ci conclut sur la Hague, deux aspects de Cherbourg (au sens large) économiquement non négligeables, l'un pour ses cultures maraîchères, l'autre pour son industrie…

J'ai lu ce livre de concert avec ma maman, qui a eu l'idée d'entamer une lecture en rapport avec le lieu de nos vacances. C'est tout à fait innopinement qu'elle avant visité le Mont Saint Michel à la suite d'une lecture le concernant (livre que j'ai moi-même lu avant elle) , et y a retracé le cours de sa lecture. Elle m'a donc proposé de réitérer l' expérience puisque cette année, je suis du voyage...

Hélas, ce petit roman policier ne m'a pas autant fait voyager que le premier... J'ai trouvé la lecture très simple, quoique menée d'une main sûre, je dois l'avouer. Il ne m'a pas plus emballée que cela, outre le style simple, j'ai trouvé des passages qui n'ont rien apporté à l'enquête, des attardements sur la vie personnel du personnage et sa femme.

Un lundi matin, jour de grand calme en province, un cadavre est découvert par un passant sur le parvis de la cathédrale de Coutances. Il s’agit de celui d’un plombier bien connu dans le coin et de très bonne réputation. Personne n’a rien remarqué alors que l’homme a pris plusieurs balles dans la tête. De plus, sa position semble indiquer qu’il sortait du lieu de culte alors que celui-ci était fermé. Autant dire une enquête qui s’annonce fort compliquée pour l’inspecteur Vebert de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières…

« Etrange cadavre en pays coutançais » se présente comme un roman policier de facture et de structure tout à fait classique. Le lecteur suit pas à pas une piste qui mène le héros sur la trace d’un terrible gang de trafiquants d’œuvre d’art helvète (original !). Dès le début, il se demande ce que vient faire ce gabelou de haut vol dans cette histoire de meurtre de plombier. L’auteur résout cette difficulté par une pirouette en provenance de la haute administration. Ce démarrage un peu laborieux mis à part, la narration est agréable, bien rythmée, vivante, (beaucoup de dialogues) et la fin bien construite avec un faux coupable (obligatoire dans ce registre) et une poursuite en apothéose. Le style de l’auteur est honnête sans plus (à noter quelques coquilles et lourdeurs). Il ne lui manque qu’une chose : un peu plus d’humour lequel permettrait de rendre encore plus agréable la lecture de ce gentil ouvrage de divertissement. Un seul trait au dernier paragraphe : « La montre, à elle seule, paierait les frais dus à l'Etat, ce grand gourmand qui n’était jamais rassasié ! », c'est maigre !
Lien : http://www.bernardviallet.fr

Un polar de Michel Hébert avec une intrigue gentillette. Dommage on a déjà reconstitué les "pièces du puzzle" avant d'arriver à la fin du livre tellement tout y est prévisible. Sinon petit polar français sympathique à offrir pour des personnes d'un certain âge qui l'apprécieront car pas de détails macabres comme dans les thrillers.

Acheté au salon du livre régional, après un bel échange avec l'auteur avec qui il est très agréable d'échanger. J'ai lu ce titre d'une traite, le côté local : Le val de saire que je connais bien et que j'affectionne , et l'aspect enquête en ont fait un roman que j'ai apprécié. Certes l'intrigue n'est pas des plus élaborée, c'est un bon roman policier français.

Au Grand pardon de Granville, la statue de la Vierge du cap Lihou est dérobée. L'inspecteur Vébert se demande si le vol est lié au meurtre sur lequel il enquête.

Michel fait revivre ici l'histoire de ce coin de Normandie. L'intrigue policière si elle est bien menée n'est qu'un prétexte pour nous faire découvrir ce coin du cotentin.

Nous somme là dans un polar régional normand pur beurre.

Une lecture fort sympathique en somme
Lien : https://collectifpolar.com/

Ayant lu auparavant deux polars de Michel Hébert qui ne m'avaient pas franchement emballée je me suis dit "c'est pas possible, j'ai un problème avec cet auteur!" Donc je décide d'en choisir un troisième : "Sale affaire dans le Val de Saire". Et là la magie a opéré! je me suis trouvée transportée avec l'inspecteur Vébert dans cette histoire qui se déroule dans le Val de Saire (que je connais très bien et que j'adore). J'avoue l'avoir lu d'une traite. C'est pas l'intrigue du siècle mais un bon polar sans prétention :) A lire pour ceux qui veulent passer un bon moment!

J’ai mis une note basse et ça m’embête un peu, aussi je me sens obligée de me justifier car c’est un petit polar gentillet et sans prétention. Mais je me suis ennuyée ferme. J’ai bien failli abandonner ma lecture. Rien n’a retenu mon attention dans ce livre, que ce soit l’intrigue, les personnages ou les paysages. De plus, M. Hebert n’est plus tout jeune et ça se voit dans son style.

J’imagine qu’il doit y avoir des amateurs de ce genre d’histoire, sans violence et sang, mais je n’ai pas accroché.

Contre l’image d’un Moyen Âge dominé par des seigneurs régnant sans partage, une analyse fine du rôle des assemblées et des conseils dans l’exercice du pouvoir politique.


Lien : http://www.nonfiction.fr/art..

Ce livre est associé au mauvais Michel Hébert. L’auteur de La voix du peuple. Une histoire des assemblées au Moyen Âge est un professeur québécois d’histoire du Moyen Âge qui a enseigné à l’Université du Québec à Montréal. Il est aussi l’auteur, entre autres, de Parlementer : assemblées représentatives et échanges politiques en Europe occidentale à la fin du Moyen Âge. Paris : Éditions de Boccard. ainsi que du livre Le Moyen Âge. Montréal : Boréal.
Lien : https://professeurs.uqam.ca/..

S’il explore la scénographie extrêmement ritualisée de ces assemblées (choix des lieux, disposition des sièges, mode de convocation des représentants), Michel Hébert fait malheureusement l’impasse sur la sociologie exacte des représentants du peuple, dont on comprend seulement qu’ils n’appartiennent pas au « petit » peuple.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..

J'ai acheté ce petit polar régional de Michel Hébert par coup de coeur en lisant le résumé. Native de Carentan et habitant Isigny-sur-Mer, j'ai vu que l'histoire de l'auteur se déroulait dans ces coins qui n'ont pas de secrets pour moi...La baie des Veys, Quinéville, Sainte-Marie-du-Mont, etc...J'ai été très déçue par ce polar. Et j'ai noté au passage beaucoup d'incohérences dans ce roman que je ne vais pas m'amuser à énumérer. Le tout raconté avec un style parfois un peu "vieillot" que je n'ai pas aimé car certains mots et certaines expressions de l'inspecteur Vébert ne s'emploient plus de nos jours. Allez Michel Hébert, un peu plus de modernisme dans votre style! Par contre un polar n'en faisant pas un autre j'ai beaucoup apprécié "Sale affaire dans le Val de Saire".