Michel Leydier

C'est bien

Ca parle de jeunes qui jouent au foot dans la rue. Il leur arrive de casser des choses pendant leurs matches et quand les policiers les voient, ils s’échappent.

Ca m’a plu car ils font du foot dans la rue et que les personnages font des bêtises.

J'aime les livres de Foot 2 Rue . Mais je préfère la bande dessinée

j'aime bien se livre parce que sa parle de foot

je conseille ce livre

Ses rythmes sont forts

Jérémi Nicolas

J' ai 11 ans

J'imagine qu'il faut avoir lu les tomes précédents pour savoir comment les Bleus de Riffler en sont arrivés au quart de finale de cette Mondiale... Un petit explicatif au début du livre nous permet de nous situer par rapport à l'histoire, ça n'est donc pas vraiment dérangeant.



Je ne suis pas fan de foot, mais mon fils oui. C'est finalement assez sympa, ça me rappelle l'époque où mon frère regardait les dessins animés.



[Lecture octobre 2020]

une BD amusante j'ai bien aimé mais je préfère le dessins animés!!!

Lecture appréciée au cours de mon enfance (et même encore actuellement...).

Ce livre est trop bien quand on aime bien le foot.

azaz

c'est bien.

Il est trop bien mais je n'ai que les trois premier je ne le trouve jamais en magasin ou alors j'ai pas d'argent.

mark est trés fort

Moi je serai la réalisatrice d'une nouvelle saison d'inazuma eleven.

Je connais cette série depuis 5 ans et ça fait 5 ans que je regarde sans relâche et que cette série m'a aidé à passer des moments difficiles. Je sais pas vous mais moi c'est ma série préférée. J'aime tous les personnages et vous allez peut-être me prendre pour une folle mais pour moi ils ont une vie. Pour moi ce sont de vrais être humains comme vous et moi.

Quand j'ai appris que la série était términée ça m'a abattu et brisé le coeur. Parce que ça fait 5 ans que j'ai un projet derrière la tête qui me tien à couer, ma raison de vivre, mon rêve le plus cher. Je veux créer une nouvelle saison d'nazuma eleven après le galaxy. Je peux confimer ce que je viens de dire. Je ne suis folle. Je ne mens pas, je ne cherche absolument pas à diffuser une blague ou autre je suis très sérieuse. Comme les personnages d'inzuma eleven/ Go/Chrono stone/Galaxy/ Tous les films je ne baisserai pas les bras. Je ferai de mon mieux. S'il vous plaît j'ai besoin du soutien d'un maximum de gens. Je sais la série est terminée mais pour moi ce n'est pas fini, je veux une suite et personne n'a les idées que j'ai. Personne n'aura les même idées que moi. Je ne dis pas qu'elles sont géniales mais j'ai foi en mes idées. S'il vous plaît soutenez-moi. Je vous en supplie.

CECI EST UN APPEL DE DETRESSE D'UNE FANE D'INAZUMA ELEVEN.

Mon adresse mail: seihra.avallon@gmail.com

Un style clair et efficace. Un ton juste, mais contrairement à la couverture qui suggère que ces nouvelles appartiennent à la littérature jeunesse, elles me semblent plutôt s'adresser à des adultes, pour ce qui est des questions posées.

En 1960, jacques Dutronc

étudiant aux Arts décoratif .

consacre une partie de son

temps à la musique et à la gui tare.

En dilettante particulièrement

doué, il pique mieux que

personne le son des Shadovvs

et fait les beaux jours de

groupes tels que Les Cyclones

et Les Fantômes.

Il devient l’assistant de

jacques Wolfsohn au service

artistique de la maison de disques

Vogue.

j acques Lanzmann, qui passait

par là, lui propose des

textes suffisamment originaux

pour lui inspirer quelques

musiques. Ne trouvant personne

pour les enregistrer, jacques

Wolfsohn le convainc de tenter

une bande d'essai Le résultat

est connu de tout le monde

Et moi et moi et moi, les sept

cents millions de Chinois font

vendre des milliers de disques

en 1966.

