Nicky Lee

Un début intéressant et prometteur pour cette saga. On découvre le monde du mannequinât à travers des personnages charismatiques et caractériels. Le titre est assez libre dans ses romances et dans ses idées, ce que je trouve intéressant et original. Lele est une protagoniste plutôt classique mais très attachante, je suis curieuse de lire la suite et de la retrouver pour voir ses débuts.

Lele, fille d'une feu mannequin très célèbre a toujours eux une aversion pour les métiers de la mode, jusqu'au jour où elle tombe sous le charme d'un célèbre mannequin vu dans un magazine.

C'est alors qu'elle entreprend de devenir mannequin aux côtés de sa tante. Mais rien ne va être facile et il se trouve que son idole n'est pas vraiment un modèle de vertu...

Une lecture agréable et drôle, les graphismes sont absolument magnifiques, le style est original et rappelle Ai Yazawa. Un indispensable pour les amateurs de mode! Plus d'une envie ... connaître la suite!

Teng Lee, 16 ans, est la fille d'une ancienne star du mannequinat aujourd'hui décédée. Sa tante a toujours rêvé que sa nièce connaisse la même carrière que sa mère. Mais Lee, jusqu'à présent, n'était pas passionnée par ce métier. Jusqu'au jour où elle découvre les photos d'Angus Lanson, le top model n°1 dans le monde. Fascinée par ses poses et les mises en scène, elle se rend compte que le mannequinat est bien plus qu'un simple déhanché sur les podiums ou devant les photographes. Aidée de sa tante, Lele décide de se lancer dans cette carrière.



Je reste très mitigée suite à la lecture de ce shojo. D'un côté on nous présente une jeune fille qui va découvrir que le mannequinat est un véritable travail, loin des clichés comme "sois belle et tais toi" et qu'il faut une véritable préparation pour se présenter à des auditions. de l'autre, on retrouve justement des clichés - sexistes notamment - qui ne m'ont pas fait très bonne impression. Car même en jouant sur l'humour, on valorise essentiellement le physique (servi par un graphisme très léché), la vie débridée des mannequins et de leur entourage, les relations équivoques entre deux frères à la limite de l'inceste. Car le beau Angus a un frère jumeau et en effet, les relations avec ce dernier sont... bizarres. On devine bien sûr que Lele va semer la discorde entre ces deux-là...

Cette série est apparemment un best-seller taiwanais. Pour ma part, ce premier volume ne m'a pas franchement convaincue, les personnages sont trop parfaits physiquement pour y croire même si on est dans le monde la mode), le scénario est léger et je pense donc me passer de la suite. :)

Tome 1 à 7

The One est une œuvre que j'attendais avec impatience et ce fut évidemment un véritable coup de cœur. Déjà le fait que celle-ci soit sur la mode et le monde du mannequinat, soit deux choses qui m'intéressent et que j'aime beaucoup, la moitié de mon cœur était conquis. L'autrice nous montre les coulisses de ce monde, la dureté du métier et la cruauté de celui-ci.



Les personnages sont haut en couleurs, ils sont tous différents des uns des autres, l'autrice a vraiment construit des personnages pleins de diversité. Maintenant parlons de la protagoniste : Lele, je l'aime d'amour et très admirative de celle-ci. Elle est indépendante avec un sacré caractère et possède une force d'esprit incroyable je trouve mais elle n'en reste pas moins un personnage sensible qui a parfois besoin d'aide et d'être épauler. Elle avance même si c'est dur. J'aime beaucoup aussi les personnages de Éros et Angus, ils m'intriguent tous les deux et j'aime en apprendre de plus en plus sur eux. Puis les autres perso sont aussi très cool et drôles.



L'humour est très présent dans l'oeuvre, ça fait parti intégrante de celle-ci et je peux comprendre qu'il ne plaisent pas à tout le monde, ça peut être lourd à certains moments. D'un point de vue personnel je trouve que ça va et je rigole bien pendant ma lecture.



Enfin voilà, c'est une œuvre que je conseille et vraiment trop hâte d'en découvrir toujours plus !

Je ne connaissais pas du tout la maison d’éditions Mean et j’ai été vraiment surprise avec ce premier mangas qu’est « The One ».



