Randall Boyll

Froid devant porte bien son titre, puisqu'il m'a plutôt laissée froide.

Nous avons Peter Kaye, veuf de son état, fait tout pour récolter la somme nécessaire à sauver sa fille Darbi, cliniquement morte, mais apte à s'exprimer grâce ou à cause de techniques au stade expérimental.

Alors on voyage, enfin façon de parler, vu qu'on passe presque l'intégralité du roman à l'intérieur de la voiture avec Peter, qui papote avec sa fille à ses côtés, emballée dans de la glace. Ça file des frissons, c'est clair, mais autant de froid que d'épouvante. On visualise très bien la scène, d'autant que malgré la glace, le corps de la gamine se décompose.

Hormis ceci, des scènes de violence parsèment le récit, le FBI fait des apparitions également, mais on ne sait pas trop pourquoi, entre l'arrêter pour ses braquages et voir jusqu'où va le mener sa fuite jusqu'au Wyoming. Il faut dire que la situation sort de l'ordinaire...

Vous aurez deviné à la tiédeur de mon retour que ce livre ne m'a pas plus "emballée" que ça. La faute de la glace, sans doute. Sinon, le style de l'auteur est quelconque, pas mauvais... mais pas bon. Ce lvire ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Samantha caine mère de famille amnésique depuis huit ans,n'a jamais réussi a percer le secret de son passé.jusqu'à ce que celui ci refasse violemment surface dans sa vie.il lui faudra compter sur mitch

hennessey détective privé,

pour retrouver la mémoire,

échappé aux tueurs qui la

poursuive.Samantha et mitch forme un couple explosif dans se polar gonflé a bloc qui vous clouera a votre fauteuil sous un déluge d, action et

d,humour.

C’est l’histoire d’un homme qui fuit sur les routes américaines, braquant le plus de banques possibles, pour réunir l’argent nécessaire à la survie de sa fille. Celle ci âgée de 6 ans doit rester en permanence dans la glace jusqu’à ce que son père la conduise dans un endroit où elle sera guérie...

Roman qui a mal vieilli.. Trop long, trop de lieux communs, de violences gratuites (images notamment) pour finir de manière trop classique. Pas vraiment d’intérêt.

Il y a du bon et du moins bon, il y a du bien et du mal, tel est ce livre, tel est la vie.



L'histoire est prenante, poignante, pleine d'horreurs et de violence, mais avec un bon fond et quelques bons sentiments. L'Homme est un être étrange, complexe, navigant entre amour et haine, entre logique et folie.



Peter en est un parfait exemple et les autres personnages qu'il croise dans son aventure aussi. Peter veut sauver sa fille atteinte d'un cancer, mais le traitement coute cher, alors il braque des banques. Sa fille l'accompagne, ensevelie sous une montagne de glace qui la conserve de la folie qui menace son état de morte-vivante. Kim est une jeune femme de 21 ans, travaillant à l'accueil d'un motel, et qui se retrouve à les aider sans trop savoir pourquoi elle s'est mise dans cette galère, c'est la bonne samaritaine de l'histoire. Abraham Maharba est un criminel qui se prend pour un prédicateur qui a eu le malheur de croiser Peter, et qui va, s'en le vouloir vraiment, l'aider, faux méchant, pas vraiment gentil, totalement fou. Les deux types du FBI, losers professionnels, dont la mission est de filer Peter, de l'empêcher de se faire arrêter, et de lui permettre d'arriver à bon port, mais qui vont en faire bien plus. Et bien d'autres prouve que le bien le mal s'entremêlent dans nos esprits complexes, surtout quand ils sont emplis de folie.



L'écriture, sans être d'une grande qualité, l'est d'une suffisante pour être appréciable. Les personnages sont très bien travaillés et crédibles. L'action est violente, mais en accord avec le genre du livre. L'histoire originale par certains points, reste assez basique dans sa construction. La fin un peu décevante, mais pas autant que ça en fin de compte.



En bref, un livre que j'ai bien aimé, qui a, certes, un peu vieilli, mais qui nous interroge sur comment nous pourrions réagir fasse à la mort d'un être cher et que l'on nous proposait une méthode des plus sordides pour le sauver.

Un bon livre qui fait passer un bon moment, c'est toujours ça de pris. Un huis-clos en montagne, et les ravages de la Faim (oui avec un f majuscule). Vous en reprendrez bien un petit morceau...

Aujourd’hui, nous allons disserter « Monssstre » de Randall Boyll, un petit roman terreur à la fois par sa taille et par son contenu.



Le premier chapitre démarre très fort avec un poivrot assez amusant. Ce soûlard ne sera pas le personnage principal, mais un juste un protagoniste important du récit. Tout au long du livre nous suivrons deux acteurs, l’un adolescent et l’autre un presque quadragénaire. Pour vous faire une idée, je vous laisse le soin de regarder la majorité des films jeunesses. Vous y verrez une belle copie conforme de personnages avec le vil crétin qui cherche à mettre la main sur l’enfant.



Tout bascule par la suite. Si j’étais enchanté par cette entrée, la suite n’est que médiocrité. La palme revient à des agents de FBI qui croient qu’un enfant infirme puisse tuer un homme bien portant. L’auteur nous allonge inutilement son roman, mais surtout par ses comparaisons incessantes aux œuvres et à l’écrivain Stephen King. Si un clin d’œil est le bienvenu, là, s’en est écœurant tant il nous en abreuve sur ces deux cent dernières pages et même avec cette fin.



