Critiques de Nicky Lee (55)
La mode est toujours là mais c’est la romance bien mélo des héros qui a repris le dessus, ça passe ou ça casse selon vos préférences.
Je crois que je me suis malheureusement habituée à ces retours ponctuel d’un mélodrame excessif dont l’autrice semble friande. Je préfère de mon côté quand on parle juste mode et podium et à la limite relation de travail et jalousie personnelle. Mais l’autrice semble avoir besoin de ce côté soapesque de temps en temps pour pimenter son histoire. Acceptons.
Ici, j’avoue qu’une fois l’abcès crevé et la vérité sur les agissements d’Eros révélé, c’est assez drôle de le voir se traîner aux pieds de Lele et tout faire pour la reconquérir. Ce n’est pas fait dans la finesse, avouons-le. Il y a un côté homme des cavernes, mâle dominant, mais on sent aussi tellement l’humour de l’autrice derrière qu’on passe des bons moments. C’est drôle de le voir ramer, devoir demander de l’aide à ses amis, se transformer en homme à tout faire et bûcheron, tandis que Lele, elle, prend du bon temps devant les objectifs avec André, qui est devenu un véritable ami.
Je sais que les représentations des Queers dans l’histoire posent problème depuis le début, car l’autrice en a une vision assez caricaturale, mais en même temps, ce n’est jamais méchant et au contraire je la trouve assez ouverte. Elle lutte à sa façon contre les préjugés et ici avec André elle nous prend à contre-pied avec un garçon androgyne que tout le monde imagine gay alors qu’il s’éveille à l’amour hétéro avec Lele. Je l’ai trouvé attachant ce garçon mal appris qui s’adoucit et devient un vrai ami pour elle. J’ai aimé assister à son évolution et au développement de leur relation. J’espère juste que l’autrice ne va pas l’oublier comme elle a l’habitude de le faire.
Car après tout, c’est un peu ce qu’elle a fait avec Angus, le frère d’Eros, qu’elle ressort un peu de nulle part de temps en temps et notamment dans ce tome. Je vois bien ce qui se passe dans sa tête. Maintenant qu’elle a réglé le passé d’Eros, ses problèmes familiaux, sa relation avec Lele, il reste sa relation problématique avec son frère. On focalise donc notre attention dessus pour les tomes qui restent (2) et on nous ressort des situations bien glauques et sordides où la possessivité non légitime d’Angus ressort violemment. C’est à nouveau bien trop excessif pour moi, ce genre d’extravagance me sort toujours totalement de l’histoire, même si je comprends bien que c’est pour donner matière à l’histoire et la rendre addictive et tendues. Ce n’est juste pas une manière que j’apprécie.
Placé sous le signe de la reconquête, ce tome aura su bien m’amuser car j’ai aimé voir Eros à contre emploi courir après celle qu’il aime et faire des efforts pour la reconquérir. C’est raconté avec humour, faisant un peu oublier le trop plein de mélodrame dans les chapitres précédents, mais celui-ci n’est jamais bien loin et le retour brutal d’Angus dans l’histoire y fait malheureusement appel. Nicky Lee a vraiment une manière soapesque, datée désormais, de conter les histoires qui clive : soit on adore le côté addictif et excessif, soit ça fait lever les yeux au ciel et ça dérange. A vous de voir où est votre curseur.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Je crois que je me suis malheureusement habituée à ces retours ponctuel d’un mélodrame excessif dont l’autrice semble friande. Je préfère de mon côté quand on parle juste mode et podium et à la limite relation de travail et jalousie personnelle. Mais l’autrice semble avoir besoin de ce côté soapesque de temps en temps pour pimenter son histoire. Acceptons.
Ici, j’avoue qu’une fois l’abcès crevé et la vérité sur les agissements d’Eros révélé, c’est assez drôle de le voir se traîner aux pieds de Lele et tout faire pour la reconquérir. Ce n’est pas fait dans la finesse, avouons-le. Il y a un côté homme des cavernes, mâle dominant, mais on sent aussi tellement l’humour de l’autrice derrière qu’on passe des bons moments. C’est drôle de le voir ramer, devoir demander de l’aide à ses amis, se transformer en homme à tout faire et bûcheron, tandis que Lele, elle, prend du bon temps devant les objectifs avec André, qui est devenu un véritable ami.
Je sais que les représentations des Queers dans l’histoire posent problème depuis le début, car l’autrice en a une vision assez caricaturale, mais en même temps, ce n’est jamais méchant et au contraire je la trouve assez ouverte. Elle lutte à sa façon contre les préjugés et ici avec André elle nous prend à contre-pied avec un garçon androgyne que tout le monde imagine gay alors qu’il s’éveille à l’amour hétéro avec Lele. Je l’ai trouvé attachant ce garçon mal appris qui s’adoucit et devient un vrai ami pour elle. J’ai aimé assister à son évolution et au développement de leur relation. J’espère juste que l’autrice ne va pas l’oublier comme elle a l’habitude de le faire.
Car après tout, c’est un peu ce qu’elle a fait avec Angus, le frère d’Eros, qu’elle ressort un peu de nulle part de temps en temps et notamment dans ce tome. Je vois bien ce qui se passe dans sa tête. Maintenant qu’elle a réglé le passé d’Eros, ses problèmes familiaux, sa relation avec Lele, il reste sa relation problématique avec son frère. On focalise donc notre attention dessus pour les tomes qui restent (2) et on nous ressort des situations bien glauques et sordides où la possessivité non légitime d’Angus ressort violemment. C’est à nouveau bien trop excessif pour moi, ce genre d’extravagance me sort toujours totalement de l’histoire, même si je comprends bien que c’est pour donner matière à l’histoire et la rendre addictive et tendues. Ce n’est juste pas une manière que j’apprécie.
Placé sous le signe de la reconquête, ce tome aura su bien m’amuser car j’ai aimé voir Eros à contre emploi courir après celle qu’il aime et faire des efforts pour la reconquérir. C’est raconté avec humour, faisant un peu oublier le trop plein de mélodrame dans les chapitres précédents, mais celui-ci n’est jamais bien loin et le retour brutal d’Angus dans l’histoire y fait malheureusement appel. Nicky Lee a vraiment une manière soapesque, datée désormais, de conter les histoires qui clive : soit on adore le côté addictif et excessif, soit ça fait lever les yeux au ciel et ça dérange. A vous de voir où est votre curseur.
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Retour sur les podiums, Lele l’a compris, elle ne peut pas seulement vivre d’amour et d’eau fraîche, elle a besoin de challenge dans la vie et celui que lui offre son duo avec Andre est à la hauteur.
Savoureux, mais léger, mélange de drame, de paillette et de romances compliquées, The One continue de faire palpiter le coeur des amateurs de soap à l’ancienne. Mélo à toutes les étapes dans ce tome par une autrice qui maîtrise bien ses codes pour titiller sans cesse les lecteurs. Détestateurs du genre, fuyez ! Mais de toute façon à ce stade de l’histoire, je ne crois pas qu’il en reste beaucoup ^^!
Suivons donc le sourire aux lèvres le cheminement de Lele pour tenter d’incarner l’idéal masculin que veut lui imposer Devereau pour son duo masculin-féminin inversé avec André. C’est amusant de voir les réactions jalouses d’Eros d’un côté, maintenant qu’il a découvert l’amour, et la jouissance de Lele a le voir ainsi car elle réalise enfin l’égalité de ses sentiments pour elle. Un gentil jeu de chat et de la souris avec André au milieu. Le résultat, d’un point de vue « mode », est assez sympathique avec une vision ouverte à la diversité montrant que chacun doit être à l’aise dans son style homme / femme et peut importe son sexe, sans que la société ait à juger. Cela donne de très beaux portraits sur les podiums et en dehors.
En revanche, je serai plus critique concernant l’aspect dramatique l’autrice vient encore une fois ajouter à son histoire. Est-il nécessaire de revenir sur ce qu’Eros avait fait pour se venger de son père et de venir perturber le couple avec la petite vengeance de Feidna ? Je n’en suis pas convaincue. J’avais déjà trouvé cet aspect vraiment excessif, exagéré et je n’ai pas aimé le voir ressurgir. Ce n’était pas nécessaire si ce n’est à délayer encore et encore l’histoire. Idem avec la relation archi malsaine d’Angus et son milliardiaire qui pop de temps en temps et dont l’autrice ne semble pas trop savoir quoi faire. Elle en dénonce la contrainte mais la romantise quand même. Je n’aime pas.
Retour sur les podiums réussi pour Lele qui trouve un nouveau binôme finalement assez sympathique avec qui s’épanouir dans un style encore plus libre qu’avant où elle assume les deux facettes, masculine et féminine, de sa personnalité. On aime le message positif sur la diversité même s’il n’est pas très fin. En revanche, le retour du mélo et du drame en pagaille, sur le sombre sombre passé d’Eros, on s’en serait bien passé. Quelle caricature soapesque !
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Savoureux, mais léger, mélange de drame, de paillette et de romances compliquées, The One continue de faire palpiter le coeur des amateurs de soap à l’ancienne. Mélo à toutes les étapes dans ce tome par une autrice qui maîtrise bien ses codes pour titiller sans cesse les lecteurs. Détestateurs du genre, fuyez ! Mais de toute façon à ce stade de l’histoire, je ne crois pas qu’il en reste beaucoup ^^!
Suivons donc le sourire aux lèvres le cheminement de Lele pour tenter d’incarner l’idéal masculin que veut lui imposer Devereau pour son duo masculin-féminin inversé avec André. C’est amusant de voir les réactions jalouses d’Eros d’un côté, maintenant qu’il a découvert l’amour, et la jouissance de Lele a le voir ainsi car elle réalise enfin l’égalité de ses sentiments pour elle. Un gentil jeu de chat et de la souris avec André au milieu. Le résultat, d’un point de vue « mode », est assez sympathique avec une vision ouverte à la diversité montrant que chacun doit être à l’aise dans son style homme / femme et peut importe son sexe, sans que la société ait à juger. Cela donne de très beaux portraits sur les podiums et en dehors.
