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Critiques de Patrick Philippart (28)
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 Au nom de Clara

Un roman comme je les aime, qui nous triture les méninges.

Je l'ai lu en quelques heures, en me maudissant de ne pas avoir lu les premiers. Ce n'est pas grave, j'ai fait la connaissance de Dimitri Boizot, journaliste, et je compte bien lire ses autres aventures avec le plus grand plaisir.



L'histoire, sans trop en dire, est pleine de rebondissements. l'intrigue est tellement bien menée que j'ai été scotchée vers la fin. Je n'en dit pas plus, mais quel plaisir...
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 Au nom de Clara

Bon polar de plage, bien fait. Clin d'œil (volontaire?) aux reporters mythiques Tintin Rouletabille. Bref un livre sans prétention qui se laisse lire avec plaisir
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 Les cauchemars d'Héloïse

Je suis allée me renseigner sur la toile et j'y ai appris que Patrick Philippart avait fait son entrée dans le monde littéraire par la voie de l'auto-édition en 2012 avec la seule ambition de trouver un public à distraire par des histoires dont il s'applique à retirer tout ennui.



Cette série dont Dimitri Boizot, français moyen et modeste journaliste est le (anti ?) héros, comporte effectivement des histoires sans prétention et bien racontées. Le héros n'a donc rien d'extraordinaire, au contraire : de l'embonpoint, une calvitie naissante, de la maladresse, des mauvaises habitudes, mais il se laisse embarquer dans des énigmes policières qu'il résout presque malgré lui avec ce qu'il a à disposition dans son quotidien. Il a des connaissances, il fait de nouvelles rencontres, sa compagne est intrépide et il n'est pas entravé par les règles que doit suivre la police. Pendant ce temps sa vie personnelle évolue, tout doucement.



Pas de longues boucles, tirades ou autres digressions ; pas de flots de sang, de tripes à l'air ou autres trash ; pas de grandes théories criminelles, de profilage ou autres intrusions psychologiques. C'est un polar classique, intemporel, du style des "Cinq dernières minutes" pour ceux qui ont connu cette époque ou des enquêtes de Nestor Burma.



J'ai écouté les 6 enquêtes de Dimitri Boizot et je tiens à témoigner du respect par l'auteur du cahier des chargés qu'il s'est lui-même imposé. J'y ai trouvé une suite d'histoires agréables, bien ficelées, distrayantes susceptibles de plaire à un large public et j'espère que d'autres suivront.
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 Une disparition de trop

J'ai découvert l'auteur Patrick Philippart avec la première enquête de Dimitri Boizot, un journaliste qui même l'enquête dès qu'il tombe sur un sujet brûlant; et depuis je lis tout ce qu'il publie.

J'ai retrouvé avec plaisir Dimitri dans sa troisième enquête. Il y a quelques invraisemblances dans cette histoire mais néanmoins je lui attribue une note de 4,5/5 car l'histoire est toujours intéressante à suivre, avec pas mal de suspense. Dimitri Boizot a toujours le don de fourrer son nez où il ne faut pas et lève le voile sur des faits vieux de plusieurs années et qui à la base n'ont rien à voir avec l'article qu'il était censé écrire ! Qui plus est, l'écriture de Patrick Philippart est toujours agréable à lire.
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Au nom de Clara

Ce matin-là, quand Dimitri Boizot journaliste à « L’Actualité », entre dans son bureau, une femme lui téléphone lui annonçant qu’elle va commettre un meurtre ce soir. Qui sera suivi d’autres. Et qu’il sera toujours le premier à en être prévenu. Dimitri pense à un canular, mais la nuit, la même dame l’appelle, lui raconte où et comment elle a réalisé le meurtre annoncé « au nom de Clara » et elle veut qu’il en fasse la Une

