Quitterie Simon

Un garçons qui s appelait Élias trouve un ours qu'il ramena chez lui mais il devait le caché autre part car sont père se douté de quelque chose et sa mère voyait que les réserve de nourriture baissaient . Du coup sa mère voulut soigné l'ourson et le dit à son père qu'il avait un ourson .



J'aime bien ce livre car il est bien.

L'écriture et très captivante, on est pris directement dedans car l'histoire est très bien. L'histoire est très intéressante car l'écriture est agréable. Les personnages il en a qui sont méchants comme le père d'Élias. Les autres que j'ai aimés sont l'ourson, Elias , la mère. Je n'aime pas pas son père car il veut tuer l'ourson.

Erine, 6A

Ce livre est bien mieux que ce que la première de couverture laisse imaginer .

L'histoire entre Elias et son meilleur ami ajoute beaucoup à ce roman.

Cela dit, c'est un peu facile pour des Incorruptibles 6ème...

Faire prendre conscience que tous n’ont pas la même chance d’aller à l’école, c’est ce que fait découvrir ce petit livre. Raphaël jouera au maître d’école et essaiera d’apprendre à lire à sa nounou. Ce livre qui s’adresse aux apprentis lecteurs n’a pas suscité l’enthousiasme escompté chez les enfants qui l’ont lu. G.

Elias vie dans les Pyrénées où son père est éleveur de chèvres et sa mère infirmière. Les bergers sont remontés car, comme chaque année, l'ours tue dans les troupeaux ou effraient les animaux qui se jettent dans le vide.

Alors comment Elias pourrait partager sa découverte : un ourson en détresse et blessé sur les pentes escarpées proche de sa maison. Cet ourson est seul car quelques jours avant sa mère fut tuée par l'homme.

Pour ne pas s'attirer les foudres de son père, de ses amis mais aussi des chasseurs, il le cache dans une grange, va le nourrir et lui prodiguer les soins pour que sa patte guérisse.

Mais bientôt son secret va être découvert. Comment va t-il faire pour protéger cette boule de poils si attachante ? Elias va alors, petit à petit, couper les liens avec tous pour protéger son secret.



Un beau roman (pour pré-adolescents et jeunes adolescents) sur la volonté de protéger, contre la pensée et les préjugés d'un village/de la famille/amis, un animal sauvage.

Tisha vit dans un village d'Afrique loin de tout avec sa mère. Le père est parti gagner sa vie très loin. La mère pour survivre et envoyer sa fille à l'école vend des légumes sur les marchés. Elles mènent donc toutes les deux une vie simple faite de pauvreté mais Tisha se réjouit de pouvoir aller à l'école. Pourtant, la sécheresse se met à sévir dans la région, à tel point qu'aucun légume ne pousse, la mère doit donc renoncer à envoyer sa fille à l'école et trouver d'autres moyens pour subsister... Tisha se rend utile jusqu'au jour ou une cousine très aisée de sa mère vient la chercher pour l'amener à l'école en ville ! C'est du moins ce que Tisha et sa mère croient !



Un beau roman court très facile à lire qui fait réfléchir aux conditions de vie des enfants des régions pauvres du monde et surtout au sort parfois scandaleux que certains êtres humains osent encore réserver aux enfants (aux filles) particulièrement juste dans la perspective de gagner de l'argent ! En résumé : une histoire simple, courte mais édifiante ! De quoi éventuellement nourrir des discussions entre grands et petits.
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Cet ouvrage m’a permis de découvrir l’histoire de ce personnage biblique qu’est David, père de Salomon. Je vous avoue qu’avant de lire ce roman, je ne connaissais rien de David, si ce n’est l’épisode mythique de David contre Goliath. Ce livre revient donc sur la vie de cet homme, en ne s’attardant que sur les points les plus marquants, les événements les plus importants.



Après cette lecture, je ne peux m’empêcher de remarquer (et l’auteur le souligne à la fin) que la religion sanctifie des personnages qui sont loin d’être irréprochables. Certes David est très pieux, mais cela ne l’empêche pas d’envoyer un de ses généraux à la mort afin de se marier avec la femme de ce dernier…



Le dossier présent à la fin permet d’approfondir le sujet et d’apporter quelques éclaircissements et précisions. On y apprend également - entre autres - que David est un personnage ayant réellement existé ! Quant à savoir si sa vie s’est déroulée exactement de cette manière… ça c’est une autre histoire.



