Citations de Nelson Mandela (351)
Il n’y a pas grand-chose de positif à dire sur la pauvreté, mais elle faisait souvent naître l’amitié. Beaucoup s’empressent autour de vous quand vous êtes riche, mais seules quelques personnes, rares et précieuses, le font quand vous êtes pauvre. Si la richesse est un aimant, la pauvreté est une sorte de repoussoir.
Ce n’était pas le manque de capacité, qui limitait mon peuple, mais le manque de moyens.
j’ai appris qu’humilier quelqu’un, c’est le faire souffrir inutilement. Même quand j’étais enfant, j’ai appris à vaincre mes adversaires sans les déshonorer.
En plus de la vie, d’une forte constitution, et d’un lien immuable à la famille royale des Thembus, la seule chose que m’a donnée mon père à la naissance a été un nom, Rolihlahla.
Je suis incapable d’indiquer exactement le moment où je suis devenu politisé, le moment où j’ai su que je consacrerais ma vie à la lutte de libération. Etre Africain en Afrique du Sud signifie qu’on est politisé à l’instant de sa naissance, qu’on le sache ou non. Un enfant africain naît dans un hôpital réservé aux Africains, il rentre chez lui dans un bus réservé aux Africains, il vit dans un quartier réservé aux Africains, et il va dans une école réservée aux Africains, si toutefois il va à l’école.
Quand il grandit, il ne peut occuper qu’un emploi réservé aux Africains, louer une maison dans un township réservé aux Africains, voyager dans des trains réservés aux Africains et on peut l’arrêter à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit pour lui donner l’ordre de présenter un pass, et s’il ne peut pas, on le jette en prison. Sa vie est circonscrite par les lois et les règlements racistes qui mutilent son développement, affaiblissent ses possibilités et étouffent sa vie. Telle était la réalité et on pouvait l’affronter de milliers de façons.
Je n’ai pas connu d’instant exceptionnel, pas de révélation, pas de
moment de vérité, mais l’accumulation régulière de milliers d’affronts, de milliers d’humiliations, de milliers d’instants oubliés, a créé en moi une colère, un esprit de révolte, le désir de combattre le système qui emprisonnait mon peuple. Il n’y a pas eu de jour particulier où j’aurais dit : à partir de maintenant je vais me consacrer à la libération de mon peuple ; à la place je me suis simplement retrouvé en train de le faire sans pouvoir m’en empêcher.
Je ne perds jamais soit je gagne soit j'apprends.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur.
Dans la préface de Barack Obama.
Car si nous sommes honnêtes envers nous-mêmes, nous savons que nous avons tous des combats à mener, grands et petits, personnels et politiques - pour surmonter la peur et le doute; pour continuer à travailler quand l'issue est incertaine ; pour pardonner et nous dépasser.
Dans la préface de Barack Obama.
Par ses choix, il nous a clairement montré que nous ne sommes pas obligés d'accepter le monde tel qu'il est - mais que nous pouvons tous jouer un rôle pour le rendre tel qu'il devrait être.
Le corps humain a une faculté extraordinaire d'adaptation ; j'ai découvert qu'on pouvait supporter l'insupportable si l'on gardait le moral, même quand le corps souffrait.
La gloire de ces guerriers africains enflammait mon imagination .
L 'homme blanc avait brisé l ' Abantu , la communauté des différentes tribus .
Ce n 'était qu 'un âne qui m 'avait fait tombé , mais j 'ai
appris qu 'humilier quel qu 'un , c 'était le faire souffrir
inutilement .Même quand j 'étais enfant , j 'ai appris à
vaincre mes adversaires sans les déshonorer .
Que vos choix reflètent vos espoirs
et non vos peurs.
Au cours de ma vie, je me suis entièrement consacré à la lutte du peuple africain. J'ai lutté contre la domination blanche et j'ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d'une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. J'espère vivre assez longtemps pour l'atteindre. Mais si cela est nécessaire, c'est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir.
Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé.
Citation mentionnée dans Zulu. Film sud-africain. 2013
En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant.
Le droit de l’humanité est dénié chaque jour à des millions de gens, par leur pauvreté et de leur incapacité à pourvoir à des besoins tels que la nourriture, le travail, l’eau, l’abri, l’éducation, la santé et un environnement sain.
Pour moi, la non violence n’était pas un principe moral, mais une stratégie ; il n’y a aucune valeur morale à employer une arme qui n’est pas efficace.
J’ai agi tout au long de ma vie avec la conviction que nous ne sommes qu’un pays, et qu’u peuple : métis, Indiens, Africain et Blancs. Un pays, un peuple.