Hélas, ordre express du substitut du procureur. Dimitri doit taire cette information, ce qui ne plaît ni à son rédacteur en chef furieux de rater une exclusivité, ni à la dame qui veut qu’on parle de ses crimes et mettra tout en oeuvre pour y parvenir



Que voilà une intrigue simple, mais redoutablement prenante du fait de ce lien entre la criminelle, véritable caméléon plein d’intelligence, et Dimitri, ce journaliste d’excellence tellement gentil

Si ce roman n’est pas le chef d’oeuvre du siècle, il faut lui reconnaître une belle cohérence et une dynamique captivante
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Erreurs de jugement

Douzième enquête de Dimitri Boizot, journaliste à "L'Actualité".



Le beau-père de Dimitri est accusé de meurtre. Bien que tout accuse cet homme, un boulanger qui vient tout juste de prendre sa retraite, et que les preuves s'accumulent, Dimitri ne croit pas un seul instant en la culpabilité de son beau-père, contrairement aux gendarmes de Senlis. Il va mener son enquête pour tenter de démêler le vrai du faux et trouver qui en veut à son beau-père.

A noter : ce n'est pas la première fois qu'un membre de la famille de Dimitri se retrouve dans cette situation ; déjà dans "Une soirée si douce" (huitième enquête de Dimitri Boizot), son frère aîné était lui aussi accusé de meurtre.



Les deux premiers chapitres sont en mode narratif et servent d'introduction. Ils sont indispensables à la mise en place de l'histoire. Ils intriguent et donnent, dès les premières lignes, envie d'en savoir plus.

Une enquête intéressante, bien qu'un peu plus calme que d'ordinaire.





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Erreurs de jugement

Coucou les livrophages, découverte d’un auteur qui n’en n’est pas à son coup d’essai (14 livres dans la série « enquête de Dimitri Boizot »). Si ce personnage est récurrent, ne pas avoir lu les livres précédents n’est pas un handicap à la compréhension du récit bien que quatorze livres soient parus dans cette série !

Trois crimes, trois innocents que toutes les preuves accablent, avec un « fil rouge » la date du 13 au 14 avril… un criminel particulièrement machiavélique qui assouvit une vengeance implacable ! mais un grain de sable va se glisser dans le déroulement de sa dernière vengeance, Dimitri Boizot va investiguer, la cible étant son beau-père !

Un bon suspense, une vengeance qui prend racine bien des années auparavant et un assassin insoupçonnable…

Un polar agréable à lire.. sans débauche d’hémoglobine, mais machiavélique…

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La dernière prière

9e enquête du journaliste Dimitri Boizot.

2018 : Suite à une information anonyme, Dimitri Boizot journaliste à L'Actualité se lance sur les traces d'un chauffard qui dix-sept ans plus tôt a fauché mortellement un jeune garcon de neuf ans et ne s'est pas arrêté. A l'époque, l'enquête pour retrouver le coupable n'avait rien donnée.

Une enquête difficile et dangereuse au cours de laquelle Dimitri Boizot va mettre sa vie en péril.

Mon avis : une lecture addictive de la première à la dernière ligne. On essaye en même temps que Dimitri de démêler l'écheveau des indices menant aux différentes pistes. L'enquête est menée tambour battant, l'auteur ne laissant rien au hasard et les nombreux rebondissements nous font retenir notre souffle. Lorsque le mot fin est apposé au bas de la dernière page, on pose le livre en regrettant que l'histoire soit déjà terminée et on espère retrouver très rapidement le journaliste dans de nouvelles aventures.
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Madame Valérie a disparu

je ne manque jamais la nouvelle enquête de Dimitri Boizot il y a toujours une intrigue palpitante , des personnages récurents . On ne s'ennuie pas,on visite la France , c'est une série sympa.

Le dernier opus ne déroge pas à la règle et Dimitri part à Bordeaux sur les traces de la victime.
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Mauvais pères

J'ai retrouvé avec un immense plaisir Dimitri Boizot, personnage fétiche de Patrick Philippart, dans sa dixième enquête.