Le ton est donné, Dutronc

n'aura pas besoin de se composer

une image, il s'amuse du

pire et même de son succès.

Les Cactus, j 'aime les.fl!les, Les

Play-boys, L'Hôtesse de l 'air,

sont autant de tubes, qui , fait

rarissime, réconcilient l'écoute

et la danse.

Son cynisme goguenard

nous plaît ; mi eux, il est salutaire

et réconfortant. Mis à part

sa réussite au cinéma (qui n'est

pas rien !), Dutronc n'a pas

changé.

Au gré de sa fantaisie, et

sans se soucie r des modes, il

nous livre, de temps à autre,

une brassée de nouvelles chansons,

fidèles à son style et à

ce que nous aimons attendre

de lui.

Je découvre par hasard cette série qui unit à la fois un sympathique roman à destination des 8-12 et une approche plutôt pédagogique des principales notions musicales et des compositeurs.

Les personnages sont une bande de copains ( Max, le héros, Bakary, Léon, Lamia), leurs ennemis de la cité voisine, et le Maestro, prof de piano et de musique de Max.

Dans chaque histoire sont mêlées à la fois une problématique de la vie courante et des morceaux associés.

Dans le premier que j’ai lu, « Que l’intensité soit avec toi ! », Léon se fait racketter et Max doit trouver une solution pour le sortir de là ; en même temps, ils doivent présenter une adaptation de la légende d’Arthur devant la classe et ont super peur de se planter…

Avec Liszt et Chopin, on apprend d’abord à faire la différence entre entendre et écouter (c’est comme ça que Max écoutera les problèmes de Léon), puis entre la force et l’intensité. (rhapsodie hongroise n°2, nocturne opus 48)

Les morceaux dont parle le roman sont offerts à la fin dans un cd 😉

Ensuite j’ai lu « Petit secret et grande valse », (renommé si j'en crois la couverture qui m'apparait sur babelio "le secret de Lamia" ) et là Max désire organiser une fête surprise pour les 40 ans de son père ; en même temps, il trahit sa meilleure copine et cherche un moyen pour se faire pardonner sa terrible erreur…

Cette fois-ci, c’est Haydn et Chopin qui lui viendront en aide avec « la surprise » et la « valse en ré bémol majeur, opus 64, n°1 » et lui feront apprendre ce qu’est le contraste. Pas de cd cette fois-ci.



Ce que j’aime particulièrement dans cette série : c’est écrit simplement et il y a intrigues qui s’entremêlent + les références à la musique merci Maestro, donc on ne s’ennuie absolument pas. C’est vraiment intéressant d’avoir su créer ces parallèles entre de la musique classique et des problématiques du quotidien. J’aime aussi le fait que « maestro » existe vraiment : il s’agit de Daniel Barenboim, pianiste, chef d’orchestre né en 1942.

Ce que je n’ai pas aimé : rien, à part le mot « bonds » qui est écrit deux fois d’affilée « bons » et qui m’a fait dresser les poils mdr. Ah si ! Le fait de ne pas savoir qui et comment, pour l’écriture du livre 😉

Je découvre par hasard cette série qui unit à la fois un sympathique roman à destination des 8-12 et une approche plutôt pédagogique des principales notions musicales et des compositeurs.

Les personnages sont une bande de copains ( Max, le héros, Bakary, Léon, Lamia), leurs ennemis de la cité voisine, et le Maestro, prof de piano et de musique de Max.

Dans chaque histoire sont mêlées à la fois une problématique de la vie courante et des morceaux associés.

