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Citations de Raymond A. Moody (52)


La kétamine (ou cyclohexanone) est un anesthésiant administré par des piqûres intraveineuses, dont les effets secondaires ne sont pas sans analogie avec les expériences de décorporation.
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L’un des motifs qui me font dire que mon étude n’est pas « scientifique » est que l’ensemble des individus dont j’ai reçu les confidences ne constitue pas un échantillonnage d’êtres humains choisis au hasard. J’aurais été très intéressé par le récit d’expériences analogues vécues par des Esquimaux, des Indiens Kwakiults, Navahos ou originaires de la tribu Watusi, etc.
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Remarque importante : alors que cette description de l’être de lumière demeure exactement la même d’un témoignage à l’autre, l’identification de cet être varie singulièrement et semble dépendre en grande partie des antécédents, de l’éducation et des croyances religieuses de chaque individu. Ainsi, la plupart de ceux qui ont été élevés dans la tradition ou la foi chrétienne identifient cette lumière au Christ […].
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Mon opinion est que notre société traverse actuellement une période de transition; nous devons avoir le courage d'ouvrir de nouvelles portes et d'admettre que nos outils scientifiques actuels ne sont plus adaptés à ces nouveaux domaines.
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La vie ressemble à un confinement. Nous ne pouvons pas comprendre, dans notre état actuel, à quel point notre corps est pour nous une prison. La mort procure une telle délivrance, c'est comme si on s'évadait ; je ne trouve pas de meilleure comparaison.
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A la suite de ces événements, j’ai presque eu l’impression d’être remplie d’un esprit nouveau. Depuis lors, on m’a souvent fait remarquer que je produisais un effet calmant sur les gens, agissant de façon immédiate lorsqu’ils se sentent soucieux. Et je me sens mieux accordée avec l’entourage, il me semble que j’arrive à deviner les gens beaucoup plus vite qu’avant.
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Voyez-vous, c’est pour moi tout un problème d’essayer d’exprimer ça, parce que tous les mots que j’emploie s’appliquent à trois dimensions.
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« Il se sent emporté avec une grande rapidité à travers un obscur et long tunnel. Après quoi il se retrouve soudain hors de son corps physique, sans quitter toutefois son environnement immédiat; il aperçoit son propre corps à distance, comme en spectateur (...) d’autres êtres s’avancent à sa rencontre, paraissant vouloir lui venir en aide; il entrevoit les esprits de parents et d’amis décédés avant lui. Et soudain, une entité spirituelle, d’une espèce inconnue, un esprit de chaude tendresse, tout vibrant d’amour - un être de lumière - se montre à lui. Cet être fait surgir en lui une interrogation, qui n’est pas verbalement prononcée, et qui le porte à effectuer le bilan de sa vie passée. L’entité le seconde dans cette tâche en lui procurant une vision panoramique, instantanée, de tous les évènements qui ont marqué son destin. Le moment vient ensuite où le défunt semble rencontrer une sorte de barrière, ou de frontière, symbolisant l’ultime limite entre sa vie terrestre et la vie à venir (...) Par la suite, lorsqu’il tente d’expliquer à son entourage ce qu’il a éprouvé entre temps, il se heurte à différents obstacles. En premier lieu, il ne parvient pas à trouver des paroles humaines capables de décrire de façon adéquate cet épisode supraterrestre. De plus, il voit bien que ceux qui l’écoutent ne le prennent pas au sérieux, si bien qu’il renonce à se confier à d’autres.
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[A propos de la théorie psychologique de l’effet de l’isolement]