Dans ce mangas nous faisons la connaissance de Lele, une jeune femme qui souhaite devenir mannequin. Elle souhaite marcher sur les traces de sa mère qui elle était une très célèbre et réputé mannequin. Elle avait une beauté à couper le souffle sauf que Lele ne l’a jamais connue. Elle à été élevée par sa grand-mère et sa tante lorsqu’elle était présente. Ses parents ont eu un terrible accident et sont tout les deux décédé malheureusement.



Mais la tante de Lele qui connait parfaitement le monde de la mode va aider sa nièce à accéder a son rêve. Mais ça ne sera pas une partie de plaisirs, car elle ne veux pas pistonner Lele loin de la. Elle compte lui montrer que pour foulée les grands podium il faut travailler d’arrache pied et Lele l’apprendra à ses dépends.



Lele fera des rencontres qui changeront sa vie à tout jamais mais est-elle à la hauteur du défi qu’on lui lancera dans ce tout premier tome ?



Pour ma part ce premier tome est un énorme coup de coeur ! Les dessins et l’histoire sont magnifique et malgré une thématique déjà aborder plusieurs fois. Ici nous avons un vent de fraicheur car nous ne parlons pas que du mannequinat. Non ici l’histoire aborde les dessous de la célébrité ainsi que du travail acharner des mannequins.



Franchement je ne vous dirait qu’une seule chose : Foncez et vite !
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J’ai vu beaucoup ce manga tourner à sa sortie et j’ai vu beaucoup d’avis positif. Il ne m’en faut pas plus pour avoir envie de découvrir un ouvrage. J’ai donc bien évidemment fini par craquer pour les deux premiers tomes. Alors par contre, pour être honnête, j’avais un peu peur de ne pas accroché malgré tout déjà par le thème de cette histoire mais surtout pour les dessins. Je ne suis pas spécialement fan de ce style de dessins. En vérité, je n’aime vraiment pas du tout ce genre de dessin. J’ai quand même tenu à le lire et passer au dessus de ça. Et j’ai bien fait parce que j’ai beaucoup aimé ce premier tome pour tout vous dire, je suis même déjà plus qu’impatiente de lire le second tome.



Dans ce premier tome, on va suivre le personnage de Teng Lele. C’est la fille d’une mannequin plus que célèbre mais pourtant elle n’a pas vocation à entrer dans le milieu de la mode. Jusqu’au jour où elle voit, dans un magazine, le mannequin numéro un dans le monde : Angus Lanson. Dès lors, elle comprend que le mannequinat est une forme d’art ce qui fait naître en elle la vocation d’en devenir un! Mais dès sa première audition, elle subit une grande désillusion…



Bien que le monde de la mode et du mannequinat ne m’intéresse absolument pas, je me suis surprise a grandement apprécier ce premier tome. J’aime beaucoup le personnage de Lele, elle me fait rire avec son caractère assez explosif par moment. Elle a un héritage assez lourd, sa mère étant une des mannequins les plus célèbres avant sa mort. Elle finit par vouloir elle aussi plonger dans ce monde. Elle va obtenir une audition grâce à sa tante mais elle va subir une grande désillusion. Mais malgré tout elle na pas lâcher et continuer dans cette voie. Par contre quand je vois la fin de ce premier tome j’ai plus que hâte de découvrir la suite parce que je sens que ça va être plutôt drôle! Le personnage d’Angus est assez mystérieux mais le personnage encore le plus intriguant c’est bien celui de son frère. Ces deux là ont vraiment attiser ma curiosité et j’ai vraiment hâte d’en savoir plus sur ces deux là.



Ce premier tome est plein de promesses et je suis impatiente de pouvoir lire la suite. Bien que je ne suis pas fan du style des dessins et du thème de cette histoire, j’ai été agréablement surprise par cette lecture. Comme quoi il ne faut pas s’arrêter aux préjugés que l’on peut avoir. J’aime beaucoup l’histoire, j’aime beaucoup les personnages et je suis très impatiente de me plonger dans le second tome!
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Porté par un dessin d'une belle qualité et d'une identité forte, The One est une série que l'on prend beaucoup de plaisir à lire.

L'univers de la mode est agréable à découvrir (je ne jugerai pas de sa véracité), et les personnages principaux, loin d'être creux, offrent tout un panel de réflexions et de sentiments intéressants. Le drame qui entoure Yin & Long permet de créer de vrais rebondissements dans l'intrigue, et la jeune Lele est un personnage féminin qui n'est pas superficiel. Si elle m'a paru de prime abord un peu trop stéréotypée 'nunuche", elle se révèle être une belle surprise. Les moments où elle entre dans l'action et arrête de "subir" l'histoire la rendent clairement plus intéressante.