En revanche, je serai plus critique concernant l’aspect dramatique l’autrice vient encore une fois ajouter à son histoire. Est-il nécessaire de revenir sur ce qu’Eros avait fait pour se venger de son père et de venir perturber le couple avec la petite vengeance de Feidna ? Je n’en suis pas convaincue. J’avais déjà trouvé cet aspect vraiment excessif, exagéré et je n’ai pas aimé le voir ressurgir. Ce n’était pas nécessaire si ce n’est à délayer encore et encore l’histoire. Idem avec la relation archi malsaine d’Angus et son milliardiaire qui pop de temps en temps et dont l’autrice ne semble pas trop savoir quoi faire. Elle en dénonce la contrainte mais la romantise quand même. Je n’aime pas.
Retour sur les podiums réussi pour Lele qui trouve un nouveau binôme finalement assez sympathique avec qui s’épanouir dans un style encore plus libre qu’avant où elle assume les deux facettes, masculine et féminine, de sa personnalité. On aime le message positif sur la diversité même s’il n’est pas très fin. En revanche, le retour du mélo et du drame en pagaille, sur le sombre sombre passé d’Eros, on s’en serait bien passé. Quelle caricature soapesque !
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Fausse piste ! Alors que je pensais me tourner vers Angus, c’est vers les podiums que l’autrice nous ramène déjà. Un tome assez étrange et cocasse ^^!
Nicky Lee a vraiment le chic pour nous surprendre et faire faire des tours et détours à son histoire. A peine le couple Eros – Lele formé, qu’elle nous fait repartir sur les chemins de la mode. Pas bête en soi, car ainsi elle s’attaque à un des problèmes de son oeuvre dont elle semble prendre conscience : le manque d’ambition de son héroïne et le fait qu’elle ait toujours fait les choses pour suivre ou faire plaisir aux autres. Au moins, elle cherche maintenant à lui donner de la consistance.
J’ai ainsi beaucoup apprécié d’Eros mette les pieds dans le plat et confronte Lele par rapport à sa carrière de mannequin et ce qu’elle aspire à être dans la vie. J’ai moins aimé en revanche la réponse trouvée : un retour à Paris avec Devereau et surtout le défi que celui-ci lui lance. On se retrouve alors dans une ambiance plutôt comique et après le sérieux et l’émotion des tomes précédents, j’avoue avoir trouvé ça maladroit même si ça offre une respiration.
Nous voilà donc de retour sur les podiums ou plus précisément devant les objectifs et si on prend juste ce bout de l’intrigue pour ce qu’il est, sans le connecter au reste, il est amusant de voir comment l’autrice traite l’allure et le comportement androgyne du partenaire de Lele : André. Je me suis amusée du sale caractère de ce dernier et des crasses qu’il fait à Lele, mais aussi de la façon dont elle résiste et lui tient tête avec patience et panache. C’était une dynamique sympathique et si le côté « transgenre » d’André comme l’autrice l’appel est cliché à mort, il y a deux-trois remarques bien sentie sur le genre et le mannequinat.
Ce tome offre en plus un joli vaudeville en fin avec l’arrivée d’Eros après une énième mésaventure de Lele. Un petit triangle amoureux cocasse se met en place avec une Lele pas du tout au courant de la réelle attirance d’André et un nouveau défi de Devereau qui vient s’y greffer. C’était totalement ubuesque mais très drôle. J’ai ri de la nouvelle posture jalouse d’Eros, lui, qui a toujours été si indifférent et j’ai aimé l’assurance de Lele, qui se réveille enfin, dans les dernières pages. Le prochain tome est donc prometteur.
Surprise, surprise, Nicky Lee nous entraîne là où on ne l’attend pas dans ce tome. Si on est ici dans de la pure comédie, ce qui rompt un peu brutalement le ton, c’est de la comédie drôle et bien faite, reposant sur des oppositions amusantes au comique travaillé. Tout en interrogeant enfin le caractère passif de l’héroïne, l’autrice nous offre comédie, triangle amoureux et retour devant les objectifs. C’est très chouette !
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Nicky Lee a vraiment le chic pour nous surprendre et faire faire des tours et détours à son histoire. A peine le couple Eros – Lele formé, qu’elle nous fait repartir sur les chemins de la mode. Pas bête en soi, car ainsi elle s’attaque à un des problèmes de son oeuvre dont elle semble prendre conscience : le manque d’ambition de son héroïne et le fait qu’elle ait toujours fait les choses pour suivre ou faire plaisir aux autres. Au moins, elle cherche maintenant à lui donner de la consistance.
J’ai ainsi beaucoup apprécié d’Eros mette les pieds dans le plat et confronte Lele par rapport à sa carrière de mannequin et ce qu’elle aspire à être dans la vie. J’ai moins aimé en revanche la réponse trouvée : un retour à Paris avec Devereau et surtout le défi que celui-ci lui lance. On se retrouve alors dans une ambiance plutôt comique et après le sérieux et l’émotion des tomes précédents, j’avoue avoir trouvé ça maladroit même si ça offre une respiration.
Nous voilà donc de retour sur les podiums ou plus précisément devant les objectifs et si on prend juste ce bout de l’intrigue pour ce qu’il est, sans le connecter au reste, il est amusant de voir comment l’autrice traite l’allure et le comportement androgyne du partenaire de Lele : André. Je me suis amusée du sale caractère de ce dernier et des crasses qu’il fait à Lele, mais aussi de la façon dont elle résiste et lui tient tête avec patience et panache. C’était une dynamique sympathique et si le côté « transgenre » d’André comme l’autrice l’appel est cliché à mort, il y a deux-trois remarques bien sentie sur le genre et le mannequinat.
Ce tome offre en plus un joli vaudeville en fin avec l’arrivée d’Eros après une énième mésaventure de Lele. Un petit triangle amoureux cocasse se met en place avec une Lele pas du tout au courant de la réelle attirance d’André et un nouveau défi de Devereau qui vient s’y greffer. C’était totalement ubuesque mais très drôle. J’ai ri de la nouvelle posture jalouse d’Eros, lui, qui a toujours été si indifférent et j’ai aimé l’assurance de Lele, qui se réveille enfin, dans les dernières pages. Le prochain tome est donc prometteur.
Surprise, surprise, Nicky Lee nous entraîne là où on ne l’attend pas dans ce tome. Si on est ici dans de la pure comédie, ce qui rompt un peu brutalement le ton, c’est de la comédie drôle et bien faite, reposant sur des oppositions amusantes au comique travaillé. Tout en interrogeant enfin le caractère passif de l’héroïne, l’autrice nous offre comédie, triangle amoureux et retour devant les objectifs. C’est très chouette !
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La lumière au bout du tunnel : voilà ce qui caractérise ce tome qui nous offre enfin la transition et la rédemption attendue pour notre héros écorché vif : Eros.
Nicky Lee n’y va pas avec le dos de la cuillère quand elle décide de faire évoluer son couple principal. Utilisant l’addiction d’Eros et son sevrage, elle fait emménager Lele chez lui pour que cette proximité forcée déclenche quelque chose et ce sera le cas. Mais plutôt que de jouer sur le côté sexy de ce rapprochement, ce qu’elle aurait pu faire, elle joue la carte du drame familiale et des plaies à panser. J’ai largement préféré.
Certes l’autrice va beaucoup trop vite dans sa narration, sautant un nombre d’étapes pharamineux, rendant cela un peu trop mélodramatique en mode « Amour, gloire et beauté », mais le résultat est là et la transition entre le Eros qui semble indifférent à tout et le Eros qui s’ouvre sur ses traumas est touchant. Avec une héroïne qui aime les bad boys en perdition, c’était sûr qu’elle allait plonger dedans.
Alors oui, il y a des dialogues écrits avec les pieds qui auraient dû être plus sensibles, parce que l’humour de l’autrice craint un peu et casse l’ambiance. Oui, il y a toujours ce travers d’une Lele trop soumise aux désirs de celui qu’elle aime, mais impossible de rester de marbre face à la peur de l’abandon d’Eros qui éclate au grand jour et dévoile ses origines. Cette plongée (rapide) dans son passé était nécessaire et fut touchante, et en fan de romance, ce pourquoi beaucoup lisent cette série, on ne peut que être content du dénouement, enfin !
Le tome de la guérison ! Bien qu’il fut une fois de plus écrit assez maladroitement, les intentions sont là et on est ému face à ce nouveau Eros qui se dévoile, plus fragile, plus à fleur de peau, qui ose montrer ses peurs. Lele a brisé la coquille a force de gentillesse et de courage. Le chemin a été long mais la récompense est là. L’autrice a mené son mélodrame comme il faut de bout en bout. Reste maintenant à s’attaquer au volet Angus, ça ne va pas être simple.
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Nicky Lee n’y va pas avec le dos de la cuillère quand elle décide de faire évoluer son couple principal. Utilisant l’addiction d’Eros et son sevrage, elle fait emménager Lele chez lui pour que cette proximité forcée déclenche quelque chose et ce sera le cas. Mais plutôt que de jouer sur le côté sexy de ce rapprochement, ce qu’elle aurait pu faire, elle joue la carte du drame familiale et des plaies à panser. J’ai largement préféré.
Certes l’autrice va beaucoup trop vite dans sa narration, sautant un nombre d’étapes pharamineux, rendant cela un peu trop mélodramatique en mode « Amour, gloire et beauté », mais le résultat est là et la transition entre le Eros qui semble indifférent à tout et le Eros qui s’ouvre sur ses traumas est touchant. Avec une héroïne qui aime les bad boys en perdition, c’était sûr qu’elle allait plonger dedans.
