Toujours dans la meme lignée que la trilogie des contes pour petites filles mais en moins attrayant... Nadine Monfils ne renouvelle pas son style...Ses 14 nouvelles tirent parfois sur le glauque,cela n a rien a voir avec l érotisme...Les personnages et l univers si particulier que j apprécie beaucoup sont présent mais je ne sais pas,ce romans m a décu,il n apporte rien de nouveau au lecteur.
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Liminaire.
Peut-on faire une critique d'un "récit" où l'auteur, qui se prend pour un livre ,s'autocritique en permanence?…non, ce sera
Un auteur/livre se livre!
Monologue de 142 pages où se confondent dans un discours, "moi" (ici l'auteur/livre), "Moi", l'inspirateur, et enfin le lecteur, dans un contexte charnel, intense et labile où le mot devient une matière élastique, à température, taille et intensité variable, sujet à engendrer des espaces émotionels où un cri à le droit d'être chuchoté, et un chuchotement hurlé! En une phrase, l'auteur met instantanément le lecteur dans le bain… Dans son bain qui est l'ensemble des organes du livre: bras, jambes. sexe, ventre, bouche, voix, regard, et bien d'autres choses à découvrir au fil de la lecture, car la diablesse, de sa boite de Pandore, elle en ressort au besoin avec malice et délectation tout au long du déroulement de ses mots sur 142 pages…
"Peau de papier" débute ainsi:
"Ceci n'est pas un livre, c'est un morceau de moi éparpillé entre vos doigts.
Chaque page que vous touchez est la chair de mes pensées. Le saviez-vous?
Ma peau de papier, caressez-la doucement, sans la griffer. Fermer les yeux un instant et sentez les grains de ma peau, immobiles sous vos doigts. C'est une peau morte que seule votre imagination fera vivre.
Les mots couchés sont des yeux clos dont il vous reste à tirer les cils.
Si vous plongez dans mon corps, dans mon sexe, dans mes yeux, là où la rétine se rétrécit, vous risquez de vous brûler, car à l'intérieur de moi se consume tout ce qui s'y crée. Chaque cendre est la matière première d'une autre pensée, qui brûlera elle aussi."
Pour le lecteur potentiel qui vient de lire ces neuf premières phrases du texte, c'est le moment ultime du choix: soit il referme le livre à l'instant, soit il l'accepte: dès lors, qu'il continue, et qu'il le veuille ou non, il va être trituré virtuellement dans sa chair et son esprit sans ménagements, il va se trouver instantanément balloté, jusqu'à la page 142, au gré de l'imagination de l'auteur/livre qui se fait découvrir et se découvre elle-même, à la mesure du récit. Le lecteur, devenu acteur se fait pièger: son intégrité physique et intellectuelle en prend pour son grade. Survient progressivement une suite d'amputations indolores et même jouissives qui l'identifie petit à petit (et le rend conscient) à son appartenance au monde de l'auteur/livre qui le modèle au gré de son imagination et en fonction des nécessités qui apparaîssant dans le déroulement des événements issus de l'esprit et de l'humeur de l'auteur/livre. Ce n'est pas une entité négative et destructrice, comme on pourrait le croire, non, elle finit toujours par démontrer que le but des tourments qu'elle inflige au lecteur, est un passage obligé pour qu'il se débarasse du superflu inutile, afin d'atteindre une forme de Nirvana entre l'auteur/livre et lui. C'est un don de soi total et mutuel qu'elle veux obtenir et offrir.
Quel en est la raison? Est-ce "Moi", là en permanence, ne quittant pas l'esprit de l'auteur/livre, n'offre-t-elle pas au lecteur, sans qu'il ne s'en rende compte, tous les sentiments qu'elle porte à Moi. Mais ce Moi, est-il seulement lecteur?
L'avis de Mijouet :
La finalité de "Peau de papier" semble être une déclaration d'amour déjantée destiné à "Moi". Chaque lecteur forgera sa version de son/cet amour. Tous les lecteurs réunis auront participé à une lettre collective virtuel destinée à "Moi" et voulu par "moi", l'auteur/livre. S'il paraît que c'est le but inavoué de cet ouvrage, c'est un coup de maître, où chacun y trouve bien plus que son compte: c'est une véritable initiation au plaisir à la fois charnelle et spirituelle des mots, à l'éclatement de leurs significations en un feu d'artifice sensuel et intellectuel nous découvrant au fil de leur écoulement un monde merveilleusement poétique. Mais pourquoi n'y a-t-il pas plus de livres aussi touchant, secouant, vibrant, destiné à offrir au lecteur autant plaisir au sens propre du mot?
Mijouet en ressort tout abasourdi!
