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Critiques de Olivier Berenval (35)
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Nemrod

Nemrod est un roman SF space opéra bâti sur des bases complexes.

Au fil de la lecture, j’aurai été traversé par des sentiments contradictoires.

Tantôt émerveillé, tantôt ennuyé, tantôt époustouflé etc.

J’ai trouvé le monde imaginé complètement démentiel et plutôt bien décrit, même si par moment j’aurai aimé qu’on me fasse un dessin.

Bah oui, quand on n’a pas l’esprit scientifique, on rame un peu sur certains points techniques…

Car même si les descriptions ne sont pas très lourdes, la multitude d’informations concernant le monde imaginé est telle qu’on pourrait avoir quelques difficultés à digérer certains passages.

Heureusement, l’auteur ne nous dépeint pas tout son univers dès le début, mais au fil du récit. Donc on ingurgite malgré tout sans broncher.

Et on prend le plus souvent beaucoup de plaisirs.

Ouf !

Chapeau bas à Olivier Bérenval qui, au final, nous offre un chouette SF space opéra. J’imagine le travail fourni pour rester cohérent, pour parvenir à tout poser… Je trouve ça énorme et suis admiratif.

Les personnages sont assez hallucinants à l’image de l’univers créé. Au début, je m’attachais beaucoup à Tjasse, mais au final c’est Czar Santo et Booz qui m’ont le plus touché. Étrangement, j’ai trouvé les personnages féminins moins avenants. Plus froids… Moins humains… Sûrement en raison de leurs natures profondes dans le récit.

L’intrigue pourrait paraître complexe, car elle est intégrée à un univers qui nous est inconnu. Au final, ça reste une intrigue assez ordinaire. Enfin, je dis surtout ça parce que j’ai été gêné par la fin qui n’apporte pas les réponses attendues.

C’est assez frustrant.

Et difficile d’en dire plus sans spoiler.

J’ai donc beaucoup aimé ce roman, même s’il m’a manqué un petit quelque chose pour vraiment m’en délecter.

Cependant, Nemrod est un roman qui ne pourra que ravir les amateurs du genre.

Régalez-vous ! En plus la couv’ est superbe !


Lien : http://jldragon.over-blog.co..
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Ianos

Un roman de SF choral et composite qui pose des questions fortes et très actuelles. Derrière l'apparition de la singularité, on parle science, religion, et son terrible corollaire du fanatisme, métaphysique, intelligence artificielle... Et puis, on voit, au gré des chapitres, évoluer une humanité qui n'a pas son pareil pour fabriquer ses propres peurs et menaces. Un voyage qui fait réfléchir...
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Ianos

Mnémos a le don de sortir des ouvrages inclassables et des auteurs qui méritent d'être connus. Après Caussarieu, Gaulon, Delmeulle et j'en passe, voici Berenval avec une SF façon hard science qui garde, par certains côtés, des aspects de thriller. J'ai adoré la façon d'écrire, le rythme et la pédagogie de l'auteur qui arrive à vulgariser des thèmes extrêmement complexes tout en gardant une vraie cohérence au récit. Super!
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Ianos

Fan de science fiction c'est avec plaisir que je me suis plongée dans la lecture de roman. Une singularité est apparue dans le proche espace de la Terre, un équipage est envoyé dans un voyage de huit mois pour l'étudier et vérifier si elle présente un danger pour la planète. Çà c'est la trame principale parce qu'autour l'auteur nous invite à découvrir l'histoire de toute une galerie de personnages plus ou moins importants dans l'histoire. Le récit navigue sans cesse entre présent de l'histoire, passé et futur, il m'a fallu aller voir la chronologie en fin de livre pour arriver à suivre quant aux explications scientifiques, elles sont beaucoup trop compliquées pour moi. Au final j'ai trouvé ce livre intéressant pour son histoire mais toutes ces divagations amènent des longueurs et il devient très difficile de s'y retrouver.
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Ianos

Critique "Ianos" sur Yozone (extraits)

Attention : spoilers dans version intégrale sur le site



[...] Il y a, dans ce roman d’Olivier Berenval, une maîtrise technique étonnante qui ressemble beaucoup plus à celle d’un auteur chevronné, confirmé, qu’au premier roman d’un auteur encore inconnu.



La quasi totalité des chapitres happe le lecteur avec une maîtrise consommée des situations, des environnements, des ambiances. Les interactions entre personnages sonnent juste, les personnalités également, sans jamais sombrer vers les stéréotypes, et les près de cinq cents pages s’avalent sans ennui malgré le jeu de cartes temporel, un déroulé d’allers et retours qui triche quelque peu avec la chronologie linéaire. Les aventures de Nathalie Bilodeau dans un univers incompréhensible ont le charme de cette science-fiction ancienne de l’âge d’or, et, si Olivier Berenval n’a pas la puissance d’évocation d’un Peter F. Hamilton dans l’abord d’une singularité ou d’un Big Dumb Object comme les sphères de Dyson dans la tétralogie de Pandore, il est difficile pour le lecteur de ne pas être captivé par les chapitres consacrés aux astronautes s’aventurant au plus près de la singularité pour essayer de la comprendre.