Le style graphique est élancé et épuré (assez typique des manwha) et laisse la part belle aux vêtements, contexte oblige. Il est d'une qualité constante et contribue à rendre ce manga très agréable à lire et à regarder ;) J'étais quelque peu sceptique face à la présence de deux jumeaux qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau hormis la couleur de leurs yeux (pratique pour les identifier dans un manga en noir et blanc n'est-ce pas !!), mais Nicky Lee a très bien maîtrisé son trait : s'ils sont en effet quasiment identiques, on ne les confond pourtant pas, et pour ça, je dis "Chapeau bas ! ^^"



A conseiller pour les aficionados du genre "shojo" pas trop guimauve ;)

Je commence la lecture des mangas du prix Manga Sensei auquel j'ai inscrit les élèves du Club Manga. J'ai commencé par ce shojo édité par une maison d'édition que je ne connaissais pas du tout.



The One nous plonge dans le monde de la mode, un univers que je connais très peu et dont, il me semble, c'est la première fois que je lis un manga.



Le début de l'histoire s'attache à expliquer le contexte au lecteur. On suit Lele et sa meilleure amie. Cette dernière est accro à la mode et aux mannequins, alors que Lele n'y connait rien et ne s'y intéresse pas. Pourtant, Lele est la fille d'une mannequin célèbre et la nièce d'une grande agente de mannequins. Ses parents sont morts quand elle était petite et c'est sa grand-mère qui l'élève. Pourtant, lorsqu'elle croise une photo d'Angus, un célèbre mannequin, elle change radicalement d'avis et décide de devenir elle aussi mannequin afin de pouvoir le rencontrer. Ce premier tome nous montre donc sa première audition, qui se passe mal, mais aussi l'organisation d'un événement commémoratif pour sa mère, dans lequel on va lui demander de défiler. Parallèlement, on suit Angus et son grand frère qui se ressemblent beaucoup mais ont des caractères opposés.



C'est un manga qui se lit assez facilement, même si parfois les dessins des personnages sont assez confus (très compliqué de différencier Angus et son frère). Pour l'instant j'avoue que ça ne m'a pas passionnée, c'est un scénario qui ne m'intéresse pas trop donc je ne suis pas objective.



J'espère surtout qu'il plaira aux élèves !



Un manga prévu en 18 tomes dont la publication française s'étalera sur un an (juin 2022-août 2023).
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Le monde de la mode, un monde de faux semblants ?

Je dirais que le plus intéressant dans ce manga est la découverte du mannequinat et de ses exigences représentés avec le personnage de la tante. Le scénario n'est pas très original, l'opposition entre les frères jumeaux est attendue comme peut être une histoire entre Eros et Lele. Je suis curieuse de savoir comment celle-ci, si naturelle va entrer dans ce monde un peu pervers représenté par Angus. Elle est un personnage auquel on s'attache et que l'on veut protéger. Angus quant à lui paraît superficiel et antipathique.

Mais ce manga sur le métier de mannequin attire surtout par ses personnages et vêtements magnifiquement dessinés et par son héroïne Lele.

Pour qui aime la BD asiatique et la mode, The One est un peu un titre mythique, un manhua qu'on attendait depuis des années en France et qu'on ne pensait peut-être pas voir finalement mais Meian nous a fait l'excellente surprise de le publier ! Ainsi, les lecteurs vont enfin pouvoir découvrir cette scène taïwanaise qui s'inspire des plus grandes mangakas jap comme Fuyumi Soryo (Mars, Cesare) ou Reiko Shimizu (Princesse Kaguya, Top Secret).



Nicky Lee est une autrice taïwanaise qui avait déjà son petit succès quand elle a publié The One. Elle venait de terminer Youth Gone WIld, une série déjà assez longue pleine de rebondissements, sorte de Hana Yori Dango revisité, mais avec The One, elle est encore passée à la vitesse supérieure. Forte de 18 tomes, la série est une romance épique dans l'âme sur fond de mannequinat dans laquelle on retrouve toutes les inspirations graphiques japonaises de l'autrice aussi pour le look des personnages que le découpage des pages. C'est splendide.