Ce roman aurait pu être honnête malgré une écriture faiblarde, mais à force de vouloir se comparer au grand écrivain qu’est Stephen King, Randall Boyll s’est ridiculisé. C’est dommage d’avoir voulu lécher autant son ami du Maine, parce qu’il y a quand même quelques bons passages, d’excellents dialogues et des protagonistes bien travaillé. Au final, on ne retient que sa dévotion pour Stephen King.

Un roman qui fiche la trouille, Monssstre ? Que nenni !



Vous n'avez pas l'air de me croire... Il est même drôle, le livre, même si on commence avec un enfant battu.



Attendez, je vous dresse un bref aperçu de quelques personnages qui gravitent autour d'Arnold White, le gamin du livre. Vous allez comprendre.



Frank Weasel Whipple (le beau-père du gamin) est un sale alcoolique, méchant, con, lâche, brutal (les qualificatifs me manquent). Remarié avec femme et enfants, il passe son temps à picoler à la taverne du coin.



Croisant un jeune militaire, qui lui enseignera l’art subtil d’avaler un oignon grelot par une narine, Weasel s'étouffera (bien fait) et prendra ensuite une cuite mémorable.



Du coup, le jeune Arnold (treize ans) prendra une raclée à la maison. Et pas une petite : tympan crevé, dents cassés, fracture du crâne, bras cassé et déchirure interne de l’estomac ! Attendez, partez pas...



Sa mère ne porte pas plainte et dit que le gamin est tombé dans l’escalier. A l’hôpital un vieil homme informera le gamin de l’existence d’un trésor avant de trépasser (c'est con, hein ?).



Mais un faux infirmier arrive et lui plante un canif dans l’œil. S'enfuyant, il promet tout de même de faire cracher le morceau au gamin (à savoir l’endroit où le trésor est enterré, suivez, bon dieu).



Le lendemain, Weasel sort Arnold de l’hôpital à l’insu des médecins. Quand je vous disais que ça partait dans le burlesque au lieu de l'horreur. Si, si, je vous jure ! En lisant ce livre, je suis tombée sur une parodie incroyable et hilarante. Oui, j'ai ri !



Déjà, la robustesse du gamin est inouïe : il se fait tabasser à coups de canne dans les testicules (sachant qu’il sort juste de l’hôpital avec des symptômes effroyables) avant de se prendre une balle dans la jambe et un coup de crosse sur la tronche par le vieux Parker. Ah, oui, Norman Parker l’avait pris pour un extra-terrestre ! Quoi ? Vous ne le saviez pas ??



Bon, Arnie résiste à tout, il est incassable et il poursuit sa quête du trésor.



Oups, j'ai failli oublier de vous dire que la mère d’Arnie a fichu un coup de poêle sur la tête de son alcolo de mari avant de dire à Arnold de quitter la maison pour se réfugier chez son oncle. Attendez, le gamin est dans un sale état et il part à pied, avec tous ses bandages, son traumatisme crânien et son bras cassé ! Increvable, le gamin, je vous dis !



Non, je vous interdis de vous moquer de ce livre, il est génial et la prose de Boyll (l'auteur, pour ceux qui n'ont pas suivi) est vive et alerte.



Les dialogues sont percutant, mordants, les personnages sont aussi lourds qu'il se doit. Ils sont tous alcooliques, méchants ou lâche, certains font même des cumuls de ces qualités. Oui, les personnages sont poussés, très, mais cela rend le livre encore plus délirant. Je ne vous parle même pas du monstre qui m'a fait rire, pas de lui, mais de comment l'auteur le traite, lui aussi il va morfler.



Bon, pas trop de détails pour vous, lecteurs de ma critique hilare, car le faux infirmier, accompagné de son père, traqueront Arnie sans relâche. C’est seulement après qu’Arnold s’enfuira et se fera tirer comme un lapin près de la ferme de Parker. Vous vous souvenez, je vous en parle plus haut...



Stephen King en prend aussi pour son grade et est décrit comme l’écrivain fou de Bangor ! D’ailleurs l’auteur le dit dans sa préface de manière ironique : « Stephen King, qui fait de fréquentes apparitions dans ce livre, et qui va sans doute me poursuivre en justice… »



Un bon délire qui laisse entrevoir une facette différente de la littérature d’épouvante.



Certains seront déçus… ou pire : catastrophés par un tel livre.



Mais tentez l’expérience Boyll pour la curiosité, il vaut le détour, ne fus-ce que pour ne pas mourir idiot en étant passé à côté de ce roman qui détonne dans ma collection "Pocket Terreur" et qui mérite une place dans le rayon "Burlesque".
Lien : http://the-cannibal-lecteur...

Samanta est prof de français . Elle vit avec sa fille de 8 ans et son compagnon. Son passé est un mystère , on l'a retrouvée sue une plage , il y a 8 ans avec une valise et elle était enceinte de 2 mois . Elle n'a jamais retrouvé la mémoire . Cependant , à la suite d'un accident de voiture des flashes lui reviennent et au même moment , le détective privé qu'elle a engagé découvre quelques indices .

Si Samanta était une fille calme et bien dans sa peau , voilà qu'elle découvre que dans une autre vie , ce n'était pas le cas et elle devra aller jusqu'au bout pour finir une mission débutée depuis bien longtemps .

Si on aime les cascades , les coups de feu , les exploits , on est servi mais trop , c'est trop.