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Critiques de Quentin Tarantino (50)
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Cinéma spéculations

Alors qu'il prépare, officiellement, un ultime long-métrage, Quentin Tarantino publie un essai touchant sur le cinéma… mais surtout sur sa vie.
Lien : https://www.lesechos.fr/week..
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Cinéma spéculations

Dans son livre “Cinéma Spéculations”, le cinéaste décortique ses films préférés, trame de son cinéma.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Il était une fois à Hollywood

Le film était très bon. Sa novélisation est encore meilleure !

On pouvait se demander si le passage de Tarantino du visuel à l'écrit aller tenir la route. C'est plus que le cas. Il est peut-être même encore meilleur dans cet exercice. Les dialogues de l'ensemble de ses films étaient ceci-dit de bon indice pour finalement s'en douter.

Le roman retire quelques aspects du film, mais en ajoute également beaucoup d'autres. Certains éléments concernant Cliff sont beaucoup plus développés.

Le western dans lequel Rick joue occupe également une part bien plus importante qu'à l'écran.

La verve de Tarantino est réellement un régal à lire.
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Il était une fois à Hollywood

Il est plus facile de regarder un film de Tarantino que de lire un roman écrit par lui…. Mais quand on connaît un peu son univers, on ne peut pas être surpris et on apprécie.

Un plongeon dans le Hollywood des années 60 avec tout ce qu’elles ont du subversives.



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Il était une fois à Hollywood

Il était une fois à Hollywood (2021) Quentin Tarantino



La cité des Anges, comme si vous y étiez



Il semblerait que l'écriture d'Il était une fois à Hollywood soit concomitante avec celle du scénario du film qui en a été tiré. Avec malice, Quentin Tarantino évite de dire que le roman n'est qu'une simple version romancée de son long-métrage, racontant qu'il a mis cinq ans à l'écrire. du reste, plusieurs passages y sont inclus, qui ne figuraient pas dans la version cinématographique, et certains personnages ont été ajoutés, tels Candice Bergen ou bien Aldo Ray. Sans compter la fin des deux oeuvres, qui, sans vouloir divulgâcher, n'est pas la même. Au-delà du fait que Tarantino prétend ne plus vouloir être réalisateur mais se consacrer à son activité de romancier, on ne peut que constater son implication dans le projet. Ainsi il affirme avoir déjà dans ses cartons un roman consacré à Rick Dalton, qui pour l'instant a sobrement pour titre The Films of Rick Dalton, et que, de toutes façons, son contrat avec la maison d'édition HarperCollins prévoit de sortir un autre livre.



L'agent cinématographique Marvin Schwarz reçoit dans son bureau l'acteur Rick Dalton, qui entre après que la secrétaire, mademoiselle Himmelsteen, une jeune et jolie hippie, lui a ouvert la porte. Marvin propose à Rick un café, demandant expressément à sa secrétaire d'aller le chercher dans le bureau de son collègue Rex, car il y est bien meilleur que celui de la machine à café de la salle commune, et lui intimant l'ordre de ne pas le déranger durant l'entretien. Il raconte à son client qu'il a vu la veille avec son épouse deux long-métrages où il joue le rôle principal, et Rick est rassuré de constater qu'ils font partie de ses bons films. Il partage avec Marvin ses sentiments autour du réalisateur Paul Wendkos, avec qui il a eu plaisir à travailler, et l'agent lui raconte en détail ses habitudes de visionnage. Ils poursuivent leur discussion à bâtons rompus autour des coulisses de l'industrie cinématographique, des projets qui parfois n'aboutissent pas et des choix pour les castings qui souvent ne tiennent qu'à un fil.



