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3.7/5 (sur 256 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 23/08/1943
Biographie :

Nelson Richard DeMille est un écrivain américain, auteur de thrillers, de romans policiers et de romans d'espionnage.

Il a également écrit sous les pseudonymes de Jack Cannon, Kurt Ladner et Brad Matthews.

Son père, canadien, était maçon tandis que sa mère, d'origine new-yorkaise, élevait leurs quatre enfants. Ses parents déménagent bientôt pour Long Island, où DeMille vit encore aujourd'hui et où il a situé l'action de plusieurs de ses romans.

Il étudie trois ans à l'Université Hofstra avant d'être appelé sous les drapeaux. Après une formation dans une école militaire, il est nommé lieutenant. Il passe trois années dans l'armée (1966-1969), dont une au Viêt Nam comme chef de section dans l'infanterie. Il est décoré de l'Air Medal, de la Bronze Star et de la Croix de la Vaillance vietnamienne.

Au terme de son service, il retourne à l'université où il obtient sa licence en Sciences politiques et Histoire. De 1970 à 1976, il exerce divers métiers, notamment enquêteur d'assurances.

Nelson DeMille décide en 1974 de devenir écrivain. En attendant, sur les conseils d'un ami travaillant dans l'édition, il débute par une série de romans policiers mettant en scène un enquêteur de la police de New York et paraissant directement en livres de poche. Ces livres sont parus sous divers pseudonymes dont celui de Jack Cannon.

En 1976, il décide de se consacrer à l'écriture à plein temps et connaît son premier succès, dès 1978 avec "By the Rivers of Babylon". Bien accueilli par la critique, le roman figure dans la sélection du très populaire club de livres Book of the Month Club et rencontre un grand succès auprès du public.

Il a depuis écrit plusieurs romans (dont un en collaboration avec son ami d'enfance Thomas Block). Tous ses livres ont été des succès de librairie, ont été traduits en vingt-et-une langues et publiés dans trente pays.

"Le déshonneur d'Ann Campbell" (The General's Daughter, 1992) a été adapté au cinéma en 1999, avec John Travolta et Madeleine Stowe.

site officiel : http://nelsondemille.net/
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Source : Wikipédia
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Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell


Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Et les morts, Tyson les revoyait aussi, partout, sur les sentiers, dans les champs, dans les villages, des cadavres qu'on n'enterrait même pas. Les Américains chargés de cette tâche, munis de masques à gaz et de gants de caoutchouc, n'inhumaient que leurs compatriotes, empilant les autres et les arrosant de mazout avant de les brûler au lance-flammes. Tyson voyait encore les crânes éclatés et l'odeur des cheveux humains brûlés.
Il se rappelait le mot de son commandant de compagnie, le capitaine Browder :
"Ici, les vivants sont en minorité."
Et Browder, pour sa part, avait peu après rallié la majorité.
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Il n'y avait jamais rien eu d'autre,dans cette relation épistolaire,qu'une amitié profonde fortifiée par le temps sauf peut être une fois de ci de la,une lettre rédigée aux heures tardives de la nuit,ou surgissait une ligne ou deux qui contenaient plus que le simple "salut comment va?".Un jour qu'il séjournait en Italie,il lui avait avoue:"J'ai vu le Colisée de nuit pour la première fois.J'aurais voulu que tu sois la."
Elle avait répondu : je l'ai vu quand j’étais en Europe, Keith,et tu sais quoi?j'ai eu la même pensée que toi."
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En réalité ce n'étaient pas des mauvais bougres. Pas au début. Mais on ne peut pas faire faire trop de kilomètres à un homme, ni lui faire entrer trop de saloperies dans la cervelle, sans qu'il se détraque. Je ne les juge pas trop sévèrement. Même Brandt, je veux dire quand il a essayé de me tuer.
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Beth me parla à voix basse, chuchotant presque et demanda:
- T u as un plan?
- Bien sûr.
- Et c'est quoi le plan, John?
- Le plan est de rester approximatif.
- Superplan.
- Ouais.
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Colombus Day. On célèbre ce jour-la la mémoire d'un homme blanc qui, en titubant, prit pied sur un continent en croyant se trouver ailleurs. Je connais. J'ai vécu des expériences semblables en sortant du Dresner, mon bar favori.
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Il est des cas qui éveillent comme un sixième sens, ou peut-être la réminiscence d’autres affaires stockées dans un coin de mémoire. Quand on entend les faits et qu’on examine les lieux, on se dit : quelque chose ne va pas.
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Franck Bellarosa n'est pas le genre de célébrité qu'on a envie de rencontrer par hasard, ni de rencontrer du tout d'ailleurs. C'est une célébrité comme seule en produit l'Amérique, un gangster pour tout dire.
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- Tu sais lire une carte?
- Un peu. Et toi?
- Pas de problème. Bleu, c'est l'eau, brun, c'est la terre. Je regarderai plus tard.
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Je l’ai vu déposer en cour martiale. Il a toutes les qualités qu’on peut attendre d’un flic : fiable, logique, imperturbable, clair dans ses exposés. Pourtant, quelque chose en lui sonne faux et j’ai souvent eu l’impression que les juges préféraient le tenir à l’écart. Il est peut-être un peu trop froid et insensible. Quand l’armée en vient à juger l’un des siens en cour martiale, on éprouve en général dans ses rangs un peu de compassion pour l’accusé, ou du moins un certain intérêt. Mais Kent est de ces flics pour qui n’existent que le bien et le mal, et quiconque enfreint le règlement l’offense personnellement. Je ne l’ai vu sourire qu’une fois, lorsqu’une jeune recrue, qui avait mis le feu à un baraquement inoccupé un soir de beuverie, a écopé de dix ans pour son forfait. Eh oui, la loi, c’est la loi, ce qui permet à des colonels Kent pointilleux de trouver leur place en ce bas monde.
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On ne se pose pas de question, on n’a pas droit à l’échec. Le principe est efficace au combat et dans la plupart des situations, mais pas dans la CID. Dans cette branche, il faut savoir désobéir aux ordres, penser par soi-même, braver ses supérieurs, l’essentiel étant de découvrir la vérité. Ce n’est pas toujours bien vu dans l’armée, qui se considère comme une grande famille dont on veut croire que « tous les frères sont valeureux et toutes les sœurs vertueuses ».
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