Alors oui, il y a des dialogues écrits avec les pieds qui auraient dû être plus sensibles, parce que l’humour de l’autrice craint un peu et casse l’ambiance. Oui, il y a toujours ce travers d’une Lele trop soumise aux désirs de celui qu’elle aime, mais impossible de rester de marbre face à la peur de l’abandon d’Eros qui éclate au grand jour et dévoile ses origines. Cette plongée (rapide) dans son passé était nécessaire et fut touchante, et en fan de romance, ce pourquoi beaucoup lisent cette série, on ne peut que être content du dénouement, enfin !
Le tome de la guérison ! Bien qu’il fut une fois de plus écrit assez maladroitement, les intentions sont là et on est ému face à ce nouveau Eros qui se dévoile, plus fragile, plus à fleur de peau, qui ose montrer ses peurs. Lele a brisé la coquille a force de gentillesse et de courage. Le chemin a été long mais la récompense est là. L’autrice a mené son mélodrame comme il faut de bout en bout. Reste maintenant à s’attaquer au volet Angus, ça ne va pas être simple.
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Ce tome est une lutte pour que Yin/Eros s'en sorte, et c'est très dur moralement. Léo est hyper émotif, tandis que Teng Lélé ne veut d'abord plus rien savoir de lui, avant de se rendre compte que c'est plus complexe, et faire un choix très difficile.
De plus, la présence de Taylor dans ce tome fait plaisir, et nous en apprendrons plus sur Feidna, et sa relation avec Yin/Eros.
Ils ont aussi cette façon de vouloir tous cacher certains éléments, de mentir pour différentes raisons
Série à la fois addictive, terrible, violente et monstrueuse par moment.
Mieux vaut qu'on vive tout cela de loin.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
De plus, la présence de Taylor dans ce tome fait plaisir, et nous en apprendrons plus sur Feidna, et sa relation avec Yin/Eros.
Ils ont aussi cette façon de vouloir tous cacher certains éléments, de mentir pour différentes raisons
Série à la fois addictive, terrible, violente et monstrueuse par moment.
Mieux vaut qu'on vive tout cela de loin.
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Le jeu de dupes auquel nos frères doivent se livrer est abjecte, et découvrir toutes ces immondices derrières ce genre de personnes encore plus. Mais la société et les gens peuvent être bien cruels, bien que certains soient très ambigus. Aucune aide ne se fait sans en payer le prix, avec argent ou avec son corps.
Nos deux frères fomentent chacun leurs plans, qu'ils mettent à exécution. Quel en sera le résultat ? A vous de lire. Ils doivent à tout prix échapper à l'emprise malsaine de leur père, mais tous les deux.
Tout n'est que complot, manigance, utiliser l'autre, s'en servir, sous la luxure se cache bien de vilains secrets. Mais normalement, ils doivent rester cacher.
Lélé quant à elle a fait forte impression sur Devereau et poursuit sa carrière. Aujourd'hui, elle sait ce qu'on attend d'elle, se releve, et évite les pièges ou au moins rebondit dessus.
Elle a beaucoup évolué depuis qu'on la connaît. Elle dégage quelque chose en tant que mannequin.
Hors de son travail, elle redevient la Lélé que nous connaissons et aimons.
Le passé ténébreux des frères et cet horrible épisode qu'ils vivent ne va en rien simplifier leur relation avec Lélé, surtout qu'ils sont comme souillés.
Heureusement que Lélé est là pour qu'on ait des moments où la tension soit relâchée.
En tout cas, c'est addictif ! Et on se prend dans ses filets.
Vengance et carrière de mannequin sont au menu du jour.
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Nos deux frères fomentent chacun leurs plans, qu'ils mettent à exécution. Quel en sera le résultat ? A vous de lire. Ils doivent à tout prix échapper à l'emprise malsaine de leur père, mais tous les deux.
Tout n'est que complot, manigance, utiliser l'autre, s'en servir, sous la luxure se cache bien de vilains secrets. Mais normalement, ils doivent rester cacher.
Lélé quant à elle a fait forte impression sur Devereau et poursuit sa carrière. Aujourd'hui, elle sait ce qu'on attend d'elle, se releve, et évite les pièges ou au moins rebondit dessus.
Elle a beaucoup évolué depuis qu'on la connaît. Elle dégage quelque chose en tant que mannequin.
Hors de son travail, elle redevient la Lélé que nous connaissons et aimons.
Le passé ténébreux des frères et cet horrible épisode qu'ils vivent ne va en rien simplifier leur relation avec Lélé, surtout qu'ils sont comme souillés.
Heureusement que Lélé est là pour qu'on ait des moments où la tension soit relâchée.
En tout cas, c'est addictif ! Et on se prend dans ses filets.
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Addiction toujours belle et bien présente dans cette suite qui nous permet de sortir la tête haute de l’arc précédent mais de découvrir aussi le poids de la vengeance.
Dans cette dynamique toujours aussi portée sur l’exagération mais rappelant aussi les ravages des histoires de familles toxiques telle qu’on avait pu le voir dans Banana Fish, nous retrouvons un Eros qui a réussi à aller au bout de sa vengeance et un Angus qui réussit à jouer à cartes égales avec son père, mais chacun va devoir affronter les conséquences.
J’ai apprécié qu’on revienne à New York et qu’on s’éloigne enfin de ce passage de l’histoire où chacun vivait sa vie de son côté. L’autrice rassemble peu à peu les personnages, mettant en scène des retrouvailles complexes mais attendues. Ainsi, Eros revient et retrouve Lele mais ce n’est pas si simple quand on a été drogué de force pendant des mois. L’autrice met donc en scène de manière crue et violente la désintox forcée et artisanale du héros avec l’aide de son père adoptif et de sa charmante voisine.
Bien que proposant une dynamique de ce qu’on a connu, les retrouvailles Lele-Eros étaient attendues et tiennent leurs promesses. L’autrice nous redonne cette dynamique chien-chat qu’on aime tant et qui fonctionne si bien pour eux. C’est tragique et en même temps amusant de les retrouver dans ces circonstances. C’est plus problématique du côté d’Angus, qu’on ne voit pas encore trop. Je n’aime pas du tout la façon dont est présentée sa relation forcée avec Ulysse, d’abord on dirait deux amoureux mais on se rappelle ensuite que ce n’est que contrainte et le malaise nous rattrape vite. Je m’interroge sur la façon dont l’autrice va faire évoluer ça et j’ai quelques craintes, car je n’aimerais pas une transformation en romance façon « syndrome de Stockholm »…
Nous avons cependant eu droit ici à de beaux moments émouvants, du retour d’Eros, jusqu’à la déclaration de Lele quand il se met en danger, en passant par l’abnégation de Taylor quand il l’apprend et le rejoint. L’autrice sait comment nous toucher et nous émouvoir et tant pis si on est toujours dans une exagération plus accrue à la mode de ces soaps américains qui ont fait le succès des programmes télé matinaux français.
C’est donc avec une forme de plaisir coupable que je continue à suivre ces aventures totalement surréalistes où les pères hommes politiques drogues leurs fils, où ceux-ci se sevrent seuls, où les relations toxiques ne posent pas autant problème que ce qu’elles devraient sous prétexte de vengeance. L’addiction est là à la lecture mais les problèmes moraux également avec une héroïne trop soumise aux désirs du héros et des héros qui ont trop la figure du « bad boy » cliché.
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Dans cette dynamique toujours aussi portée sur l’exagération mais rappelant aussi les ravages des histoires de familles toxiques telle qu’on avait pu le voir dans Banana Fish, nous retrouvons un Eros qui a réussi à aller au bout de sa vengeance et un Angus qui réussit à jouer à cartes égales avec son père, mais chacun va devoir affronter les conséquences.
J’ai apprécié qu’on revienne à New York et qu’on s’éloigne enfin de ce passage de l’histoire où chacun vivait sa vie de son côté. L’autrice rassemble peu à peu les personnages, mettant en scène des retrouvailles complexes mais attendues. Ainsi, Eros revient et retrouve Lele mais ce n’est pas si simple quand on a été drogué de force pendant des mois. L’autrice met donc en scène de manière crue et violente la désintox forcée et artisanale du héros avec l’aide de son père adoptif et de sa charmante voisine.
Bien que proposant une dynamique de ce qu’on a connu, les retrouvailles Lele-Eros étaient attendues et tiennent leurs promesses. L’autrice nous redonne cette dynamique chien-chat qu’on aime tant et qui fonctionne si bien pour eux. C’est tragique et en même temps amusant de les retrouver dans ces circonstances. C’est plus problématique du côté d’Angus, qu’on ne voit pas encore trop. Je n’aime pas du tout la façon dont est présentée sa relation forcée avec Ulysse, d’abord on dirait deux amoureux mais on se rappelle ensuite que ce n’est que contrainte et le malaise nous rattrape vite. Je m’interroge sur la façon dont l’autrice va faire évoluer ça et j’ai quelques craintes, car je n’aimerais pas une transformation en romance façon « syndrome de Stockholm »…
Nous avons cependant eu droit ici à de beaux moments émouvants, du retour d’Eros, jusqu’à la déclaration de Lele quand il se met en danger, en passant par l’abnégation de Taylor quand il l’apprend et le rejoint. L’autrice sait comment nous toucher et nous émouvoir et tant pis si on est toujours dans une exagération plus accrue à la mode de ces soaps américains qui ont fait le succès des programmes télé matinaux français.
C’est donc avec une forme de plaisir coupable que je continue à suivre ces aventures totalement surréalistes où les pères hommes politiques drogues leurs fils, où ceux-ci se sevrent seuls, où les relations toxiques ne posent pas autant problème que ce qu’elles devraient sous prétexte de vengeance. L’addiction est là à la lecture mais les problèmes moraux également avec une héroïne trop soumise aux désirs du héros et des héros qui ont trop la figure du « bad boy » cliché.