En conclusion, une lecture enrichissante, instructive et qui amène à réfléchir.
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Cette lecture s'impose parce que c'est l'époque et un sujet d'actualité. Nous voici plongés dans le quotidien d'une famille d'accueil et dans la vie du jeune adulte recueilli.

Ce qui nous est dévoilé des côtés administratifs est assez révoltant.

Au delà, il s'agit d'une rencontre et d'un cheminement, séparé et ensemble de chaque protagoniste que nous suivons au fil des pages Le dessin porte très bien le sujet, à la fois réaliste et doux.

Le livre raconte une très belle histoire d'amitié entre Élias et un ourson orphelin et blessé. Tout pourrait être merveilleux, mais hélas, Élias est le fils d'un éleveur de moutons dans les Pyrénées. Or, son père, tout comme tous les habitants du village, refuse l'intégration des ours dans la montagne...

Après quelques aventures, Élias réussit tout de même à concilier amour filiale et adoration pour cet ourson.

Cet un beau moment de dépaysement !

C’est l’histoire d’un jeune garçon qui vit dans les Pyrénées, sa vie était monotone jusqu’au jour où il trouva un ourson qui va lui apporter des plaisirs et des ennuis.



J’ai adoré, car j’aime les animaux et j’ai aussi apprécié le combat entre la colère des bergers et écologistes.

PS : Je vous le reconseille.



Luc

Un petit bijou, tant pour les illustrations à la fois foisonnantes et douces que pour la subtile histoire d'amitié.

Quel bonheur de lire les romans pour les enfants qui commencent à lire. « Je ne veux pas lire ! » est un roman qui nous raconte que Lili ne veut surtout pas apprendre à lire.



Pour la petite fille, la lecture est un moment sacré, tous les soirs elle écoute son père lui raconter une histoire. Et puis un soir, son père a un empêchement... Mais elle va rentrer au CP et donc commencer l'apprentissage de la lecture, donc tout va bien. Mais, le rituel du soir alors ?



Je ne veux pas lire ! Rappelle que la lecture permet de passer un bon moment de partage. Et surtout que la lecture fait du bien.

J' ai bien aimé l'histoire car ça parle d'animaux et j'aime bien les animaux . Je trouve que l' histoire est un peu triste car l'ourson est ... C'est dommage car j'aurais préféré que l' ourson reste toute sa vie ou au moins jusqu' à ce qu'il soit adulte chez Elias. Elias aurait du parler à ses parents de l'ourson trouvé .

C'est l'histoire d'un jeune homme qui rencontre un ourson orphelin dans la montagne, ses parents détestent les ours alors il ne leur dit pas et protège l'ourson orphelin. Et vous l'auriez-vous sauvé?





Mon avis sur ce livre:

-L'écriture est émouvante et aussi intéressante.

-Le livre est agréable à lire.

-Les personnages sont attachants.

-Le vocabulaire est facile.

-Je suis directement entré dans l'histoire qui est captivante.

-La fin était bien.

Antoine,6C

Elias aime beaucoup les montagnes et la nature . Un jour il décide de faire une petite promenade et il voit un ours blessé . Il veut le sauver mais il ne sait pas vraiment comment faire . De plus chez lui, personne n'aime les ours . Il décide de l'amener chez lui, en cachette, Il appelle un vétérinaire pour essayer de le sauver . Il raconte l'histoire au docteur des animaux en lui disant " Tout dois rester secret "

Mais malheureusement au collège personne ne lui parle plus.



On lui met 3 étoiles car l'histoire est un peu lente

Nous avons aimé car l'histoire est en harmonie avec les animaux et la nature, surtout il veut sauver un ours sauvage c'est une preuve d'amour entre les animaux et les humains
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Pour l'instant, je n'ai lu que 4 albums de la collection "A la queue leu leu" de Casterman mais c'est celui-ci que j'aime le moins. Probablement parce que "1, 2, 3, nous irons au bois" est une comptine très simple, donc plus difficile à développer/détourner. J'aime vraiment bien les illustrations, par contre. Elles sont pleines de vie, les personnages sont mignons et expressifs. Par contre, le paysage ressemble plus à un verger qu'à un bois !