Pour lui, cette lecture est totalement différente de tout ce qu'il a lu, et il n'y a pas vraiment d'ouvrages pareils de sa connaissance… oui , quelques usages des mots trouvés ça et là, évoquant un peu l'écriture de "l'écume des jours" de Boris Vian ou également, en moins parti pris, celle totalement déjantée de la pièce de théâtre "Les épiphanies " d'Henri Pichette. (voir citation)
Désolé ,la force de ce texte à foudroyé Mijouet! Il est las et là K.O.!
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Il y a assez de bonnes critiques sur ce livre (magnifique) pour que je puisse me livrer à ma petite manie de raconter l'histoire de ma rencontre avec un livre.
Février 2009... une petite bouquinerie... un livre attire mon attention. Il n'est pas en très bon état (il a pris l'humidité et la page avant la page de titre est déchirée). Je lis le résumé (édition de 1983) : "Les fanstasmes et les réflexions d'une jeune femme à propos de son corps, de son travail d'écrivaine, du rapport du corps à l'écriture. Un roman étonnant qui prend le lecteur à partie, au corps à coeur."
Je lis donc les premières lignes du livres et là : je suis conquise! Et surtout je ne suis pas déçue!
5 ans plus tard, j'apprends que Nadine Monfils sera à la Foire du Livre de Bruxelles. Je n'ai jamais accroché à ses romans avec la mémé cornemuse mais ma Peau de papier sous le bras je suis allée à sa rencontre. Mon idée avait effrayé une amie : je n'allais quand même pas aller me présenter devant elle avec mon livre tout moche??? Et si. Une belle rencontre aussi.
Elle était ravie de revoir ce livre (je me suis quand même excusée pour l'état mais elle n'en n'avait cure). Elle m'a raconté que lorsqu'elle avait remis le manuscrit à l'éditeur qu'elle n'en n'avait pas gardé de copie et donc que si celui-ci ne l'avait pas publié qu'il aurait été perdu! Ce qui aurait été vraiment dommage.
Elle m'a écrit : "Pour Marie, cette Peau de papier qui est toujours dans mon coeur des années après... Merci de la garder! N.M."
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Je suis dans une pénombre, je ne veux rien qui puisse me détourner des idées qui déboulent violemment après cette lecture. Un morceau de cette chère chair, Ô combien inestimable au toucher, entre les doigts. Elle gît encore sur cette table. Je l'ai ramassée et la malaxe une dernière fois pour en extraire ce jus au goût de fer. Votre strip-tease m'a laissé sur le carreau. Bernard vingt ans après aussi. Je suis immédiatement allée relire ses extraits au tout début (vous auriez du me voir sauter de page en page pour trouver ces extraits de lettres) et je me dis : elle a fait le job. Bravo !
Ca me remonte un peu la tête hors de l'eau mais les bulles d'oxygène manquent encore. Des bulles si pleines que j'en ai encore le souffle court. Ces silences, contenus dans un si petit contenant et qui sont si criant d'amour, nous entourent. Je dis nous, mais je dis aussi Vous, Moi, moi et vous, rarement eux. Ce manque qui fait courir les mots sous les doigts, glisser les ressentis dans les plis et replis d'une peau naufragée m'emplit d'une tristesse insondable. J'aime vous savoir encore pleine de cet amour de l'enfance, bravant les interdits qui ne sont que des emplâtres pour cacher les fêlures que les grands ne savent pas dire. le pouvoir des mots doit être au service de la vie, sans honte. Tout ce qui est bon doit être pris avec la beauté qu'il recèle.
J'aime que vous me rapportiez des contes grâce à votre sensibilité à fleur de peau, une peau de papier qui vit au travers de mes yeux, dans mon esprit et s'adapte à moi, membrane élastique. Votre texte vous appartient et m'appartient maintenant avec mon moi et mon Moi, en creux ou en plein délié, et sa musique résonnera au travers de ces différents lecteurs.
Quel partage mystique qui me fait toucher la réalité sensuelle de la vie ! Un livre bouleversant, réaliste et magique.
Merci Blackbooks pour ce merveilleux cadeau :)
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une lecture frénétique, portée par la plume humoristique et cocasse de l'auteur. Je ne me suis pas attachée aux policiers ni même à la profileuse, peut-être parce qu'aucun ne respecte les caractéristiques des enquêteurs et que leurs manque de compétences cruelles prêtent à sourire mais ne nous permettent pas de plonger dans l'enquête que l'on survole. Une lecture agréable toutefois
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Pandore, une maison très soignée explose, c'est la maison d'Alice Doms, petite femme sans histoire. Dans les restes de la maison, la police découvre une main avec une alliance. On pense tout de suite à son mari Luc Doms.
Et voici l'inspecteur Lynch, Barn son co-équipier et Nicki la profileuse qui vont être sur la brèche pour mener l'enquête. Va suivre une série de meurtre, découvriront-ils la sordide histoire?