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Le virage de la série dans le roman noir, roman de société dénonçant les travers d’une haute société horrible avec ses enfants remplit toutes ses promesses dans cette sombre et percutante.
Nous avions laissé Eros aux mains de son père, ayant sauté volontairement dans le piège tendu par celui-ci pour libérer son jeune frère Angus, bien plus fragile. En plus Amour, Gloire et Beauté, Nicky Lee nous passionne bien malgré nous pour les déboires de ces deux âmes en peine : le premier étant drogué de force et transformé en gigolo pour les ambitions politiques de son père ; le second s’étant vendu à l’ennemi économique de son père pour pouvoir avoir le pouvoir de le menacer et sauver son frère. C’est sombre, très sombre.
Pour autant, le récit est toujours hyper entraînant, alors que clairement il a basculé dans un versant vraiment exagéré où l’autrice a poussé bien loin les problèmes de ces deux frères. C’est surréaliste mais le lecteur est happé parce qui se passe. On a envie de voir Eros renverser la table et troubler les plans de son père, vengeant ce que son frère a subi autrefois. On a envie de voir Angus gagner en force et pourvoir jouer à égalité avec eux. Le récit des troubles des deux frères sont vraiment le coeur de ce tome et ça fonctionne très bien.
Heureusement Lele n’est pas fondamentalement oubliée et ce sera la dose de fraîcheur dont on aura besoin dans toute cette noirceur, car clairement Angus et Eros vont très loin dans les ténèbres de leur famille. C’est assez horrible et profondément dérangeant de les voir chacun jouer les gigolos, offrant et souillant leur corps, pour satisfaire leur besoin de vengeance. Lele, elle, au moins poursuit son rêve avec succès, et si l’autrice passe bien trop vite dessus, on est heureux de la voir réussir et briller sur les planches, grâce à sa rencontre clé avec Deveraux, sorte de Lagarfield imaginé par Nicky Lee. Les planches sont alors lumineuses, de toutes beauté et très très classe.
Avec un équilibre étrange entre sombre histoire de vengeance familiale et ascension fulgurante permettant de réaliser un rêve, là où l’autre s’est brisé, l’autrice propose une lecture addictive certes bien trop surjouée pour être crédible un instant, mais qui donne envie de tourner et tourner les pages pour voir si cette vengeance va bien s’accomplir. Avis aux amateurs de lectures classiques mais addictives.
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Nous avions laissé Eros aux mains de son père, ayant sauté volontairement dans le piège tendu par celui-ci pour libérer son jeune frère Angus, bien plus fragile. En plus Amour, Gloire et Beauté, Nicky Lee nous passionne bien malgré nous pour les déboires de ces deux âmes en peine : le premier étant drogué de force et transformé en gigolo pour les ambitions politiques de son père ; le second s’étant vendu à l’ennemi économique de son père pour pouvoir avoir le pouvoir de le menacer et sauver son frère. C’est sombre, très sombre.
Pour autant, le récit est toujours hyper entraînant, alors que clairement il a basculé dans un versant vraiment exagéré où l’autrice a poussé bien loin les problèmes de ces deux frères. C’est surréaliste mais le lecteur est happé parce qui se passe. On a envie de voir Eros renverser la table et troubler les plans de son père, vengeant ce que son frère a subi autrefois. On a envie de voir Angus gagner en force et pourvoir jouer à égalité avec eux. Le récit des troubles des deux frères sont vraiment le coeur de ce tome et ça fonctionne très bien.
Heureusement Lele n’est pas fondamentalement oubliée et ce sera la dose de fraîcheur dont on aura besoin dans toute cette noirceur, car clairement Angus et Eros vont très loin dans les ténèbres de leur famille. C’est assez horrible et profondément dérangeant de les voir chacun jouer les gigolos, offrant et souillant leur corps, pour satisfaire leur besoin de vengeance. Lele, elle, au moins poursuit son rêve avec succès, et si l’autrice passe bien trop vite dessus, on est heureux de la voir réussir et briller sur les planches, grâce à sa rencontre clé avec Deveraux, sorte de Lagarfield imaginé par Nicky Lee. Les planches sont alors lumineuses, de toutes beauté et très très classe.
Avec un équilibre étrange entre sombre histoire de vengeance familiale et ascension fulgurante permettant de réaliser un rêve, là où l’autre s’est brisé, l’autrice propose une lecture addictive certes bien trop surjouée pour être crédible un instant, mais qui donne envie de tourner et tourner les pages pour voir si cette vengeance va bien s’accomplir. Avis aux amateurs de lectures classiques mais addictives.
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De très beaux dessins qui m'ont fait penser au manga Nana , avec des personnages bien travaillés, de l'humour et certaines pages ressemblant à des posters.
Dommage qu'il y ai des clichés , comme dans les personnages secondaires et l'histoire pour le moment me semble banale , trop simple. Ce n'est bien sur qu'un premier tome mais ça me donne tout de même envie de lire la suite .
Dommage qu'il y ai des clichés , comme dans les personnages secondaires et l'histoire pour le moment me semble banale , trop simple. Ce n'est bien sur qu'un premier tome mais ça me donne tout de même envie de lire la suite .
Alors là, si je m’attendais à ça! Ce tome là marque un vrai tournant dans l’histoire je trouve. Maintenant ça prend une toute autre tournure bien plus dramatique. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que ça prenne cette direction. L’histoire s’intensifie clairement pour le coup! Je sens que les prochains tomes vont être plus qu’intense eux aussi. On a mis un peu de côté Lele pour se consacrer à nos deux jumeaux et ce n’est pas plus mal parce que ça en vaut la peine!
Dans ce dixième tome, après s’être rendu à Los Angeles sous prétexte de tourner une publicité, Eros est ramené de force en Suède à la place d’Angus. Sous la surveillance stricte de Taylor, Angus est sur le point de prendre une décision dangereuse pour sauver son frère. Seule à Paris pour continuer sa carrière, Lele doit faire face à une sérieuse épreuve…
Le père des jumeaux a mis ses menaces à exécution et à fait revenir Angus en Suède. Sauf que c’est Eros qui a pris la place de son frère pour pouvoir le protéger. De voir ça, ça nous permet de voir à quel point leur père est un être tout simplement abject. Je crois même qu’il est pire que ce je pensais. Quand on voit ce qu’il a infligé à Angus, dès son plus jeune âge en plus, ça me répugne et ça me dégoûte.. Mais il n’y a pas que son père d’ailleurs, tout ceux qui font parti de ce cercle sociale sont tous des êtres méprisables. Ils sont prêts à tout pour leur propre réussite et c’est tellement répugnant. J’espère qu’Eros va s’en sortir et pouvoir repartir à New York. Maintenant, je vois Angus sous un autre angle, alors qu’au début il nous apparait comme un jeune homme assez détestable, maintenant j’ai beaucoup de peine pour lui quand je vois tout ce qu’il a du subir dans sa jeunesse… Quand je vois ça, j’ai vraiment plus que hâte d’avoir la suite et de découvrir comment va s’en sortir Eros etc. Je meurs d’impatience!
Encore un tome incroyable à lire, c’était absolument dingue. Surtout que ce tome ci marque un vrai tournant dans l’histoire. Ça prend une tournure bien plus dramatique qui n’est pas pour me déplaire je dois bien l’avouer. Même si ça me fait énormément de peine de voir comment le monstre traite son propre fils.. Tout ce qu’a subi Angus lorsqu’il n’était encore qu’un enfant d’une dizaine d’années m’a vraiment brisé le coeur, c’est vraiment horrible et c’est là qu’on se rend compte que certaines personnes sont tout simplement prête à tout pour réussir…
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Dans ce dixième tome, après s’être rendu à Los Angeles sous prétexte de tourner une publicité, Eros est ramené de force en Suède à la place d’Angus. Sous la surveillance stricte de Taylor, Angus est sur le point de prendre une décision dangereuse pour sauver son frère. Seule à Paris pour continuer sa carrière, Lele doit faire face à une sérieuse épreuve…
Le père des jumeaux a mis ses menaces à exécution et à fait revenir Angus en Suède. Sauf que c’est Eros qui a pris la place de son frère pour pouvoir le protéger. De voir ça, ça nous permet de voir à quel point leur père est un être tout simplement abject. Je crois même qu’il est pire que ce je pensais. Quand on voit ce qu’il a infligé à Angus, dès son plus jeune âge en plus, ça me répugne et ça me dégoûte.. Mais il n’y a pas que son père d’ailleurs, tout ceux qui font parti de ce cercle sociale sont tous des êtres méprisables. Ils sont prêts à tout pour leur propre réussite et c’est tellement répugnant. J’espère qu’Eros va s’en sortir et pouvoir repartir à New York. Maintenant, je vois Angus sous un autre angle, alors qu’au début il nous apparait comme un jeune homme assez détestable, maintenant j’ai beaucoup de peine pour lui quand je vois tout ce qu’il a du subir dans sa jeunesse… Quand je vois ça, j’ai vraiment plus que hâte d’avoir la suite et de découvrir comment va s’en sortir Eros etc. Je meurs d’impatience!
Encore un tome incroyable à lire, c’était absolument dingue. Surtout que ce tome ci marque un vrai tournant dans l’histoire. Ça prend une tournure bien plus dramatique qui n’est pas pour me déplaire je dois bien l’avouer. Même si ça me fait énormément de peine de voir comment le monstre traite son propre fils.. Tout ce qu’a subi Angus lorsqu’il n’était encore qu’un enfant d’une dizaine d’années m’a vraiment brisé le coeur, c’est vraiment horrible et c’est là qu’on se rend compte que certaines personnes sont tout simplement prête à tout pour réussir…
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Je continue ma découverte de la série et je suis définitivement beaucoup trop fan. À chaque tome on découvre de nouvelles choses, il se passe toujours quelque chose, on n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer pour notre plus grand bonheur. Mais je dois avouer que ce tome m’a fait énormément de peine pour le coup.. Pour plusieurs raisons, j’ai ressenti un pincement au coeur en découvrant les évènements présents dans ce tome ci..
