Citations de Pascale Legardinier (24)
J'ignore ce qu'est l'amour, mais s'il ressemble à tout ce que tu m'offres et à ce qu'il me donne les moyens d'accomplir, alors je comprends que chaque homme en rêve et que chaque femme le cherche depuis la nuit des temps. C'est un trésor qu'il faut découvrir à deux mais qu'il faut partager avec le monde entier. Je ne supporterais pas de vivre loin de toi.
Gilles à Pascale.
Il ne faut jamais révéler son souhait, sans quoi il risque de ne pas se réaliser...
Ombre parmi les ombres, son garde du corps était là, à distance. Un gorille parmi les capucins…
Elle sourit de son jeu de mots et s'assit à l'ombre d'un imposant jacaranda.
- Une accréditation permanente pour la Bibliothèque bodléienne d'Oxford ! C'est fantastique !
- Tu vas pouvoir aller étudier tous ces vieux manuscrits aussi souvent que tu le voudras, et puis ce n'est pas loin de mon bureau de Londres, nous pourrions peut-être nous voir...
- Ils n'en délivrent qu'une ou deux par an, et il y a une liste d'attente de dix ans !
- Tu n'as pris la place de personne. Disons que cette année, ils en ont octroyé une de plus...
- L'une des plus riches et des plus anciennes bibliothèques du monde ! Par quel moyen as-tu réussi à leur soutirer ce sésame ? insista la jeune fille ébahie.
- Je leur ai dit que tu en avais très envie et ils...
- Dis-moi la vérité ! supplia-t-elle.
- D'accord. Je les ai menacés avec un fusil, j'en ai abattu deux ou trois, et les survivants ont fini par céder.
Alexandra éclata de rire.
C'est à cela que je m'intéresse. Nous ne faisons que passer sur cette terre, mais l'énergie qui nous anime, cette foi qui nous transporte, elle, reste. Le moteur de l'humanité est là, dans cette volonté que met l'Homme à accomplir des prodiges. Ce lieu recèle cela, il est le témoin de l'âme de ceux qui ont vécu des millénaires avant nous. Je suis ici que pour les rencontrer.
- Ne me quitte plus jamais, fit Tom doucement.
- Juste pour ça, je veux bien t’obéir...
" - Joli ! Tu plaisantes ? Tu peux dire pharaonique, terrifiant, monumental, magnifique ! Tout le monde est sorti regarder, je suis sûr que sur les six millions d'habitants que compte cette ville, cinq millions neuf cent quatre-vingt-dix mille étaient dans la rue !
- Et les autres ?
- Sourds et aveugles ! Il n'y avait qu'eux pour avoir une chance d'échapper au spectacle."
Attendre quelqu’un est l’une des plus douces tortures qui puissent exister.
il suffit parfois d’un seul événement, de quelques heures pour que tout vous paraisse différent. Certaines situations vous font vieillir plus vite que le temps.
Je ne sais pas ce qui le plus difficile à vivre : avoir un homme, ou ne pas en avoir.
"- Joli ! Tu plaisantes ? Tu peux dire pharaonique, terrifiant, monumental, magnifique. Tout le monde est sorti est sorti regarder, je suis sûr que sur le six millions d'habitants que compte cette ville, cinq millions neuf cent quatre-vingt-dix mille étaient dans la rue !
- Et les autres ?
- Sourds et aveugles. Il n'y avait qu'eux pour avoir une chance d'échapper au spectacle."
" - Pas de choix, il n'y a que ça dans la région. Nous avons déjà eu beaucoup de mal à obtenir les autorisations de fouilles, mais pour l'hébergement, nous n'avons pas eu d'alternative. Tous les soirs, on réintègre le repaire des T.V.P.B...
- Les T.V.P.B ?
- Les Touristes Venus Pour Bronzer. Et là, changement d'ambiance : fini le calme, le chant des oiseaux, le vent léger dans les palmeraies, le ressac des vagues ; à toi la musique assourdissante, les concours stupides et les maillots à mille dollars..."
-Je sais ce que tu penses. Je connais ce sentiment. Tu viens enfin de découvrir la personne avec qui tu veux partager ta vie. Que cela te donne la force de quitter Stefano si c'est ce que tu veux vraiment. Ne fais rien contre lui, fais tout pour Aidan. Ne gâche pas ce que tu as pu vivre de bien avant.
Une des jeunes femmes demanda au garde de détacher Alexandra. Non sans hésitation, le colosse monolithique obtempéra avec un grognement.
N'ayant pas trouvé l'objet de sa traque, Alexandra ressortit en claquant la porte, laissant perplexes tous ces gens transpirant.
-Merci, lieutenant Drake.
- Je n'ai fait que mon travail, mademoiselle Dickinson, répondit celui-ci, avec dans les yeux une étincelle qui démentait son ton modeste.
- Je veux te suivre partout, murmura la jeune femme.
- Normalement, c'est plutôt mon job. Comme une ombre.
Il la serra contre lui et l'embrassa pour la première fois. Elle ferma les yeux.
- Ne me quitte plus jamais, fit Tom doucement.
- Juste pour ça, je veux bien t'obéir ...
Ce qui me révolte le plus, ce sont les enfants..., déclara Jenny avec vigueur. Ils voient tous ces ploucs danser à longueur de nuit et manger sans arrêt. Quelle image ont-ils de nous ? Comment peuvent-ils se faire une idée positive de la vie, eux qui voient leurs parents trimer pour une bouchée de pain pendant que d'autres les envahissent pour ne rien faire à longueur de journée ?
Une par une, les plus hautes collines parsemant Rio devinrent de nouveaux foyers de tir, élargissant le spectacle jusqu'aux limites de l'horizon. Alexandra avait d'abord inconsciemment compté combien elle pouvait voir de points de tir, mais à présent, toute la ville était illuminée par d'incessantes explosions féeriques. Au pied du Christ rédempteur, au sommet du Pain de Sucre, de partout la lumière jaillissait. Cette nuit, les pauvres des favelas et les riches de la côte étaient tous les témoins d'un spectacle qu'un père avait rêvé pour sa fille. Ce soir, Rio écrivait l'un des plus beaux chapitres de sa légende et Alexandra vivait son plus grand souvenir.
J'ignore ce qu'est l'amour, mais s'il ressemble à tout ce que tu m'offres et à ce qu'il me donne les moyens d'accomplir, alors je comprends que chaque homme en rêve et que chaque femme le cherche depuis la nuit des temps. C'est un trésor qu'il faut découvrir à deux mais qu'il convient de partager avec le monde entier. Je ne supporterais pas de vivre loin de toi. Gilles à Pascale.
Finalement, c'est un peu ce que je fais avec tous mes romans : je ne m'attache qu'aux sentiments.
Coluche… homme exceptionnel qui pratiquait l'humour parce qu'il connaissait le poids des douleurs.