Citations de Nelson Mandela (351)
Le gouvernement et le peuple algérien, nous ont apporté un énorme soutien. Sous la forme de finance, sous la forme de matériel, sous la forme d’armes, et sous la forme d’un soutien moral.
Je ne sais pas si vous le savez. Que j’étais le premier sud-africain qui a reçu un entraînement militaire en Algérie.
Je suis retourné dans ma maison avec le sentiment que j’étais un homme.
“Algeria is my country !”
« L’Algérie est mon pays ! »
C’est l’Algérie qui a fait de moi un homme.
Nous savons bien que notre liberté est incomplète sans la liberté des Palestiniens.
En prison, rien n’est plus réconfortant que d’apprendre qu’à l’extérieur des gens soutiennent la cause pour laquelle vous êtes enfermé.
Nous devons utiliser le temps à bon escient et nous rendre compte qu’il est toujours temps de faire le bien...
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur.
Dans la vie, on a toujours
le choix: aimer ou détester,
assumer ou fuir,
avouer ou mentir,
être soi-même
ou faire semblant.
« Vous obtiendrez plus dans ce monde avec le pardon qu’avec des actes de représailles » .
La meilleure arme, c'est s'asseoir et parler..
Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse.
En prison, un jardin est une des rares choses qu'on puisse maîtriser.
Semer une graine, la regarder pousser, la soigner et récolter les fruits, procure une satisfaction simple mais durable.
Le sentiment d'être le gardien de cette petite étendue de terre donne un petit goût de liberté ...
« Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu’un d’autre de sa liberté .
L’opprimé et l’oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité » ...
La liberté sans le civisme, la liberté sans la capacité de vivre en paix, n’était absolument pas la vraie liberté.
Il y a des moments où un responsable doit marcher en avant du troupeau, partir dans une nouvelle direction, en se fiant à lui-même pour s’assurer qu’il mène son peuple sur le bon chemin.
Sous certains aspects, je voyais mon jardin comme une métaphore de ma vie. Un dirigeant doit aussi cultiver son jardin : lui aussi sème des graines, les surveille, les soigne et en récolte le produit. Comme un jardinier, un dirigeant politique est responsable de ce qu’il cultive ; il doit faire attention à son travail, il doit essayer de repousser les mauvaises herbes, garder ce qui peut l’être et éliminer ce qui ne peut réussir.
J’ai découvert qu’on pouvait supporter l’insupportable si l’on gardait le moral, même quand le corps souffrait. De fortes convictions sont le secret de la survie ; on peut avoir l’esprit plein même si l’on a le ventre vide.
Je suis fondamentalement optimiste. Je ne sais si cela vient de ma nature ou de ma culture. Être optimiste c’est en partie avoir la tête dirigée vers le soleil et les pieds qui continuent à avancer. Il y eut beaucoup de moments sombres quand ma foi dans l’humanité était mise à rude épreuve, mais je ne voulais ni ne pouvais me laisser aller au désespoir. Cette voie mène à la défaite et à la mort.
J’étais prêt à subir la peine de mort. Pour être effectivement prêt à quelque chose, on doit s’y attendre vraiment. On ne peut être prêt à quelque chose si l’on ne croit pas secrètement que cela arrivera. Nous étions tous prêts à la mort, non pas parce que nous étions courageux mais parce que nous étions réalistes. J’ai pensé à ce vers de Shakespeare : « Soyez résolu devant la mort ; et la mort et la vie vous seront plus douces. » (Shakespeare, Mesure pour mesure, acte III, scène I)