Le journaliste enquête sur la mort accidentelle du président d'une banque privée. Il va devoir évoluer dans un monde de requins où tous les coups sont permis, tout en essayant de recoller les morceaux de son couple qui depuis déjà le précédent volume, bat de l'aile.

L'enquête est menée tambour battant, sans temps mort. Avec de multiples rebondissements, jusque dans les dernières pages.

Comme toujours l'écriture est agréable et Dimitri est devenu au fil des années l'un des personnages que j'ai beaucoup de plaisir à retrouver.

A noter qu'il n'est pas indispensable d'avoir lu les livres précédents pour comprendre l'histoire, les enquêtes étant toutes indépendantes.



Challenge mauvais genre 2021
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Mortelles ambitions

Dimitri Bizot est un journaliste vieillissant et dépressif, en vacances à La Baule. Alors qu’il fumait une cigarette sur la terrasse en pleine nuit pour tromper son insomnie, il entend deux coups de feu dans la maison voisine. Il met peu de temps pour apprendre qu’elle est occupée par un député très en vue, qui a abattu son cambrioleur.

Jugeant là que c’était une histoire propre à le déloger de la rubrique des chiens écrasés dans laquelle il croupit depuis des années, il commence l’enquête. Rapidement, il découvre des indices que la police n’a pas exploités: volonté d’étouffer l’affaire ou bien? Le voilà qui mène l’investigation de main de maître, avant de découvrir que tout ça est loin d’être aussi simple qu’il n’y parait. Bientôt, sa vie est en danger…

C’est une très honnête histoire, pleine de rebondissements et très rythmée, avec une vraie enquête intelligente, loin du monde du 3.0 (ce qui change un peu) tout en ayant le mérite de ne pas paraitre obsolète.

J’ai passé du bon temps même si je ne pense pas qu’elle me laissera un grand souvenir car elle manque un peu d’envergure.

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Mortelles ambitions

Parmi les figures tutélaires du roman policier, on retrouve, en premier lieu, le policier. Arrive, immédiatement derrière, le détective…



Mais le visage de l’enquêteur peut se cacher derrière différents statuts : écrivain, juge, avocat… et journaliste.



Effectivement, cette dernière profession est déjà sujette à enquêtes par essence.



Mais, depuis 1907 et le succès de Joseph Rouletabille, le héros de « Le mystère de la chambre jaune » de Gaston Leroux, on retrouve régulièrement des personnages de romans policiers pratiquant cette profession.



L’un des plus connus, depuis, est Mikaël Blomkvist, le personnage central de la saga « Millénium » de Stief Larsson.



Mais on pourra citer des héros plus obscurs, notamment dans la littérature fasciculaire, avec Bill Disley de J.A. Flanigham, Léonce Capoulin d’Amaury Kainval…



Désormais, j’ajouterais à ma liste Dimitri Boizot, journaliste à l’Actualité, un personnage né de la plume de Patrick Philippart, journaliste lui-même.



« Mortelles ambitions » est le premier roman de l’auteur publié en auto-édition sur Amazon (il en avait écrit, je crois, d’autres avant) ainsi que le premier mettant en scène Dimitri Boizot.

Dimitri Boizot, journaliste à l’Actualité, a une vie de merde. Un boulot dans lequel il n’est pas vraiment considéré, une femme qui l’a quitté, des enfants qui le détestent et qu’il voit trop rarement, des problèmes d’argent, une vie sentimentale inexistante…



Aussi, quand, en vacances à Batz-sur-Mer, dans la villa d’un ami, il devient le témoin numéro un d’un homicide, dans la villa voisine, occupée par Lionel Perdiou, un député, il voit là l’occasion de faire un bel article.



