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Note moyenne 4.49 /5 (sur 60 notes)

Nationalité : Suisse
Né(e) : 1970
Biographie :

https://oliverkrauq.com/

"Né en 1970, suisse et habitant Genève. Marié depuis plus d’une décennie et heureux. Pas d’enfants et deux chats.

Voilà, cela n’a pas plus d’intérêt mais satisfera les curiosités. Par contre, je pense qu’il est bien plus important de développer qui je suis par rapport à mes influences, celles qui inspirent mes histoires.

Télévision : Tout d’abord, c’est aux frères Bogdanov que vont mes premiers amours. Grâce à Temps X, j’ai découvert Star Trek (je suis toujours un indécrottable trekkie depuis), mais également des séries telles que Time Tunnel, Le Prisonnier ou Space 1999. Mais mon inspiration principale reste The Twilight Zone, ces petits bijoux dévoilant des histoires condensées qui démarrent le plus normalement du monde, alors qu’un évènement fait basculer le déroulement du récit jusqu’àu twist de fin qui doit déclencher un “Waow, trop fort !”. C’est ce type de nouvelles que j’adore écrire. Une mention spéciale également à Eddy Mitchell et sa dernière séance qui a peuplé mon imagination de fantaisie avec des films tels que Forbidden Planet, Jason et les Argonautes ou autres Sinbad le Marin.

Cinéma : Cinéphile depuis tout petit – merci à l’arrivée du magnétoscope très tôt dans la famille – j’ai ingurgité sans jamais être rassasié des films de tous genres, de toutes catégories, me forgeant un imaginaire d’une immense richesse. Mais ce sont les films fantastiques et d’horreur qui ont trouvé le plus grâce à mes yeux, de Wes Craven à Lucio Fulci, de George A. Romero à Dario Argento. Mais là encore se dégage mon maître en la matière : John Carpenter. Tous ses films sont cultes pour moi. Il est capable de poser un personnage en deux plans, deux expressions de visage et deux phrases. Chacune de mes histoires est pensée comme une de ses œuvres.

Littérature : C’est tardivement que les livres sont entrés en jeu. Un représentant France Loisirs a réussi a refourguer une abonnement à mes parents dans les années 80. J’ai ainsi été invité à choisir un livre tous les trois mois (obligation contractuelle de l’abonnement). Je détestais la lecture, clairement à cause d’Au Bonheur des dames, du Rouge et le Noir ou autres Germinal, imposés par le système scolaire. Ces pavés qui ne m’intéressaient pas. Et puis j’ai découvert Stephen King… Premier choc, boulimie de son œuvre encore jeune (comme moi) à cette époque. J’ai rapidement dérivé sur Asimov, Philip K. Dick, J.R.R Tolkien, Frank Herbert (James aussi d’ailleurs), puis les plus ancie
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Source : https://oliverkrauq.com/
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
J'ai lu tant de livres, vu tant de films, j'ai appris des langues étrangères, pratiqué de nombreux instruments de musique. Je me suis adonné aux arts de la peinture, de la photographie, rédigé de magnifiques poèmes... mais plus rien ne m'intéresse. L'immortalité n'est pas un don, mais une malédiction.
Ajouté à cela la solitude et vous devenez un vampire dépressif.
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Mon Dieu, je suis en train de me raconter ma vie. C’est la défense que mon esprit a mise en place pour lutter contre cette paralysie totale de mon corps, cette sensation de mort physique. Si je faisais un petit check-in à l’instar d’un commandant de bord avant le décollage de son gros porteur, j’observerais que bien trop de voyants rouges me contraindraient à rester au sol. Je vais plutôt faire l’inventaire des voyants verts, ce sera plus rapide. Je respire et mon cœur bat : les fonctions vitales basiques sont OK.
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"Ce fut Charles qui osa inviter celle qui deviendrait sa future femme, lors d’une livraison de catalogues. Le coup de foudre les frappa tous deux, ils se marièrent rapidement, vécurent heureux et n’eurent aucun enfant."
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Je m’en doutais. Trop d’indices au cours de ma longue vie allaient dans ce sens. La mort n’est donc qu’un passage. Je flotte, mais je ne ressens rien physiquement, pour la simple et bonne raison que je ne suis plus dans mon corps. En réalité, je n’ai plus de corps, je ne suis qu’une sorte de boule d’énergie, prise dans le flot d’un courant invisible, où d’autres sphères m’accompagnent. Soudain, je comprends.
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Bon, tu peux me poser trois questions, et tu me laisses tranquille, c’est compris ? Je fais un signe de la tête. – Pourquoi suis-je un fantôme ? Elle rit avec sincérité devant ma naïveté. – Ah ouais, tu ne sais vraiment rien du tout, ajoute-t-elle. Devant mon air déconcerté, elle reprend une attitude sérieuse. – Nous ne sommes pas des fantômes, nous sommes des anges gardiens.
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Elle était vêtue d’une robe légère, d’un blanc immaculé, qui semblait avoir été directement cousue sur sa peau ambrée. Une cascade de cheveux noirs et bouclés recouvrait ses épaules et encadrait son visage fin et harmonieux. Son regard vert, profond, rivalisait avec son sourire charmant, qui laissait apparaître une dentition parfaite, aussi éclatante que sa robe.
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"« Hey ! C’est ce que j’ai trouvé chou. Ce bar est empli de goujats qui pensent toujours que les femmes sont à leur botte, et c’était mignon de vous voir rougir, même dans le noir ». Fred commençait à reprendre de sa contenance, bien qu’il n’aurait jamais cru être déstabilisé par une femme. Il en connaissait huit qui auraient bien voulu le voir ainsi."
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"Le pelage d'un noir de jais, il possédait des pattes énormes, pourvues de griffes acérées, plantées dans la tôle de la voiture. Les babines relevées découvraient des crocs blancs contrastant avec le noir de la bête. Outre sa taille impossible, c'était la lueur cramoisie dans son regard qui ne faisait pas de doute sur la nature de ce loup."
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"Puis elle fréquenta pendant une année un chirurgien danois qui finissait son doctorat en France, mais il lui avoua le jour de son retour au Danemark qu’il était marié depuis cinq ans, qu’il avait été malhonnête et lâche avec elle et avait disparu dans la foule qui passait la douane, la laissant seule dans l’aéroport de Roissy."
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"Johnny ne dit rien, comme toujours. De toute façon, il n'y avait rien à faire quand sa femme était dans cet état. Le problème était que sa femme était presque toujours dans cet état, et depuis des années maintenant ! Et il savait pourquoi… Ils étaient mariés depuis dix-sept ans."
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