Dans ce neuvième tome, après sa collaboration avec Angus, Lele reçoit, non seulement l’approbation du mannequin et du photographe, mais stupéfait tout le monde une fois les photos du shooting publiées ! La veille de Noël, le père des jumeaux vient les trouver, et déclare vouloir ramener Angus avec lui, en Suède. Dans le but de protéger son frère, Eros abandonne cruellement Lele, la laissant inconsolable et le coeur brisé…
J’ai eu beaucoup de peine pour Angus dans ce tome. Son père vient lui rendre « visite » et quand on voit la façon qu’il a de traiter son fils, c’est un véritable monstre pour le coup… Il n’a même pas hésité à prostituer son fils à un moment donné dans sa vie si ça pouvait lui être favorable derrière. Quel genre de père fait ça franchement? C’est ignoble et vraiment ça m’a rendue folle! J’ai tellement aimé la relation entre Eros et Angus, Eros le prend sous son aile et va tout faire pour l’aider et le protéger. Bon même si Angus se comporte parfois de façon complètement loufoque avec son frère, on voit l’amour qu’ils se portent l’un à l’autre. Par contre, j’ai le coeur brisé pour Lele, elle m’a fait tellement, tellement de peine dans ce tome ci! Elle qui fait sa déclaration à Eros finit par se retrouver le coeur complètement brisé.. La façon dont Eros l’a traité pour le coup, ça m’a profondément énervé. Je ne sais pas à quoi il joue mais pour le coup c’était vraiment énervant! Merci à Léo pour lui avoir réglé son compte d’ailleurs, Léo l’ami toujours présent quoi qu’il arrive, j’aime énormément son personnage.
Un tome où des évènements assez triste se déroule. J’ai vraiment eu le coeur brisé pour Lele, la pauvre va vivre une déception si forte qu’elle va en tomber malade! Eros a interêt d’avoir une bonne raison d’avoir agit comme ça! Je ne m’en remets toujours pas de la façon dont il a traité Lele, je ne l’ai pas reconnu pour le coup.. J’espère qu’il changera par la suite.. J’ai encore plus hâte de découvrir ce que le prochain tome nous réserve!
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Dans ce neuvième tome, après sa collaboration avec Angus, Lele reçoit, non seulement l’approbation du mannequin et du photographe, mais stupéfait tout le monde une fois les photos du shooting publiées ! La veille de Noël, le père des jumeaux vient les trouver, et déclare vouloir ramener Angus avec lui, en Suède. Dans le but de protéger son frère, Eros abandonne cruellement Lele, la laissant inconsolable et le coeur brisé…
J’ai eu beaucoup de peine pour Angus dans ce tome. Son père vient lui rendre « visite » et quand on voit la façon qu’il a de traiter son fils, c’est un véritable monstre pour le coup… Il n’a même pas hésité à prostituer son fils à un moment donné dans sa vie si ça pouvait lui être favorable derrière. Quel genre de père fait ça franchement? C’est ignoble et vraiment ça m’a rendue folle! J’ai tellement aimé la relation entre Eros et Angus, Eros le prend sous son aile et va tout faire pour l’aider et le protéger. Bon même si Angus se comporte parfois de façon complètement loufoque avec son frère, on voit l’amour qu’ils se portent l’un à l’autre. Par contre, j’ai le coeur brisé pour Lele, elle m’a fait tellement, tellement de peine dans ce tome ci! Elle qui fait sa déclaration à Eros finit par se retrouver le coeur complètement brisé.. La façon dont Eros l’a traité pour le coup, ça m’a profondément énervé. Je ne sais pas à quoi il joue mais pour le coup c’était vraiment énervant! Merci à Léo pour lui avoir réglé son compte d’ailleurs, Léo l’ami toujours présent quoi qu’il arrive, j’aime énormément son personnage.
Un tome où des évènements assez triste se déroule. J’ai vraiment eu le coeur brisé pour Lele, la pauvre va vivre une déception si forte qu’elle va en tomber malade! Eros a interêt d’avoir une bonne raison d’avoir agit comme ça! Je ne m’en remets toujours pas de la façon dont il a traité Lele, je ne l’ai pas reconnu pour le coup.. J’espère qu’il changera par la suite.. J’ai encore plus hâte de découvrir ce que le prochain tome nous réserve!
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Le tome précédent était tout simplement excellent à lire et j’avais plus que hâte de découvrir ce que ce huitième tome nous réservait. Et je n’ai pas été déçue encore une fois. Plus j’avance dans ma lecture de cette série et plus je l’aime. Chaque tome nous apporte son lot de surprises, on en découvre toujours plus sur les différents personnages et j’en passe. Je prends de plus en plus de plaisir à suivre les aventures de notre chère Lele!
Dans ce huitième tome, Lele comprend les sentiments qu’elle éprouve pour Eros, et cherche donc à se rapprocher de lui. Eros commence aussi à s’en rendre compte, et fait beaucoup d’exceptions pour elle. Angus et Lele participent ensemble au shooting de la publicité pour ZAC. Mais les propos du célèbre photographe, Marshall, ravivent des souvenirs insoutenables chez le top model et révèlent à Lele une toute autre facette du jeune homme. Cela pourrait-il allumer une étincelle entre eux ?
Lele a enfin pris conscience de ses sentiments. J’ai presque envie de dire qu’il était temps tout de même parce que ça se voyait comme le nez en plein milieu de la figure quand même! Même Eros, qu’il ne vienne pas nous faire croire qu’il ne ressent rien pour Lele parce que ça serait le plus gros mensonge de la terre. Pour lui c’est pareil, ça se voit! Certes, un peu moins que Lele quand même mais ça se voit tout de même! Leo me fait mourir de rire, il apporte tellement de fraicheur à l’histoire je trouve. Il m’a vraiment fait rire quand Lele revient de chez Eros. Il est tellement jaloux et possessif, je trouve ça hilarant. Dans ce tome on découvre également une autre facette d’Angus, pendant le shooting il va avoir une réaction que l’on n’a pas l’habitude de voir chez lui. Lui qui est en permanence maître de lui même etc, pour le coup il montre une toute autre facette. J’ai l’impression qu’Angus cache quelque chose au fond de lui, j’ai la conviction au fond de moi qu’il cache un mal être, peut être même un dégoût pour lui même, surement pour ça qu’il ne s’attache à personne.. À voir par la suite!
À chaque tome que je lis, je finis par me poser de nouvelles questions. Alors pour le coup je vais très vite me jeter sur le prochain tome parce que j’espère fortement que l’on en découvre plus sur Angus, je sens qu’il cache quelque chose et je meurs d’envie de savoir quoi, du moins si je ne me trompe pas. J’ai hâte de voir la relation entre Eros et Lele évoluer puisqu’elle va forcément évoluer d’une manière ou d’une autre dans tous les cas..
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Dans ce huitième tome, Lele comprend les sentiments qu’elle éprouve pour Eros, et cherche donc à se rapprocher de lui. Eros commence aussi à s’en rendre compte, et fait beaucoup d’exceptions pour elle. Angus et Lele participent ensemble au shooting de la publicité pour ZAC. Mais les propos du célèbre photographe, Marshall, ravivent des souvenirs insoutenables chez le top model et révèlent à Lele une toute autre facette du jeune homme. Cela pourrait-il allumer une étincelle entre eux ?
Lele a enfin pris conscience de ses sentiments. J’ai presque envie de dire qu’il était temps tout de même parce que ça se voyait comme le nez en plein milieu de la figure quand même! Même Eros, qu’il ne vienne pas nous faire croire qu’il ne ressent rien pour Lele parce que ça serait le plus gros mensonge de la terre. Pour lui c’est pareil, ça se voit! Certes, un peu moins que Lele quand même mais ça se voit tout de même! Leo me fait mourir de rire, il apporte tellement de fraicheur à l’histoire je trouve. Il m’a vraiment fait rire quand Lele revient de chez Eros. Il est tellement jaloux et possessif, je trouve ça hilarant. Dans ce tome on découvre également une autre facette d’Angus, pendant le shooting il va avoir une réaction que l’on n’a pas l’habitude de voir chez lui. Lui qui est en permanence maître de lui même etc, pour le coup il montre une toute autre facette. J’ai l’impression qu’Angus cache quelque chose au fond de lui, j’ai la conviction au fond de moi qu’il cache un mal être, peut être même un dégoût pour lui même, surement pour ça qu’il ne s’attache à personne.. À voir par la suite!
À chaque tome que je lis, je finis par me poser de nouvelles questions. Alors pour le coup je vais très vite me jeter sur le prochain tome parce que j’espère fortement que l’on en découvre plus sur Angus, je sens qu’il cache quelque chose et je meurs d’envie de savoir quoi, du moins si je ne me trompe pas. J’ai hâte de voir la relation entre Eros et Lele évoluer puisqu’elle va forcément évoluer d’une manière ou d’une autre dans tous les cas..
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Il ne me reste plus que quelques tomes à lire avant que je sois à jour, du moins dans ceux que j’ai chez moi puisque je n’ai pas la sérié complète encore. Alors ni une ni deux, hop je me motive à les terminer. Pour l’instant, je crois bien que ce tome ci est celui que j’ai préféré pour le moment. Même si chaque tome m’a plus mais celui ci a vraiment un truc en plus, mais on y reviendra plus tard. J’aime beaucoup pouvoir enchaîner les tomes comme ça, je suis vraiment à fond dans l’histoire!