Effectivement, le député a abattu un cambrioleur, mais ses déclarations aux gendarmes ne correspondent pas à ce qu’a entendu Boizot aussi, il va fourrer son nez dans cette affaire qui va le conduire à une autre, beaucoup plus retentissante, mais plus dangereuse également…



Je ne sais vraiment que dire sur ce roman.



Le personnage de Dimitri Boizot, s’il est un peu plus original que d’ordinaire de par sa profession : journaliste.



Pourtant, avec ses allures de paumé, un brin dépressif, à la vie de merde, il ne se démarque guère du tout-venant des personnages de romans policiers actuels.



Malgré tout, Boizot parvient à se démarquer légèrement, du moins suffisamment que je poursuive ma lecture.



Lentement, mais sûrement, l’auteur met en place une intrigue aux multiples ramifications qui laisse supposer un suspens et une fin haletante.



Mais il n’en est rien, jamais l’histoire ne s’emballe réellement et, malgré les morts, les tentatives de meurtre, le rythme de l’histoire demeure dans une certaine langueur.



Si certains enchaînements, en cours d’enquête, manquent un peu de crédibilité, c’est, réellement, lors des révélations finales que le château de cartes s’écroule.



Effectivement, difficile de croire aux mobiles de chacun (assassins et assassinés), et ce depuis le premier jusqu’au dernier meurtre.



Certes, on pourra rétorquer que, de nos jours, on est capable de tuer pour un regard ou une cigarette, alors, par ambition…



D’accord, mais, tout de même et, surtout, qu’un individu psychiquement instable soit capable d’actes inconsidérés, passe encore, mais que plusieurs…



À la limite, si on prenait chaque cas indépendamment, ceux-ci pourraient, éventuellement, tenir à peu près la route (quoique), mais, quand ils s’enchaînent, alors, plus rien ne va.



Difficile d’être moins flou sans risquer de déflorer l’intrigue, mais, vraiment, quand on y réfléchit, on peine à adhérer totalement à cette histoire.



Et ce d’autant plus qu’alors que l’auteur et le personnage prennent leur temps pendant 90 % de du roman, que l’intrigue avance lentement, tout d’un coup, l’auteur choisit de livrer toutes les révélations lors d’une scène finale qui s’expliquerait si le héros racontait le cheminement de son enquête devant les différents suspects, comme lors du final d’un « Whodunit » à la Agatha Christie, pour, à la fin, pointer du doigt le coupable, mais qui n’a aucun intérêt dans ce cas-ci puisque Dimitri Boizot raconte, a posteriori, a ses proches, le dénouement de son enquête.



Question plume, pas grand-chose à redire, le style est agréable, l’écriture est fluide, les personnages suffisamment développés sans trop, et rien ne pèche réellement en surface (c’est plutôt dans le fond que le bât blesse).



Au final, un premier épisode qui, sans être indigent ou indigeste, peine à convaincre, notamment à cause d’une intrigue qui tient sur des réactions démesurées des différents personnages et un enchaînement de coïncidences ou de hasards.
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Mortelles ambitions

Je ne peux que conseiller la lecture de ce polar: Intrigue bien faite, rythme constant, intérêt qui de maintient.

Bref un roman sans prétention qui fait passer un très bon moment
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Mortelles ambitions

Patrick Philippart propose ici une enquête « à l’ancienne » si j’ose dire, à l’exception près qu’elle est ici menée par un journaliste. Si je dis à l’ancienne, c’est parce que l’on y retrouve un vrai travail d’investigation basé sur la déduction. En ressort une affaire plaisante à suivre, correctement rédigée, mais… manquant toutefois d’ambition.

Mortelles ambitions est un roman correct, mais pas forcément inoubliable, en dépit de la « terrible machination » dont le résumé fait mention.
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Mortelles ambitions

Patrick Philippart a créé le personnage de Dimitri Boizot, un journaliste un peu paumé qui résout des enquêtes policières…

Je l’ai découvert, tout à fait par hasard, grâce à l’abonnement Audible et, pour une fois, commencé une série par le premier opus…



Mortelles ambitions, un titre passe-partout, pas forcément attrayant à première vue.