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Un petit bijou que ce bouquin je suis assez fan des livres de Nadine Monfils et celui-ci ne fait pas exception à la règle, même si mes préférées reste ceux avec Mémé Cornemuse et Jean-Claude Van Damme.
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On prend les mêmes et on recommence !
À la suite de "Babylone Dream" la même équipe toujours aussi délurée et attachante. On en redemande !
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Découvert par hasard. Super !!!
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Encore une enquête bien barrée. Des meurtres sordides à Pandore, plein de suspects trop suspects pour en éliminer. Des vieilles dames bizarres, des prostituées, un clochard mystérieux, une profileuse extralucide qui se ballade sur les scènes de crimes avec une peluche, des flics pas super intègres mais en phase avec eux-mêmes... Des meurtres, une intrigue bien tarabiscotée, des victimes pas toujours sympathiques, tout comme les tueurs!
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Complètement déjanté, un polar qui se lit d'une traite. Humour, suspense et surréalisme à la Nadine Monfils. Jamais déçue.
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Cela se passe dans une petite ville très comme il faut: Pandore, un quartier où les jardins et les maisons sont bien entretenus, un petit Wisteria Lane, jusqu'au jour où BOUM! Une maison explose, emportant la vie de trois habitants très comme il faut ou presque...
Un polar déjanté où vous ferez connaissance avec une vieille chienne à l'haleine abjecte qui partage l'apéro avec celui qui l'a adoptée: un flic paumé qui se réfugie dans le boulot et l'alcool. Cette dernière tient son nom de l'apéro qu'elle chérit tant: la tequila frappée.
Lynch sera chargé de l'enquête avec pour second, Barn son partenaire de soûlographie avec lequel il partage aussi les bras d'une péripatéticienne qui les entraîne avec elle à ses cours de samba.
L'enquête virera au noir le plus sombre et nous entraînera en Asie mais chut! Je ne veux pas réveiller tequila qui une fois de plus cuve son apéro dans le vieux fauteuil du grand-père...
Un roman qui ferait sûrement un bon film!
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A Pandore, petite banlieue chic où il semble faire bon vivre, Alice, jeune femme mariée à Luc, arrive chez elle. Au moment de décharger les courses de son coffre, son voisin accourt pour l'aider. C'est en ouvrant la porte de chez elle que toute la maison explose. La jeune femme échappe de peu à la mort mais pas son voisin, et encore moins son mari, dont on retrouve la main, alliance à son doigt, prouvant ainsi son identité, perchée dans un arbre et un corps calciné à l'intérieur de la maison.
Les enquêteurs Lynch et Barn, aux vies quelque peu chaotiques, l'un parle à son chien Téquila et l'autre se réfugie dans les bras d'une pute depuis que sa femme l'a quitté, sont immédiatement dépêchés sur les lieux, suivis de près par Nicki, une profileuse qui tentera de résoudre l'énigme.
Celle-ci s'annonce d'autant plus difficile que plusieurs personnes de l'entourage d'Alice sont assassinées à leur tour suivant un rituel bien étrange et que les suspects ne manquent pas, que ce soit la voisine ou son fils qui espionnait Alice au périscope ou bien encore le neveu de Luc qui attendait de toucher l'héritage de son oncle... Ou était-ce le voisin si serviable que l'on visait puisqu'il était soupçonné d'attouchement sur mineures? Une enquête bien difficile et tordue s'annonce pour nos chers inspecteurs...
Nadine Monfils a l'art de mélanger les genres et elle le prouve une fois de plus avec ce polar, quelque peu alambiqué. On retrouve pêle-mêle une profileuse solitaire, des inspecteurs pas très catholiques portés sur la boisson ou le sexe et qui dansent la rumba avec les putes, un clochard qui a des visions, un frère psychopathe ou encore un chien alcoolique! On ne s'ennuie pas une seule seconde avec toute cette galerie de personnages loufoques et étranges mais attendrissants et attachants.
Cela reste tout de même un polar puisqu'il y a des meurtres mais Nadine Monfils donne à ce roman une dimension bien particulière et singulière, que ce soit avec son humour corrosif ou son intrigue policière assez retorse.
Un polar comme on les aime: noir, drôle, fantaisiste, distrayant, fantastique sachant allier humour, suspense et horreur.
Téquila frappée... j'en reprendrais bien une! Allez, cul-sec!
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On retrouve notre cher inspecteur Lynch, son acolyte Barn et notre chère Tequila, son chien, qui aime picoler et qui pense (juste une ou deux fois dans le roman on a droit à ses commentaires et c'est assez sympa). Nicki aussi est là, beaucoup plus présente. Elle tombe même amoureuse. C'est la même équipe que dans "Coco givré" et dans "La petite fêlée aux allumettes".