Dans ce manhua, Nicky Lee nous embarque dans une histoire complexe faite d'héritage familial, d'histoires de famille, de trauma mais aussi d'amour et de passion, le tout dans les milieux du mannequinat et de la photographie. L'autrice varie les tons. Elle fait souvent preuve de beaucoup d'humour mais également parfois de sérieux et de tendresse, avec un style graphique qui accompagne à merveille ces variations. J'adore les SD (super deformated) de ses personnages dans ses moments. Cependant, l'intrigue reste assez superficielle pour le moment et pleines de facilités, qui l'empêche d'être aussi profonde qu'un Paradise Kiss, par exemple, à qui elle est souvent comparée.



Dans ce premier tome, l'artiste nous fait découvrir son héroïne, Lele, fille de deux anciens mannequins archi connus qui ont péri dans un accident quand elle était enfant. Sur un coup de tête, après avoir flashé sur les photos d'un célèbre mannequin, Angus, elle décide elle aussi de se lancer et demande de l'aide à sa tante qui est dans le milieu. Tout se passe très vite et on la suit passer des auditions et participer à un défilé. C'est un peu trop facile et son caractère très immature n'aide en rien à nous convaincre...



En parallèle, nous faisons la connaissance d'Angus, mannequin, et son frère jumeaux Eros, qui bosse aussi dans le milieu mais plus anonymement. Tous deux sont très beaux en plus d'être plein de mystères et par un concours de circonstance, Eros va tomber plusieurs fois sur Lele à qui il va venir en aide, ce qui va développer un début de quelque chose entre eux. Vous voyez venir le cliché à grands sabots ? Moi oui. Mais est-ce gênant ? Pas du tout, car ce titre est avant tout un pur divertissement.



Même si tout est ultra téléphoné et donc cliché, on prend plaisir à voir la fougue de Lele, les caprices d'Angus, le charisme désinvolte d'Eros et les mystères les entourant. C'est un régal pour les yeux d'assister aux différentes séances photos ou aux défilés, l'autrice dessinant des personnages classieux aux jambes interminables dans des tenues "so mode" (ce qui est moins le cas en dehors des plateaux où je trouve les tenues assez moches sous prétexte d'être originales... Ai Yazawa sait bien mieux y faire >< )



Et malgré tout, The One a ce je ne sais quoi d'accrocheur qui donne envie de voir comment vont tourner les ambitions de Lele, les mystères des jumeaux et les relations de ce trio. Oui, le milieu de la mode peint ici est une caricature peu crédible mais on en prend plein les yeux. Alors si vous cherchez un divertissement sympa, drôle et pétillant avec un zeste de romance, foncez !
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La série a un graphisme différent de ce qu’on voit d’habitude, mais qui dégage une grande force, qui est très beau par moment.

C’est le genre destiné à être prenante, addictive, intéressante, surprenante, nous faisant découvrir des faces cachées et puis réfléchir sur certains points.

Elle joue aussi délicieusement avec les surprises.

Si dans ce premier tome, nous faisons connaissance avec toute une galerie de personnages, nous avons déjà quelque surprises de taille et le lancement de Lele vers sa future destinée.



Lele n’a encore jamais rêvé d’être mannequin, elle n’en voulait pas, bien que sa mère l’ait été. Mais le jour où elle voit quelques photos d’un mannequin célèbre : Angus Lanson, elle change d’avis. Elle voit une force dedans, elle est attirée. Il faut dire que ces photos dégagent quelque chose de fort.

Cela tombe bien, sa mère l’a été et célèbre, sa tante baigne dans le milieu et le connaît. Elle a déjà essayé de la convaincre sans succès. Si elle savait d’où vient ce revirement.



Lele va découvrir un monde qu’elle ne soupçonnait pas avec toutes ses joies et ses difficultés. Elle va apprendre à mieux connaître le travail de sa tante, le métier de mannequin et sa mère. Nous verrons quelques photos de sa mère, ce qu’elle a fait, comment elle se comportait etc. Pour Lele, ce sera sans doute aussi l’occasion d’apprendre à la connaître mieux.

Lele va apprendre à la dure, sur le tas, ce ne sera pas évident. La première leçon infligée par sa tante est une claque monumentale.



En même temps, il s’avère qu’Angus va se rendre à Taiwan. Est-ce que ce serait le moment de le rencontrer ? Va-t-il faire battre son cœur ? Ou sera-t-elle déçue ?