Dans ce septième tome, lorsque Lele côtoie Eros, elle peine à contrôler les battements de son cœur, qui ne cesse de s’emballer. Après en avoir appris davantage sur l’enfance malheureuse d’Eros, Lele se sent encore plus attachée émotionnellement à lui. Elle met en place une thérapie à base d’étreintes : tous deux s’enlacent passionnément en pleine rue…
Ce qui fait de ce tome mon préféré pour le moment, c’est le fait qu’on en apprenne énormément sur le passé d’Eros. Jusque là, il était vraiment très mystérieux et finalement, on ne savais pas grand chose sur lui, le strict minimum et encore. Alors que là, on découvre tout un pan de son passé et c’est hyper intéressant puisque ça nous permet même de mieux cerner le personnage. Découvrir tout ça m’a vraiment fait beaucoup de peine pour le coup, surtout quand on compare la vie qu’Eros a eu et celle qu’Angus a eu.. Lele m’a beaucoup plu dans ce tome, elle commence à prendre conscience de ses sentiments, je trouve qu’elle a beaucoup mûri depuis le début! Je suis toujours aussi fan des interactions entre Eros et Lele, vraiment ces deux là qu’est ce qu’ils peuvent me faire rire! C’est hilarant mais parfois c’est aussi super mignon, comme à la fin de ce tome d’ailleurs. J’ai hâte de découvrir la suite!
Ce tome nous permet vraiment d’en apprendre plus sur le personnage d’Eros et c’est très plaisant. On comprend mieux également pourquoi il est comme il est. C’était un tome drôle mais surtout plus que touchant. Pas mal d’émotions au rendez-vous. C’est vraiment le tome que j’ai préféré lire pour le moment, même si les autres sont tout aussi bons, celui là à tout de même quelque chose en plus.
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Dans ce septième tome, lorsque Lele côtoie Eros, elle peine à contrôler les battements de son cœur, qui ne cesse de s’emballer. Après en avoir appris davantage sur l’enfance malheureuse d’Eros, Lele se sent encore plus attachée émotionnellement à lui. Elle met en place une thérapie à base d’étreintes : tous deux s’enlacent passionnément en pleine rue…
Ce qui fait de ce tome mon préféré pour le moment, c’est le fait qu’on en apprenne énormément sur le passé d’Eros. Jusque là, il était vraiment très mystérieux et finalement, on ne savais pas grand chose sur lui, le strict minimum et encore. Alors que là, on découvre tout un pan de son passé et c’est hyper intéressant puisque ça nous permet même de mieux cerner le personnage. Découvrir tout ça m’a vraiment fait beaucoup de peine pour le coup, surtout quand on compare la vie qu’Eros a eu et celle qu’Angus a eu.. Lele m’a beaucoup plu dans ce tome, elle commence à prendre conscience de ses sentiments, je trouve qu’elle a beaucoup mûri depuis le début! Je suis toujours aussi fan des interactions entre Eros et Lele, vraiment ces deux là qu’est ce qu’ils peuvent me faire rire! C’est hilarant mais parfois c’est aussi super mignon, comme à la fin de ce tome d’ailleurs. J’ai hâte de découvrir la suite!
Ce tome nous permet vraiment d’en apprendre plus sur le personnage d’Eros et c’est très plaisant. On comprend mieux également pourquoi il est comme il est. C’était un tome drôle mais surtout plus que touchant. Pas mal d’émotions au rendez-vous. C’est vraiment le tome que j’ai préféré lire pour le moment, même si les autres sont tout aussi bons, celui là à tout de même quelque chose en plus.
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Encore un tome de dévoré, qu’est ce que ça fait du bien de pouvoir les enchaîner comme ça. C’est un vrai plaisir de suivre les aventures de Lele, de la voir évoluer comme ça. Je prends énormément de plaisir à avancer dans cette série, retrouver les différents personnages mais aussi voyager! Parce que cette fois ci, c’est direction la Grande Pomme pour continuer de suivre Lele!
Dans ce sixième tome, Lele est signée par le PDG de DGM, Nick, et se rend donc à New York ! Une réception de bienvenue a lieu le soir même, mais la naïve Lele manque de peu d’y perdre sa virginité ! Au moment critique, c’est étonnamment Eros qui vient à son secours !
Et bien quel tome encore une fois! On n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer avec notre chère Lele. Fraichement débarquée à New York, la pauvre va mal commencer son aventure américaine.. Son patron organise une fête en son honneur et finit par être complètement bourrée, ce qui aurait pu très mal se terminer pour elle d’ailleurs.. La pauvre a failli y perdre sa virginité en étant complètement saoule.. Mais heureusement Eros était là pour la sauver. C’est dingue comme finalement, il est toujours là au bon moment pour elle. Ça m’a fait plaisir de retrouver la Lele des débuts. Celle qui est maladroite, drôle malgré elle, qui se retrouve toujours dans des situations improbables et j’en passe. J’aime tellement le personnage d’Eros, je le soupçonne de ressentir quelque chose pour Lele au fond de lui, j’ai hâte de découvrir si je me trompe ou non dans les tomes suivants.
J’aime suivre l’évolution de la carrière de Lele, la suivre dans cette aventure dans le monde entier, la voir évoluer au fur et à mesure et surtout la voir grandir! J’ai vraiment hâte de me mettre à jour dans cette série et enchaîner la lecture des autres tomes en ma possession. J’ai trop hâte de voir à quel point elle peut encore évoluer, ce qu’elle va pouvoir avoir comme opportunité aussi et j’en passe. Impatiente de retrouver Eros et Angus aussi, ces deux frères me font tellement rire!
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Dans ce sixième tome, Lele est signée par le PDG de DGM, Nick, et se rend donc à New York ! Une réception de bienvenue a lieu le soir même, mais la naïve Lele manque de peu d’y perdre sa virginité ! Au moment critique, c’est étonnamment Eros qui vient à son secours !
Et bien quel tome encore une fois! On n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer avec notre chère Lele. Fraichement débarquée à New York, la pauvre va mal commencer son aventure américaine.. Son patron organise une fête en son honneur et finit par être complètement bourrée, ce qui aurait pu très mal se terminer pour elle d’ailleurs.. La pauvre a failli y perdre sa virginité en étant complètement saoule.. Mais heureusement Eros était là pour la sauver. C’est dingue comme finalement, il est toujours là au bon moment pour elle. Ça m’a fait plaisir de retrouver la Lele des débuts. Celle qui est maladroite, drôle malgré elle, qui se retrouve toujours dans des situations improbables et j’en passe. J’aime tellement le personnage d’Eros, je le soupçonne de ressentir quelque chose pour Lele au fond de lui, j’ai hâte de découvrir si je me trompe ou non dans les tomes suivants.
J’aime suivre l’évolution de la carrière de Lele, la suivre dans cette aventure dans le monde entier, la voir évoluer au fur et à mesure et surtout la voir grandir! J’ai vraiment hâte de me mettre à jour dans cette série et enchaîner la lecture des autres tomes en ma possession. J’ai trop hâte de voir à quel point elle peut encore évoluer, ce qu’elle va pouvoir avoir comme opportunité aussi et j’en passe. Impatiente de retrouver Eros et Angus aussi, ces deux frères me font tellement rire!
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Je continue ma découverte de cette série et j’enchaîne les tomes les uns après les autres. Je prends de plus en plus de plaisir à découvrir cette histoire. Moi qui n’aime ni la mode ni le monde du mannequinat, je me surprends à adorer cette histoire. J’aime autant l’intrigue que les personnages et j’en passe. C’est un vrai plaisir à lire, j’aime énormément.
Dans ce cinquième tome, après être rentrée pleine d’enthousiasme à Taïwan, Lele est accueillie par la triste nouvelle du décès de sa grand-mère bien aimée !! Ne pouvant pardonner à sa tante de lui avoir caché la vérité, Lele, sous le choc, tombe dans le coma
Alors que les tomes précédents étaient beaucoup axé sur l’humour, ici l’ambiance change du tout au tout. Le tome démarre sur Lele qui apprend que sa grand-mère est finalement décédée.. Lele est dévastée et ça m’a fait tellement de peine de la voir comme ça. Elle s’est tout simplement éteinte. Ce n’est plus qu’une coquille vide. Ce qui va entraîné un conflit avec sa tante puisque cette dernière était au courant pour sa grand-mère et qu’elle a tenu a lui dire que ce n’était pas grave. La relation entre les deux va vraiment en prendre un coup et se dégrader jusqu’au point de non retour. Ça m’a fait de la peine de voir sa tante agir comme ça mais aussi voir que derrière ses airs froids devant sa tante, elle est profondément marqué par les paroles crues que Lele a prononcé. Dans ce tome, Lele a tellement changé c’est dingue de la voir comme ça maintenant. Ce tome marque vraiment le profond changement en Lele. Ce n’était plus du tout la même ambiance et j’ai déjà hâte de me plonger dans le prochain tome pour en découvrir encore plus.
Un tome bien différent de ce que l’on a pu voir jusqu’ici. Pas d’humour, beaucoup de tristesse, de colère et de rancune. Un tome un peu plus centrée sur la tante de Lele et on se rend compte que derrière sa carapace, elle est bien plus touchée par les évènements qu’elle ne veuille le montrer. Lele est complètement différente maintenant et on a presque du mal à la reconnaitre. Le saut dans le temps de un an va être passionnant, d’autant plus que Lele risque de retrouver quelqu’un qu’elle ne connaît que trop bien!
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Dans ce cinquième tome, après être rentrée pleine d’enthousiasme à Taïwan, Lele est accueillie par la triste nouvelle du décès de sa grand-mère bien aimée !! Ne pouvant pardonner à sa tante de lui avoir caché la vérité, Lele, sous le choc, tombe dans le coma
Alors que les tomes précédents étaient beaucoup axé sur l’humour, ici l’ambiance change du tout au tout. Le tome démarre sur Lele qui apprend que sa grand-mère est finalement décédée.. Lele est dévastée et ça m’a fait tellement de peine de la voir comme ça. Elle s’est tout simplement éteinte. Ce n’est plus qu’une coquille vide. Ce qui va entraîné un conflit avec sa tante puisque cette dernière était au courant pour sa grand-mère et qu’elle a tenu a lui dire que ce n’était pas grave. La relation entre les deux va vraiment en prendre un coup et se dégrader jusqu’au point de non retour. Ça m’a fait de la peine de voir sa tante agir comme ça mais aussi voir que derrière ses airs froids devant sa tante, elle est profondément marqué par les paroles crues que Lele a prononcé. Dans ce tome, Lele a tellement changé c’est dingue de la voir comme ça maintenant. Ce tome marque vraiment le profond changement en Lele. Ce n’était plus du tout la même ambiance et j’ai déjà hâte de me plonger dans le prochain tome pour en découvrir encore plus.