[...] Malin et roublard comme peuvent l’être également, dans des genres voisins, des auteurs comme Georges Panchard ou Frédéric Delmeulle, Olivier Bérenval réussit donc avec ce premier roman une belle entrée en matière.
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..
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Nemrod

En conclusion, je dirais tout ça pour ça!



J'ai des sentiments mitigés par rapport à ce livre. Tout emballé que je suis par la richesse de l'univers qui nous est décrit et par son histoire, je suis déçu par une intrigue digne d'une série Z.



J'ai l'impression d'avoir regardé un film en audio description ou la narration donne la priorité au décor sur les personnages, des personnages brinqueballés d'un décor à l'autre sans vraiment de raison si ce n'est que l'on sent le plaisir de l'auteur à décrire ces mondes, à créer cet univers.



Finalement, ma plus grosse déception vient du caractère trop humain d'un adversaire que l'on décrit avec insistance comme non humain. Mais comment inverser ce rapport quand l'auteur est lui même humain? Un jour, dans le cadre d'écriture de scénario pour un jeu de rôle, l'on m'a dit que j'étais trop humaniste pour représenter une civilisation extra terrestre crédible, peut-être en est-il de même pour Olivier Bérenval? Ce n'est sûrement pas un défaut, juste un biais dans l'écriture qui ici nuit à la crédibilité de l'adversaire.



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Nemrod

Bon, je n’ai honnêtement pas grand chose à dire de ce livre … Si ce n’est que je suis assez déçue.

J’avais adoré Ianos, le premier livre que j’ai pu lire de l’auteur. Je l’avais trouvé subtil, intéressant, les thèmes abordés étaient clairement recherchés et j’avais pris beaucoup de plaisir à me plonger dans son univers. Autant dire que je n’ai pas du tout retrouvé cette impression avec Nemrod. Déjà, le livre est long, et lent. J’ai l’impression que l’auteur a voulu faire rentrer tous les détails qu’il avait dans sa tête dans son histoire, et ça laisse une impression de fouillis, de trop, de bla-bla. Il y a énormément de détails, mais paradoxalement, j’ai trouvé la plupart des personnages extrêmement plats, et je n’ai pas pris plaisir à suivre leurs aventures. Ca, et les horribles scènes de sexe lesbien tout droit sorti du cerveau d’un homme hétérosexuel … Bah.



J’ai hâte de voir les prochains projets de l’auteur, mais pour ce qui est de celui-ci, je le laisserai gentiment de côté.
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Ianos

Grand fan de science-fiction, j'étais curieux de voir ce que donnerait un auteur francophone en SF "hard science". Et je n'ai pas été déçu ! Une belle découverte !

Il y a plus d'action, de psychologie que dans des bouquins de Stephen Baxter qui sont plus "arides", car c'est souvent le problème du genre.

Là, on ne s'ennuie pas ! Du suspense dans l'espace, sur Terre, un triangle amoureux, de la philosophie.... Impressionnant ! "Interstellar" puissance 10 !

La construction du roman est originale avec ces aller-retours (même si cela risque de décourager ceux qui vont le "survoler"). Et c'est un premier roman en plus ! Bref, une superbe lecture, mais qui mérite de s'y plonger à fond.

Vive la SF quand elle ose défier les anglo-saxons !
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

Le Janissaire

Autant le dire tout de suite, le janissaire d'Olivier Bérenval ne tient pas les promesses de la somptueuse couverture du talentueux Wadim Kashim, pas plus que celles du pitch alléchant du 4e plat de l'édition poche chez Helios.

Mais alors pas du tout.



Je vais essayer d'évoquer le crash spatial sans trop spoiler :



Le janissaire est une vague référence à une soldatesque d'élite de l'empire ottoman du XIVe siècle, des durs à cuire, enlevés à leurs parents dès l'enfance et loyaux à leur sultan. La référence s'arrête là, il aurait pu s'appeler the Punisher, ver Gris ou judge Dredd, mais c'était déjà pris.

Ce janissaire-là est présenté comme un  redoutable enquêteur, surentrainé, aux capacités surhumaines, doté d'implants et de tout un arsenal dont on comprend vite qu'il brûle d'envie de se servir. Et il est chargé de résoudre le meurtre d'une huile galonnée sur une planète reculée.