Nous voyons Lele dans sa vie de tous les jours, avec sa meilleure amie, avec ses exercices. Nous la voyons fourcher, tomber, être maladroite tant par les gestes que les mots.

Pourtant si elle se destine à ce métier, sur scène elle ne devra rien montrer, faire rêver les gens, paraître parfaite.

La route sera sans doute longue. Si sa naissance l’aide à faire les premiers pas, nulle doute qu’elle va devoir se battre, se former, avancer pas à pas pour briller.
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De très beaux dessins qui m'ont fait penser au manga Nana , avec des personnages bien travaillés, de l'humour et certaines pages ressemblant à des posters.



Dommage qu'il y ai des clichés , comme dans les personnages secondaires et l'histoire pour le moment me semble banale , trop simple. Ce n'est bien sur qu'un premier tome mais ça me donne tout de même envie de lire la suite .

The one, nouveau manga autour du mannequinat.



Fille d'une célèbre mannequin, Teng Lele n'avait aucun attachement pour ce métier, surtout avec la perte de sa mère, jusqu'au jour où elle tombe en pamoisi devant un autre mannequin Angus Lanson. Elle change d'avis et souhaite entrer dans ce métier pour se rapprocher de ce mannequin.



Ce manga commence simplement par une jeune fille qui est complètement perdu, ne sait pas quoi faire, puis trouve une opportunité pour entrer dans le milieu. Dans ce premier tome, le lecteur touche à peine à ce métier. Il est principalement centrée sur les différents personnages. Rythme lent, le dessin des personnages n'est pas sans rappeler le style du mangaka Ai Yazawa avec son manga Nana, que ce soit les expressions ou la finesse du dessin. Ce premier tome met en lumière un univers mignon, tranquille de ce secteur, pourtant des petits détails suggèrent que l'univers va devenir de plus en plus sombre.

« The One » est très bon dans son horreur, cette fois-ci ça va vraiment très loin, mais ça éclaire les passés de nos deux jeunes hommes : Eros et Angus. Il y a de quoi briser totalement les esprits.

A l’image de « Boy’s abyss » c’est nauséabond et ça décrit des relations très toxiques.

De plus, nous avons des scènes dignes de films d’action. Il est également touchant de voir combien les deux frères se protègent.

Eros sait se battre et a du répondant, mais même pour lui cela va être très difficile.



En savoir un peu plus sur le père sinon passer le paragraphe.

Comme Eros, nous avions peut être voulu garder un peu d’espoir sur ce père, ce noble, ce riche, mais il n’agit que pour le pouvoir et l’argent, ne recule devant rien, et va jusqu’à vendre son fils sans problème le prostituer sexuellement. C’est à vomir.



Léo et Lélé qui ne sont pas au courant de tout, ont fait face au comportement horrible d’Eros, qui au passage les a énormément blessé même si c’était entre autre pour les protéger … Le coup classique

Lélé a accepté une opportunité de travail qui l’emmène à Paris.



L’histoire se place à l’international, que ce soit au niveau du mannequinat ou même d’autres éléments.

Comme le père d’Eros et Angus qui vit en Suède.



Tout le monde suit une partie des histoires dans les tabloïd, les journaux, mais sans en mesurer toutes les conséquences.



C’est maintenant le tome 10 de cette série, et un tome très fort en émotions et diabolique, qui pourrait heurter la sensibilité de certains.



Pour un peu de lumière, on pourra citer à part l’amour fraternel, la présence de Taylor qui est là pour Eros, et la façon dont Lélé marche dans les pas de sa mère, entre autre ce lieu spécial où elles s’entraînent toutes les deux.



Alors que des images nous fascinent, sont si belles, d’autres nous révulsent au plus haut point.
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Le focus sur les garçons continue dans ce tome terriblement sombre et dérangeant où décidément le virage amorcé confirme le partie pris très soapesque de la série. 



Nicky Lee a définitivement décidé de s'intéresser et s'attarder sur la famille Lanson. On découvre ainsi avec elle tout ce que cache le terrible passé de Ling / Angus auquel Eros tente de le faire échapper et ça fait mal. 