On pourrait même se demander si les modifications physiologiques qui accompagnent le déclin du corps ne sont pas en elles-mêmes susceptibles de produire une impression radicale d’isolement, entraînant une coupure presque totale de toutes les sensations qui parviennent au cerveau.
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Les séjours hors du corps ont leurs équivalents neurologiques dans ce qu’on nomme les « hallucinations autoscopiques » (où l’on se voit soi-même). […] Le fantôme autoscopique est toujours perçu comme vivant –il arrive parfois que le sujet l’estime plus vivant et plus conscient qu’il ne l’est lui-même- alors que dans les décorporations le corps est perçu comme une chose inerte, une coquille vide.
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C'est la raison pour laquelle je me refuse à tirer des conclusions de l'étude qui précède, et affirme que je ne songe nullement à établir une preuve du bien-fondé de l'antique croyance à la survie après la mort.
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Il se trouve qu'au cours de leurs études, les futurs docteurs s'entendent répéter à longueur de cours qu'ils doivent faire montre de la plus grande méfiance envers les déclarations des malades sur leur état. Tout médecin a appris qu'il doit avant tout s'en tenir aux manifestations objectives du processus morbide, et de ne recevoir qu'avec beaucoup de circonspection les impressions subjectives "symptômes" communiqué par le patient.
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L’un des motifs qui me font dire que mon étude n’est pas « scientifique » est que l’ensemble des individus dont j’ai reçu les confidences ne constitue pas un échantillonnage d’êtres humains choisis au hasard. J’aurais été très intéressé par le récit d’expériences analogues vécues par des Esquimaux, des Indiens Kwakiults, Navahos ou originaires de la tribu Watusi, etc.
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La mort n'est que la suite de la vie.
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Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une comme si rien n'était un miracle, l'autre comme si tout était un miracle.
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À l’heure actuelle, j’ai connaissance de quelque 150 cas reproduisant ce phénomène. Les expériences que j’ai eues à étudier se classent en trois catégories distinctes :
1. Les expériences vécues par des personnes qui ont été réanimées après avoir été tenues pour mortes, déclarées telles, ou considérées comme cliniquement mortes par leurs médecins ;
2. Les expériences vécues par des personnes qui, à la suite d’accidents, de blessures graves ou de maladie, ont vu la mort de très près ;
3. Les expériences vécues par des personnes qui, sur le point de mourir, en donnaient la description à ceux qui les entouraient. Par la suite, ces témoins m’ont communiqué le contenu de ces expériences d’agonisants.
Dans cet amoncellement de matériel qui peut être évalué à 150 cas, il m’a évidemment fallu opérer une sélection. Une partie de ce choix a répondu à une intention précise ; par exemple, en dépit du fait que certains rapports du troisième type recoupaient et complétaient parfaitement les recensions des deux premiers, j’ai préféré les omettre pour la plupart, pour deux raisons : d’abord, cette élimination m’a permis de réduire le nombre des cas étudiés à des proportions plus maniables ; ensuite, j’ai pu, grâce à ce procédé, m’en tenir autant que possible à des témoignages de première main.
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Et je suis d'accord avec l'idée que le surnaturel, c'est du naturel qui n'a pas encore trouvé son explication. ( p 200)
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Comme l'a dit le philosophe allemand Goethe, " En science... Si quelqu'un avance quelque chose de nouveau, les gens résistent de toutes leurs forces ; ils parlent avec mépris de l'idée nouvelle, comme si elle ne méritait même pas d'être creusée ou considérée ; voilà pourquoi une vérité nouvelle doit attendre longtemps avant de pouvoir faire son chemin. ( p 159)
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Les réticences de ceux qui hésitent à confier leur expérience proviennent également d’autres motifs : certains ont tellement conscience du caractère indescriptible de leur aventure, qui transcende à la fois le langage et tous les modes de perception humains, qu’il leur semble parfaitement vain d’essayer de l’exprimer.
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[Description d’une des fonctions du Livre des morts tibétains]

Encourager les survivants à former des pensées bénéfiques de manière à ne pas retarder le mourant par des manifestations d’amour ou de tension émotionnelle, en sorte qu’il puisse accéder aux plaines de l’après-vie dans un état d’esprit approprié, dégagé de tout souci terrestre.
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