Un personnage principal dépressif, alcoolique, journaliste sans grand avenir, cantonné à la rubrique faits divers d’un journal. Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas, à priori, de ses ambitions personnelles dont il va être question ici, même si, en vacances à Batz-sur-Mer, il est témoin d’événement qui lui laissent espérer un scoop en première page…

Les ambitieux appartiennent plutôt aux hautes sphères, là où on se croit au-dessus des lois… l'occupant d'une des villas de la Côte sauvage vient d'abattre, en état de légitime défense, un soi-disant cambrioleur. Les gendarmes et la juge d'instruction, découvrant que le propriétaire de la villa n'est autre qu'un député parisien très en vue, n'ont donc pas envie de faire beaucoup de zèle et prennent les déclarations du député pour argent comptant.



Un roman sans grandes ambitions sans doute mais qui tient la route et permet de passer un bon moment. Les péripéties s’enchainent avec un jeu de cache-cache entre Dimitri et la police, des interactions typiques entre les personnages avec un début d’idylle entre Dimitri et une boulangère, une montée en puissance et en périls (ne pas oublier qu’il y a « mortelles » dans le titre), une galerie de personnages bien campés.



Le livre audio est lu par François Raison. J’ai eu besoin d’un petit temps d’adaptation avant de me faire à sa voix et ses intonations mais, finalement, il convient bien à l’idée que je me fait de Dimitri.



Idéal pour une lecture d’été, une lecture détente.


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Mortelles ambitions

c'est une découverte, moi qui lit beaucoup de livres policiers. L'intrigue est bien menée, sans longueurs inutiles, les personnages sont intéressants, attachants. Très bien écrit, on accroche vite à l'histoire, et on lit rapidement l'ouvrage. vraiment une belle découverte, hâte de lire le tome 2. Le personnage central change de l'habituel flic désabusé, et propose une enquête comme on les aime néanmoins. pas trop long, belle lecture.
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Mortelles ambitions

C’est l’histoire improbable du journaliste témoin d’un meurtre.

IPour mener sa propre enquête il cache ce qu’il sait aux gendarmes .

Son stratagème réussit.

De besogneux qu’il était, il devient la vedette de son journal.

Ceci dit, l’enquête proprement dite bénéficie de pas mal de rebondissements qui tombent vraiment à pic.

Les raisons des éléments troubles actuels seront éclaircies à la toute fin par la révélation d’un crime dans le passé qui explique tout.

Le style est plus ou moins fluide, mais je suis resté sur ma faim quant à l’originalité du propos.

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Mortelles ambitions

Premier roman de Patrick Philippart pour moi et c'est une réussite. J'ai adoré cette histoire originale et ce personnage de Dimitri Boizot que j'ai trouvé très attachant.

Un plein été à la Baule, un coup de feu retentit dans la nuit. Un cambrioleur s'est introduit chez un député parisien et celui-ci a tiré en état de légitime défense. Mais tout de suite, il semble à Dimitri Boizot, journaliste en vacances, que les choses ne sont pas aussi simples.

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Mortelles ambitions

Une chouette découverte que ce petit polar. L'écriture est agréable et l'intrigue tient la route.

L'enquête est menée par un journaliste, c'est plutôt sympa.

L'intrigue nous tient en haleine même si nous sommes loin des gros thrillers qui "tachent". Bref, c'est très agréable à lire d'autant que ça se lit plutôt vite.

Je déplore toutefois les qualificatifs grossophobes employés pour un des personnages féminins...
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Retour à Combergueil

J'avais beaucoup aimé le premier volet et j'ai moins aimé celui-ci. Je continuerai tout de même à lire cette série parce que j'apprécie la plume de l'auteur et le personnage principal est original.

Tome 2 des enquêtes de Dimitri Boizot.

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