Si vous aimez les histoires sombres, glauques et torturées, ce tome sera parfait pour vous. Pour les autres, quelques trigger warning n'auraient pas été de manque avec cette évocation de la prostitution infantile et autre, de la drogue, de la séquestration et autres enlèvement et violences. L'autrice ne fait pas les choses à moitié. Mais si on aime, on a vraiment de la tension, des rebondissements, des plans faits et défaits. C'est parfaitement rythmé.



Une fois de plus, ce focus nous fait totalement oublier la mode et Lele mais après tout on lui a déjà consacré la moitié de la série alors que les garçons étaient restés dans l'ombre, normal de revenir un peu sur eux. C'est juste pour ma part le cadre très violent et glauque qui me dérange et que je n'apprécie pas. Autant le passé d'Eros qu'on entrapercevoit à New York correspond bien à l'image que je me fais de la violence et de la guerre des gangs d'alors, avec une teinte à la Banana Fish. Autant celui d'Angus avec son statut de gigolo quasi princier est inimaginable et glauque au possible pour moi. Je bloque.



Mais les amateurs de mélodrame seront servis. Entre la première partie servie par une belle tension tandis qu'Eros imagine un plan pour sauver son petit frère et la suite où lui-même est tombé dans un piège et est à sauver, l'action est là. J'ai apprécié le rôle du père adoptif d'Angus, même si c'est totalement improbable de laisser son fils se mettre ainsi en danger. Je suis intriguée par le mystérieux armateur Ulysse et ce qu'il fabrique dans cette histoire. Lui aussi, comme le père des garçons, éveille tous mes trigger warning. Nous sommes quand même dans un pseudo shojo à l'ancienne avec des relations "romantiques" censée nous faire fantasmer vraiment toxiques et malaisantes. J'ai du mal à comprendre le plaisir de voir ainsi ses personnages chéris martyrisés et surtout de voir des personnalités toxiques trouver le bonheur...



Alors je suis curieuse de voir le tournant que prendra la série pour "retourner à la normale". Je sens que ce sera encore très grandiloquant et pas vraiment crédible, car franchement quand je vois comment sont traités par dessus la jambe toutes les atrocités subies par les garçons, je tremble. Il est quand même question de drogue, addiction, viol, prostitution, violences et j'en passe, et pourtant on dirait que ce sont des ressorts pour nous faire fantasmer sur eux. C'est assez moyen et je crains que la bascule manque tout autant de subtilité.



Probablement le tome le plus sombre et dérangeant de la série, il donne l'impression d'être tombé dans un mix de Banana Fish (manga d'Akimi Yoshida) et de Young Royals (série télé). C'est glauque au possible mais les amateurs de sensations fortes et de mélodrames seront servis. Pour les âmes plus sensibles, soyez prévenus plonger dans le passé des garçons, ça fait mal très mal, et le présent est encore bien difficile. Hâte de sortir par le haut de toute cette horreur !
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Alors là, si je m’attendais à ça! Ce tome là marque un vrai tournant dans l’histoire je trouve. Maintenant ça prend une toute autre tournure bien plus dramatique. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que ça prenne cette direction. L’histoire s’intensifie clairement pour le coup! Je sens que les prochains tomes vont être plus qu’intense eux aussi. On a mis un peu de côté Lele pour se consacrer à nos deux jumeaux et ce n’est pas plus mal parce que ça en vaut la peine!



Dans ce dixième tome, après s’être rendu à Los Angeles sous prétexte de tourner une publicité, Eros est ramené de force en Suède à la place d’Angus. Sous la surveillance stricte de Taylor, Angus est sur le point de prendre une décision dangereuse pour sauver son frère. Seule à Paris pour continuer sa carrière, Lele doit faire face à une sérieuse épreuve…



Le père des jumeaux a mis ses menaces à exécution et à fait revenir Angus en Suède. Sauf que c’est Eros qui a pris la place de son frère pour pouvoir le protéger. De voir ça, ça nous permet de voir à quel point leur père est un être tout simplement abject. Je crois même qu’il est pire que ce je pensais. Quand on voit ce qu’il a infligé à Angus, dès son plus jeune âge en plus, ça me répugne et ça me dégoûte.. Mais il n’y a pas que son père d’ailleurs, tout ceux qui font parti de ce cercle sociale sont tous des êtres méprisables. Ils sont prêts à tout pour leur propre réussite et c’est tellement répugnant. J’espère qu’Eros va s’en sortir et pouvoir repartir à New York. Maintenant, je vois Angus sous un autre angle, alors qu’au début il nous apparait comme un jeune homme assez détestable, maintenant j’ai beaucoup de peine pour lui quand je vois tout ce qu’il a du subir dans sa jeunesse… Quand je vois ça, j’ai vraiment plus que hâte d’avoir la suite et de découvrir comment va s’en sortir Eros etc. Je meurs d’impatience!