Un tome bien différent de ce que l’on a pu voir jusqu’ici. Pas d’humour, beaucoup de tristesse, de colère et de rancune. Un tome un peu plus centrée sur la tante de Lele et on se rend compte que derrière sa carapace, elle est bien plus touchée par les évènements qu’elle ne veuille le montrer. Lele est complètement différente maintenant et on a presque du mal à la reconnaitre. Le saut dans le temps de un an va être passionnant, d’autant plus que Lele risque de retrouver quelqu’un qu’elle ne connaît que trop bien!
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« The One » est très bon dans son horreur, cette fois-ci ça va vraiment très loin, mais ça éclaire les passés de nos deux jeunes hommes : Eros et Angus. Il y a de quoi briser totalement les esprits.
A l’image de « Boy’s abyss » c’est nauséabond et ça décrit des relations très toxiques.
De plus, nous avons des scènes dignes de films d’action. Il est également touchant de voir combien les deux frères se protègent.
Eros sait se battre et a du répondant, mais même pour lui cela va être très difficile.
En savoir un peu plus sur le père sinon passer le paragraphe.
Comme Eros, nous avions peut être voulu garder un peu d’espoir sur ce père, ce noble, ce riche, mais il n’agit que pour le pouvoir et l’argent, ne recule devant rien, et va jusqu’à vendre son fils sans problème
Léo et Lélé qui ne sont pas au courant de tout, ont fait face au comportement horrible d’Eros, qui au passage les a énormément blessé
Lélé a accepté une opportunité de travail qui l’emmène à Paris.
L’histoire se place à l’international, que ce soit au niveau du mannequinat ou même d’autres éléments.
Comme le père d’Eros et Angus qui vit en Suède.
Tout le monde suit une partie des histoires dans les tabloïd, les journaux, mais sans en mesurer toutes les conséquences.
C’est maintenant le tome 10 de cette série, et un tome très fort en émotions et diabolique, qui pourrait heurter la sensibilité de certains.
Pour un peu de lumière, on pourra citer à part l’amour fraternel, la présence de Taylor qui est là pour Eros, et la façon dont Lélé marche dans les pas de sa mère, entre autre ce lieu spécial où elles s’entraînent toutes les deux.
Alors que des images nous fascinent, sont si belles, d’autres nous révulsent au plus haut point.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
A l’image de « Boy’s abyss » c’est nauséabond et ça décrit des relations très toxiques.
De plus, nous avons des scènes dignes de films d’action. Il est également touchant de voir combien les deux frères se protègent.
Eros sait se battre et a du répondant, mais même pour lui cela va être très difficile.
En savoir un peu plus sur le père sinon passer le paragraphe.
Comme Eros, nous avions peut être voulu garder un peu d’espoir sur ce père, ce noble, ce riche, mais il n’agit que pour le pouvoir et l’argent, ne recule devant rien, et va jusqu’à vendre son fils sans problème
Léo et Lélé qui ne sont pas au courant de tout, ont fait face au comportement horrible d’Eros, qui au passage les a énormément blessé
Lélé a accepté une opportunité de travail qui l’emmène à Paris.
L’histoire se place à l’international, que ce soit au niveau du mannequinat ou même d’autres éléments.
Comme le père d’Eros et Angus qui vit en Suède.
Tout le monde suit une partie des histoires dans les tabloïd, les journaux, mais sans en mesurer toutes les conséquences.
C’est maintenant le tome 10 de cette série, et un tome très fort en émotions et diabolique, qui pourrait heurter la sensibilité de certains.
Pour un peu de lumière, on pourra citer à part l’amour fraternel, la présence de Taylor qui est là pour Eros, et la façon dont Lélé marche dans les pas de sa mère, entre autre ce lieu spécial où elles s’entraînent toutes les deux.
Alors que des images nous fascinent, sont si belles, d’autres nous révulsent au plus haut point.
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Dans ce tome, Lélé et Angus sont au bout de leur belle collaboration qui les a fait se dépasser, le résultat sera quelque chose aussi. Les scènes du départ semblent sorties d’ailleurs, mais elles sont très belles et nous happent. La présence de la neige ne nous laisse pas indifférent.
D’ailleurs cela pourrait donner vous envie de lire ce tome en hiver 😉
Le point le plus positif et énergique de ce tome sera la visite d’une amie de Lélé. Elle est totalement subjuguée par tout cela, les photos, le monde du mannequinat, les beaux messieurs, mais surtout elle connaît la vraie Lélé. Et vu les montagnes russes qu’elle vit, cela ne lui fera pas de mal que cette présence à ces côtés.
Angus et Eros passent plus de temps ensemble, discutent, Eros va même avoir un comportement surprenant pour lui. Lélé essaye de discuter sincèrement avec lui, mais la situation est complexe.
Ils nous offrent de très belles scènes et font plus que jamais jouer le côté jumeaux.
Mais surtout on rencontre enfin le père des garçons, enfin c’est surtout Angus qui le connaît vraiment. Ah les yeux dans cette famille. Mais cette rencontre bouleverse et a de sacrées conséquences de partout.
Des moments sont beaux et irréels, d’autres sont sympathiques et plus tranches de vie, tandis que d’autres nous bouleversent, nous énervent.
Il y a aussi un côté rocambolesque et Eros qui cache toujours une partie de lui-même, et peut se montrer sans pitié. Il en sous-estime sans doute au passage l’impact réel.
Ils y vont fort, mais c’est la série qui fonctionne aussi ainsi dès le départ, ce côté « too much » qu’on pourrait y trouver (et qui peut influencer notes et appréciations du lecteur).
Ce qui va quand même avec leur milieu, qui oscille entre contes de fées et cruauté.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
D’ailleurs cela pourrait donner vous envie de lire ce tome en hiver 😉
Le point le plus positif et énergique de ce tome sera la visite d’une amie de Lélé. Elle est totalement subjuguée par tout cela, les photos, le monde du mannequinat, les beaux messieurs, mais surtout elle connaît la vraie Lélé. Et vu les montagnes russes qu’elle vit, cela ne lui fera pas de mal que cette présence à ces côtés.
Angus et Eros passent plus de temps ensemble, discutent, Eros va même avoir un comportement surprenant pour lui. Lélé essaye de discuter sincèrement avec lui, mais la situation est complexe.
Ils nous offrent de très belles scènes et font plus que jamais jouer le côté jumeaux.
Mais surtout on rencontre enfin le père des garçons, enfin c’est surtout Angus qui le connaît vraiment. Ah les yeux dans cette famille. Mais cette rencontre bouleverse et a de sacrées conséquences de partout.
Des moments sont beaux et irréels, d’autres sont sympathiques et plus tranches de vie, tandis que d’autres nous bouleversent, nous énervent.
Il y a aussi un côté rocambolesque et Eros qui cache toujours une partie de lui-même, et peut se montrer sans pitié. Il en sous-estime sans doute au passage l’impact réel.
Ils y vont fort, mais c’est la série qui fonctionne aussi ainsi dès le départ, ce côté « too much » qu’on pourrait y trouver (et qui peut influencer notes et appréciations du lecteur).
Ce qui va quand même avec leur milieu, qui oscille entre contes de fées et cruauté.
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Après avoir lu le troisième tome, je me suis empressée de me jeter sur celui ci. Surtout quand on voit comment le tome précédent se termine, j’ai vraiment eu plus qu’envie de continuer sur ma lancée et découvrir ce qui allait se passer. Et bien, je peux vous dire que plus on avance dans ce manga et plus l’histoire se bonifie selon moi. C’est vraiment un plaisir de se plonger dans l’histoire et de constater l’évolution de Lele!
Dans ce quatrième tome, la grand-mère de Lele est dans le coma à l’hôpital après une chute ?! Malgré les inquiétudes de Lele, sa tante la convainc de terminer son shooting au Japon avant de rentrer à Taïwan et de ne surtout pas laisser transparaître ses sentiments… Cependant, le shooting se passe mal et Steve lui pose un ultimatum : si elle ne se reprend pas, il changera de mannequin !
Lele qui apprend une mauvaise nouvelle pendant son shooting a du mal à faire face. Elle est tellement inquiète qu’elle n’arrive plus à être concentrer dans son travail. Eros va lui apprendre comment faire pour passer à autre chose dans ces moments comme ça. Bon, il le fait d’une drôle de manière tout de même mais au moins, ça le mérite de fonctionner. J’aime beaucoup voir comment Eros s’occupe de Lele malgré tout. Il est de très bons conseils pour elle et même si ces deux là passent leur temps à se chamailler, il a tendance à beaucoup l’aider en vérité. N’empêche que Lele, une fois qu’elle est entièrement à fond dans son travail qu’est ce qu’elle est talentueuse! Vraiment elle dégage un vrai truc et c’est incroyable de la voir comme ça. Elle est totalement transformée. Dans ce tome, Angus se décide a venir voir son frère et c’est tout simplement hyper drôle lorsqu’il est avec Lele, un brin forceur le garçon quand même mais ça reste très drôle à voir. Surtout quand Eros débarque et se décide à les punir tous les deux!