Mais notre janissaire au crâne rasé truffé de tatouages se révèle finalement pas plus  perspicace ni plus efficace que l'inspecteur gadget. Il passe son temps à enregistrer des tas de données dans son néo-cortex façon Kiera Cameron dans Continuum sans qu'on sache ce qu'il en fait. Son enquête piétine pendant toute la première partie que l'on aurait aimé émaillée d'indices pour ne pas trop s'ennuyer. Au lieu de quoi, on enchaîne les scènes inutiles qui n'apportent rien à l'ambiance, ni à l'intrigue, ni à l'enquête ni à la psychologie des personnages. L'auteur ne doit pas connaître Tchekov et son fusil.

Le point d'orgue de cette première partie consiste en

On ajoute une planète reculée et terraformée sous le joug d'un empire galactico-industriel, la "Communauté" (sans doute pour "communauté d'intérêt"), une cheffe du renseignement qui ne paraît pas très bien renseignée à la tête d'un service même pas fichu d'infiltrer le mouvement rebelle (C'est sûr, on n'est pas chez Robert Littel que l'auteur aurait tout avantage à lire) , une famille de pionniers vaguement consanguins, et on n'obtient qu'une juxtaposition franchouillarde de tableaux SF éculés.

Le roman aurait peut-être gagné, ainsi que le lecteur, à démarrer à la seconde partie en distillant quelques éléments parmi les moins inintéressants de la 1ere partie. Quoique... la seconde partie ne sauve pas la première. Pour autant, le rythme s'accélère, la jeune agent du renseignement, Et là, on se demande vraiment à quoi bon cette 1ere partie où il ne s'est absolument rien passé avec ce janissaire qui ne sert à rien, au bout du compte. On y apprend en revanche que

Bref, le janissaire est un patchwork d'une resucée d'arguments science-fictionnels dans des décors sans surprise suivant une intrigue fort peu intrigante, avec des personnages auxquels on ne s'attache pas tant ils sont stéréotypés dans des situations sans cohérence et selon une psychologie improbable.

Un des personnages supposé être un leader rebelle est décrit comme quelqu'un qui "n'avait pas l'air dangereux, juste très inquiet, même effrayé " mais est présenté la page suivante  comme "un homme d'action". Un des personnages féminin exige de savoir pourquoi on veut abattre le janissaire, mais, deux pages plus loin, dit à celle qui doit lui expliquer "éclaire-moi, puisque tu y tiens tant".

Le style afflige par sa platitude. "Les yeux rougis, le teint pâle, Creek faisait peine à voir. Il faudrait aussi qu'elle songe à manger et à prendre une douche". La pauvreté du vocabulaire (l'un des personnages "farfouille" dans un placard) n'égale que l'accumulation de tournures malhabiles ("il m'aperçut et me regarda étrangement, d'un air qui n'était toutefois pas hostile").  On a droit à l'inévitable florilège de néologismes pour faire plus SF, à tel point que l'auteur croit utile d'ajouter un glossaire à la fin de sa production. Des fois que l'on ne comprenne pas qu'un "rotolift" est un ascenseur, que la "mère-nourissière" le nom donné à la Terre ou qu'un "maser" est une arme entre le laser et la massue.

Sur cette planète, les soeurs sont des "sorors", les frères des "fraters", la "mater", c'est la mère, tandis que le père est un... voyons... "pater" peut-être ? Bérenval a dû faire latin au collège. Nous sommes loin de l'érudition d'un Romain Lucazeau.



Bref, ce janissaire mal écrit, mal construit, sans suspense, sonne creux et est aussi aride que la planète Khataï. Il pourrait à la rigueur passer pour une parodie de roman de science-fiction s'il comportait au moins une once d'humour. J'ai déjà lu des romans de gare de science-fiction moins présomptueux mais  bien plus astucieux. Van Vogt doit s'en retourner dans son cryo-cercueil (pour reprendre la phraséologie du livre).



À mi-roman, le janissaire s'interroge sur les intentions du chef rebelle qui le tient à sa merci : " Allait-il m'éliminer, désormais convaincu de mon inutilité ?" On se prend à regretter qu'il ne le fit pas.



Post-scriptum : J'ai acheté le même jour trois livres neufs. le janissaire d'Olivier Bérenval, 11,90€, La place d'Annie Ernaux, 8,50 €, Bel-ami de Maupassant, 3,50 €. le prix de vente varierait-il à raison inverse du talent à raconter une histoire ?
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Nemrod

C’est un monde original, futur possible mais lointain, avec des héros sympathiques. L’écriture est agréable, avec des belles descriptions, cependant parfois trop hachée sur la première partie.



Le rythme a quelques lenteurs, puis sur le dernier quart, il s’accélère, monte en puissance narrative, en actions, en suspense.