Encore un tome incroyable à lire, c’était absolument dingue. Surtout que ce tome ci marque un vrai tournant dans l’histoire. Ça prend une tournure bien plus dramatique qui n’est pas pour me déplaire je dois bien l’avouer. Même si ça me fait énormément de peine de voir comment le monstre traite son propre fils.. Tout ce qu’a subi Angus lorsqu’il n’était encore qu’un enfant d’une dizaine d’années m’a vraiment brisé le coeur, c’est vraiment horrible et c’est là qu’on se rend compte que certaines personnes sont tout simplement prête à tout pour réussir…
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Le jeu de dupes auquel nos frères doivent se livrer est abjecte, et découvrir toutes ces immondices derrières ce genre de personnes encore plus. Mais la société et les gens peuvent être bien cruels, bien que certains soient très ambigus. Aucune aide ne se fait sans en payer le prix, avec argent ou avec son corps.

Nos deux frères fomentent chacun leurs plans, qu'ils mettent à exécution. Quel en sera le résultat ? A vous de lire. Ils doivent à tout prix échapper à l'emprise malsaine de leur père, mais tous les deux.

Tout n'est que complot, manigance, utiliser l'autre, s'en servir, sous la luxure se cache bien de vilains secrets. Mais normalement, ils doivent rester cacher.



Lélé quant à elle a fait forte impression sur Devereau et poursuit sa carrière. Aujourd'hui, elle sait ce qu'on attend d'elle, se releve, et évite les pièges ou au moins rebondit dessus.

Elle a beaucoup évolué depuis qu'on la connaît. Elle dégage quelque chose en tant que mannequin.

Hors de son travail, elle redevient la Lélé que nous connaissons et aimons.



Le passé ténébreux des frères et cet horrible épisode qu'ils vivent ne va en rien simplifier leur relation avec Lélé, surtout qu'ils sont comme souillés.

Heureusement que Lélé est là pour qu'on ait des moments où la tension soit relâchée.



En tout cas, c'est addictif ! Et on se prend dans ses filets.

Vengance et carrière de mannequin sont au menu du jour.
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Le virage de la série dans le roman noir, roman de société dénonçant les travers d’une haute société horrible avec ses enfants remplit toutes ses promesses dans cette sombre et percutante.



Nous avions laissé Eros aux mains de son père, ayant sauté volontairement dans le piège tendu par celui-ci pour libérer son jeune frère Angus, bien plus fragile. En plus Amour, Gloire et Beauté, Nicky Lee nous passionne bien malgré nous pour les déboires de ces deux âmes en peine : le premier étant drogué de force et transformé en gigolo pour les ambitions politiques de son père ; le second s’étant vendu à l’ennemi économique de son père pour pouvoir avoir le pouvoir de le menacer et sauver son frère. C’est sombre, très sombre.



Pour autant, le récit est toujours hyper entraînant, alors que clairement il a basculé dans un versant vraiment exagéré où l’autrice a poussé bien loin les problèmes de ces deux frères. C’est surréaliste mais le lecteur est happé parce qui se passe. On a envie de voir Eros renverser la table et troubler les plans de son père, vengeant ce que son frère a subi autrefois. On a envie de voir Angus gagner en force et pourvoir jouer à égalité avec eux. Le récit des troubles des deux frères sont vraiment le coeur de ce tome et ça fonctionne très bien.



Heureusement Lele n’est pas fondamentalement oubliée et ce sera la dose de fraîcheur dont on aura besoin dans toute cette noirceur, car clairement Angus et Eros vont très loin dans les ténèbres de leur famille. C’est assez horrible et profondément dérangeant de les voir chacun jouer les gigolos, offrant et souillant leur corps, pour satisfaire leur besoin de vengeance. Lele, elle, au moins poursuit son rêve avec succès, et si l’autrice passe bien trop vite dessus, on est heureux de la voir réussir et briller sur les planches, grâce à sa rencontre clé avec Deveraux, sorte de Lagarfield imaginé par Nicky Lee. Les planches sont alors lumineuses, de toutes beauté et très très classe.



