Astrid Desbordes & Pauline Martin - Max et lapin : Le voyage en parapluie
Je lutte pour une vie meilleure dans un monde meilleur , afin de bien préparer un au-delà meilleur.
Photographier les tableaux est d'abord la pratique de l'historien de l'art visant à montrer - et regarder- des objets d'étude, mais c'est aussi celle d'un regardeur qui veut conserver et reproduire les sentiments provoqués par la vision des œuvres, enregistrer l'effet de l'expérience visuelle qu'il a connu en les regardant.
la photographie est pour Arasse un véritable outil à voir. Le médium photographique ne lui permet pas seulement de conserver le souvenir de l'expérience perceptive face au tableau, mais aussi de voir, au même de la perception, autre chose que l'image qui se donne dans une vision normale et d'ensemble
'image devient ici autre chose, et on s'abandonne à ce cadrage formidable qui a pour sujet la lumière et les lignes d'un profil statuaire. Avec la même maitrise, dans d'autres photographies, Arasse extrait des visages. Des portraits sont isolés et véritablement recréés.
Il explore les enjeux du détail, décrypte les sens différents qui s'y condensent, analyse sa qualité d'"emblème du processus de représentation adopté par le peintre et emblème du processus de perception engagé par le spectateur.
Le détail est scruté car il est la marque intime d'une action dans le tableau, faisant de lui même signe à celui qui regarde et l'appelant à l'approcher.
Mon gros chat n'aime pas ce qui colle, ni ce qui tache, sans parler de ce qui s'emmêle.
Mon gros chat n'aime pas quand je prends mon petit déjeuner... avant lui.
Les doudous, avez-vous vu bébé ?
Moi, je ne le trouve plus !