Colette est désespérée. En bonne sorcière, elle voulait se mijoter un bon petit plat à base de petites filles. Sauf qu’il n’y en a plus ! Elle va donc devoir se contenter d'un lot de sept petits garçons. A moins qu'un miracle ne sonne à sa porte. Et c'est précisément ce qui arrive en la personne d'Angèle. En tous cas, c'est ce qu'elle croit de prime abord. Cette jolie petite fille qui s'invite chez la sorcière est un vrai moulin à paroles, elle n'arrête pas de lui parler, lui faisant même la morale, et la déconcentre. Tant et si bien que Colette rate sa recette !



Ce petit livre est sympathique, faisant quelques clins d'œil aux contes classiques tels que Hansel et Gretel ou le Petit Poucet. Ce qui est intéressant, c'est qu'à la différence des contes originaux, ici, les enfants ne sont plus les victimes. Au contraire, ils martyrisent à leur manière ceux qui devraient avoir l'ascendant sur eux.



En conclusion, un livre intéressant si on connait les contes détournés. Malheureusement, c'est une histoire qu'on risque d'oublier aussi vite qu'on l'a lue.
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http://lacasebd.overblog.com/2015/05/une-soupe-100-sorciere.html



« Une soupe 100% sorcière » n’est pas un livre comme les autres. C’est un conte et surtout l’histoire de la sorcière Kroquela.



Ce jour-là, elle se trouve fort embêtée car elle n’a pas les ingrédients nécessaires afin de préparer sa terrible soupe magique ; qu’à cela ne tienne, la voilà chevauchant son balai enchanté, partie quêter (rien de cochon, promis), auprès de ses voisins les Ogres, la famille du Petit Poucet ou même chez Mère-Grand… Enfin, quêter c’est vite dit ; elle va surtout leur chaparder ce qu’elle peut dans leur potager sans rien demander. :)



Mais cette soupe magique va lui réserver bien des surprises et du fil à retordre…

Cette histoire qui s’étale sur une trentaine de pages est une sacrée jolie surprise. Écrit et dessiné par Simon Quitterie et Magalie Le Huche, ce récit est destiné principalement à la tranche 4-7 ans et servira aisément de porte ouverte ou de tremplin vers d’autres contes traditionnels.



Même si c’est une vilaine sorcière, tout dans cette histoire est original, plein d’humour et de rebondissements. Le vocable utilisé est super accessible, facile à maitriser et à lire. De plus, l’histoire est joliment illustrée par de savoureux dessins qui plairont aux enfants, ce qui n’est pas chose facile. Et ce, sans compter l’histoire elle-même qui permettra aux enfants de découvrir aussi bien une jolie histoire que les bienfaits d’une bonne soupe… et qui sait, de la gouter ? Ça fait grandir que la madame sorcière elle a dit !



Que demander de plus ? Une couverture dans le vent, des couleurs palpitantes, un format à l’italienne ? Pas de soucis, les éditions P’tit Glénat avec leur collection Vitamine ont prévu le coup et vous font la totale.



Vous avez compris, cette soupe de sorcière est un vrai régal à lire, ou à faire lire.

Bon appétit !



Ps : Et n’oubliez pas de manger des fruits. :)


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Une sorcière affamée, des légumes volés et mijotés, et des voisins plutôt fâchés : voici les ingrédients de cet album plein d'humour et de clins d'œil littéraires! Les illustrations sont excellentes. De quoi transformer une soupe ordinaire en une veritable potion magique! Une très belle découverte.

Le renard perché de Quitterie Simon est un album onirique ramenant au Petit Prince de Saint-Exupéry, un extrait en regard de la page de titre ne laissant aucun doute sur l'inspiration.

Le petit garçon se présente sous les illustrations de Magali Dulain comme un explorateur perdu dans les herbes hautes puis avec les jeux de perspective, comme un géant dans ce petit monde qu'il parcourt.
Lien : http://jeunesse.actualitte.c..

Encore une fois, on a ici un livre étiqueté « bible », ce qui découragera certainement une partie des lecteurs potentiels, alors que le côté religieux ne prime pas sur cette histoire, partie de notre patrimoine.

En effet, à partir des textes sacrés, l’auteur a réalisé un travail de reconstitution pour nous livrer l’histoire de David contre Goliath, ainsi que sa suite. En effet, tout le monde a déjà entendu parler de ce petit homme qui vainquit un géant, mais qui sait qu’il a ensuite été gendre du roi, persécuté, et enfin roi tourmenté lui-même ?

Bref, en lisant ce livre jeunesse, je ne me suis pas ennuyée car l’écriture est fluide et précise et l’histoire mérite d’être – mieux – connue !