L'HISTOIRE:
Alice Doms échappe de peu à la mort après l'explosion de sa maison. Plusieurs personnes de son entourage sont assassinées suivant un rituel étrange. Deux enquêteurs aux vies chaotiques et une profileuse solitaire mènent l'enquête. Dans un univers surréaliste hanté par Magritte, un thriller haletant, teinté de poésie et de violence.
À Pandore, les pétales de rose pleuvent sur la ville, les femmes sont jolies, les voisins très serviables et les jardins soignés.
Ceci n'est pas une banlieue tranquille.
Car, à Pandore, les putes dansent la rumba avec les flics, les sous-marins naviguent sur terre, on croise des marchands de rêves, un clochard extralucide, une main baladeuse ou notre chien alcoolique qui sourit. Dans une atmosphère de cauchemar surréaliste, une série de meurtres sanglants sont perpétrés. L'inspecteur Lynch, son acolyte Barn et aussi Nicki, la profileuse fétichiste, mènent l'enquête. Chacun se bat avec sa solitude et tente de découvrir l'impensable vérité qui se cache derrière cette hécatombe.
Nadine Monfils fait naître le fantastique du quotidien, distillant suspense, frissons et humour noir.
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Pandore, banlieue à la Wysteria Lane, avec sa desperate housewife en la personne d'Alice qui échappe de peu à un horrible attentat qui fait exploser sa maison de poupée et son mari Ken, euh non Luc, avec! Mais son chignon banane a tenu le coup! Les comparaisons s'arrêtent là. Enfin, je ne connais pas très bien la série, peut être pas...bref...
Je découvre les inspecteurs Lynch et Barnes qui ne sont pas à leur premier coup d'essai mais ce volume peut se lire sans avoir connaissance des précédents, ça ne gêne pas. Ces messieurs qui mènent l'enquête sont de grosses caricatures à la vie dissolue qui partagent leur amour pour l'alcool et pour une même péripatéticienne...Ils sont secondés par Nicki, la belle profileuse lesbienne au cœur de glace. Ils ne sont pas trop de trois vu les meurtres horribles qui s'accumulent, les suspects potentiels (ahah on aime les rebondissements!) et les fausses pistes (ahah tu veux encore plus de rebondissements?!).
Des personnages loufoques (mais auxquels je ne me suis pas attachée), une histoire abracadabrante, une petite chienne, Téquila, alcoolique, qui nous raconte ce qu'elle pense, le tout sur fond rose barbapapa et rouge sang. Un polar bien sympathique avec un humour corrosif/noir, une écriture fluide, pas mal de vulgarité (un peu trop et moi qui ne suis pas bégueule, j'ai quand même tordu le nez parfois), du suspens et de la trucidation à tout va (si, c'est dans le dico).
J'avais découvert Nadine Monfils avec "La vieille qui voulait tuer le bon dieu" et j'avais adoré ce côté décalé et politiquement incorrect. C'est un peu la même chose ici. Je ne suis pas vraiment déçue mais pas sure de lire d'autres aventures de Lynch et Barnes. Cependant, pas de regret car pas le temps de s'ennuyer, ça détend et ça se lit vite! J'allais écrire ça se boit vite, huhuhu. Donc tu veux un livre "what the fuck" avec des personnages foufous qui parlent pas bien avec leur bouche ou/et qui ont des hallucinations, ou/et qui sont psychopathes, des jolis jardins, un chien bourré, des meurtres glauques et tout un tas de bizarreries? Fonce! Et puis la couverture est juste trooooop chouquinette! (comment ça j'ai de drôles de goûts?)
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Une petite banlieue chic à Pandore où il fait bon vivre, enfin c’est ce que l’on croit. Une petite bourgade où les maisons sont comme les voisins bien soignées. Dans une de ces maisons vit une jeune femme blonde, jolie de surcroit, qui met dans tous ses états son voisin amoureux d’elle, dès qu’elle arrive avec ses courses il s’empresse de l’aider à les décharger du coffre de la voiture. En ouvrant la porte de la maison, celle-ci explose avec à l’intérieur le mari de la jolie blonde. L’inspecteur Lynch, son ami et collègue Barn et la charmante Nicki profileuse vont devoir mener une enquête où plusieurs meurtres vont se succéder. Quand il rentre chez lui Lynch voit son petit chien arriver. Se versant une tequila il est heureux que son petit chien adore cette boisson, une fois qu'il a bu son chien lui fait le plus beau des sourires, quel bonheur ce toutou au moins je ne bois pas seul. Une enquête assez difficile, le meurtrier n’est pas celui que l’on pense. Très bon moment avec ce roman de Nadine Monfils.
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