Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions.
Il faut savoir profiter des moments de bonheur, en particulier quand on traverse une période difficile.
Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions.
- Tu as une sale gueule, ai-je décrété.
- Oh merci. Tu es trop sympa. (p 237)
Seul un imbécile sous-estimerait une femme.
J’ai l’impression d’être au volant d’une voiture lancée à toute vitesse. Les freins sont cassés, la route est en pente raide. Le seul moyen de m’arrêter, c’est de m’écraser en bas.
Mon père était couché sur le sol, pieds nus, les bras étendus et les yeux fermés, derrière ses lunettes. [...]
- J’ai le syndrome de la page blanche.
Ça expliquait tout. Mon père faisait toujours des trucs bizarres ou impulsifs quand il n’arrivait pas à écrire : des road trips improvisés, des régimes étranges, des expériences de privation de sommeil. C’était sa façon de surmonter l’obstacle.
Personnellement, tout ce que je ressentais, c’était une accumulation de gaz à cause du foutu milk-shake que j’avais englouti au resto.
Il fallait que j’y arrive et que je m’en sorte sans me faire pincer à cause de mes pets.
Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions
- Qui est-ce que tu cherches à impressionner ?
- Tu connais mon obsession pour la nourriture. Ta mère apporte des boulettes de viande. Je me dois d'être à la hauteur d'un menu pareil.
- Donc tu te fais chic pour des boulettes.
- Exactement.
- Alors tu ferais bien d'aller chercher des chaussures. Il ne faudrait pas que tu décoives le plateau à fromages.