En tant que pur objet littéraire, Il était une fois à Hollywood n'a que relativement peu d'intérêt formel. L'écriture de Quentin Tarantino n'a rien de transcendant, et, d'ailleurs, l'auteur lui-même ne se revendique pas d'un style très élaboré. Il affiche son ouvrage comme une version enrichie de son scénario, et admet que c'est un genre de livres qu'il aime depuis qu'il est un jeune adulte. Ainsi il a naturellement souhaité le faire pour l'un de ses films, et pour la petite histoire il a commencé avec Reservoir Dogs, avant de se rabattre sur Once Upon a Time... in Hollywood. Or, les longs-métrages que réalise Tarantino n'ont pas pour qualité principale un scénario très élaboré. Très souvent, ils se contentent de mettre plusieurs séquences les unes après les autres, les personnages valsant les uns derrière les autres. Mais la continuité narrative et le propos en tant que tels ne sont souvent pas la matière principale, celle-ci étant plus particulièrement constituée de dialogues tout à fait savoureux.



Mais si l'on fait abstraction de ses prétentions artistiques, Il était une fois à Holywood possède un charme indéniable et demeure ce que d'aucuns nomment un « page turner » - terme qui, au passage, n'est pas recommandé par la respectable Commission d'enrichissement de la langue, qui lui préfère « accrolivre », celui-ci, il faut bien l'admettre, ne semblant pas vraiment faire beaucoup d'adeptes. Bref, le premier ouvrage de Quentin Tarantino se laisse lire très facilement, que l'on ait vu ou pas Once Upon a Time... in Hollywood. Les personnages sont truculents, on se prend rapidement d'affection pour ces figures de perdants magnifiques qui font le sel de bon nombre des films de Tarantino. On apprécie de découvrir avec un grand plaisir les aventures qui émaillent leur quotidien, qui n'ont en soi pas beaucoup d'intérêt mais qui possèdent assez de second degré et de fantaisie pour que l'on s'y attache. Pour couronner le tout, le décor et l'unité temporelle ajoutent un sympathique piquant.



Bien entendu, une partie de l'attrait que l'on peut attribuer, secrètement ou pas, en se l'avouant ou non, à Il était une fois à Hollywood, provient de l'aspect people avec lequel Quentin Tarantino envisage son histoire. le roman est truffé de name dropping, et l'on passe une bonne partie de sa lecture à consulter Internet pour vérifier si telle ou telle personne a existé ou pas. C'est un aspect sensible, qui ne fonctionnait déjà pas dans le long-métrage : Tarantino s'amuse avec l'histoire et réinvente une grande partie des faits, tout en gardant certains dans leur véracité historique. C'est moralement compliqué, d'autant plus qu'une bonne partie des hommes et des femmes qu'il met en scène sont encore vivants. Mais c'est aussi amusant, et même touchant parfois, de voir comment le réalisateur tient tellement à rendre un hommage, parfois sincère, d'autres fois maladroit, à ses idoles d'antan. On ne l'apprend pas, il est resté un grand enfant, et n'est pas resté si éloigné du petit Quentin qui apparaît brièvement dans son livre.
Lien : https://www.panodyssey.com/f..
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Il était une fois à Hollywood

Bof, bof bof et encore il faut, à mon sens, absolument avoir vu le film sinon ce n'est plus bof qu'est le livre mais bien moins que ça ! Il faut une très bonne connaissance de l'époque, années 60 et 70, pour supporter les longues listes d'acteurs, de séries, de musiciens ou de films qui sinon sont fort indigestes.
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Il était une fois à Hollywood

Un roman boursoufflé et dénué de style.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Il était une fois à Hollywood

« Il était une fois à Hollywood », une novélisation de son dernier film. C’est l’occasion de parler de ce genre littéraire souvent décrié – et, bien sûr, de cinéma.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Django unchained

Avec un mode de narration différent, des passages inédits et une efficacité assez comparable, le comics Django unchained vaut une lecture. Une chose manque toutefois - parmi d'autres - par rapport au long métrage : le ton et l’usage du verbe, aussi particulier que malicieux de l’ancien dentiste allemand, sont ici noyés dans une ambiance plus sèche.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Django unchained

L'intrigue reste la même. Pour qui connait bien le film, il appréciera de relire cette histoire. Pour les néophytes, c'est un bel hommage au genre. [...] Ce récit ne révolutionne pas le genre. Il est prenant, passionnant et intéressant pour ceux qui sauront apprécier les "scènes additionnelles" !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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