Avec un équilibre étrange entre sombre histoire de vengeance familiale et ascension fulgurante permettant de réaliser un rêve, là où l’autre s’est brisé, l’autrice propose une lecture addictive certes bien trop surjouée pour être crédible un instant, mais qui donne envie de tourner et tourner les pages pour voir si cette vengeance va bien s’accomplir. Avis aux amateurs de lectures classiques mais addictives.
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Ce tome est une lutte pour que Yin/Eros s'en sorte, et c'est très dur moralement. Léo est hyper émotif, tandis que Teng Lélé ne veut d'abord plus rien savoir de lui, avant de se rendre compte que c'est plus complexe, et faire un choix très difficile.



De plus, la présence de Taylor dans ce tome fait plaisir, et nous en apprendrons plus sur Feidna, et sa relation avec Yin/Eros.



Eros/Yin revient au plus mal, son corps est meurtri. Il faut savoir qu'il y énormément de violence, mais si vous avez déjà croisé le sujet, cela ne vous étonnera pas, sinon si.

Il faut sortir la drogue de son corps, et c'est une lutte très difficile, épuisante tant physiquement que moralement.

Lélé va choisir de rester à ses côtés, malgré son rejet. Elle le fera comme on la connaît, avec le sourire, en plaisantant. Non seulement c'est dur, mais c'est aussi un gros sacrifice.



Ils ont aussi cette façon de vouloir tous cacher certains éléments, de mentir pour différentes raisons



Série à la fois addictive, terrible, violente et monstrueuse par moment.

Mieux vaut qu'on vive tout cela de loin.
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Addiction toujours belle et bien présente dans cette suite qui nous permet de sortir la tête haute de l’arc précédent mais de découvrir aussi le poids de la vengeance.



Dans cette dynamique toujours aussi portée sur l’exagération mais rappelant aussi les ravages des histoires de familles toxiques telle qu’on avait pu le voir dans Banana Fish, nous retrouvons un Eros qui a réussi à aller au bout de sa vengeance et un Angus qui réussit à jouer à cartes égales avec son père, mais chacun va devoir affronter les conséquences.



J’ai apprécié qu’on revienne à New York et qu’on s’éloigne enfin de ce passage de l’histoire où chacun vivait sa vie de son côté. L’autrice rassemble peu à peu les personnages, mettant en scène des retrouvailles complexes mais attendues. Ainsi, Eros revient et retrouve Lele mais ce n’est pas si simple quand on a été drogué de force pendant des mois. L’autrice met donc en scène de manière crue et violente la désintox forcée et artisanale du héros avec l’aide de son père adoptif et de sa charmante voisine.



Bien que proposant une dynamique de ce qu’on a connu, les retrouvailles Lele-Eros étaient attendues et tiennent leurs promesses. L’autrice nous redonne cette dynamique chien-chat qu’on aime tant et qui fonctionne si bien pour eux. C’est tragique et en même temps amusant de les retrouver dans ces circonstances. C’est plus problématique du côté d’Angus, qu’on ne voit pas encore trop. Je n’aime pas du tout la façon dont est présentée sa relation forcée avec Ulysse, d’abord on dirait deux amoureux mais on se rappelle ensuite que ce n’est que contrainte et le malaise nous rattrape vite. Je m’interroge sur la façon dont l’autrice va faire évoluer ça et j’ai quelques craintes, car je n’aimerais pas une transformation en romance façon « syndrome de Stockholm »…



Nous avons cependant eu droit ici à de beaux moments émouvants, du retour d’Eros, jusqu’à la déclaration de Lele quand il se met en danger, en passant par l’abnégation de Taylor quand il l’apprend et le rejoint. L’autrice sait comment nous toucher et nous émouvoir et tant pis si on est toujours dans une exagération plus accrue à la mode de ces soaps américains qui ont fait le succès des programmes télé matinaux français.



C’est donc avec une forme de plaisir coupable que je continue à suivre ces aventures totalement surréalistes où les pères hommes politiques drogues leurs fils, où ceux-ci se sevrent seuls, où les relations toxiques ne posent pas autant problème que ce qu’elles devraient sous prétexte de vengeance. L’addiction est là à la lecture mais les problèmes moraux également avec une héroïne trop soumise aux désirs du héros et des héros qui ont trop la figure du « bad boy » cliché.
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