Et finalement une chute qui me laisse sur ma faim / ou bien très poétique au choix….à méditer !



Sur l’ensemble, je reste mitigé, mais malgré tout avec un fond de bouche plutôt agréable.
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Nemrod

L'auteur imagine un univers plutôt riche et intrigant dans lequel l'être humain a essaimé la galaxie quitte à adapter son corps aux planètes occupées. Malheureusement, il crée par son style d'écriture une distanciation avec le lecteur qui fait que l'on ne ressent pas grand chose en parcourant ce roman : les enjeux sont mal retranscrits, les personnages peu intéressants.... Et cette volonté d'utiliser les mots les plus compliqués de la langue française en plus de termes inventés dont on met du temps à comprendre le sens fait qu'au final, l'ennui n'est pas loin.

Bref, à oublier.
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Ianos

Quelle bonne surprise que ce livre !

Bon, déjà, il faut souligner la beauté de la couverture. Ca, c’est fait, passons à l’histoire. Le livre suit plusieurs personnages, sur plusieurs années, en différents lieux (une base lunaire, un vaisseau, la Terre, etc). Si au départ, tout semble un peu flou, car il y a un nombre importants d’évènements et de personnages, l’histoire se met peu à peu en place, et on comprend qu’u objet étrange, appelé Singularité, est apparu dans le système solaire, et qu’une équipe de scientifique s’apprête à s’y rendre. En parallèle, un culte religieux gagne en puissance, des évènements étranges se produisent, sans liens apparents.



C’est vraiment un livre que j’ai beaucoup apprécié. Si les quelques premiers chapitres m’ont un peu perdue, la lecture se fait plus fluide rapidement, et j’ai apprécié le mélange des thèmes. A un certain degré, il m’a fait penser à une version moderne de 2001, saupoudré de drame politique, et humain. Un très bon livre, que je recommande chaudement !
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Le Janissaire

Premier roman de SF lu depuis bien longtemps, j'avais laissé tombé ce genre sans raison particulière.

Je retrouve dans celui-ci de nombreux ingrédients de la SF, une société dystopique plutôt autoritaire, la colonisation d'autres mondes, un tas de néologismes que l'on comprend pourtant immédiatement, des êtres humains améliorés ou adaptés, des bas fonds poisseux, une technologie avancée mais plausible . Et pourtant la recette manque de saveur et je n'entre jamais vraiment dans l'histoire. J'ai l'impression que l'auteur ne sais plus quoi faire ce certains éléments mis en place et s'en débarrasse trop vite dans les dernières pages au moment de résoudre cette aventure. La mémoire humaine et la personnalité sont devenus des éléments transférables d'un être humain à l'autre et ce thème aurait pu se voir traité plus en profondeur. Bref, beaucoup d'éléments juxtaposés par petites touches, trop et j'en aurait préféré une moindre quantité mieux exploitée .

Cela m'a laissé sur ma faim et le rayon SF de ma librairie me verra rapidement revenir fouiner dans ses rayons.
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Le Janissaire

Style précis et de qualité, intrigue cohérente et pleine de rebondissements, personnages intéressants. C'est bien ficelé, fluide, bref un très bon livre !

L'auteur n'est pas le plus connu dans le milieu de la SF française, mais il mérite que vous vous laissiez tenter...
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Ianos

Un livre original, qui m'a plu, bien qu'il soit basé sur le plus grand stéréotype de la SF, le trou noir. En fait, le livre m'a surtout plu rétrospectivement à cause de son twist final excellent et imprévisible qui remet tout le reste en perspective, et ça c'est fort, vraiment. du coup le livre que je trouvais moyen est d'un coup d'un seul devenu bon!



Le reste du bouquin alterne donc le bon (en gros tout ce qui se passe dans l'espace ou dans les laboratoires) et le quelconque (en gros tout ce qui se passe sur Terre) avec certains trucs que j'ai trouvé assez bof comme toute cette histoire de secte quand même pas mal cliché... L'ennui c'est que les parties sans grand intérêt occupent beaucoup trop de temps, donc le livre n'est en fait que moitié-SF et moitié "ésotérique" (je force un peu le trait) , jamais avare de grandes leçons de vie qui n'ont pas grand intérêt. Un peu dommage je trouve. L'écriture aussi par moments m'a un peu fatigué parce que l'auteur n'écrit que des phrases courtes, nerveuses. Alors, le but n'est pas de faire du Proust pour le plaisir, mais il faut aussi savoir moduler le rythme, et parfois rallonger ses phrases pour coller à l'action, ralentir le rythme, ou souligner certains passages. du coup le style en prend un coup.



Mais bon, j'ai passé un bon moment, et la bonne SF en français n'est pas si courante, donc il faut la soutenir!
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