Même si j’aime lire les mangas au fur et à mesure qu’ils sortent, je dois bien avouer que les lire tous les uns après les autres c’est tout aussi appréciable. Encore un tome excellent à lire qui m’a fait passer un excellent moment. J’ai hâte de me jeter sur le suivant que je vais dévorer en un rien de temps encore. C’est vraiment une série que j’affectionne beaucoup et qui fait surtout beaucoup de bien à lire! Je suis fan!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
Dans ce quatrième tome, la grand-mère de Lele est dans le coma à l’hôpital après une chute ?! Malgré les inquiétudes de Lele, sa tante la convainc de terminer son shooting au Japon avant de rentrer à Taïwan et de ne surtout pas laisser transparaître ses sentiments… Cependant, le shooting se passe mal et Steve lui pose un ultimatum : si elle ne se reprend pas, il changera de mannequin !
Lele qui apprend une mauvaise nouvelle pendant son shooting a du mal à faire face. Elle est tellement inquiète qu’elle n’arrive plus à être concentrer dans son travail. Eros va lui apprendre comment faire pour passer à autre chose dans ces moments comme ça. Bon, il le fait d’une drôle de manière tout de même mais au moins, ça le mérite de fonctionner. J’aime beaucoup voir comment Eros s’occupe de Lele malgré tout. Il est de très bons conseils pour elle et même si ces deux là passent leur temps à se chamailler, il a tendance à beaucoup l’aider en vérité. N’empêche que Lele, une fois qu’elle est entièrement à fond dans son travail qu’est ce qu’elle est talentueuse! Vraiment elle dégage un vrai truc et c’est incroyable de la voir comme ça. Elle est totalement transformée. Dans ce tome, Angus se décide a venir voir son frère et c’est tout simplement hyper drôle lorsqu’il est avec Lele, un brin forceur le garçon quand même mais ça reste très drôle à voir. Surtout quand Eros débarque et se décide à les punir tous les deux!
Même si j’aime lire les mangas au fur et à mesure qu’ils sortent, je dois bien avouer que les lire tous les uns après les autres c’est tout aussi appréciable. Encore un tome excellent à lire qui m’a fait passer un excellent moment. J’ai hâte de me jeter sur le suivant que je vais dévorer en un rien de temps encore. C’est vraiment une série que j’affectionne beaucoup et qui fait surtout beaucoup de bien à lire! Je suis fan!
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Ohlala comme ça faisait longtemps que je ne m’étais pas plongé dans ce manga. Pourtant j’ai énormément de tomes dans ma pile à lire et il était quand même grand temps que je me retrousse les manches et que je m’enfile les tomes les uns après les autres. Bon, depuis le temps je dois avouer que j’ai mis un petit temps avant de me remettre entièrement dans l’histoire mais je me suis très vite remis dans le bain et j’ai énormément aimé ce troisième tome. Dans un sens, le fait d’avoir tous les tomes en ma possession, ce n’est pas plus mak je vais pouvoir les enchaîner les uns après les autres!
Dans ce troisième tome, Lele, sous l’effet de l’alcool, finit par énerver Eros. Celui-ci la ramène donc de force à l’hôtel en la portant sur son épaule ! Quelle coïncidence qu’Eros loge justement dans la chambre juste en face de la sienne ! Mais soudain, il devient tout pâle et s’écroule inconscient au sol… ?!
Qu’est ce que j’ai pu rire au début de ce tome ci! Lele est complètement bourré, ce qui finit par énerver Eros et il va donc la ramener. Sauf que Lele, sous l’effet de l’alcool raconte n’importe quoi et se comporte d’une façon. Cette scène était tout simplement hilarante et ça m’a fait mais tellement rire sincèrement. Lele peut tellement se comporter comme un boulet parfois, elle est vraiment trop drôle! J’aime beaucoup le personnage d’Eros, il est très mystérieux et surtout très intriguant. J’aime vraiment beaucoup le découvrir. La scène avec le chat m’a beaucoup fait rire aussi. J’aime tellement l’humour qu’il y a dans ce manga, c’est hyper rafraichissant, hyper frais, hyper léger. Je suis vraiment fan. J’ai aussi beaucoup aimé la partie bonus avec Teng Ye, c’était vachement interessant d’en apprendre plus sur lui en tout cas.
Ça m’a fait plaisir de me relancer dans ce manga que j’avais un peu délaissé au final. Je m’en vais de ce pas lire les autres tomes. J’ai plus que hâte de découvrir la suite de l’historie même si, concernant l’appel que Lele a reçu, je me doute bien de comment ça a du finir.. J’ai hâte de retrouver Eros également, surtout sa relation avec Lele, ces deux là me font tellement rire à toujours se taquiner!
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Dans ce troisième tome, Lele, sous l’effet de l’alcool, finit par énerver Eros. Celui-ci la ramène donc de force à l’hôtel en la portant sur son épaule ! Quelle coïncidence qu’Eros loge justement dans la chambre juste en face de la sienne ! Mais soudain, il devient tout pâle et s’écroule inconscient au sol… ?!
Qu’est ce que j’ai pu rire au début de ce tome ci! Lele est complètement bourré, ce qui finit par énerver Eros et il va donc la ramener. Sauf que Lele, sous l’effet de l’alcool raconte n’importe quoi et se comporte d’une façon. Cette scène était tout simplement hilarante et ça m’a fait mais tellement rire sincèrement. Lele peut tellement se comporter comme un boulet parfois, elle est vraiment trop drôle! J’aime beaucoup le personnage d’Eros, il est très mystérieux et surtout très intriguant. J’aime vraiment beaucoup le découvrir. La scène avec le chat m’a beaucoup fait rire aussi. J’aime tellement l’humour qu’il y a dans ce manga, c’est hyper rafraichissant, hyper frais, hyper léger. Je suis vraiment fan. J’ai aussi beaucoup aimé la partie bonus avec Teng Ye, c’était vachement interessant d’en apprendre plus sur lui en tout cas.
Ça m’a fait plaisir de me relancer dans ce manga que j’avais un peu délaissé au final. Je m’en vais de ce pas lire les autres tomes. J’ai plus que hâte de découvrir la suite de l’historie même si, concernant l’appel que Lele a reçu, je me doute bien de comment ça a du finir.. J’ai hâte de retrouver Eros également, surtout sa relation avec Lele, ces deux là me font tellement rire à toujours se taquiner!
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Un tome qui assure le show et toujours aussi explosif, mais une belle surprise en voyant qui est le photographe choisi par Damian, et le lien qui se développe entre Lélé et Eros.
Au passage, nous pouvons noter différentes personnes aux comportements très limites voire malsain, le tout soumis à des sentiments négatifs tels que la jalousie etc.
Lélé fait un shooting avec Angus, sous les ordres de Damian. C’est le grand jour pour découvrir qui est le photographe, [j’attise votre envie mais si vous êtres ultra sensible et ne voulait pas encore savoir, passer ce morceau] Mr Marshall qui n’est nul autre que celui qui fait le shooting qui a changé à jamais la vie de Lélé, celui dont les photos l’ont marqué au fer rouge. [/fin] Cet homme est intéressant, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il met à nu l’âme humaine, en tout cas celle de ses mannequins, qu’il cherche à connaître.
Il a envie d’échanger avec eux, de créer, mais qu’est-ce que donnera le résultat final ? Comment prendre ce qu’il a dit à Lélé ?
Il est si fort, qu’il savait bien entendu la vérité mais ne se mêle que de ce qu’il a à accomplir en tant que créateur, sans se laisser perturber. Belle répartie de lui envers Damian.
Sous les phares des strass et paillettes et/ou de la puissance et/ou de la richesse et/ou de la beauté peuvent se cacher bien des choses, parfois mêmes laides, mais aussi des fêlures.
Leurs métiers de création peut réaliser des prouesses, car par moment Lélé change complètement, par son look clairement, mais ses expressions aussi peuvent changer.
Elle continue son entraînement avec Eros, veille sur lui, leur lien se solidifie. Même Eros change de comportement parfois. Serait-ce la bonne personne pour elle ?
En tout cas, elle a réussi à accomplir des choses avec lui que personne n’avait jamais réussi.
Nous y ressentons bien aussi la description de l’ambiance new-yorkaise.
Avis express : Bonne lecture, nerfs à vif, capture de New-York, le photographe choisi est intéressant, des passés se dévoilent.
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Au passage, nous pouvons noter différentes personnes aux comportements très limites voire malsain, le tout soumis à des sentiments négatifs tels que la jalousie etc.
Lélé fait un shooting avec Angus, sous les ordres de Damian. C’est le grand jour pour découvrir qui est le photographe, [j’attise votre envie mais si vous êtres ultra sensible et ne voulait pas encore savoir, passer ce morceau] Mr Marshall qui n’est nul autre que celui qui fait le shooting qui a changé à jamais la vie de Lélé, celui dont les photos l’ont marqué au fer rouge. [/fin] Cet homme est intéressant, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il met à nu l’âme humaine, en tout cas celle de ses mannequins, qu’il cherche à connaître.
Il a envie d’échanger avec eux, de créer, mais qu’est-ce que donnera le résultat final ? Comment prendre ce qu’il a dit à Lélé ?
Il est si fort, qu’il savait bien entendu la vérité mais ne se mêle que de ce qu’il a à accomplir en tant que créateur, sans se laisser perturber. Belle répartie de lui envers Damian.
Sous les phares des strass et paillettes et/ou de la puissance et/ou de la richesse et/ou de la beauté peuvent se cacher bien des choses, parfois mêmes laides, mais aussi des fêlures.
Leurs métiers de création peut réaliser des prouesses, car par moment Lélé change complètement, par son look clairement, mais ses expressions aussi peuvent changer.
Elle continue son entraînement avec Eros, veille sur lui, leur lien se solidifie. Même Eros change de comportement parfois. Serait-ce la bonne personne pour elle ?
En tout cas, elle a réussi à accomplir des choses avec lui que personne n’avait jamais réussi.
Nous y ressentons bien aussi la description de l’ambiance new-yorkaise.
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