Dans le premier que j’ai lu, « Que l’intensité soit avec toi ! », Léon se fait racketter et Max doit trouver une solution pour le sortir de là ; en même temps, ils doivent présenter une adaptation de la légende d’Arthur devant la classe et ont super peur de se planter…

Avec Liszt et Chopin, on apprend d’abord à faire la différence entre entendre et écouter (c’est comme ça que Max écoutera les problèmes de Léon), puis entre la force et l’intensité. (rhapsodie hongroise n°2, nocturne opus 48)

Les morceaux dont parle le roman sont offerts à la fin dans un cd 😉

Ensuite j’ai lu « Petit secret et grande valse », et là Max désire organiser une fête surprise pour les 40 ans de son père ; en même temps, il trahit sa meilleure copine et cherche un moyen pour se faire pardonner sa terrible erreur…

Cette fois-ci, c’est Haydn et Chopin qui lui viendront en aide avec « la surprise » et la « valse en ré bémol majeur, opus 64, n°1 » et lui feront apprendre ce qu’est le contraste. Pas de cd cette fois-ci.



Ce que j’aime particulièrement dans cette série : c’est écrit simplement et il y a intrigues qui s’entremêlent + les références à la musique merci Maestro, donc on ne s’ennuie absolument pas. C’est vraiment intéressant d’avoir su créer ces parallèles entre de la musique classique et des problématiques du quotidien. J’aime aussi le fait que « maestro » existe vraiment : il s’agit de Daniel Barenboim, pianiste, chef d’orchestre né en 1942.

Ce que je n’ai pas aimé : rien, à part le mot « bonds » qui est écrit deux fois d’affilée « bons » et qui m’a fait dresser les poils mdr. Ah si ! Le fait de ne pas savoir qui et comment, pour l’écriture du livre 😉

Après la série télé, nous tentons le livre avec mon petit fan.

Dans celui-ci, épisodes 1 et 2 des aventures de Ernest, Colette et leurs camarades dans le village de Grangeville.



Je ne sais pas si c’est le livre qui est tiré de la série ou inversement mais les deux sont quasi identiques à la virgule prêt.



Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est une belle série qui parle d’un petit village et de ses habitants qui vont vivre tous les évènements de la seconde Guerre Mondiale.

Tous les personnages sont attachants, dans ces deux volumes tout du moins.



Ernest et Colette vont être séparés de leurs parents pendant les vacances. Leur maman étant malade part en Suisse dans un sanatorium alors que leur papa est appelé pour faire la guerre.

C’est Papilou et Mamili, leurs grands-parents, qui les accueillent.

Ils vont vite se faire des amis. Ils vont connaître l’exode, les restrictions, le partage, l’entraide, les secrets, la méfiance et même la haine de l’ennemi…



La seule chose qui ne colle pas, c’est les enfants qui ne grandissent pas et qu’ils sont toujours habillés pareil.

Dans la série « Les enfants de la résistance », que nous adorons, l’auteur et l’illustrateur en ont tenus compte.

Petit détail qui me titille mais qui ne gâche toutefois rien à la lecture de ce roman jeunesse que je vous invite à faire découvrir aux enfants.

C'était très émouvant.

Ernest et Colette sont en vacances avec leurs parents chez leurs grands-parents lorsqu'éclate la seconde guerre mondiale. Leur père est mobilisé et leur mère souffrant de tuberculose doit partir en sanatorium. Il est donc décidé que les deux enfants restent chez leurs grand-parents. La rentrée est un peu difficile. Mais peu à peu les enfants prennent leur marque se construisent une cabane, adoptent un cochon.



Le roman est tout court mais il y aura plusieurs tomes. C'est un peu lent, il ne se passe pas grand chose, c'est d'ailleurs assez réaliste.

Il y a des choses mignonnes comme les deux enfants et particulièrement Colette qui est attachante. Leur relation fraternelle est bien sympathique elle aussi.

J'ai été un peu genée par l'aspect presque pédagogique du roman. On a plutôt l'impression de lire un docu-fiction. Sous couvert de l'histoire d'Ernest et de Colette, on a surtout droit à un cours d'histoire facile et un peu stéréotypé.


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